Archive pour le 3 décembre, 2007

ange

3 décembre, 2007

ange dans images sacrée rev31609(1)-ori

Messaggeri della Luce. Angeli nell’icona russa

http://www.exibart.com/profilo/eventiV2.asp/idelemento/31609

LETTRE PASTORALE DE SAINT CHARLES BORROMÉE : LE SENS DE L’AVENT

3 décembre, 2007

du mon livre de la Liturgie des Heures:

 

LETTRE PASTORALE DE SAINT CHARLES BORROMÉE

Le sens de l’Avent.

Voici, mes bien-aimés, ce temps célébré avec tant de ferveur, et, comme dit l’Esprit Saint, temps de la faveur divine, période de salut, de paix et de réconciliation temps jadis désiré très ardemment par les voeux et les aspirations instantes des anciens prophètes et patriarches, et qui a été vu enfin par le juste Siméon avec une joie débordante! Puisqu’il a toujours été célébré par l’Église avec tant de ferveur, nous-mêmes devons aussi le passer religieusement dans les louanges et les actions de grâce adressées au Père éternel pour la miséricorde qu’il a manifestée dans ce mystère.

Oui, par cet avènement de son Fils unique, en vertu de son immense amour pour nous, pécheurs, il l’a envoyé alors pour nous délivrer de la tyrannie et de l’empire du démon, nous inviter à aller au ciel, nous faire pénétrer dans les mystères célestes, nous montrer la Vérité en personne, nous former à la pureté des moeurs, nous donner les germes des vertus, nous enrichir des trésors de sa grâce et enfin nous adopter pour ses fils et pour héritiers de la vie éternelle.

Du fait que ce mystère est revécu chaque année par l’Église, nous sommes exhortés à rappeler sans cesse le souvenir de tant d’amour envers nous. Cela nous enseigne aussi que l’avènement du Christ n’a pas profité seulement à ceux qui vivaient à l’époque du Sauveur, mais que sa vertu devait être communiquée aussi à nous tous; du moins si nous voulons, par le moyen de la foi et des sacrements, accueillir la grâce qu’il nous a méritée et diriger notre vie selon cette grâce en lui obéissant.

L’Église nous demande encore de comprendre ceci: de même qu’il est venu au monde une seule fois en s’incarnant, de même, si nous enlevons tout obstacle de notre part, il est prêt à venir à nous de nouveau, à toute heure et à tout instant, pour habiter spirituellement dans nos coeurs avec l’abondance de ses grâces.

Aussi l’Église, comme une mère très affectueuse et très préoccupée de notre salut, à l’occasion de ce temps, nous enseigne, par des hymnes, des cantiques, et par toutes les paroles et les rites que lui a inspirés le Saint-Esprit, comment accueillir avec gratitude un si grand bienfait et comment nous enrichir de ses fruits. Ainsi notre âme se disposera à l’avènement du Christ avec autant de soin que s’il devait encore venir au monde, et de la manière même dont les pères de l’Ancien Testament, par leurs paroles comme par leurs exemples, nous ont appris à les imiter.

Fête de ‘Hanouka : La fête du miracle des lumières

3 décembre, 2007

du site:

http://www.modia.org/infos/etudes/hanouka.html#essentielles

 

Fête de ‘Hanouka
La fête du miracle des lumières

Allumages des lumières: à partir du 4 décembre au soir jusqu’au 11 au soir
(fin de Hanouka le 12 au soir)

Avant d’entrer dans la manière de réaliser la fête, il faut en comprendre le motif de sa création. Ce n’est pas seulement l’inauguration du Temple. La tradition veut nous faire fêter la victoire de la lumière sur les ténèbres. Quels ténèbres ? Quelle victoire ? Cela nous est donné pour notre instruction.

L’enjeu
L’
épisode historique est raconté
dans le Livre des « Macabis ».
Ce n’est pas seulement une victoire sur l’ennemi militaire, ou contre les pers
écuteurs religieux. C’est une victoire sur la domination culturelle
.
Antiochus Ephiphane voulait
étendre le pouvoir grec par l’intermédiaire de l’adhésion à la culture grecque. Seuls les juifs ont refusé
.
Il faut bien comprendre ce ph
énomène quadruple : la domination, la rébellion, la victoire, la lumière.

Le besoin de conquête universelle.
Ce besoin prend de nombreuses formes diff
érentes qui se veulent toutes séductrices, pour aboutir à

  • une domination,

  • une uniformisation,

  • sous prétexte du bien commun,

  • avec l’adhésion des élites culturelles et philosophiques ou religieuses,

  • pour la domination politique et économique d’une minorité sur l’ensemble.

