la « Befana » –
4 janvier, 2008le texte de la poesie de Giovanni Pascoli en italien est sur mon Blog « in camminoverso » a page:
http://incamminoverso.unblog.fr/2008/01/04/giovanni-pascoli-la-befana/
le texte de la poesie de Giovanni Pascoli en italien est sur mon Blog « in camminoverso » a page:
http://incamminoverso.unblog.fr/2008/01/04/giovanni-pascoli-la-befana/
cette poésie est une de le plus traditionnels italiens sur la Befana (l’Epiphanie), naturellement est écrite dans l’Italien de l’époque de Pascoli qui je comprends mais que, en bonne partie, ne pas plus utilisé, je essayé de la traduire, (il me sembla de faire presque un sacrilège!) resté très difficile, j’espère qu’il se comprenne, en français je ne l’ai pas trouvée, (j’espère que vous appréciiez la bonne volonté)
Poésie de Giovanni Pascoli (1885-1912)
« VIENE, VIENE LA BEFANA«
« VIENE, VIENE LA BEFANA«
Vient, vient la Befana
vien des monts à nuit creuse.
Comme il est fatigué ! Elle l’entoure
neige, gèle et tramontane.
vient, vient la Befana.
Il a les mains à la poitrine en croix,
et la neige est son manteau
et je gèle son panneau
et le vent sa voix.
Il a les mains à la poitrine en croix.
Et il s’accoste doucement, doucement,
à la villa[1], au casolare[2],
à regarder, à écouter
or plus prés or plus de loin.
Doucement, doucement,.
Qu’il y a dans cette villa ?
Un stropiccìo[3] léger.
Tout est calmes, tout est noir.
Une chandelle passe et grise.
Qu’il y a dans cette villa ?
Il regarde et regarde…
trois petits lits avec trois enfants à dodo bons.
il regarde et regarde… aux capitoni[4]
il y a trois bas longs et fins.
Oh ! trois bas et trois petit lit.
La chandelle grise et descend,
et ils craquent l’escalier ;
le chandelle grise et les salles,
et palpitant il les tend.
Qui jamais salles ? Qui jamais descend ?
Avec son dons maman a descendu, monte
avec son sourire.
La chandelle les brûle en visage
comme lampe d’église.
Avec son dons maman a descendu.
La Befana à la fenêtre il sent et voit,
et il s’éloigne.
Il passe avec la tramontane,
il passe pour la grand route,
il tremble chaque porte, chaque fenêtre.
Et qu’il y a dans le casolare ?
le soupire le long et faible.
Quelque lucciola[5] de feu
grise encor dans le foyer.
Mais qu’il y a dans le casolare ?
Il regarde et regarde..trois strapunti[6]
avec trois enfants à dodo, bons.
Entre les cendre et charbon
il y a trois sabots consunti[7].
Oh ! trois chaussures et trois strapunti…
Et la maman veille et file
en soupirant et en sanglotant,
et regarde à lorsque à quand
oh ! ces trois sabots dans file…
Il veille et pleure, pleure et file.
La Befana voit et sent ;
il fuit au monte, qu’elle est l’aurore.
Cette maman pleure encore
sur ces enfants sans rien.
La Befana voit et sent.
La Befana est sur le monte. Ce qui voit est ce qu’il vit :
il y a qui y pleure et est qui rit ;
elle a nuageux au front,
pendant qu’il est sur le blanc monte.
[1] Une grande maison de campagne
[2] Maison de paysan
[3] bruit de pieds, frotter
[4] le « capitone » est une anguille cuisinée qu’on se mange à Noël pour tradition, je ne suis pas sûre que le sens donné par Giovanni Pascoli soit celui-ci, il est possible que dans l’italien de l’époque le sens de la mot désigne aussi en autre chose
[5] (lampyris noctiluca)
[6] matelas minces
[7] usé
En Italie, c’est une vieille femme un peu grincheuse qui porte les cadeaux de Noël. On la nomme la Befana. Son nom vient du mot Épiphanie, en italien, Epiphania. Autrefois, un bambino (petit enfant) aurait déformé son nom pour en faire Befana. Tout comme l’origine de son nom l’indique, ce n’est pas à Noël qu’elle se glisse dans les maisons mais durant la nuit du 6 janvier. Elle dépose alors dans les souliers des enfants sages et endormis des gâteaux, des biscuits et des jouets. Les souliers des enfants moins sages… sont remplis de charbon.
