Archive pour août, 2007

j’ai prié pour vous mes amis et frères français, j’ai allumé une petite bougie pour vous

28 août, 2007

j’ai été à l’église de Sant’Agostino, la célébration pour Sainte Monica a été vraiment belle et émouvante, j’ai prié pour vous mes amis et frères français, j’ai allumé une petite bougie pour vous, je vous écrit ici, au-dessous, la prière a Monique de l’image pieuse de la sainte que j’avais pris dans la chapelle de Monique:

Père Sainte,

Miséricorde envers tous ceux qui espèrent en Toi, Tu as accordé à ta servante Monique le don inestimable de réconcilier des âmes avec Toi et entre elles; Par sa vie, ses prières et ses larmes, elle amena à Toi son Mari Patrice et son fils Augustin: nou louons en elle tes dons et par son intercession, accorde-nous tes grâce.

Toi chère Sainte  Monique, qui as nourri spirituellement tes fils les engendrant chaque fois que tu les fils les engendrant chaque fois que tu les voyais s’éloigner de Dieu, prie pour nos familles, nos jeunes et tous ceux qui ne trouvent pas le chemin de la foi.

Rbtiens-nous de rester fidèles à Dieu,

de perséverer dans le désir du Ciel etde conduire au Seigneur ceux qu’Il nous confie.

Amen

« Vous avez négligé ce qu’il y a de plus grave dans la Loi : la justice, la miséricorde et la fidélité »

27 août, 2007

Saint Pierre Damien (1007-1072), ermite puis évêque, docteur de l’Église
Opuscule 51 ; PL 145, 749s (trad. Migne 1992, p. 125 rev.)

« Vous avez négligé ce qu’il y a de plus grave dans la Loi : la justice, la miséricorde et la fidélité »

Si tu veux cheminer correctement, avec discrétion et avec fruit sur la route de la vraie religion, tu dois être austère et rigide avec toi-même, mais paraître toujours joyeux et ouvert avec les autres, t’efforçant en ton coeur de cheminer sur les sommets de la droiture, tout en sachant t’abaisser avec bonté vers les faibles. Bref, devant le jugement de ta conscience, tu dois modérer les rigueurs de la justice, de telle sorte que tu ne sois pas dur pour les pécheurs, mais accessible au pardon et indulgent…

Estime ton péché dangereux et mortel ; celui des autres, nomme-le fragilité de la condition humaine. La faute que tu estimes chez toi digne d’une correction sévère, pense que, chez les autres, elle ne mérite qu’un petit coup de baguette. Ne sois pas plus juste que le juste : crains de commettre le péché, mais n’hésite pas à pardonner au pécheur. La vraie justice n’est pas celle qui précipite les âmes des frères dans le piège du désespoir… Il est bien dangereux le feu qui, en brûlant des buissons, menace d’embraser la maison elle-même avec l’ardeur de ses flammes. Non, celui qui épluche volontiers les défauts des autres n’évitera pas le péché, car, même s’il est mû par le zèle de la justice, tôt ou tard, il se laissera aller au dénigrement.

Evidemment, si notre vie ne nous paraissait pas si brillante, celle des autres ne nous semblerait pas si laide. Et si, comme il le faudrait, nous étions pour nous des juges sévères, les fautes d’autrui ne trouveraient pas en nous des censeurs aussi rigoureux.

ils montent à Sainte Monica presque secrètement les prières des mamans, des soeurs des femmes, pour la famille, pour les maris, pour les fils

27 août, 2007

ils montent à Sainte Monica presque secrètement les prières des mamans, des soeurs des femmes, pour la famille, pour les maris, pour les fils dans image bon nuit, jour, dimanche etc.

http://santiebeati.it/immagini/?mode=album&album=24200&dispsize=Original

Le Christ nous appelle à voir la lumière sur nous-même

27 août, 2007

Saint Augustin (354-430), évêque d’Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l’Église
Confessions, VII, 10

Le Christ nous appelle à voir la lumière sur nous-même

Averti par mes lectures à faire un retour sur moi-même, je suis entré dans le fond de mon coeur, sous ta conduite. Je l’ai pu parce que tu t’es fait mon soutien. J’y suis entré, et j’ai vu, de je ne sais quel oeil, plus haut que ma pensée, une lumière immuable. Ce n’était pas la lumière ordinaire que perçoivent les yeux du corps, ni une lumière du même genre mais plus puissante, plus éclatante, remplissant tout de son immensité. Non, ce n’était pas cela, mais une lumière différente, très différente de tout cela.

