Archive pour le 19 novembre, 2007

Santa Matilde

19 novembre, 2007

Santa Matilde dans images sacrée

http://santiebeati.it/immagini/?mode=view&album=78300&pic=78300B.JPG&dispsize=Original&start=0

2. L’âge d’or de la mystique médiévale : 1250-1350 – 1248 : (aujourd’hui) Mechtilde de Hackeborn

19 novembre, 2007

du site: 

http://www.spiritualite-chretienne.com/s_coeur/chrono_b.html

 

Repères chronologiques
Textes essentiels

2. L’âge d’or de la mystique médiévale : 1250-1350


1248 : Mechtilde de Hackeborn

 entre au monastère d’Helfta, en Saxe. Les grâces et révélations divines dont elle sera favorisée pendant plus de trente ans seront relatées par Gertrude la Grande, à laquelle elle se confiera à partir de 1290. Le Liber specialis gratiae, Livre de la grâce spéciale, contient également de nombreuses prières adressées au Cœur de Jésus. « Un jour le Seigneur dit à Mechtilde : «Le matin de ton lever, salue le Cœur tendre et fort de ton très doux amant car c’est de lui que tout bien, toute joie, toute félicité ont découlé, découlent et découleront sans fin au ciel et sur la terre. Emploie toutes tes forces à verser ton propre cœur dans ce Cœur divin en lui disant : « Louange, bénédiction, gloire et salut au très doux et bienveillant Cœur de Jésus-Christ, mon très fidèle amant ! Je te rends grâce pour la garde fidèle dont tu m’as entourée, pendant cette nuit où tu n’as cessé d’offrir à Dieu le Père les actions de grâces et les hommages que je lui devais.
Et maintenant, O mon unique amour, je t’offre mon cœur comme une rose fraîchement épanouie dont le charme attire les yeux tout le jour et dont le parfum réjouit ton divin cœur.
Je t’offre aussi mon cœur comme une coupe qui te servira à t’abreuver de ta propre douceur et des opérations que tu daigneras opérer en moi aujourd’hui. Je t’offre mon cœur comme une grenade d’un goût exquis digne de paraître à ton royal festin, afin que tu l’absorbes si bien en toi-même qu’il se sente désormais heureux au-dedans de ton cœur divin. Je te prie de diriger aujourd’hui toutes mes pensées, mes paroles, mes actions et mon bon vouloir selon le bon plaisir de Ta volonté. Amen ». »
Sainte Mechtilde, Livre de la grâce spéciale, Mame, Tours, 1921.« Une fois encore, remplie de tristesse elle gémissait de se voir inutile, parce que la maladie l’empêchait de garder l’observance. Alors elle entendit le Seigneur lui dire : « Ah ! Viens à mon secours, laisse-moi rafraîchir en toi l’ardeur de mon Cœur divin ». Par cette parole, elle comprit que toute personne qui supporte volontiers les peines et les tristesses en union avec l’amour qui fit supporter à Jésus-Christ sur la terre tant d’afflictions et une mort ignominieuse, offre au Seigneur de rafraîchir en elle l’ardeur de son Cœur divin. N’est-il pas toujours à la recherche du salut de l’homme ? En effet, comme le Seigneur ne peut plus maintenant souffrir lui-même, il se fait suppléer par ses amis, par ceux qui adhèrent à lui dans la fidélité. Et lorsque l’âme, qui aura été sur la terre le rafraîchissement du Cœur divin, entrera dans le ciel, elle volera droit vers le Cœur de Dieu, et elle ira, dans les flammes de ce Cœur embrasé, se consumer tout entière avec ce qu’elle aura supporté pour le Christ. »
Sainte Mechtilde, Livre de la grâce spéciale, Mame, Tours, 1921.

par Sandro Magister: Grands retours: Romano Amerio et les variations de l’Eglise catholique

19 novembre, 2007

je n’ai pas mis teste de Marchetto, qui a publié Magister sous celui écrit parce que trop long, vous le pouvez légères directement de la page du site du journaliste :

http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/176565?fr=y

Grands retours: Romano Amerio et les variations de l’Eglise catholique

Les changements de l’ère Vatican II ont-ils ou non porté atteinte à l’essence du catholicisme? « L’Osservatore Romano » remet le grand intellectuel suisse au goût du jour. Et l’archevêque Agostino Marchetto démolit les thèses de ses adversaires: « l’école de Bologne », fondé

e par Dossetti et Alberigo

par Sandro Magister

ROMA, le 15 novembre 2007 Parmi les nouveautés de « L’Osservatore Romano », désormais dirigé par le professeur Giovanni Maria Vian, il en est une qui concerne un intellectuel dune importance exceptionnelle dans la culture catholique du XXe siècle: le Suisse Romano Amerio, mort à Lugano en 1997 à 92 ans.

