Archive pour le 15 janvier, 2008

15 janvier, 2008

 dans images sacrée

http://santiebeati.it/immagini/Original/20258/20258AC.JPG

Pape Benoît n’ira pas Jeudi à l’Université « La Sapienza » de Rome, je voudrais vous demander de prier pour cette page noire pour la démocratie en Italie et à Rome

15 janvier, 2008

Pape Benoît n’ira pas Jeudi à l’Université « La Sapienza » de Rome, je place seulement les Vêpres de ce soir, je voudrais vous demander de prier pour cette page noire pour la démocratie en Italie et à Rome 

Vêpres d’aujourd’hui 15.1.08 

Dieu, viens à mon aide,
Seigneur, à notre secours.

Gloire au Père, et au Fils et au Saint-Esprit,
au Dieu qui est, qui était et qui vient,
pour les siècles des siècles.
Amen Alleluja

Hymne   

Sans fin, Seigneur, Dieu notre Père,
Sans fin, Seigneur, nous te louerons :
La terre exulte d’allégresse ;
Béni sois-tu, Dieu des vivants !

L’oiseau reçoit sa nourriture,
La fleur se pare de beauté ;
Tu aimes toute créature,
Tu sais le prix de nos années.

Sans fin, ton Verbe en nos paroles,
Sans fin, Seigneur, te chantera ;
L’amour s’éveille en nos cœurs d’hommes
Au nom du Fils, ton bien-aimé.

Tu es, Seigneur, notre lumière,
Toi seul nous sauves de la mort ;
Ton Fils offert à tous les peuples
Est pour chacun le Pain vivant.

Heureux les hommes qui t’adorent,
Le monde ouvert à ton amour ;
L’Esprit déjà te nomme Père :
Un jour, Seigneur, nous te verrons. 

Antienne : Le Seigneur donne la victoire à son Messie. 

Psaume 19

 Que le Seigneur te réponde au jour de détresse,
que le nom du Dieu de Jacob te défende.
Du sanctuaire, qu’il t’envoie le secours 
qu’il te soutienne des hauteurs de Sion.

Qu’il se rappelle toutes tes offrandes ;
ton holocauste, qu’il le trouve savoureux. 

Qu’il te donne à la mesure de ton coeur,
qu’il accomplisse tous tes projets.

Nous acclamerons ta victoire
en arborant le nom de notre Dieu. *
Le Seigneur accomplira
toutes tes demandes.

Maintenant, je le sais :
le Seigneur donne la victoire à son messie ; 

du sanctuaire des cieux, il lui répond
par les exploits de sa main victorieuse.
Aux uns, les chars ; aux autres, les chevaux ;
à nous, le nom de notre Dieu : le Seigneur.
E
ux, ils plient et s’effondrent ;
nous, debout, nous résistons.

Seigneur, donne au roi la victoire !
Réponds-nous au jour de notre appel.

Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit,
pour les siècles des siècles. Amen 

Antienne : Dresse-toi, Seigneur, dans ta force : nous chanterons ta vaillance. 

Psaume 20

 Seigneur, le roi se réjouit de ta force ;
quelle allégresse lui donne ta victoire !
Tu as répondu au désir de son coeur,
tu n’as pas rejeté le souhait de ses lèvres.

Tu lui destines bénédictions et bienfaits,
tu mets sur sa tête une couronne d’or.
La vie qu’il t’a demandée, tu la lui donnes,
de longs jours, des années sans fin.

Par ta victoire, grandit son éclat :
tu le revêts de splendeur et de gloire.
Tu mets en lui ta bénédiction pour toujours :
ta présence l’emplit de joie !

Oui, le roi s’appuie sur le Seigneur :
la grâce du Très-Haut le rend inébranlable.
Dresse-toi, Seigneur, dans ta force :
nous fêterons, nous chanterons ta vaillance.

Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit,
pour les siècles des siècles. Amen 

Antienne : Gloire à l’Agneau immolé ! 


Cantique (Ap 4-5) 
Tu es digne, Seigneur notre Dieu, *
de recevoir
l’honneur, la gloire et la puissance.

C’est toi qui créas l’univers ; *
tu as voulu qu’il soit :
il fut créé.

Tu es digne, Christ et Seigneur, *
de prendre le Livre
et d’en ouvrir les sceaux.

Car tu fus immolé, +
rachetant pour Dieu, au prix de ton sang, *
des hommes de toute tribu,
langue, peuple et nation.
as fait de nous, pour notre Dieu,
un royaume et des prêtres, *
et nous régnerons sur la terre.

Il est digne, l’Agneau immolé, +
de recevoir puissance et richesse,
sagesse et force, *
honneur, gloire et louange. 

