Archive pour le 7 octobre, 2007

LA REINE DU TRÈS SAINT ROSAIRE DE POMPÉI

7 octobre, 2007

LA REINE DU TRÈS SAINT ROSAIRE DE POMPÉI dans Marie Vierge rosario

http://www.unavoce-ve.it/supplica-pompei.htm

SUPPLIQUE À LA REINE DU TRÈS SAINT ROSAIRE DE POMPÉI

7 octobre, 2007

du site:

http://membres.lycos.fr/yiik/supp1.htm

SUPPLIQUE
À LA REINE DU TRÈS SAINT ROSAIRE DE POMPÉI

Au nom du Père, et de Fils, et du Saint-Esprit. Amen.

Ô Auguste Reine des Victoires,

ô Souveraine du Ciel et de la Terre,

dont le nom fait réjouir les cieux et trembler les abisses,

ô Reine glorieuse du Rosaire,

nous, vos fils dévôts,

réunis dans votre Temple de Pompéi (en ce jour solennel),

nous épanchons les affections de notre coeur et avec une confiance toute filiale, nous vous exposons nos misères.

Du Trône de clémence où vous êtes assise en Reine,

posez, ô Marie,

votre regard plein de pitié sur nous, sur nos familles, sur l’Italie, sur l’Europe, sur le onde, ayez compassion des tourments et des souffrances qui attristent notre vie.

Voyez, ô Mère, combien de dangers dans l’âme et dans le corps, combien de malheurs et de détresses nous sommes obligés d’affronter.

Ô Mère, implorez pour nous la miséricorde de votre divin Fils et gagnez, par la clémence, le coeur des pécheurs.

Ce sont nos frères et vos fils qui coûtent tant de sang à votre doux Jésus et qui attristent son Coeur très sensible. Montrez à tous qui vous êtes, ô Reine de paix et de pardon.

Je vous salue Marie.

Il est vrai que nous, en premiers, bien que nous soyons vos fils, par nos péchés, nous crucifions de nouveau le coeur de Jésus et nous transperçons de nouveau votre coeur.

Nous le confessons: nous méritons les plus durs châtiments, mais vous, rappelez-vous que sur Golgota, vous avez recueilli, avec le Sang divin, le testament du Redempteur moribond qui vous a désignée comme notre Mère, Mère des pécheurs.

Comme notre Mère, vous êtes donc notre Avocate, notre espérance. Et nous, en gémissant, nous étendons nos mains suppliantes vers vous, et crions: Miséricorde!

Ô Mère de bonté, ayez pitié de nous, de nos âmes, de nos familles, de nos parents, de nos amis, de nos défunts, et surtout de non ennemis et de ceux qui se disent chrétiens et qui pourtant offensent le doux Coeur de votre Fils.

Nous vous implorons aujourd’hui pitié pour les Nations en plein troubles, pour toute l’Europe, pour tout le monde, afin que, repentis, ils retournent à votre Coeur.

Miséricorde pour tous, ô Mère de Miséricorde!

Je vous salue Marie.

Daignez, avec indulgence, ô Marie, nous exaucer ! Jésus a remis dans vos mains les trésors de ses grâces et de ses miséricordes. Vous êtes assise, couronnée Reine, à la gloire immortelle sur tous les Coeurs des Anges.

Votre domination s’étend sur toutes les créatures des cieux et la terre et toutes les créatures vous sont soumises. Vous êtes toute-puissante par la grâce et vous pouvez donc nous aider.

Et si vous ne vouliez pas nous aider, parce que nous sommes des fils ingrats et que nous ne méritons pas votre protection, nous ne saurions à qui nous adresser. Votre coeur de Mère ne vous permettra pas de voir, nous, vos fils, perdus.

L’Enfant que nous voyons sur vos genoux et la Couronne mystique que nous admirons dans votre main, nous inspirent confiance que nous serons exaucés.

Et nous, nous avons pleine confiance en vous, nous nous abandonnons comme de faibles fils entre les bras de la plus tendre des mères, et, aujourd’hui même, nous attendons de vous les grâces si désirées.

Je vous salue Marie.

Démandons la bénédiction de Marie

Une dernière grâce, nous vous demandons maintenant ô Reine, et vous ne pouvez pas nous la refuser (en ce jour solennel). Accordez-nous, à tous, votre amour fidèle d’une façcon spéciale, votre bénédiction maternelle.

