Archive pour le 9 décembre, 2007

un crèche italienne – photo d’un autre Blog

9 décembre, 2007

un crèche italienne - photo d'un autre Blog dans Noël 2007 - Epiphanie 2008 imgp0438_3

presepe di Nonno Tavor

http://nonnotavor.blog.kataweb.it/il_mio_weblog/2006/11/

Le crèche à Rome et « à ma maison »

9 décembre, 2007

je écrit ce pièce, mais elle est une traduction difficile, j’espère qu’il se comprenne

 

 

Le crèche à Rome et « à ma maison »

le crèche à Rome est une tradition qui continue malgré qu’elles sont entrées les traditions du Nord Europe et de le USA, c’est-à-dire, surtout l’arbre de Noel, de Papa Noel par contre, tout au moins à Rome, est seulement une personne qu’on vêt de Papa Noel pour faire affluer les gens en magasins places ou autres lieux de je retrouve, c’est-à-dire il n’est pas entré vraiment dans le temps de Noel comme par contre l’arbre ;

Le crèche à Rome – nous avons sous les yeux celui napolitain riche de personnages, même petites images de personnes vivantes ou aimées, pour exemple Giovanni Paolo II – à Rome non, se fait un crèche que soit comme le récit de l’Évangile : une cabane, Maria et Giuseppe, l’âne et le bœufs, les anges les bergers, les moutons, (quelque cave ou le magasin de style ’800 avec les vins ou autres nourritures en vente, mais pas beaucoup) et, naturellement les Rois Mage qui se mettent , a Noel peu de lointains da la grotte et s’approchent sous l’épiphanie ;

il se construit, dans genre, ou une grotte ou une maisonnette ouverte devant en bois, une fenestrelle derrière ou de flanc, une lumière du type des lampe à huile anciennes ou médiéval ;

quelqu’un de bonne volonté construit des outils de menuisier, une cave sous réserve de divers objets, c’est-à-dire ce qui peut y avoir dans une maison pauvre « et ancienne » ; celle-ci est la crèche plus classique, ensuite il y a ceux qui réalisent le crèche en plaçant la Sacrée Famille dans un angle de la ville de Rome, surtout entre les anciens vestige de la ville, dans quelques angles plus beaux et adaptes, ceux-ci sont les crèches, nous disons ainsi d’auteur et elle est à Rome une organisation qui suivent ces crèches plus élaborées et y récompense plus beau; mon oncle, qui est mort, faisaient un de ces crèches, en plaçant les personnages dans une ou dans une autre place de Rome, on peut se faire même dans une Place de Rome ;

il y elles ont même des déesses des crèches construites – de quel il le sait faire et connaît les traditions – dans une maison juive ancienne avec les symboles juif, ce en est fait beaucoup bien dans une église près à Place Navona, un de ces jours je fais quelque photographie ;

à moi, personnellement, même si beaux esthétiquement, ces crèches pas plaise pas beaucoup parce que elles ne avait plus, pour moi, le sens évangélique, sont belles à voir, mais tu n’y vas pas prier devant comme par contre on fait pour les autres où il y a seulement les personnages de l’Évangile de Luc;

ce matin je suis allée à messe à San Giovanni en Laterano, ont déjà fait crèche, est beau, grand comme un angle d’une chapelle – qu’à San Giovanni sont grand – pas très haut, avec les personnages essentiels que j’ai cité d’abord et ajoutée comme d’un angle où des personnes ils sont à une table, tonneaux de vin; un de ces jours je fais quelque photographie et je vous la fais voir ;

lorsque j’étais petit (et jeune) faisais le crèche comme beaucoup des personnes, comme il plaît al le familles, papier qui ressemblent alla roche pour une grotte, ciel de papier lucide bleue avec les étoiles (trop pour être réel, peut-être al temps de Jésus il le voyais, à Rome avec les lumières de la ville ne se vois pas plus les étoiles si pas les plus grandes), on nous puis mettre même autres animaux, mais ceux de cour comme les poules, mais surtout tant de moutons, les bergers dans diverses positions, avec delle des lumières en main, femmes avec des brocs d’eau, une réalité comme d’un pays d’autres temps que une tourne, étais petite fis une grotte, avec le papier roche, toute avec des stalactites et des stalagmite, me semblait très beau, ensuite arriva un adulte, un de ceux qui n’aiment pas les enfants présume, et il me méprisa, de moi me rappellerai toujours ;