La légende veut que la Befana aie été avertie de la naissance de Jésus par les rois mages. Ceux-ci l’invitèrent à les accompagner et à suivre l’Étoile pour rencontrer l’Enfant Roi. Ayant tardé à se mettre en route, Befana a perdu la trace de l’Étoile. Depuis ce temps, à cheval sur son balai, portant un grand panier rempli de gâteries, elle vole de maison en maison dans l’espoir de trouver le petit Jésus. Par précaution, elle laisse un cadeau à chaque enfant endormi. On ne sait jamais ! Si c’était lui…
Les Befaninis
En Italie, pour l’Épiphanie, on confectionne de jolis biscuits en l’honneur de Befana. On les affecueusement surnommés les « Befaninis ». Voici la recette, ajoutes-y des brisures de chocolat ou encore des raisons secs pour les personnaliser à ton goût.
Ingrédients
3 tasses de farine
1 tasse de sucre
1/4 d tasse de beurre ou de saindoux
2 oeufs
3 cuillères à thé de poudre à pâte
1 pincée de sel
Préparation
Battre les oeufs et ajouter le beurre ou le saindoux préalablement fondu.
Dans un grand bol, mélanger la farine, le sucre, la poudre à pâte et le sel. Y verser lentement le mélange d’oeufs et de gras en brassant continuellement.
Pétrir la pâte pendant 5 minutes.
Applatir, avec un rouleau bien enfariné, la pâte sur une grande planche et découper en petits rectangles ou selon la forme désirée.
Déposer les biscuits sur une plaque beurrée et cuire 10 à 12 minutes dans un four préalablement chauffé à 400oF ou ? oC.
(traduction) du site:
http://www.asianews.it/index.php?l=it&art=11166&geo=5&size=A
04/01/2008 15:11
VATICANO
le Pape visite la Maison « Don de Marie », des sœurs de Mère Teresa.
Ouverte presque il y à 20 ans, voisine à sa vieille place de travail en Vatican, la Maison a été voulue de Jean Paul II et de Bienheureux Teresa de Calcutta. L’invitation à les missionnaires et aux missionnaires de la Charité à se faire des porteurs dans le monde du « sourire de Dieu ». Città del Vaticano (AsiaNews) –
Benoît XVI a choisi la Maison des Sœurs de Mère Teresa, appuie au Vatican, comme d’abord visite de l’2008. occasion est salue à la Supérieure mère sortante, Sr Mark et au nouvelle Sr Agnes-Marie, mais plus en profondeur il est « à rénover la… gratitude aux sœurs, aux volontaires et aux divers collaborateurs » et manifester sa « proximité spirituelle » à pauvres et sens abri, à hommes et à femmes « que dans cette maison vous trouvez affectueux accueil, écoute, compréhension et un quotidien soutien soit matériel que spirituel ». La Casa « Don de Marie » a été inaugurée dans les 88 de Jean Paul II et de Bienheureux Teresa de Calcutta et est enchâssée dans un angle du palais de l’ex Sant’ Uffizio, où il a travaillé pour beaucoup d’ans comme Préfet le alors Card. Ratzinger. La Maison offre à nourriture quotidienne à des centaines de pauvres hommes et femmes, hospitalité pour la nuit environ à 70 femmes et soins médicaux pour les femmes, avec une infirmerie. En se référant au nom de la Maison, « Don de Marie », voulu de Mère Teresa, Benoît XVI a commenté : « Pour n’importe qui il vienne à frapper à la porte, est… un don de Marie se sentir accueilli des bras affectueux des Sœurs et des volontaires. Elle est encore un don de Marie la présence de quel il s’arrête à écouter les personnes en difficulté et à lui servir avec celle-là même aptitude qui poussa prestement la Mère des Seigneur vers Saint Elisabeth. Que ce style amour d’évangélique réaffirme et marque toujours votre vocation parce que, outre l’aide matérielle, vous puissiez communiquer à quel quotidiennement rencontrées celle-là même passion pour Christ et ce lumineux ` sourire de Dieu qui ont animé l’existence de Mère Teresa « . Le pape du « Deus Caritas est » a ensuite ajouté : « Il aimait dire Mère Teresa : il est Noël chaque tourne que nous permettons à Jésus d’amères autres à travers de nous. Les Noël est mystère de