Archive pour le 20 septembre, 2007
Il y a eu en France trois béatifications…
20 septembre, 2007Il y a eu en France trois béatifications, mais, comme peut-être différents de vous ils ont déjà lu, une amie bloggeur: Marilou sur son Blog as posté son expérience directe pour une de cette béatification, je voudrais ainsi reporter ce qui j’ai trouvé d’écrit, soit pour compléter ce qui a écrit Marilou, soit parce que les béatifications c’est une très belle chose; que les béatification non arrivent plus à Rome, mais se célèbre où les faits sont arrivés, ceci, est un cadeau de Pape Benedetto qu’il a décidé parce que les béatifications n’arrivassent pas plus ici à Rome, mais seulement les canonisations, seul pour les saints pour qui Lui intervient; à moi est semblé, en lisant autres sites que dans les autres diocèses en France où il a y eu les autres béatifications – trois si je rappelle bien – l’enthousiasme et la joie ont aussi été là grandes, nous bénissons le Seigneur pour ce cadeau, si vous lirai les miens deux post sur cette Bienheureuse puis allée-vous, si vous ne l’avez pas fait déjà, au Marilou, le nom de le site:
l’adresse:
Bienheureuse Marie-Céline : « Le rayonnement de l’Amour dans le quotidien »
20 septembre, 2007du site:
http://www.zenit.org/article-16193?l=french
Bienheureuse Marie-Céline : « Le rayonnement de l’Amour dans le quotidien »
Par le card. Ricard
ROME, Mardi 18 septembre 2007 (ZENIT.org
) – Sous le titre « Le rayonnement de l’Amour dans le quotidien », le cardinal Jean-Pierre Ricard, archevêque de Bordeaux, et président de la conférence des évêques de France, a publié cet éditorial consacré à la bienheureuse Marie-Céline, béatifiée à Bordeaux, dimanche dernier, dans « l’Aquitaine » du 7 septembre 2007.
Béatification de Sœur Marie-Céline de la Présentation
Le Dimanche 16 septembre sera célébrée dans la cathédrale Saint-André à Bordeaux la béatification de Sœur Marie-Céline de la Présentation, une jeune clarisse, morte en 1897, à 19 ans. Qu’est-ce qui a amené l’Eglise à la déclarer bienheureuse ? Ceux pour qui sainteté signifie vie héroïque, actions hors du commun, enseignement spirituel éminent seront déçus car rien dans la vie de cette jeune fille ne correspond à ces traits. Née en 1878, Germaine Castang (qui recevra plus tard en religion le nom de Marie-Céline de la Présentation) a vécu en famille, d’abord à Nojals (en Dordogne) puis à Bordeaux, entre à l’ouvroir tenu par les Sœurs de Nazareth en 1891, est accueillie en 1896 par les clarisses de Talence, y fait son postulat, commence son noviciat et meurt quelques mois après, en 1897, l’année même de la mort de Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus. Elle n’a rien écrit, sinon des lettres et un petit journal de 16 pages. Il ne restera d’elle que les témoignages de ceux qui l’ont vue vivre.
Reconnaissons pourtant que la courte vie de Germaine Castang a été particulièrement dure. Les épreuves ne lui ont pas été épargnées. Epreuves physiques tout d’abord. A quatre ans et demi, étant restée trop longtemps dans l’eau froide d’une rivière, elle en aura le pied déformé. Elle sera plus tard opérée mais devra vivre avec ce qui restera pour elle un handicap. Celui-ci sera longtemps un obstacle à son accueil dans une congrégation, alors qu’elle aspirait tant à être religieuse. De santé fragile, elle mourra comme d’autres membres de sa famille, de tuberculose pulmonaire. Aux épreuves physiques s’ajoutent les épreuves familiales. Son père étant incapable de rembourser ses dettes, la petite épicerie qu’il tenait et la maison familiale seront saisies et toute la famille devra aller vivre dans une masure insalubre. Le froid, la faim, la maladie, la mort de frères et sœurs plus jeunes seront au rendez-vous. On peut dire que Germaine a vécu ce qu’on appellerait aujourd’hui une vie du Quart Monde. Elle perdra sa mère à quatorze ans, puis son frère Louis, s’occupera de son père au caractère fantasque et difficile, puis verra l’éclatement de la famille et l’impossible réconciliation de ses frères avec leur père.