  

La Parole de Dieu : 1 Jn 3, 1a.2

 Voyez comme il est grand, l’amour dont le Père nous a comblés : il a voulu que nous soyons appelés enfants de Dieu, – et nous le sommes –. Bien-aimés, dès maintenant, nous sommes enfants de Dieu, mais ce que nous serons ne paraît pas encore clairement. Nous le savons : lorsque le Fils de Dieu paraîtra, nous serons semblables à lui parce que nous le verrons tel qu’il est. 

Bénis le Seigneur, ô mon âme,
Bénis son nom très saint, tout mon être.
 
Il te couronne d’amour et de tendresse.
 N’oublie aucun de ses bienfaits.
Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit. 

Antienne : Le Seigneur fit pour moi des merveilles : saint est son nom ! 


Le Cantique de Marie (Lc 1) 
Mon âme exalte le Seigneur,
exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur !

Il s’est penché sur son humble servante ;
désormais, tous les âges me diront bienheureuse.

Le Puissant fit pour moi des merveilles ;
Saint est son nom !

Son amour s’étend d’âge en âge
sur ceux qui le craignent;

Déployant la force de son bras,
il disperse les superbes.

Il renverse les puissants de leurs trônes,
il élève les humbles.

Il comble de biens les affamés,
renvoie les riches les mains vides.

Il relève Israël, son serviteur,
il se souvient de son amour,

de la promesse faite à nos pères,
en faveur d’Abraham et de sa race, à jamais.

Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit,
pour les siècles des siècles. Amen 

L’intercession 

Avec un cœur d’enfant, supplions Dieu, notre Père, et disons-lui : Père, fais-nous voir ton amour ! Père très bon, en ton Fils bien-aimé, nous sommes frères :
– accorde-nous de vivre ensemble et d’être unis.

Laisse venir à toi les enfants :
– ton Royaume est à ceux qui leur ressemblent.

Donne à ceux qui préparent l’avenir
– de bâtir un monde juste et fraternel.

Tu nous demandes d’aimer nos ennemis :
– convertis leur cœur et le nôtre.

Accueille tes enfants dans ta demeure éternelle :
– qu’ils voient la douceur de ta face. 

Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous soumets pas à la tentation, mais délivre-nous du Mal.

Oraison :

Dieu tout-puissant, qui nous as donné de vivre jusqu’à maintenant, vers toi nous levons les mains pour te rendre ce soir toute grâce reçue ; accepte notre offrande par le Christ notre Seigneur. Lui qui règne avec toi et le Saint-Esprit, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen. 

Que le Seigneur nous bénisse,
qu’il nous garde de tout mal,
et nous conduise à la vie éternelle.
Amen. 

bonne nuit

15 janvier, 2008

bonne nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc. hebe_silver_dollar1

Hebe ‘Silver Dollar’

http://www.ubcbotanicalgarden.org/potd/

« Es-tu venu pour nous perdre ? »

15 janvier, 2008

du site: 

http://levangileauquotidien.org/

Saint Jérôme (347-420), prêtre, traducteur de la Bible, docteur de l’Église
Commentaire sur l’évangile de Marc, 2 ; PLS 2, 125s (trad. DDB 1986, p. 47)

« Es-tu venu pour nous perdre ? »

« Il y avait dans leur synagogue un homme, tourmenté par un esprit mauvais ». Cet esprit ne pouvait pas supporter la présence du Seigneur ; il s’agissait de cet esprit impur qui avait conduit tous les hommes à l’idolâtrie… « Quelle entente entre le Christ et Satan ? » (2Co 6,15) ; le Christ et Satan ne pouvaient pas être associés l’un à l’autre. « Il cria en disant : ‘ Que nous veux-tu ? ‘ » Celui qui s’exclame ainsi est un individu qui s’exprime au nom de plusieurs personnes ; cela prouve qu’il a conscience d’avoir été vaincu, lui et les siens.

« Il cria en disant…: ‘ Que nous veux-tu, Jésus le Nazaréen ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais qui tu es : le Saint de Dieu ‘ ». En plein tourment et malgré l’intensité des souffrances qui le font crier, il n’a pas abandonné son hypocrisie. Il est contraint de dire la vérité, la souffrance le presse, mais la malice l’empêche de dire toute la vérité : « Que nous veux-tu, Jésus le Nazaréen ? » Pourquoi ne reconnais-tu pas le Fils de Dieu ? Est-ce le Nazaréen qui te torture, et non pas le Fils de Dieu ?…

Moïse n’était-il pas un saint de Dieu ? Et Isaïe et Jérémie n’ont-ils pas été des saints de Dieu ?… Pourquoi ne leur dis-tu pas : « Je sais qui tu es, saint de Dieu » ?… Ne dis pas « Saint de Dieu » mais « Dieu Saint ». Tu t’imagines que tu sais, mais tu ne sais pas ; ou si tu sais, tu te tais par duplicité. Car il n’est pas seulement le Saint de Dieu, mais Dieu Saint.