amour, le mystère des Amour. Le temps de Noël, en représentant à notre contemplation la naissance de Jésus à Bethleem, il nous montre l’infinie bonté de Dieu qui, en se faisant Enfant, a voulu venir rencontre à la pauvreté et aux solitude des hommes ; il a accepté de habiter entre nous en partageant nos quotidiennes difficultés ; il n’a pas hésité à nous porter ensemble le poids de l’existence, avec ses fatigues et ses préoccupations. Il est né pour nous, pour rester avec nous et offrir à n’importe qui lui ouvre la porte de son cœur le don de sa joie, de sa paix, de le sien amoure. En naissant dans une grotte, parce qu’il n’y était pas posé pour Lui ailleurs, Jésus a connu les malaises que beaucoup entre vous expérimentent. La Noël nous aide à comprendre que Dieu ne nous abandonne jamais et toujours y vient rencontre, nous protège et se préoccupe de chaque de nous, parce que chaque personne, surtout la plus petite et sans défense, est précieuse à ses yeux de Père riche de tendresse et miséricorde. pour nous et pour notre salut. Il-y-a envoyé dans le monde son Fils, que dans le mystère des Noël nous contemplons comme les Emanuel, Dieu-avec-nous. Avec ces sentiments je vous rénove à tous mes plus fervents souhaits pour le nouvel an à peine débuté en vous assurant mon quotidien souvenir dans la prière. Et pendant qu’invoque la maternelle protection de Marie, de Mère de Christ et la nôtre, et à tout je donne avec affection ma Bénédiction « . Après avoir visité la réfectoire pour les hommes, le Pape a visité quelques malades dans l’infirmerie et donc il a rencontré dans une église voisine les Missionnaires (femme et homme) de la Charité et leurs collaborateurs laïques. Après avoir reçu il salue écrit de Sr Nirmala Joshi, Supérieur Générale des ordre, le Pape les a encouragées à être comme les Mages qui « venus lointain pour adorer le roi- Messie », revinrent à leurs terres lointaines. « Allées même vous – il a conclu les pontifie – chers frères et sœurs, pour les routes du monde, en suivant l’exemple de Mère Teresa, en témoignant toujours avec joie l’amour de Jésus, spécialement vers les derniers et pauvres, et du Ciel la bienheureuse vos Fondatrice vous accompagnes et protégea ».
du site:
http://levangileauquotidien.org/
Saint Jean Chrysostome (vers 345-407), évêque d’Antioche puis de Constantinople, docteur de l’Église
Homélies sur St Jean, n° 19
« Jésus posa son regard sur lui et dit : ‘ Tu t’appelleras Képha ’ (ce qui veut dire : Pierre) »
« Tu es Simon, fils de Jean ; tu t’appelleras désormais Céphas, c’est-à-dire Pierre »… Voilà le nom que le Christ donne à Simon. Quant à Jacques et son frère, il les appellera « Fils du tonnerre » (Mc 3,17). Pourquoi ces changements de nom ? Pour montrer que lui, Jésus, est le même que celui qui avait établi l’ancienne alliance, qui avait déjà changé le nom d’Abram en Abraham, celui de Saraï en Sara, et celui de Jacob en Israël (Gn 17,5s;32,29). Il avait aussi donné leur nom à plusieurs personnes au moment de leur naissance : Isaac, Samson, les enfants d’Isaïe et d’Osée…
Aujourd’hui, nous avons un nom bien supérieur à tous les autres ; c’est le nom de « chrétien » — le nom qui fait de nous enfants de Dieu, amis de Dieu, un même corps avec lui. Y a-t-il un autre nom qui pourrait plus nous rendre ardents dans les vertus, nous remplir de zèle, nous pousser à faire le bien ? Gardons-nous bien de faire quoi que ce soit d’indigne de ce nom si grand et si beau, lié au nom de Jésus Christ lui-même. Ceux qui portent le nom d’un grand chef militaire ou d’un personnage illustre se considèrent honorés et font tout pour en rester dignes. Combien plus, nous qui tirons notre nom non d’un général ou d’un prince de cette terre, ni même d’un ange, mais du roi des anges, combien plus devons-nous être prêts à tout perdre, même notre vie, pour l’honneur de ce saint nom ?