Alors, qu’est-ce qui fait le rayonnement de celle que l’Eglise aujourd’hui déclare bienheureuse ? Ce sont sa foi et sa confiance en Dieu. Depuis toute petite, elle a eu une relation forte à Dieu. Elle accueille jour après jour Son amour et se donne à Lui. La prière est pour elle son temps d’intimité avec le Seigneur. Elle y puise sa force, son endurance dans l’amour et sa persévérance. Bien sûr, sa première communion, son entrée chez les clarisses, son acceptation au noviciat puis sa profession solennelle faite avant sa mort révèleront quelque chose de l’intensité de sa vie avec le Seigneur. Mais c’est sa vie quotidienne qui est le lieu de sa réponse à Dieu, de son union à Celui qui a dit : « Ma nourriture, c’est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé et d’accomplir son œuvre. » (Jn 4, 34) Cette présence de Dieu en elle adoucit un caractère qu’elle avait impétueux. Elle aide, elle sert, elle prend sur elle, elle patiente, elle voit surtout le bien des autres. En un mot, elle aime en actes et en vérité. La sainteté, c’est l’accueil de cet amour du Seigneur en soi. Marie-Céline vient nous dire qu’elle peut être vécue à tous les âges de la vie.
Déjà à l’ouvroir, les autres perçoivent cette lumière spirituelle qui rayonne d’elle. Ce sera encore plus évident pour les sœurs clarisses qui vont l’entourer pendant les quelques mois de sa vie religieuse. Et ce rayonnement se poursuivra de façon étonnante après sa mort. Marie-Céline vient ainsi nous rappeler que la fécondité évangélique n’est pas du même type que l’efficacité humaine. Elle surgit d’un cœur qui s’ouvre totalement à l’action et à l’amour de Dieu. Elle est le fruit d’une vie qui se donne, se livre avec le Christ et accepte de passer par la mort comme le grain tombé en terre (Jn 12, 24).
En ce début d’année pastorale, écoutons cet appel à cette sainteté dans le quotidien que nous adresse notre nouvelle bienheureuse. N’hésitons pas à nous confier les uns les autres au Seigneur en invoquant son intercession. En effet, n’a-t-elle pas dit avant sa mort : « Au ciel, je n’oublierai personne. » ?
+ Jean-Pierre cardinal RICARD
La « sainte aux parfums »
20 septembre, 2007du site:
http://www.zenit.org/article-16192?l=french
Bienheureuse Marie Céline, quelques repères biographiques
La « sainte aux parfums »
ROME, Mardi 18 septembre 2007 (ZENIT.org) – Voici quelques repères biographiques offerts par le site du diocèse de Bordeaux, sur l’itinéraire spirituel de Sr Marie-Céline de la Présentation, clarisse, béatifiée en la cathédrale de Bordeaux dimanche dernier, 16 septembre (cf. http://catholique-bordeaux.cef.fr). Une nouvelle Sainte pour l’Eglise bordelaise
Née en 1878 dans le Périgord, Jeanne Germaine Castang connut la misère, l’exclusion, le handicap et la souffrance jusqu’à sa mort de la tuberculose le 30 mai 1897, à l’âge de 19 ans. Entrée en juin 1896 au couvent des Clarisses de Talence, Sœur Marie-Céline de la Présentation, aussi appelée « la Sainte aux parfums » ou la « Sainte de Bordeaux » était spirituellement proche de ses contemporaines de la fin du siècle dernier, Sainte Thérèse de Lisieux, morte la même année qu’elle, et Sainte Bernadette de Lourdes.