En 1985, lorsquAmerio a publié son chef-d’œuvre « Iota unum. Studio delle variazioni della Chiesa cattolica nel secolo XX », le journal du Saint-Siège a refusé de publier la critique du livre qui avait été demandée à celui qui était alors préfet de la Bibliothèque Ambrosienne, Mgr Angelo Paredi. La critique avait été jugée trop favorable et depuis, « L’Osservatore » a décidé de ne pas en parler. Cest ainsi que les autorités du Vatican elles aussi se sont jointes à ceux qui ont fait tomber un silence intolérant sur ce livre et son auteur.

Aujourdhui, « L’Osservatore Romano » a pris la décision inverse. Il a décidé non pas de garder le silence à propos dAmerio, mais den parler. En bien.

Loccasion: un congrès sur Amerio organisé à Ancône, centre de lItalie, par le Centro Studi Oriente Occidente, dix ans après la mort du grand penseur suisse.

La question de fond que pose Amerio dans « Iota unum » et dans sa suite posthume « Stat Veritas » sortie en 1997 est la suivante:

« Tout le problème concernant l’état actuel de lEglise peut se résumer ainsi: lessence du catholicisme est-elle préservée? Les variations introduites le font-ils perdurer dans des circonstances variables ou bien le transforment-elles en quelque chose dautre? [...] Notre livre tout entier est un recueil de preuves de cette transformation ».

Amerio a été mis au ban comme emblème de la « réaction anti-conciliaire ». Mais en réalité la question quil a posée avec une rigueur à la fois philologique et philosophique, avec une rare liberté desprit et en même temps avec une obéissance totale à lEglise est une question que lon ne peut ni emprisonner ni mettre de côté.

Le point de non-retour a été le discours de Benoît XVI à la curie, le 22 décembre 2005, centré justement sur la juste interprétation des « variations » de lEglise avant et après le Concile Vatican II.

Après ce discours capital, il aurait été impardonnable de continuer à ne pas parler dAmerio. Le premier signe que le philosophe suisse était à nouveau admis à l« agora » publique de lEglise remonte à avril 2007. Il sagissait dune critique positive, par « La Civiltà Cattolica » la revue des jésuites de Rome imprimée après révision préalable des autorités du Vatican dun livre de son disciple Enrico Maria Radaelli: « Romano Amerio. Della verità e dell’amore ».

Mais aujourdhui, cest « L’Osservatore Romano » qui rompt le silence de manière définitive. Le samedi 10 novembre 2007, le journal du pape a non seulement ouvert ses colonnes au congrès dAncône, mais il a aussi publié les conclusions de lun des relateur et admirateurs dAmerio, larchevêque Agostino Marchetto, intitulées: « Per una corretta interpretazione del Concilio Vaticano II [Pour une interprétation correcte du Concile Vatican II] ».

Ce nest pas tout. Dans un commentaire signé par Raffaele Alessandrini, « L’Osservatore Romano » a apprécié chez Amerio sa critique prévoyante du « processus de sécularisation qui est aussi en cours au sein du monde chrétien » et des « risques du relativisme envahissant ». Une critique menée au nom de la « primauté de la vérité sur lamour », lun des fondements de la pensée dAmerio, dont le renversement écrit Alessandrini savère de plus en plus une « douce tromperie », une confusion qui met toutes les religions au même niveau. Pire, « une attaque contre le Christ, Verbe de Dieu fait homme, le Logos ». En bref, « seule la vérité rend libre et non linverse ». Même un catholique éloigné de la pensée dAmerio comme le père Lorenzo Milani écrit encore Alessandrini partageait avec lui la « primauté de la vérité sur lamour ». Il avait compris que la fidélité de lEglise à son essence originelle se fonde sur cet « ordre ».

Au congrès dAncône, plusieurs chercheurs ont parlé dAmerio sous différents angles. Son disciple Enrico Maria Radaelli, en charge de ses œuvres, les philosophes métaphysiciens Matteo DAmico et Dario Sacchi, de lUniversité catholique de Milan, Mgr Antonio Livi, de lUniversité pontificale du Latran, Pietro De Marco, de lUniversité de Florence, le père Pietro Cantoni, ex-membre de la Fraternité saint Pie X et enseignant dans le « Studium » théologique des diocèses de Toscane.

Le seul qui nait jamais mentionné Amerio au cours de son intervention a été larchevêque Agostino Marchetto. Après avoir passé 30 ans dans la diplomatie pontificale, Mgr Marchetto est aujourdhui secrétaire du conseil pontifical pour la pastorale des migrants et des personnes en déplacement. En tant quhistorien de lEglise, Mgr Marchetto est pourtant lauteur de nombreux comptes rendus douvrages où il critique vertement lexaltation du Concile Vatican II comme « rupture et nouveau début » encouragée par l« école de Bologne », fondée par le père Giuseppe Dossetti et Giuseppe Alberigo. Une exaltation aux antipodes des analyses dAmerio sur lEglise catholique au XXe siècle.