    Prenons les exemples dans notre g

énération ou notre siècle à travers les concepts utilisés qui ont semblé à chaque fois le bien absolu :

1. il y a eu la conjonction de l’Eglise catholique « universelle » s’alliant aux Etats européens divers pour la conquête coloniale « universelle », expositions universelles à l’appui, missionnarisme, concept « d’empires ». 2. il y a eu le communisme, qui voulait une uniformisation « internationale » de « l’humanit

é » selon un bien unique défini.

3. il y a la philosophie universelle des droits de l’homme qui est, en fait, refusée maintenant par la majeure partie des continents car ils y voient un avatar subtil de la colonisation des idéologies européennes et occidentales, un autre combat d’une culture sur les autres avec sa seule musique, sa philosophie, sa conception politique de l’état, etc. 4. il y a la conqu

ête impérialiste américaine qui prétend libèrer les peuples par la culture du coca-cola, mac donald, dollar, de la langue, musique et TV particulières, pour étendre à travers cela un empire économique.

Le problème n’est pas seulement une influence politique, c’est une domination, elle est totalitaire, elle ment sur le bien, elle supprime, c’est une idolâtrie à forme changeante qui veut supprimer les valeurs d’autrui et les valeurs juives en particulier. En effet, le judaïsme est ce qui caractérise un peuple particulier, mais il enseigne aussi les valeurs de base pour tout homme. Une contestation venant du judaïsme est ressentie par tout pouvoir comme une constestation de sa volonté de domination sur tous. Et, pour aggraver leur position, les Juifs sont indomptables.

Les faits
A cette
époque (an 165 environ avant le compte actuel), les Juifs plus lucides et minoritaires sont partis en lutte pour défendre leur spécificité à la fois religieuse, culturelle, territoriale et politique face à ce que nous appellerions aujourd’hui : hégémonie, supré
matie, domination, leadership, culture dominante, etc.
Pour unifier ces peuples sous sa coupe, le pouvoir greco-syrien interdit alors explicitement la sp
écificité religieuse juive qui est le facteur de cohérence de notre peuple. Aujourd’hui encore, une pression culturelle énorme s’exerce sur le peuple juif (de l’extérieur et de l’intérieur) pour lui faire admettre de prendre la solution de tous ses problèmes de survie uniquement dans les critères idéologiques de la nation dominante actuelle, dans ses repères et intérêts, en son lieu, sous son autorité et dans le cadre de sa stratégie hégé
monique.

Alors, comme souvent, les Juifs étaient divisés et querelleurs. Cependant la famille des ‘Hachmonayim pris la cause en main, sous la direction du Grand prêtre, le Cohén Gadol Matatias puis de Yéhouda. Ils organisèrent la poursuite de la vie religieuse et de l’enseignement (tous les rouleaux de la Torah avaient été détruits, la circoncision interdite, etc.), puis commença une guerre de guérilla pour la libération. Sur leur étendard, ils avaient choisi le sigle de ralliement « Makabi », lettres initiales de Mi Kamokha Baélim Ihachém (« Qui est comme Toi parmi les dieux, Hachém ?). C’était tout le programme dont nous avons parlé ci-dessus.
Ils r
éussirent à libérer le territoire, grâce à leur programme et à Qui le meut.

Le miracle
Quand ils voulurent alors purifier le Temple, foyer de toute la vie du peuple, et y reprendre la vie, ils ne trouv
èrent qu’une minuscule fiole d’huile répondant aux critères de pureté nécessaire ; or, il fallait 8 jours pour distiller l’huile très pure nécessaire au luminaire du Temple. Le Traité Chabbate 21 b nous raconte le miracle : cette petite fiole fut suffisante pour éclairer pendant les huit jours.

Méditation
- le juda
ïsme nous propose de nous améliorer, parfois en 1 ou 2 jours comme au début du mois en Roche ‘Hoddéche; parfois en 49 jours, après Pessa’h et pendant le Ômér. Ici, cela se produit en l’espace de 8 jours pour évoluer lentement mais sûrement jusqu’à la manifestation ré
ussie.
- l’homme a re
çu le pouvoir d’allumer la lumière par son geste de réalisation (non par ses théories). Bien en ê
tre conscient pendant l’allumage.
- nous sommes proches de Celui qui est La lumi
ère. Il peut nous la donner si vous voulons bien appliquer avec précision Sa Torah dans la réalité personnelle, familiale et dans la réalité
collective.
-
à ‘Hanouka, c’est la réalité elle-même d’en-bas qui devient lumière, tandis qu’au Chabbate, c’est la réalité d’En-haut qui nous imprè
gne.
-
à ‘Hanouka, la progression de l’amélioration est très lente et progressive, sur 8 jours. Le judaï
sme n’est pas une loterie ni une magie.
- le miracle se fait de nuit ; c’est face
à la nuit que nous affirmons bien haut que nous connaissons de Qui vient la lumière. Et c’est seulement dans l’expérience de la nuit sur tous les plans, que nous recevons du Ciel le pouvoir de créer la lumiè
re de la Torah dans le monde.
- le miracle concerne le ba
ït, la maison par excellence qu’est le Temple. Et chaque maison est l’image de ce Temple. Aussi l’allumage de la ‘hanoukia doit se faire dans sa propre maison, c’est la mitsva, non pas en fête collective sur les routes, sur les stades ou dans les synagogues. Si on en allume dans ces autres lieux, en aucun cas cela ne peut remplacer l’allumage dans la maison personnelle ; et si l’homme est en voyage ou occupé dans l’un de ces lieux, la femme a le devoir d’allumer dans la maison .