Elle n’était pas non plus au-dessus de ma pensée comme l’huile surnage au-dessus de l’eau, ni comme le ciel s’étend au-dessus de la terre. Elle était au-dessus parce que c’est elle-même qui m’a fait ; et moi au-dessous, parce que je suis son ouvrage. Pour la connaître, il faut connaître la vérité ; et celui qui la connaît, connaît l’éternité ; c’est la charité qui la connaît. O éternelle vérité, vraie charité, chère éternité ! Tu es mon Dieu, et je soupire après toi jour et nuit.

Quand j’ai commencé à te connaître, tu m’as élevé vers toi pour me montrer que j’avais encore bien des choses à comprendre et combien j’en étais encore incapable. Tu m’as fait voir la faiblesse de mes regards, en lançant sur moi ta splendeur, et j’ai frémi d’amour et d’effroi. J’ai découvert que j’étais loin de toi, dans la région de la dissemblance, et ta voix me venait, comme des hauteurs : « Je suis le pain des grands ; grandis, et tu me mangeras. Et ce n’est pas toi qui me changeras en toi, comme cela se passe pour la nourriture de ta chair ; mais toi, tu seras changé en moi ».

…JE NE SUIS PAS ICI…SEULEMENT LA NUIT… CE SOIR

26 août, 2007

BONJOUR 

DEMAIN ET APRÈS-DEMAIN JE NE SUIS PAS ICI, L’APRÈS-MIDI, ALOR QUE JE TRAVAILLE  SUR L’ORDINATEUR, PARCE QUE JE VAIS À L’ÉGLISE DE SAINT AUGUSTIN POUR LA FÊTE DE SAINT AUGUSTIN ET SAINTE MONIQUE, JE PRIERAI POUR VOUS, 

PEUT-ETRE LA SOIR JE FERAI LE CHANGE DE L’EVANGILE, DE LE COMMENTAIRE E JE VOUS DONNE LA BONNE NUIT,

AUSSI MAINTENANT NE PEUT PAS TRAVAIIER À L’ORDINATEUR,

EN AMBRASSE A TOUTS

...JE NE SUIS PAS ICI...SEULEMENT LA NUIT... CE SOIR dans Avis rose

bonne nuit

26 août, 2007

bonne nuit dans Pape Benoit 119161002_755487cf06

Peony Flower

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AVIS: échange de template

26 août, 2007

vous voyez que je, de temps en temps, échange le template, celui-ci je le fais quand je ne réussis pas à mettre bien, écriture, couleur etc., en changeant le template, tout va souvent à la place, le motif  je ne le sais pas, je m’excuse de toute façon

Gabriella

« Jésus passait par les villes et les villages en enseignant »

26 août, 2007

Saint Césaire d’Arles (470-543), moine et évêque
Sermon 7 ; CCL 103, 37s (trad. SC 175, p. 341s rev.)

« Jésus passait par les villes et les villages en enseignant »

Faites bien attention, frères très chers : les saintes Écritures nous ont été transmises pour ainsi dire comme des lettres venues de notre patrie. Notre patrie, en effet, c’est le paradis ; nos parents, ce sont les patriarches, les prophètes, les apôtres et les martyrs ; nos concitoyens, les anges ; notre roi, le Christ. Quand Adam a péché, nous avons été pour ainsi dire jetés dans l’exil de ce monde. Mais parce que notre roi est fidèle et miséricordieux plus qu’on ne peut le penser ou le dire, il a daigné nous envoyer, par l’intermédiaire des patriarches et des prophètes, les saintes Écritures, comme des lettres d’invitation par lesquelles il nous invitait dans notre éternelle et première patrie… En raison de son ineffable bonté, il nous a invités à régner avec lui.