Le texte intégral de lintervention de Mgr Marchetto à Ancône est reproduit ci-dessous. Elle vise essentiellement à démolir linterprétation dAlberigo et de ses disciples.

Mais la polémique ne sarrêtera pas là. Dans le prochain numéro de « Cristianesimo nella storia », leur revue officielle, les chercheurs de l« école de Bologne » défendront à nouveau leur interprétation du Concile Vatican II.

Joseph A. Komonchak et Alberto Melloni ont fait comprendre à demi-mot quils vont tenter de mettre Benoît XVI de leur côté. Et de rappeler quil a promis quil laisserait « sa documentation conciliaire à linstitut de Bologne ».

En revanche, Mgr Marchetto et le cardinal Camillo Ruini vont faire de leur part lobjet de nouvelles critiques. L« école de Bologne » ne pardonne pas au second davoir approuvé en public les critiques du premier à la « Storia del Vaticano II » dirigée par Alberigo. Au point de déclarer:

Linterprétation du Concile comme rupture et nouveau début est en train de disparaître. Cest aujourdhui une interprétation très faible et dépourvue de réel soutien au sein de lEglise. Il est temps que lhistoriographie produise une nouvelle reconstruction de Vatican II qui soit aussi, finalement, une histoire de vérité“.

Romano Amerio a consacré toute sa vie de chercheur et de catholique à la suprématie de cette vérité.

Angélus du dimanche 18 novembre: « L’Eglise, dans l’attente priante du retour du Seigneur »

19 novembre, 2007

 du site:

 

http://www.zenit.org/article-16654?l=french

Angélus du dimanche 18 novembre

« L’Eglise, dans l’attente priante du retour du Seigneur »

ROME, Dimanche 18 novembre 2007 (ZENIT.org)

« LEglise vit dans lattente priante du retour du Seigneur », a rappelé Benoît XVI, avant langélus de ce dimanche, en mentionnant les monastères, qui indiquent lessentiel au monde daujourdhui. Nous publions ci-dessous le texte intégral de sa méditation, ainsi que de lappel prononcé après la prière de langélus.AVANT L’ANGELUS

Chers frères et sœurs,Dans la page évangélique daujourdhui, saint Luc propose à nouveau à notre réflexion la vision biblique de lhistoire et rapporte les paroles de Jésus qui invitent les disciples à ne pas avoir peur mais à affronter les difficultés, les incompréhensions et même les persécutions avec confiance, en persévérant dans la foi en Lui. « Quand vous entendrez parler de guerres et de soulèvements, ne vous effrayez pas : il faut que cela arrive d’abord, mais ce ne sera pas tout de suite la fin » (Lc 21, 9). Se souvenant de cet avertissement, lEglise vit, depuis le début, dans lattente priante du retour du Seigneur, en scrutant les signes des temps et en mettant les fidèles en garde contre les messianismes récurrents, qui de temps en temps annoncent la fin du monde comme imminente. En réalité, lhistoire, qui comprend aussi des drames humains et des calamités naturelles, doit suivre son cours. En elle se développe un dessein de salut que le Christ a déjà mené à terme, par son incarnation, sa mort et sa résurrection. Ce mystère, lEglise continue à lannoncer et à le mettre en œuvre par la prédication, la célébration des sacrements et le témoignage de la charité
.Chers frères et sœurs, accueillons linvitation du Christ à affronter les événements quotidiens en se confiant à son amour providentiel. Ne craignons pas pour lavenir, même lorsquil peut nous apparaître sombre, parce que le Dieu de Jésus Christ qui a assumé lhistoire pour louvrir à son accomplissement transcendant, en est lalpha et lomega, le principe et la fin (cf. Ap 1,8). Il nous garantit que dans tout acte damour, petit mais authentique, il y a tout le sens de lunivers, et que celui qui nhésite pas à perdre sa vie pour Lui la retrouve en plénitude (cf. Mt 16,25).Les personnes consacrées, qui ont placé sans réserve leur vie au service du Royaume de Dieu, nous invitent avec une singulière efficacité à maintenir vivante une telle perspective. Parmi elles, je voudrais mentionner particulièrement celles qui sont appelées à la contemplation dans les monastères contemplatifs. LEglise leur dédie une Journée spéciale mercredi prochain, 21 novembre, en la mémoire de la Présentation de la bienheureuse Vierge Marie au Temple. Nous devons tant à ces personnes qui vivent de ce que la Providence leur procure à travers la générosité des fidèles. Le monastère, « en tant quoasis spirituel, indique au monde daujourdhui la chose la plus importante, et même à la fin la seule chose décisive : il existe une raison ultime pour laquelle cela vaut la peine de vivre, cest-à-dire Dieu et son amour insondable » (Heiligenkreuz, 9 septembre 2007). La foi qui agit dans la charité est le véritable antidote à la mentalité nihiliste qui étend de plus en plus son influence dans le monde à notre époque. Que Marie, Mère du Verbe incarné, nous accompagne dans notre pèlerinage terrestre. Nous lui demandons de soutenir le témoignage de tous les chrétiens afin quil sappuie sur une foi toujours solide et persévérante.