Exercice :
Chacun doit trouver par lui-m
ême les multiples enseignements de ces faits, et aussi de tout ce processus. Ensuite, échangez avec vos proches et amis pour confronter les « é
clairages ».
Rappelons que chaque Juif a le devoir d’enseigner
à
ses enfants : donc, transmettre cela dans la famille.
Ensuite, bien r
éviser ensemble toute l’importance de la maison juive, et de la lumière qui doit l’illuminer.

Comment allumer les lumières de ‘Hanouka ?
« Celui qui met tout son coeur
à bien allumer les lampes de la fête, mérite d’avoir des enfants qui soient des talmidé ‘hakhamim »
(Traité Chabbate 23b).

C’est une obligation d’allumer au moins une lumière par famille, même pour le plus pauvre des pauvres.

Ensuite, il y a beaucoup de variantes suivant les communautés et selon le souci d’accomplir au mieux la beauté de la mitsva (ha méadrine, ceux qui embellissent la mitsva) : ou bien c’est le père qui allume pour toute la famille, ou bien chacun allume, ou bien l’époux et l’épouse en allument une seule puisqu’ils sont un ; en tous cas, la femme a l’obligation de l’accomplissement de la mistva de l’allumage des lumières de ‘Hanouka, qu’elle le fasse elle-même ou en union avec son mari en le déléguant pour elle.

Seul l’aveugle est dispensé, mais on l’associe cependant en lui tenant la main. Les voyageurs, ou les gens en visite doivent allumer même s’ils ne sont pas dans leur maison. Si on allume à la synagogue entre Min’ha et Arvite, cela ne dispense pas non plus de l’obligation d’allumer à la maison.

On peut allumer des bougies, mais choisir d’allumer avec de l’huile est plus proche du véritable sens de la fête et de sa véritable lumière reliée à l’événement et à ses symboles multiples.

La méthode d’allumage est celle de Beit Hillel : une lumière le premier soir, puis deux lumières le second soir (et ainsi de suite jusque 8 lumières le 8e soir) en disposant les lumières sur une ligne horizontale (pas en courbe) ou sur un chandelier en ligne. Les formes des ‘hanoukiotes sont différentes mais toujours selon ce principe, et la fiole ou la bougie qui donnent la lumière est nommée chamache et est placée plus haut que les autres. Voici quelques exemples (Images Judaica.Sweetchild software). On n’utilise pas de bougies en torches tressées.

Angélus du dimanche 2 décembre

3 décembre, 2007

du site: 

http://www.zenit.org/article-16765?l=french

 

Angélus du dimanche 2 décembre

Allocution du pape à l’angélus

ROME, Dimanche 2 décembre 2007 (ZENIT.org) –  

« L’homme est racheté par l’amour » : Benoît XVI a résumé son encyclique sur l’espérance chrétienne, « Spe salvi », avant la prière de l’angélus, ce dimanche 2 décembre, en insistant sur cet aspect du texte qu’il a signé le 30 novembre.

Nous publions ci-dessous le texte intégral de sa méditation.

Chers frères et sœurs,

En ce premier dimanche de l’Avent, une nouvelle année liturgique commence : le Peuple de Dieu se remet en marche pour vivre le mystère du Christ dans l’histoire. Le Christ est le même hier, aujourd’hui et toujours (cf. Epître aux Hébreux, 13,8); l’histoire au contraire change et demande à être constamment évangélisée ; elle a besoin d’être renouvelée de l’intérieur et la seule vraie nouveauté c’est le Christ : c’est Lui son accomplissement plénier, l’avenir lumineux de l’homme et du monde. Ressuscité d’entre les morts, Jésus est le Seigneur auquel Dieu soumettra tous ses ennemis, y compris la mort même (cf. Première épître aux Corinthiens 15, 25-28). L’Avent est donc le temps propice pour réveiller dans nos coeurs l’attente de « Celui qui est, qui était et qui vient » (Apocalypse 1,8). Le Fils de Dieu est déjà venu à Bethléem il y a vingt siècles, il vient à chaque instant dans l’âme et dans la communauté disposées à le recevoir, il viendra à nouveau à la fin des temps pour « juger les vivants et les morts ». Le croyant est donc toujours vigilant, animé de l’intime espérance de rencontrer le Seigneur, comme le dit le psaume : « J’espère le Seigneur, mon âme espère en sa parole ; mon âme attend le Seigneur plus que les veilleurs l’aurore » (Psaume 129, 5-6).