maintenant nous faisons à un crèche seulement avec Marie, Giuseppe, les enfant Jésus, le bœuf et l’âne, les personnages, les petites personnages du crèche sont plus plutôt belles n’ont pas besoin d’autre, on met de la étoffe coloriée du sable comme plancher et quelque chose qui se rappelle une tende, et un fond céleste ou bleu, mais, peut-être, cet année nous faisons la grotte avec le papier comme on faisait autrefois ;

l’hommage de le Pape hier à la statue de l’Immaculée en Place d’Espagne

9 décembre, 2007

du site italien du « Radio Vaticana » traduction (mienne Embarasse):

http://www.radiovaticana.org/it1/Articolo.asp?c=172683

 

L’invitation de Marie à construire ensemble un monde plus juste et pacifique au centre de l’hommage de le Pape hier à la statue de l’Immaculée en Place d’Espagne

 

Dans la solennité de l’Immaculée Conception de la Vierge Marie, Benoît XVI s’est apportée hier, dans l’après-midi, en la Place d’Espagne pour le traditionnel acte de vénération à la Madonna. Le long de la parcours, le Pape s’est arrêtée brièvement devant l’Église de très sainte Trinité, dans la rue de « Via Condotti », pour l’hommage de l’Association des Commerçants de la zone. Le service d’Isabella Piro :

(le chante ` Ave Maria)

Il ne les a pas préoccupés le ciel nuageux et menaçant de pluie : il n’a pas arrêté les plusieurs fidèles aperçus en Place d’Espagne pour vénérer la Madonna. Pressée à l’invraisemblable le long perron de Trinité des Monts, crue de pèperins jusqu’à l’achève marche. À tous, un par un, elles sont des commissions les mots de le Pape, qui a défini « un rendez-vous traditionnel » l’hommage floral d’un corbeille de roses blanches à la Vierge de Place d’Espagne : « Cette manifestation religieuse est au même temps une occasion pour offrir à quel à Rome ils vivent ou ils y passent quelques jours comme pèlerins et touristes, l’opportunité de se sentir, aussi dans la diversité des cultures, une unique famille qui se ramasse autour à une Mère qui a partagé les quotidiennes fatigues de chaque femme et à une maman de famille. Une mère cependant entièrement singulière, élu de Dieu pour une mission unique et mystérieuse, cette d’enfanter à la vie terrestre le Verbe eternel du Père, venu dans le monde pour le salut de tous les hommes « . Une foi intrépide, une espoir incollable et un amoure humble et infinie – il a ajouté Benoît XVI – ont accompagné Marie dans son pèlerinage terrain. À elle, « notre Mère », nous devons donc tourner notre regard, en cherchant de faire trésor de chaque son maternel enseignement : « Notre céleste Mère ne nous invite pas peut-être à fuir le mal et à accomplir bien en suivant docilement la loi divine inscrite dans le cœur de chaque homme, de chaque chrétien ? Elle, qu’elle a conservé l’espoir aussi dans somme de l’épreuve, ne nous demande pas peut-être de ne pas nous perdre d’esprit quand la souffrance et les mortes frappent à la porte de nos maisons ? Ne nous demande-il pas de regarder confiants à nos futur ? Il ne nous exhorte pas la Vierge Immaculée à être des frères les uns des autres, de tous unis de l’engagement de construire ensemble un monde plus juste, solidaire et de pacifique? » Elle est Marie « pleine de grâce » – il a poursuivi le Saint Père – à nous rappeler que nous sommes tous frères et que Dieu est notre Créateur et notre Père : « Sans d’Lui, ou, même pire, contre Lui, nous hommes ne pourrons jamais trouver la route qui mène à l’amoure, nous ne pourrons jamais vaincre le pouvoir de la haine et de la violence, nous ne pourrons jamais construire une stable paix ». En citant ensuite sa deuxième Encyclique, ` Spe Salvi’, publiée au debout de l’Avent, le Pape a invoqué Marie comme « étoile de l’espoir » : « Elle, avec son « oui », avec la offerte généreuse de la liberté reçue du Créateur, a permis à l’espoir des millénaires de devenir réalité, d’entrer dans ce monde et dans son histoire. Pour moyen son Dieu s’est fait chair, a devenu un de nous, a planté le sien tende au milieu de nous « . Au terme de l’acte de vénération, pendant qu’un tiède rayon de seule il chauffait la Place, Benoît XVI s’est tourné aux pèlerins rassemblés dans les sanctuaires de Marie de Lourdes et de Fourvière, en occasion de l’An jubilaire pour le 150° anniversaire des apparitions de Heureux Vierge à Saint Bernadette. « Ils puissent les sanctuaires – il a dit le Pape – dont développer leur vocation à la prière et à l’accueil ils veulent, en particulier avec le sacrement de le pardonne, retrouver le chemin de Dieu ».