 

 APRES L’ANGELUS

Ces derniers jours, un terrible cyclone a frappé le sud du Bangladesh, faisant de très nombreuses victimes et de graves destructions. Renouvelant aux familles et à toute la Nation, qui mest si chère, lexpression de mes profondes condoléances, je lance un appel à la solidarité internationale, déjà en marche, pour faire face aux besoins immédiats. Jencourage à mettre en œuvre tous les efforts possibles pour secourir nos frères si durement éprouvésAujourdhui souvre en Jordanie la huitième Assemblée des Etats ayant souscrit à la Convention sur linterdiction dutilisation, de stockage, de production et de transport des mines antipersonnel et sur leur destruction. Le Saint-Siège figure parmi les principaux promoteurs de cette Convention, adoptée il y a dix ans. Jexprime donc de tout cœur mes vœux et mes encouragements pour une bonne issue de cette conférence, afin que ces engins, qui continuent à faire des victimes, dont de nombreux enfants, soient complètement bannis.Cet après-midi sera béatifié à Novara le vénérable serviteur de Dieu Antonio Rosmini, grande figure de prêtre et homme de culture illustre, animé dun amour fervent pour Dieu et pour lEglise. Il a témoigné de la vertu de la charité dans toutes ses dimensions et à un haut niveau, mais ce qui la rendu le plus célèbre, cest son engagement généreux pour celle quil appelait la « charité intellectuelle », cest-à-dire la réconciliation de la raison avec la foi. Que son exemple aide lEglise, spécialement les communautés ecclésiales italiennes, à prendre toujours davantage conscience que la lumière de la raison humaine et celle de la Grâce, lorsquelles cheminent ensemble, deviennent source de bénédiction pour la personne humaine et pour la société.

Le pape s’est ensuite adressé aux pèlerins en différentes langues. Voici ce qu’il a dit en français :

Je vous adresse mes salutations cordiales, chers pèlerins de langue française. Dans l’Évangile du jour, Jésus nous invite à persévérer dans notre vie chrétienne, dans lassurance du bonheur éternel quil nous prépare. Puisse cette invitation maintenir vive votre espérance. En cette journée des accidentés de la route, nous portons dans notre prière toutes les personnes qui sont mortes dans des accidents de la circulation et leurs familles. Jappelle chacun à redoubler defforts pour être prudent, afin de protéger sa vie et celle dautrui. Cest un devoir de charité les uns envers les autres. Avec ma Bénédiction apostolique.

bonne nuit – excusez-moi si le Blog…

19 novembre, 2007

ces jours il est moins « comme je voudrais » je ne me porte pas très bien encore, en réalité il va mieux, je suis comme une voiture du robustes qu’ils marchent toujours, mais légèrement rouillée et qu’elle va contrôlée de nouveau et messe à la place; je ne réussit pas à faire tout ce qui voudrais pour le Blog, dans le sens « tout comme je l’avais projeté », je suis en train de mettre seulement des textes qui me semblent bons, puis je vous explique mieux le critère avec lequel je fais le Blog qui n’ai pas encore fait, je crois qu’il ira bientôt mieux; 

bonne nuit - excusez-moi si le Blog...  dans image bon nuit, jour, dimanche etc. mh_Dsc00245
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« Il suivait Jésus en rendant gloire à Dieu »

19 novembre, 2007

Odes de Salomon (texte chrétien hébraïque du début du 2e siècle)
§ 21 (trad. Hamman, DDB 1981, p.43)

« Il suivait Jésus en rendant gloire à Dieu »

J’ai levé les bras au ciel,
vers la grâce du Seigneur.
Il a jeté mes chaînes loin de moi ;
mon protecteur m’a élevé
selon sa grâce et son salut.

J’ai dépouillé l’obscurité
et revêtu la lumière.
J’ai trouvé des membres qui ne connaissaient
ni peine ni angoisse ni douleur.

La pensée du Seigneur m’a beaucoup secouru,
ainsi que sa communion incorruptible.
Sa lumière m’a exalté,
j’ai marché en sa présence,
et m’approcherai de lui,
le louant et le glorifiant.
Mon coeur a débordé,
il a envahi ma bouche,
il a jailli sur mes lèvres.
L’exultation du Seigneur et sa louange
épanouissent mon visage.
Alléluia !