Le sermon sur la montagne
22 janvier, 2008The sermon on the mount / Le sermon sur la montagne / 15 MAITRE CHRIST EXPLAINING THE DOCTRINE ON GOD S –
http://www.artbible.net/3JC/Mat0501_07_Sermon_Mount/index.htm
The sermon on the mount / Le sermon sur la montagne / 15 MAITRE CHRIST EXPLAINING THE DOCTRINE ON GOD S –
http://www.artbible.net/3JC/Mat0501_07_Sermon_Mount/index.htm
du site:
http://www.vatican.va/spirit/documents/spirit_20020213_teresa-bambino-gesu_fr.html
La puissance de la prière
« Qu’elle est donc grande la puissance de la Prière! on dirait une reine ayant à chaque instant libre accès auprès du roi et pouvant obtenir tout ce qu’elle demande. Il n’est point nécessaire pour etre exaucée de lire dans un livre une belle formule composée pour la circonstance; s’il en était ainsi… hélas! que je serais à plaindre! … En dehors de l’office Divin que je suis bien indigne de réciter, je n’ai pas le courage de m’astreindre à chercher dans les livres de belles prières, cela me fait mal à la téte, il y en a tant!.. et puis elles sont toutes plus belles les unes que les autres… Je ne saurais les réciter toutes et ne sachant laquelle choisir, je fais comme les enfants qui ne savent pas lire, je dis tout simplement au Bon Dieu ce que je veux lui dire, sans faire de belles phrases et toujours Il me comprend… Pour moi la prière, c’est un élan du coeur, c’est un simple regard jeté vers le Ciel, c’est un cri de reconnaissance et d’amour au sein de l’épreuve comme au sein de la joie; enfin c’est quelque chose de grand, de surnaturel qui me dilate l’áme et m’unit à Jésus.
Je ne voudrais pas cependant, ma Mère bien-aimée, que vous croyiez que les prières faites en commun au choeur, ou dans les ermitages , je les récite sans dévotion. Au contraire j’aime beaucoup les prières communes car Jésus a promis de se trouver au milieu de ceux qui s’assemblent en son nom, je sens alors que la ferveur de mes soeurs supplée à la mienne, mais toute seule (j’ai honte de l’avouer) la récitation du chapelet me coute plus que de mettre un instrument de pénitence…Je sens que je le dis mal, j’ai beau m’efforcer de méditer les mystères du rosaire, je n’arrive pas à fixer mon esprit…Longtemps je me suis désolée de ce manque de dévotion qui m’étonnait, car j’aime tant la Sainte Vierge qu’il devrait m’etre facile de faire en son honneur des prières qui lui sont agréables. Maintenant je me désole moins, je pense que la Reine des Cieux étant ma Mère, elle doit voir ma bonne volonté et qu’elle s’en contente.«
Prière
“O mon Dieu! Je vous demande pour moi et pour ceux qui me sont chers la grace d’accomplir parfaitement votre sainte volonté, d’accepter pour votre amour les joies et les peines de cette vie passegère afin que nous soyons un jour réunis dans les Cieux pour toute l’étenité.”
Ainsi soit-il.
(S. Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face, Manuscrit C, Oeuvres Complètes, DDB- Cerf, Paris 1997, pp. 268-269; Id. Prières, p.968)
Préparé par la Pontificale Université du Latran
du site:
http://www.bible-service.net/site/016.html
La Bible juive
Dans sa préface à l’œuvre de son grand-père, l’éditeur grec du livre de ben Sira (appelé aussi Siracide ou Ecclésiastique) écrit ceci vers 130 av. J.-C. : » Mon grand-père, qui s’était adonné par dessus tout à la lecture de la Loi, des Prophètes et des autres livres de nos pères, et qui y avait acquis une grande maîtrise, fut amené à écrire lui aussi sur l’instruction et la sagesse, afin que ceux qui aiment le savoir, s’étant familiarisés avec ces sujets, progressent encore davantage dans la vie selon la Loi. »
Cette préface à un livre que les rabbins vénèrent sans l’avoir retenu dans leur »canon » nous renseigne sur le fait qu’au 2e siècle avant notre ère, il existait une répartition des saintes écritures en 3 recueils : la Loi (en hébreu »Torah ») les Prophètes (en hébreu »Neviim ») et les autres livres (ou Écrits, en hébreu »Ketouvim »). Cette tripartition sera réaffirmée à la fin du 1er siècle lorsque des rabbins réunis dans la ville de Yavneh (Jamnia), à 40 kms à l’ouest de Jérusalem, fixeront la liste des livres »inspirés » par Dieu.
La Loi ou Torah
comprend 5 livres nommés par le premier mot du livre :
- Berechit (Au commencement)
- Chemot (Les Noms)
- Wayiqra (Et il dit)
- Bamidbar (Dans le désert)
- Debarim (Les paroles)
Ces titres correspondent à Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et Deutéronome. La base de la relation d’alliance entre YaHWeH (Le Seigneur) et le peuple d’Israël y est consignée et mise sous l’autorité de Moïse. La Torah évoque la naissance du monde et du peuple et donne les commandements pour vivre.
Les Prophètes ou Neviim sont divisés en deux parties de 4 livres chacune :
- les 4 »prophètes premiers » : Josué, Juges, 1 et 2 Samuel, 1 et 2 Rois
- les 4 »prophètes derniers » : Isaïe, Jérémie, Ézéchiel, les Douze ; les Douze regroupe les livres de Osée, Joël, Amos, Abdias, Jonas, Michée, Nahum, Habacuc, Sophonie, Aggée, Zacharie, Malachie.