Qui était Sœur Marie-Céline de la Présentation ?
« Ceux pour qui sainteté signifie vie héroïque, actions hors du commun, enseignement spirituel éminent seront déçus car rien dans la vie de cette jeune fille ne correspond à ces traits.[ ] Elle aide, elle sert, elle prend sur elle, elle patiente, elle voit surtout le bien des autres. » [ ] Sœur Marie-Céline « c’est le rayonnement de l’Amour au quotidien ». Pour Mgr Jean-Pierre Ricard, dans son Editorial de l’Aquitaine du 7 septembre, « Marie-Céline vient nous dire que la sainteté peut-être vécue à tous les âges de la vie ! »
Saints Laurent Imbert, André Kim, Paul Chong et leurs compagnons martyrs en Corée
20 septembre, 2007du site:
http://missel.free.fr/Sanctoral/09/20.php
Saints Laurent Imbert, André Kim, Paul Chong et leurs compagnons martyrs en Corée
Biographie
Le christianisme entra dans le royaume de Corée, en 1784, par deux intellectuels, Yi Seung-Hun et Yi Byok.
Yi Byok, considéré comme le premier fondateur de l’Eglise coréenne, naquit en 1754, au sein d’une noble famille qui s’était illustrée dans la carrière militaire : son grand-père, son père, ses deux frères furent tous généraux. Yi Byok qui était plutôt porté sur l’étude, avait eu l’occasion de lire certains livres chrétiens apportés de Chine par les ambassades qui se rendaient chaque année à Pékin. En janvier 1780, il apprit qu’un petit groupe de lettrés avait organisé une réunion d’études dans le temple bouddhique de Chon Jin Am, au milieu des montagnes. Il décida de s’y rendre. Parti de Séoul, il fit à pied quelque soixante kilomètres, en plein hiver et sur des chemins couverts de neige, pour arriver en pleine nuit au lieu de la réunion. Avec les lettrés, à la lumière des bougies, il discuta sur les livres classiques du confucianisme et pendant plus de dix jours, ils comparèrent les doctrines contebues dans les livres bouddhiques, confucéens et taoïstes avec les vérités chrétiennes, telles qu’elles étaient exposées, en particulier, dans le célèbre livre du jésuite Matteo Ricci à Pékin : « Le Discours véridique sur Dieu. » Ils décidèrent d’adopter la foi chrétienne et d’en vivre de suite. Matin et soir, ils se prosternaient pour la prière. Ayant lu que tous les sept jours on doit en consacrer un au culte de Dieu, ils décrétèrent Jour du Seigneur les 7é, 14e, 21e et 28e jours du mois lunaire, le seul qu’ils connaissaient à cette époque.Revenu chez lui, Yi Byok r
épandit la doctrine dans son entourage. Mais il se rendait bien compte que sa connaissance du christianisme était insuffisante. En 1783, à l’occasion d’une ambassade, il envoya son ami Yi Seung-Hun à l’Église de Pékin pour s’informer et rapporter des livres. Arrivé à Pékin, Yi Seung-Hun se rendit à l’église du Nord (Beitang) où il fut reçu par le P. de Grammont qui l’instruisit et le baptisa sous le nom de Pierre. Revenu en Corée, Yi Seung-Hun à son tour baptisa Yi Byok et quelques amis que ce dernier avait déjà convaincus. Puis la religion commença à se répandre dans les provinces. Dès 1785, les lettrés confucéens voyant bien que cette nouvelle doctrine bouleversait leurs traditions, possèrent à sa proscription. La police arrêta un des chrétiens, Kim Beom-Woo, propriétaire d’un terrain sur lequel se trouve maintenant la cathédrale Myong Dong de Séoul. Kim Beom-Woo fut torturé et banni, mourut des suites de ses blessures. Quant à Yi Byok, il fut emprisonné chez lui par sa propre famille. Il subit une énorme pression, et même un chantage au suicide de la part de son père, un homme emporté, qui se passa une corde au cou et menaça de se donner la mort sur-le-champ si son fils persistait dans son dessein. Mais Yi Byok témoigna de sa foi par le jeûne, la méditation continuelle de jour et de nuit. Apres quinze jours de privations, il mourut saintement en 1786, dans sa trente-deuxième année.