Nous ne nous détacherons pas de vous, jusqu’à ce que vous nous ayez bénis. En ce moment, bénissez, ô Marie, le Souverain Pontife.

Aux splendeurs antiques de votre Couronne, aux trionphes de votre Rosaire, pour lesquels vous êtes appelée Reine des Victoires, ajoutez encore ceci, ô Mère: accordez le triomphe à la religion et la paix à l’Humanité.

Bénissez nos Évêques, nos prêtres et particulièrement tous ceux qui se dévouent pour votre Sanctuaire de Pompéi et ceux qui entretiennent et favorisent la dévotion au Saint Rosaire.

Ô Rosaire béni de Marie, douce Chaîne qui nous renoue à Dieu, lien d’amour qui nous unit aux Anges. Tour de salut contre les assauts de l’enfer. Port sûr dans un naufrage général, nous ne vous lâcherons jamais plus.

Vous serez notre réconfonrt au moment de l’agonie, à vous le dernier baiser de la vie qui s’éteint. Et le dernier mot sur nos lèvres sera votre nom très doux, ô Reine du Rosaire de Pompéi, ô Mère très chère, ô Refuge des pécheurs, ô Souveraine Consolatrice des affligés.

Soyez partout bénie, aujourd’hui et toujours, sur la terre comme au Ciel. Amen. Salut, ô Reine.

Notre-Dame de Pompéi : Le chapelet, une « douce chaîne » qui relie à Dieu

7 octobre, 2007

la fête de la Sainte Vierge de Pompéi on célèbre le 8 mai et le premier dimanche d’octobre, ou aujourd’hui le 7 octobre il est fête, en Italie de la Sainte Vierge du Chapelet et, local, au Pompei, du Sainte Vierge (Madonna) di Pompei, cependant en toute Italie on récite également la supplique à la Sainte Vierge de Pompéi, a la Basilique de Saint Clemente au je suis allée a la messe, les moines dominicaines Irlandes on récite aussi le chapelet avant la supplique, du site:

http://www.zenit.org/article-15322?l=french

Notre-Dame de Pompéi : Le chapelet, une « douce chaîne » qui relie à Dieu

Le jour de la « supplique »


ROME, Mardi 8 mai 2007 (ZENIT.org) – Le chapelet est comme une « douce chaîne » qui nous relie à Dieu, disait le pape Jean-Paul en citant le fondateur du sanctuaire de Notre-Dame de Pompéi dont c’est aujourd’hui la fête.

Les paroisses italiennes célèbrent en effet le 8 mai la fête de Notre Dame de Pompéi, et prient la fameuse supplique : le pape Jean-Paul II a visité ce sanctuaire et encouragé la prière du rosaire, dont le fondateur du sanctuaire a été un apôtre.

Le sanctuaire de Pompéi, près de Naples, été fondé par un laïc italien, le bienheureux Bartolo Longo (1841-1926), que le pape cite à cinq reprises dans sa Lettre apostolique sur le Rosaire de la Vierge Marie, du 16 octobre 2002.

A une époque de scepticisme et d’anticléricalisme, cet homme de loi italien devenu tertiaire dominicain, fonda le sanctuaire de Pompéi dédié à Notre-Dame du Rosaire, mais aussi des œuvres charitables en faveur d’enfants de détenus, et la communauté des Filles du Saint Rosaire de Pompéi.

Il enseignait le catéchisme et à prier le rosaire. Il est mort à Pompéi le 5 octobre 1926.

Il a été béatifié par Jean-Paul II le 26 octobre 1980.

« Le bienheureux Bartolo Longo, écrit-il, eut un charisme spécial, celui de véritable apôtre du Rosaire. Son chemin de sainteté s’appuie sur une inspiration entendue au plus profond de son cœur :  » Qui propage le Rosaire est sauvé ! « . À partir de là, il s’est senti appelé à construire à Pompéi un sanctuaire dédié à la Vierge du Saint Rosaire près des ruines de l’antique cité tout juste pénétrée par l’annonce évangélique avant d’être ensevelie en 79 par l’éruption du Vésuve et de renaître de ses cendres des siècles plus tard… Par son œuvre entière, en particulier par les  » Quinze Samedis « , Bartolo Longo développa l’âme christologique et contemplative du Rosaire ; il trouva pour cela un encouragement particulier et un soutien chez Léon XIII, le  » Pape du Rosaire  » » (RVM, 8).