Tous ces livres, les premiers plus historiques, les derniers rapportant des paroles prophétiques, nous font suivre les infidélités du peuple au cours de l’histoire et les efforts des prophètes pour restaurer l’alliance.
Les Écrits ou Ketouvim comprennent 11 livres.
Au début, les Psaumes, les Proverbes et le livre de Job.
Ensuite, 5 livres poétiques lus lors des fêtes d’Israël : Ruth, Cantique des Cantiques, Qohélet, Lamentations, Esther.
Enfin 3 livres divers : Daniel, Esdras + Néhémie, 1 et 2 Chroniques.
Ils invitent à méditer, de manière multiforme, la relation d’alliance inscrite au cœur de l’existence.
La tradition rabbinique a désigné cet ensemble de 24 livres par les initiales des trois recueils : TNK (prononcer Tanakh).
21-01-2008, du site:
http://www.zenit.org/article-17088?l=french
France : 220 000 avortements par an et toujours « tabou » ?
« Sexualité, contraception, avortement », campagne en Ile de France
ROME, Lundi 21 janvier 2008 (ZENIT.org) – « 220 000 avortements par an en France et toujours « tabou » ? », interroge « Gènéthique », la synthèse de presse de la Fondation Jérôme Lejeune.
France Info recevait, vendredi 18 janvier, Maïté Albagly, secrétaire générale du « Planning familial », le jour du lancement de la nouvelle campagne en Ile de France : « Sexualité, contraception, avortement : un droit, mon choix, notre liberté » (cf. Synthèse de presse du 15/01/08). Pour Ma
ïté Albagly, l’avortement et la sexualité demeurent « tabous ». Ces sujets sont, d’après elle, victimes d’une « désinformation » et restent difficiles d’accès ; bien qu’une femme sur deux soit, au cours de sa vie, concernée par l’avortement. Pour elle, le chiffre des 220 000 avortements pratiqués chaque année en France « n’est pas énorme », puisqu’il est un « droit » acquis. « Ce qui est énorme, ce sont les grossesses non désirées », poursuit-elle.
Maïté Albagly explique ensuite que les médecins ne veulent plus pratiquer d’avortements parce qu’il y a un manque de reconnaissance et de visibilité pour cette profession et parce que le forfait IVG n’a pas été revalorisé depuis 12 ans. Ce manque de praticiens contraint les femmes qui veulent avorter à se rendre en Hollande et en Espagne notamment. Elle ajoute qu’en Espagne l’avortement est, en ce moment, « diabolisé ».La campagne
« Sexualité, contraception, avortement : un droit, mon choix, notre liberté » a pour but de « rendre visible » ces pratiques et de « déculpabiliser » les femmes. Maïté Albagly dit préférer le terme « avortement » à celui d’ « interruption volontaire de grossesse » que l’on a, selon elle, employé pour adoucir une réalité qui n’est pas un meurtre.
Rappelons que cette campagne est financée par le conseil régional d’Ile de France à hauteur de 300 000 euros. Pour Francine Bavay, vice-présidente du conseil régional d’Ile de France, chargée des questions de santé et à l’origine de cette campagne, cette démarche part d’un constat « de nécessité et d’urgence » : 50 centres d’avortements auraient fermé entre 1999 et 2005 et les délais de prise en charge seraient de trois semaines en moyenne (la Haute Autorité de la santé (HAS) recommandant cinq jours).Au cours de son intervention, Ma
ïté Albagly a d’ailleurs invité les autres présidents des conseils régionaux à faire preuve du même « courage » pour initier une telle campagne.
Plusieurs associations se sont élevées contre cette campagne qui « vend l’avortement comme un voyagiste ferait une promo pour les vacances de ski ».
Pour écouter l’intervention de Maïté Albagly sur France Info, cliquez ici.
© genethique.org
Chaque article présenté dans Gènéthique est une synthèse des articles de bioéthique parus dans la presse et dont les sources sont indiquées. Les opinions exprimées ne sont pas toujours cautionnées par la rédaction.
Source : France Info 18/01/08 – www.rtl.fr
18/01/08 – Le Figaro 19/01/08
du site:
http://levangileauquotidien.org/
Pape Benoît XVI
Exhortation apostolique Sacramentum caritatis, 74 (trad. DC 2377, p. 333 © Libreria Editrice Vaticana)
« Le sabbat a été fait pour l’homme, et non pas l’homme pour le sabbat »
Il est particulièrement urgent à notre époque de rappeler que le dimanche, le Jour du Seigneur, est aussi le jour du repos par rapport au travail. Nous souhaitons vivement que cela soit reconnu comme tel par la société civile, de sorte qu’il soit possible d’être libre des activités du travail sans être pour autant pénalisé. En effet, les chrétiens, en relation avec la signification du sabbat dans la tradition juive, ont toujours vu également dans le Jour du Seigneur le jour du repos du labeur quotidien.
Cela a un sens précis, constituant une relativisation du travail, qui est ordonné à l’homme : le travail est pour l’homme et non l’homme pour le travail. Il est facile de comprendre la protection qui en découle pour l’homme lui-même, qui est ainsi émancipé d’une forme possible d’esclavage. Comme j’ai eu l’occasion de l’affirmer, « le travail est de première importance pour la réalisation de l’homme et pour le développement de la société, et c’est pourquoi il convient qu’il soit toujours organisé et accompli dans le plein respect de la dignité humaine et au service du bien commun. En même temps, il est indispensable que l’homme ne se laisse pas asservir par le travail, qu’il n’en fasse pas une idole, prétendant trouver en lui le sens ultime et définitif de la vie ». C’est dans le jour consacré à Dieu que l’homme comprend le sens de son existence ainsi que de son travail.