La première persécution d’envergure fut décrétée en 1791. Une lettre de l’évêque de Pékin avait interdit le culte des ancêtres comme contraire à la doctrine catholique. Bien qu’il leur en coutât beaucoup, les nouveaux convertis refusèrent donc le culte des ancêtres, et un certain nombre d’entre eux moururent martyrs.En 1794, un pr
être chinois, Jacques Chu, qui réussit à pénétrer dans le pays des matins calmes, ne trouva pas moins de quatre mille chrétiens dont le nombre augmenta si vite qu’une nouvelle persécution fût décrétée en 1801 où il fut exécuté avec trois cents de ses coreligionnaires. D’autres persécutions sévirent en 1815 et en 1827, mais, lorsqu’en 1837, débarqua, le premier vicaire apostolique, Laurent Imbert il trouva six mille chrétiens sous la direction du Père Pierre-Philibert Maubant et du Père Jacques-Honoré Chastan, arrivés secrètement en 1836.
Mgr. Laurent-Joseph-Marius Imbert, né à Marignane en 1796, d’une pauvre famille de Calas (commune de Cabriès) était entré au séminaire des Missions Etrangères de Paris (1818), il est ordonné prêtre le 18 décembre 1819, et envoyé en Chine (1820). Nommé vicaire apostolique de Corée et fait évêque in partibus de Capsa en Byzacène (Tunisie), il fut sacré au Seu-Tchouen et pénétra en Corée (1837). Au bout de trois mois d’études, il sut assez de coréen pour prêcher et confesser, si bien qu’il donna trois cents absolutions à Pâques 1838 et augmenta la communauté chrétienne qui, en janvier 1839 comptait neuf mille fidèles, malgré la proscription. Je ne demeure que deux jours dans chaque mission où je réunis les chrétiens, et avant que le jour paraisse, je passe dans une autre maison. Je souffre beaucoup de la faim, car, après s’être levé à deux heures et demie, attendre jusqu’à midi un mauvais et faible dîner d’une nourriture peu substantielle, sous un climat froid et sec, n’est pas chose facile. Après le dîner, je prends un peu de repos, puis je fais la classe de théologie à mes grands écoliers ; ensuite, j’entends quelques confessions jusqu’à la nuit. Je me couche à neuf heures, sur la terre couverte d’une natte et d’un tapis de laine de Tartarie ; en Corée, il n’y a ni lits, ni matelats. J’ai toujours, avec un corps faible et maladif, mené une vie laborieuse et fort occupée ; mais ici, je pense être parvenu au superlatif et au nec plus ultra du travail. Vous pensez bien qu’avec une vie si pénible nous ne craignons guère le coup de sabre qui doit la terminer. Trahi, il fut pris le 11 août 1839 et, pour qu’on inquiétât pas les fidèles, il invita ses deux confrères à se livrer. Ayant refusé de dénoncer les fidèles, ils furent questionnés et bastonnés pendant deux jours (15 et 16 septembre) à Sai-nam-hte, près de Séoul. Le 21 septembre, les bourreaux les dénudèrent jusqu’à la ceinture, leur enfoncèrent des flèches à travers les oreilles et leur aspergèrent le visage avant de les saupoudrer de chaux ; exposés au pilori, à genoux, ils furent achevés à coups de sabre. André Kim, le premier prêtre coréen, ordonné à Shanghaï en 1845 fut décapité en Corée le 16 septembre 1846.La quatri
ème et dernière grande persécution, la plus terrible, eut lieu en 1866. De nombreux prêtres et fidèles, coréens et français, furent martyrisés. On évalue à huit mille le nombre des victimes, sans compter tous ceux qui, exilés, moururent de misère ou de froid dans les montagnes. Le Régent de Corée, en 1866, fit élever une stèle monumentale dans laquelle il fit graver en caractères chinois : « La secte perverse des chrétiens est anéantie. » Le 12 juin 1881 enfin, un édit royal annonça la fin de la persécution et la tolérance pour la religion chrétienne.