« Le bienheureux Bartolo Longo, explique encore Jean-Paul II, voyait aussi le chapelet comme une « chaîne » qui nous relie à Dieu. Une chaîne, certes, mais une douce chaîne ; car tel est toujours la relation avec Dieu qui est Père. Une chaîne « filiale », qui nous accorde à Marie, la « servante du Seigneur » (Lc 1, 38) et, en définitive, au Christ lui-même qui, tout en étant Dieu, s’est fait « serviteur » par amour pour nous (Ph 2,7) » (RVM, 36).

Jean-Paul II exhortait les fidèles en ces termes : « Reprenez avec confiance le chapelet entre vos mains, le redécouvrant à la lumière de l’Écriture, en harmonie avec la liturgie, dans le cadre de votre vie quotidienne. Que mon appel ne reste pas lettre morte ! Je fais volontiers miennes les paroles touchantes par lesquelles Bartholo Longo termine la célèbre Supplique à la Reine du Saint Rosaire : « Ô Rosaire béni par Marie, douce chaîne qui nous relie à Dieu, lien d’amour qui nous unit aux Anges, tour de sagesse face aux assauts de l’enfer, havre de sécurité dans le naufrage commun, nous ne te lâcherons plus. Tu seras notre réconfort à l’heure de l’agonie. À toi, le dernier baiser de la vie qui s’éteint. Et le dernier accent sur nos lèvres sera ton nom suave, ô Reine du Rosaire de Pompéi, ô notre Mère très chère, ô refuge des pécheurs, ô souveraine Consolatrice des affligés. Sois bénie en tout lieu, aujourd’hui et toujours, sur la terre et dans le ciel  » (RVM, 43) ».

Le pape présente la loi naturelle comme le fondement de la démocratie

7 octobre, 2007

 du site:

http://www.zenit.org/article-16349?l=french

Le pape présente la loi naturelle comme le fondement de la démocratie

Protection nécessaire contre les idéologies et le relativisme

ROME, Vendredi 5 octobre 2007 (ZENIT.org) Le pape Benoît XVI a lancé un appel à redécouvrir dans la loi naturelle le fondement de la coexistence démocratique pour éviter que les humeurs de la majorité ou des plus forts deviennent le critère du bien ou du mal.

Lors dune audience aux membres de la Commission théologique internationale, qui réunit des théologiens de haut niveau des cinq continents, le pape a affronté ce vendredi ce quil considère comme lantidote au « relativisme éthique » : la loi naturelle.

La loi naturelle est, selon le pape, la « norme écrite par le Créateur dans le cœur de lhomme », qui lui permet de distinguer le bien du mal.

Aujourdhui, a-t-il souligné, en partie à cause de « facteurs dordre culturel et idéologique, la société civile et laïque se trouve dans une situation d’égarement et de confusion : on a perdu la preuve originelle des fondements de l’être humain et de son action éthique, et la doctrine de la loi morale naturelle se heurte à dautres conceptions qui en sont la négation directe ».

« Tout ceci a des conséquences énormes et graves dans lordre civil et social, a-t-il expliqué. Une conception positiviste du droit semble dominer chez de nombreux penseurs aujourdhui ».

« Selon eux, lhumanité, ou la société, ou en fait la majorité des citoyens, devient la source ultime de la loi civile », a-t-il constaté.

« Le problème qui se pose nest donc pas la recherche du bien mais celle du pouvoir, ou plutôt de l’équilibre des pouvoirs », a poursuivi le pape.

« A la racine de cette tendance se trouve le relativisme éthique, dans lequel certains voient même lune des principales conditions de la démocratie, car le relativisme garantirait la tolérance et le respect réciproque des personnes », a expliqué Benoît XVI.

« Mais sil en était ainsi, la majorité dun instant deviendrait la source ultime du droit. Lhistoire montre très clairement que les majorités peuvent se tromper », a souligné le pape.

