Le Pape a Loreto: « Soirée qui creuse trace »
c’est un article sur le journal italien « Avvenire » de la pensée du journaliste correspond hier, à celui-là qui ai vécu en regardant la télévision, et, en lisant la pensée du journaliste j’ai revécu l’émotion et l’émotion le samedi; les textes originaux sur le site du Vatican sont seulement en italien, entre quelque jour il y aura aussi en français, le doute qui avais, qu’aussi les sites italiens ne reportaient pas le texte réel du discours mais le prêt il, il s’est confirmé en lisant l’original, jour pour jour je contrôlerai et dès que la traduction arrive je vous le communique, du site on line du journal « Avvenire » (traduction):
Soirée qui creuse trace
On a fait connaître. Et il les a séduits
Francesco Ognibene
Ils se sont conquis un autre, amis que de j’improvise on découvre capables d’une confiance entièrement imprévisible. Le Pape et les jeunes : il sur la loge, ils sin sur le sommet de le vallée ouverte qui donne vers la mer, presque un kilomètre de distance, pourtant les tous très voisins dans un climat que difficilement qui a eu la fortune d’y être verra décolorer dans d’elle. Cette de Loreto elle est une soirée qui creuse trace, une page qui s’ouvre et est maintenant toute à écrire, dialogue ouvert qu’il connaîtra autres chapitres, de maintenant dans en avant inspirés de cette extraordinaire rencontre. Peut-être elle est parce qu’entre les bras de Montorso, dans le calme coucher de soleil hier, il y avait air de Maison, la même que les garçons ont respiré le long des jours de cette Agora à la fin surprenante, comme toujours arrive lorsque leur route croise cette de Pierre. Une vague d’affection a descendu de la colline où il sort le profil du Sanctuaire, le Pape si n’est laissé conquérir et l’a rendu aux jeunes en multipliant la force et en séduisant définitivement la génération représentée des 400 mille qui l’écoutaient avec émotion croissant à mesure que ce père ainsi simple et direct dénouait chaque hypothétique froideur, écourtait les distances, il ouvrait la main en lui la laissant saisir de la foule qui semblait ne pas attendre autre. Sous le regard des Vierge de Loreto il est né un lien tout nouveau et original, le style sobre et captivant de le Pape avec la passion juvénile prête à déborder lorsque il reconnaît la voix dont pouvoir avoir confiance. Les jeunes ont arrive qu’ils peuvent poser des rêves et de la fragilité de leurs ans, ensemble à la peur succomber à un monde qui parle une langue persuasive mais fausse, sur cette Pape intellectuelle qui sait être des bergères et ami au point à recompter des anecdotes, comme un curé qui veut se faire comprendre bien. Que s’est-il passé ? Que Benoît a simplement montré soi même, on a fait connaître des jeunes, et ceci a suffi. Dans ses réponses à bras et dans discours pour là veille a fait voir qu’il connaît le code de leur âme et que nous loi dans mieux de n’importe qui autre, même d’elles mêmes. Il n’a pas été difficile apercevoir sur les faces de quel il l’écoutait les signes d’une découverte, et à la fin de la commotion qui te saisit lorsque ne vous t’attends pas tant de grâce. Venus pour se retrouver et se soutenir pour un autre trait de route – chaque rencontre juvénile vit même de cette gratification réciproque – les garçons rapportent à la maison la certitude d’avoir trouvé qui les comprend et il les aime vraiment. Si le mal qui les effrite est la perception de se découvrir aux donc seuls dans le labyrinthe indéchiffrable d’une vie sans direction, le Pape qui dit de partager « vos joies et le vôtre des peines » et que confronte leurs peurs avec le tremblement de Marie aux mots de l’Ange – l’écho résonne ancre, ici il y à Loreto – tomber même achève creux et devient « un de nous », comme il disait quelqu’un à fine soirée, sans trouver des mots meilleurs que celles ainsi récurrentes entre eux. Les garçons l’avaient accueilli avec la joie que toujours ils réservent à le Pape, mais n’imaginaient peut-être pas que Benoît les aurait heureusement vaincus, en prenant à tel vise sérieusement dialogue à descendre dans chaque question sans hâte, serein dans les gestes et dans la face, en pleine syntonie avec ce qui chaque d’eux a portés avec elle à Loreto dans un bagage entassé de questions. En sachant en effet de saler au Saint Maison – maison ils, maintenant plus que jamais – dans le zain ils ont enfilé tous les nœuds qui compliquent le chemin d’un âge à des obstacles : la Mère de Nazareth sait comprendre, et les jeunes qui dans ces jours ont fait cohue pour entrer dans cet angle dont silence parfait que l’Italie a la grâce de recevoir n’ont pas fait autre que se confier à Elle. Maintenant ils savent pouvoir compter même sur une Pape qui les a écoutés vraiment, et ensuite a parlé droit à leur vie.
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