(le chante: Ave Maria)

 

Prière de Benoît XVI pour la solennité de l’Immaculée Conception

9 décembre, 2007

du site: 

http://www.inxl6.org/article3365.php

Prière de Benoît XVI pour la solennité de l’Immaculée Conception

Voici le texte intégral de la prière que le pape Benoît XVI a prononcée lors du traditionnel hommage à la Vierge, place d’Espagne, le 8 décembre 2006, à l’occasion de la solennité de l’Immaculée Conception.

Benoît XVI
08/12/2007

O Marie, Vierge Immaculée,

Cette année encore nous nous retrouvons, avec un amour filial, au pied de ta statue, pour te renouveler l’hommage de la communauté chrétienne et de la ville de Rome. Nous nous recueillons ici, en poursuivant la tradition inaugurée par les papes précédents, en ce jour solennel où la liturgie célèbre ton Immaculée Conception, mystère qui est source de joie et d’espérance pour tous les rachetés. Nous te saluons et t’invoquons avec les paroles de l’Ange : « Comblée de grâce » (Lc 1, 28), le plus beau nom, par lequel Dieu lui-même t’a appelée depuis toute éternité.

Marie, tu es « comblée de grâce », comblée de l’amour divin depuis le premier instant de ton existence, providentiellement prédestinée à être la Mère du Rédempteur, et intimement associée à Lui dans le mystère du salut. Dans ton Immaculée Conception resplendit la vocation des disciples du Christ, appelés à devenir, avec sa grâce, saints et immaculés dans l’amour (cf. Ep 1, 4). En toi brille la dignité de tout être humain, qui est toujours précieux aux yeux du Créateur. Celui qui tourne son regard vers toi, O Mère Très Sainte, ne perd pas la sérénité, quelle que soit la difficulté des épreuves de la vie. Même si l’expérience du péché, qui défigure la dignité de fils de Dieu, est triste, celui qui a recours à toi redécouvre la beauté de la vérité et de l’amour, et retrouve le chemin qui conduit à la maison du Père.

Marie, tu es « comblée de grâce », toi qui en accueillant les projets du Créateur par ton « oui », nous as ouvert la voie du salut. A ton école, apprends-nous à prononcer nous aussi notre « oui » à la volonté du Seigneur. Un « oui » qui s’unit à ton « oui » sans réserve et sans ombre, dont le Père céleste a voulu avoir besoin pour engendrer l’Homme nouveau, le Christ, unique Sauveur du monde et de l’histoire. Donne-nous le courage de dire « non » aux pièges du pouvoir, de l’argent, du plaisir ; aux gains malhonnêtes, à la corruption, à l’hypocrisie, à l’égoïsme et à la violence. « Non » au Malin, prince trompeur de ce monde. « Oui » au Christ, qui détruit la puissance du mal par la toute puissance de l’amour. Nous savons que seuls des cœurs convertis à l’Amour, qui est Dieu, peuvent construire un avenir meilleur pour tous.