« La vraie rationalité nest pas garantie par le consensus dun grand nombre, mais uniquement par la transparence de la raison humaine à la Raison créatrice et l’écoute commune de cette Source de notre rationalité », a poursuivi le pape.

« Lorsque sont en jeu les exigences fondamentales de la dignité de la personne humaine, de sa vie, de linstitution familiale, de l’équité de lordre social, cest-à-dire les droits fondamentaux de lhomme, aucune loi faite par les hommes ne peut modifier la norme écrite par le Créateur dans le cœur de lhomme, sans que la société elle-même ne soit touchée de manière dramatique dans ce qui constitue sa base essentielle », a-t-il expliqué.

La loi naturelle devient ainsi « la véritable garantie offerte à chacun pour vivre libre et respecté dans sa dignité, et protégé de toute manipulation idéologique, de toute décision arbitraire et abusive du plus fort », a souligné Benoît XVI.

« Personne ne peut se soustraire à cet appel, a-t-il observé. Si en raison dun obscurcissement tragique de la conscience collective, le scepticisme et le relativisme éthique parvenaient à effacer les principes fondamentaux de la loi morale naturelle, lordre démocratique lui-même serait blessé de manière radicale dans ses fondements ».

Le pape estime que pour combattre cet obscurcissement « qui est une crise de la civilisation humaine avant d’être une crise de la civilisation chrétienne, il faut mobiliser toutes les consciences des hommes de bonne volonté, laïcs ou même appartenant à des religions différentes du christianisme, afin quensemble et concrètement, ils sengagent à créer, dans la culture et dans la société civile et politique, les conditions nécessaires pour que lon prenne pleinement conscience de la valeur inaliénable de la loi morale naturelle ».

Le pape a expliqué que « lavancée des individus et de la société sur le chemin du progrès authentique en conformité avec la raison droite, qui est participation à la Raison éternelle de Dieu » dépend en effet du respect de la loi morale.

Dans son discours, le pape cite le n. 1955 du Catéchisme de lEglise catholique qui dit : « La loi naturelle énonce les préceptes premiers et essentiels qui régissent la vie morale. Elle a pour pivot laspiration et la soumission à Dieu, source et juge de tout bien, ainsi que le sens dautrui comme égal à soi-même. Elle est exposée en ses principaux préceptes dans le Décalogue. Cette loi est dite naturelle non pas en référence à la nature des êtres irrationnels, mais parce que la raison qui l’édicte appartient en propre à la nature humaine ».

bonne nuit

7 octobre, 2007

bonne nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc. Leucospermum_cordifolium_3

Leucospermum_cordifolium

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/3/36/Leucospermum_cordifolium_3.jpg

« Nous sommes des serviteurs quelconques : nous n’avons fait que notre devoir »

7 octobre, 2007

Bienheureuse Teresa de Calcutta (1910-1997), fondatrice des Sœurs Missionnaires de la Charité
No Greater Love (trad. Il n’y a pas de plus grand amour, Lattès 1997, p. 42)

« Nous sommes des serviteurs quelconques : nous n’avons fait que notre devoir »

Sois toujours fidèle dans les petites choses, car en elles réside notre force. Pour Dieu, rien n’est petit. Il n’entend rien diminuer. Pour lui, toutes les choses sont infinies. Pratique la fidélité dans les choses les plus minimes, non pas pour leur vertu propre, mais en raison de cette grande chose qu’est la volonté de Dieu — et que, moi-même, je respecte infiniment.

Ne recherche pas des actions spectaculaires. Nous devons délibérément renoncer à tout désir de contempler le fruit de notre labeur, accomplir seulement ce que nous pouvons, du mieux que nous le pouvons, et laisser le reste entre les mains de Dieu. Ce qui importe, c’est le don de toi-même, le degré d’amour que tu mets dans chacune de tes actions.

Ne t’autorise pas le découragement face à un échec, dès lors que tu as fait de ton mieux. Refuse aussi la gloire lorsque tu réussis. Rends tout à Dieu avec la plus profonde gratitude. Si tu te sens abattu, c’est un signe d’orgueil qui montre combien tu crois en ta propre puissance. Ne te préoccupe pas plus de ce que pensent les gens. Sois humble et rien ne te dérangera jamais. Le Seigneur m’a lié là où je suis ; c’est lui qui m’en déliera.