Dans ces conditions, quelle idée se font d’eux-mêmes les serviteurs qui…ne daignent pas lire les lettres qui nous invitent à la béatitude du Royaume ?… « Celui qui ignore sera ignoré » (1Co 14,38). Certainement, celui qui néglige de chercher Dieu dans ce monde par la lecture des textes sacrés, Dieu à son tour refusera de l’admettre dans la béatitude éternelle. Il doit craindre qu’on ne lui ferme les portes, qu’on ne le laisse dehors avec les vierges folles (Mt 25,10) et qu’il ne mérite d’entendre : « Je ne sais pas qui vous êtes ; je ne vous connais pas ; écartez-vous de moi, vous tous qui faites le mal »… Celui qui veut être écouté favorablement de Dieu doit commencer par écouter Dieu. Comment aurait-il le front de vouloir que Dieu l’écoute favorablement, s’il en fait si peu de cas qu’il néglige de lire ses préceptes ?

Louis IX de France, Saint Louis, roi de France (+ 1270)

25 août, 2007

Louis IX de France, Saint Louis, roi de France (+ 1270) dans images sacrée

http://santiebeati.it/immagini/?mode=album&album=29000&dispsize=Original

SAINT AUGUSTIN – LES CONFESSIONS – CHANGEMENT PRODUIT DANS L’AME D’AUGUSTIN

25 août, 2007

 du site:

http://www.abbaye-saint-benoit.ch/saints/augustin/confessions/livre10.htm#_Toc509574565

SAINT AUGUSTIN  – LES CONFESSIONS 

LIVRE DIXIÈME.

CHANGEMENT PRODUIT DANS L’AME D’AUGUSTIN

CHAPITRE PREMIER.

ÉLÉVATION.1. Que je vous connaisse, intime connaisseur de l’homme! que je vous connaisse comme vous me connaissez ( I Cor. XIII, 12)! Force de mon âme, pénétrez-la, transformez-la, pour qu’elle soit vôtre et par vous possédée sans tache et sans ride (Ephés. V, 27)! C’est là tout mon espoir, toute ma parole! Ma joie est dans cet espoir lorsqu’elle n’est pas insensée. Quant au reste des choses de cette vie, moins elles valent de larmes, plus on leur en donne; plus elles sont déplorables, moins on les pleure ! Mais, vous l’avez dit, vous aimez la vérité, Seigneur (Ps, L, 8); et celui qui l’accomplit vient à la lumière (Jean, III, 21): qu’elle soit donc dans mon coeur qui se confesse à vous, qu’elle soit dans cet écrit qui me confesse à tous!CHAPITRE II.

CONFESSION DU COEUR.

2. Et quand même je vous fermerais mon coeur, que pourrais-je vous dérober? Vos yeux, Seigneur, ne voient-ils pas à nu l’abîme de la conscience humaine? C’est vous que je cacherais â moi-même, sans me cacher à vous. Et maintenant que mes gémissements témoignent que je me suis en dégoût, voilà qu’aimable et glorieux vous attirez mon coeur et mes désirs, afin que je rougisse de moi, que je me rejette et vous élise; afin que je ne trouve grâce devant moi-même, comme devant vous, que grâce à vous. Quel que j e sois, vous me connaissez donc toujours, Seigneur; et j’ai dit cependant quel fruit je recueillais de ma confession. Je vous la fais, non de la bouche et de la voix, mais en paroles de l’âme, en cris de la pensée qu’entend votre oreille. En effet, suis-je mauvais, c’est me confesser à vous que de me déplaire à moi-même; suis-je pieux, c’est me confesser à vous que de ne pas m’attribuer les bons élans de mon âme. Car c’est vous, mon Dieu! qui bénissez le juste ( Ps. V, 13), mais vous l’avez d’abord justifié comme pé

cheur ( Rom. IV, 5).

Ma confession en votre présence, Seigneur, est donc explicite et tacite: silence des lèvres, cris d’amour! Que dis-je de bon aux hommes que vous n’ayez d’abord entendu au fond de moi-même, et que pouvez-vous entendre de tel en moi-même que vous ne m’ayez dit d’abord?

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