Marie, tu es « comblée de grâce ».Ton nom est pour toutes les générations un gage d’espérance sûre. Oui ! Parce que, comme l’écrit le grand poète Dante, pour nous mortels Tu « es la vraie fontaine d’espérance » (Par., XXXIII, 12). Pèlerins confiants, nous venons encore une fois puiser la foi et le réconfort, la joie et l’amour, la sécurité et la paix, à cette source, la source de ton Cœur immaculé. Vierge « comblée de grâce », montre-toi comme une Mère tendre et douce pour les habitants de cette ville qui est la tienne, afin que les comportements soient animés et orientés par un authentique esprit évangélique ; montre-toi comme une Mère et une gardienne vigilante pour l’Italie et l’Europe, afin que les peuples sachent puiser une nouvelle sève pour construire leur présent et leur avenir aux antiques racines chrétiennes ; montre-toi comme une Mère prévoyante et miséricordieuse pour le monde entier, afin que, dans le respect de la dignité humaine et le rejet de toute forme de violence et d’exploitation, soient fixées des bases solides pour la civilisation de l’amour. Montre-toi comme une Mère spécialement pour ceux qui en ont le plus besoin : les sans défense, les personnes marginalisées et les exclus, les victimes d’une société qui trop souvent sacrifie l’homme au profit d’autres buts et intérêts.

Montre-toi comme une Mère pour tous, O Marie, et donne-nous le Christ, l’espérance du monde ! « Monstra Te esse Matrem, O Vierge Immaculée, comblée de grâce ! Amen !
Traduction réalisée par Zenit

bonne nuit

9 décembre, 2007

bonne nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc. white-lamb-on-central-snark

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http://centralsnark.wordpress.com/2007/05/

« Préparez le chemin du Seigneur, aplanissez sa route

9 décembre, 2007

Saint Grégoire le Grand (vers 540-604), pape, docteur de l’Église
Homélies sur l’Evangile, n° 20 (trad. Solesmes, Lectionnaire, t.1, p. 157 et Barroux)

« Préparez le chemin du Seigneur, aplanissez sa route »

Pour tout lecteur il est évident que Jean non seulement a prêché, mais a conféré un baptême de pénitence. Cependant il n’a pas pu donner un baptême qui remet les péchés, car la rémission des péchés nous est accordée seulement dans le baptême du Christ. C’est pourquoi l’évangéliste dit qu’il « prêchait un baptême de pénitence en vue de la rémission des péchés » (Lc 3,3) ; ne pouvant pas donner lui-même le baptême qui pardonnerait les péchés, il annonçait celui à venir. De même que la parole de sa prédication était l’avant-coureur de la Parole du Père faite chair, ainsi son baptême…précédait celui du Seigneur, ombre de la vérité (Col 2,17).

Ce même Jean, interrogé sur ce qu’il était, a répondu : « Moi, je suis la voix de celui qui crie dans le désert » (Jn 1,23;Is 40,3). Le prophète Isaïe l’avait appelé « voix » car il précédait la Parole. Ce qu’il criait, la suite nous l’apprend : « Préparez les chemins du Seigneur, rendez droits ses sentiers ». Celui qui prêche la foi droite et les bonnes oeuvres, que fait-il sinon préparer la route dans les coeurs des auditeurs pour le Seigneur qui vient ? Ainsi la grâce toute-puissante pourra pénétrer dans ces coeurs, la lumière de la vérité les illuminer…

Saint Luc ajoute : « Toute vallée sera comblée, toute montagne et toute colline seront abaissées ». Que désigne ici les vallées, sinon les humbles, et les monts et collines, sinon les orgueilleux ? À la venue du Rédempteur…, selon sa propre parole, « qui s’élève sera humilié et qui s’abaisse sera élevé » (Lc 14,11)… Par leur foi au médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus Christ fait homme (1 Tm 2,5), ceux qui croient en lui ont reçu la plénitude de la grâce, alors que ceux qui refusent de croire ont été abaissés dans leur orgueil. Toute vallée sera comblée car les coeurs humbles, accueillant la parole de la sainte doctrine, seront remplis de la grâce des vertus, selon ce qui est écrit : « Il a fait jaillir des sources au creux des vallées » (Ps 104,10).