Ce dimanche est donc un jour indiqué s’il en est pour offrir à toute l’Eglise et à tous les hommes de bonne volonté ma seconde encyclique que j’ai justement voulu consacrer au thème de l’espérance chrétienne. Elle s’intitule « Spe salvi » parce qu’elle s’ouvre par l’expression de saint Paul : « Spe salvi facti sumus – Dans l’espérance nous avons tous été sauvés » (Epître aux Romains 8, 24). Dans ce passage comme dans d’autres du Nouveau Testament, le mot « espérance » est étroitement lié au mot « foi ». C’est un don qui change la vie de qui le reçoit, comme le démontre l’expérience de tant de saints et de saintes. En quoi consiste cette expérience, si grande et si « fiable » qu’elle nous fait dire qu’en elle nous avons le « salut » ? Elle consiste, en substance, dans la connaissance de Dieu, dans la découverte de son cœur de Père bon et miséricordieux. Jésus, par sa mort sur la croix et par sa résurrection, nous a révélé son visage, le visage d’un Dieu tellement grand dans l’amour qu’il nous communique une espérance inébranlable, que pas même la mort ne peut entamer, parce que la vie de qui se confie à ce Père s’ouvre sur la perspective de la béatitude éternelle.

Le développement de la science moderne a confiné la foi et l’espérance toujours davantage dans la sphère privée et individuelle, si bien qu’aujourd’hui il apparaît de façon évidente, et parfois dramatique, que l’homme et le monde ont besoin de Dieu – du vrai Dieu ! – autrement, ils restent dépourvus d’espérance. La science contribue beaucoup au bien de l’humanité – sans aucun doute -, mais elle n’est pas en mesure de le racheter. L’homme est racheté par l’amour, qui rend la vie personnelle et sociale bonne et belle. C’est pourquoi la grande espérance, pleine et définitive, est garantie par Dieu, par le Dieu qui est amour, qui, en Jésus, nous a visités, et nous a donné la vie, et en Lui reviendra à la fin des temps. C’est dans le Christ que nous espérons, c’est Lui que nous attendons ! Avec Marie, sa Mère, l’Eglise va à la rencontre de l’Epoux : elle le fait par les œuvres de charité, parce que l’espérance, comme la foi, se démontre par l’amour.

Bon Avent à tous !

Après l’Angélus le pape a salué les pèlerins en différentes langues. Voici ce qu’il a dit en français :

Je vous salue, chers pèlerins de langue française, venus vous associer à la prière de l’Angélus. Le temps de l’Avent, qui ouvre une nouvelle année liturgique, nous invite à orienter nos regards vers l’avenir, non pas pour fuir le temps présent, mais pour vivre dans l’espérance et mener une existence bonne. Pour vous aider à entrer avec joie dans l’attente du Sauveur, je vous accorde à tous ma Bénédiction apostolique.

bonne nuit

3 décembre, 2007

bonne nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc. pia_0009

http://www.laboo.biz/pa/schedaib.php?recordID=83

Pour que tous les hommes entrent dans le Royaume des cieux

3 décembre, 2007

Concile Vatican II
Constitution sur l’Eglise dans le monde de ce temps, « Gaudium et Spes », § 45

Pour que tous les hommes entrent dans le Royaume des cieux

Qu’elle aide le monde ou qu’elle reçoive de lui, l’Eglise tend vers un but unique : que vienne le règne de Dieu et que s’établisse le salut du genre humain. D’ailleurs, tout le bien que le Peuple de Dieu, au temps de son pèlerinage terrestre, peut procurer à la famille humaine découle de cette réalité que l’Eglise est « le sacrement universel du salut » (Lumen gentium), manifestant et actualisant tout à la fois le mystère de l’amour de Dieu pour l’homme.

Car le Verbe de Dieu, par qui tout a été fait, s’est lui-même fait chair, afin que, homme parfait, il sauve tous les hommes et récapitule toutes choses en lui. Le Seigneur est le terme de l’histoire humaine, le point vers lequel convergent les désirs de l’histoire et de la civilisation, le centre du genre humain, la joie de tous les coeurs et la plénitude de leurs aspirations. C’est lui que le Père a ressuscité d’entre les morts, a exalté et a fait siéger à sa droite, le constituant juge des vivants et des morts. Vivifiés et rassemblés en son Esprit, nous marchons vers la consommation de l’histoire humaine qui correspond pleinement à son dessein d’amour : « ramener toutes choses sous un seul chef, le Christ, celles qui sont dans les cieux et celles qui sont sur la terre » (Ep 1,10).