Pie XI béatifia ces quatre ecclésiastiques, avec soixante-quinze fidèles, le 5 juillet 1925 ; Jean-Paul II, le 6 mai 1984, canonisa cent-trois martyrs de Corée, exécutés entre 1839 et 1867 dont, en plus de ceux qui sont cités plus haut, l’évêque Siméon Berneux, exécuté le 8 mars 1866, avec les Pères Just Ranfer de Bretenières, Louis Beaulieu et Henri Dorie, et l’évêque Antoine Daveluy, exécuté le 30 mars 1866, avec les Pères Pierre Aumaître et Luc-Martin Huin (8 mars 1866).
bonne nuit
20 septembre, 2007« Ses péchés, ses nombreux péchés sont pardonnés »
20 septembre, 2007Saint Romanos le Mélode (?-vers 560), compositeur d’hymnes
Hymne 21 (trad. Bouchet, Lectionnaire, p.327 / SC 114, p. 25s)
« Ses péchés, ses nombreux péchés sont pardonnés »
Quand elle a vu les paroles du Christ se répandre partout comme des aromates, la pécheresse…s’est mise à détester la puanteur de ses actes…: « Je n’ai pas eu égard à la miséricorde dont le Christ m’environne, me cherchant quand je m’égare par ma faute. Car c’est moi qu’il cherche partout ; c’est pour moi qu’il dîne chez le pharisien, lui qui nourrit le monde tout entier. Il fait de la table un autel de sacrifice où il s’offre, remettant leur dette à ses débiteurs pour qu’ils s’approchent avec confiance en disant : ‘ Seigneur, délivre-moi du gouffre de mes oeuvres. ’ »
Avidement, elle y accourt et, dédaignant les miettes, elle a saisi le pain ; plus affamée que la Cananéenne (Mc 7,24s), elle a rassasié son âme vide, car elle avait autant de foi. Ce n’est pas son cri d’appel qui l’a rachetée mais son silence, car elle a dit dans un sanglot : « Seigneur délivre-moi du gouffre de mes oeuvres »…
Elle s’est hâtée à la maison du pharisien, se précipitant dans la pénitence. « Allons, mon âme, dit-elle, voici le temps que tu demandais ! Celui qui purifie est là, pourquoi rester dans le gouffre de tes oeuvres ? Je m’en vais à lui, car c’est pour moi qu’il est venu. Je laisse mes anciens amis, car celui qui est là aujourd’hui, je le désire passionnément ; et puisqu’il m’aime, à lui mon parfum et mes larmes… Le désir du désiré me transfigure et j’aime celui qui m’aime comme il veut être aimé. Je me repens et me prosterne, c’est ce qu’il attend ; je cherche le silence et la retraite, c’est ce qui lui plaît. Je romps avec le passé ; je renonce au gouffre de mes oeuvres.
« J’irai à lui donc pour être illuminée, comme le dit l’Écriture, je vais approcher du Christ et je ne serai pas confondue (Ps 33,6;1P 2,6). Il ne me fera pas de reproches ; il ne me dira pas : ‘ Jusqu’à présent tu étais dans les ténèbres et tu es venue me voir, moi le soleil. ’ C’est pourquoi je prendrai du parfum et je ferai de la maison du pharisien un baptistère où je laverai mes fautes et où je me purifierai de mon péché. De larmes, d’huile et de parfum, je remplirai la cuve baptismale où je me laverai, où je me purifierai, et je m’échapperai du gouffre de mes oeuvres ».