je vous raconte ces deux jours a l’ Église de Sant’Agostino pour la fête du Saint et de la Mère,

je vous raconte ces deux jours a l’ Église de Sant’Agostino pour la fête du Saint et de la Mère, j’ai écrit premier en italien et il est venu spontané m’écrire les sentiments, les prières, les émotions, je pense que ne peux pas écrire deux fois les émotions, alors ce qui ai écrit en italienne je le traduis pour vous comme je vous avais promis;

traduction de mon écrit en italien:

il est arrivé l’instant de recompter quelque chose de ces deux jours de fête : mémoire de Sainte Monique et de Saint Augustin, je crois que des saints e de l’église même de Sant’Agostino j’en ai parlé assez, au moins du Blog « In cammino verso Gesù Cristo » et dans celui français;  je voudrais par contre vous parler de ma réaction, de mes sentiments, de ce qui se passe dans le cœur d’une personne lorsque une expérience de foi ainsi fort, fort certes, mais dans le sens plus intérieur ; 

le témoignage qui se reçoit de ces deux saints est la première chose, même si lointains dans le temps sont, toutefois, très voisin ; une deuxième qu’est-ce que est la célébration même, après avoir lu l’histoire, la pensée, la vie d’Augustin, maintenant le célébrer comme saint est quelque chose qui donne un sens de stupeur, comme si mêmes en célébrant la sainteté d’une personne que tu as personnellement connu ; en Agostino il te agite évidemment sa pensée et te touche son histoire, cette histoire qui il n’a pas caché, mais a offert comme enseignement aux autres, la grande humilité de se rappeler ses erreurs, tempêtes du cœur, et de tout ce qui est passé dans d’lui et de se rappeler de la mère : Monique, elle qu’elle a prié toute la vie pour le fils et l’a comme engendré de nouveau chaque il tourne qu’il prenait une route fausse ; elles sont celles-ci les choses qui m’ont marqué de plus dans ces jours ; 

de Monique elle me reste dans celle-ci persévérante prière pour le fils, celle-ci, presque certitude, d’être exaucé de la miséricorde du Seigneur, de Monique elle me reste qu’il a prié et a obtenu quelque chose de Dieu – pour le fils – qu’à ces temps, divergés de les nôtre, était très difficile obtenir ; l’empire romain même si au debout de sa décadence possédait encore tout son charme, un charme qui aurait pu porter Augustin – de la famille des « Aurelii » – dans une direction très différente ; 

dans ces jours ainsi pleins d’événements, ainsi il semble à  moi, ce qui me frappe : j’incendie pas seulement dans le sud Italie, mais dans Grèce, ces garçons et pas seulement garçons qui meurent à volant au samedi soir, ces guerres interminables, la haine contre l’Église que tous nous connaissons, mais que, qui comme seule il m’écrit sur un Blog dédié à la Papa et catholique, il connaît encore de plus, ils arrivent spécialement de l’Italie (ne dis pas que les français sont meilleurs, mais peut-être est divergé, leur critique vient déjà de « de hors de l’Église », tout au moins me semble) arrivent des critique mauvaises, féroces et au même temps de personnes que souvent on sent « dans l’Église », chacun peut mettre son de regard sur le monde avec le sien impressionnes, certes pas toutes négatives, pas condamnation tout, il y a toujours aussi bien de bon, mais comme pour Augustin, le risque d’aller dehors route il y a, et pas seulement pour qui elle est déjà hors de l’Église, mais pour qui il est dans ou on en sent dans, pour qui il se sent de donner des jugements et il ne connaît généralement pas, ne sait pas, né Christ né l’Église, et même pour tous qui font du mal à la terre, le Pape aujourd’hui, je dois encore légères les catéchèse, mais je l’ai sentie en télévision; 

Anne Frank, vous vous rappelez, écrivait, peu avant être définitivement déporté, plus ou moins, parce que je n’ai pas le livre sous main maintenant : je crois toujours ancre dans l’intime bonté de l’homme ; je crois que vraiment pour ceci nous pouvons prier, même lorsque trop de choses semble qu’ils aillent mal ; prier comme Monique pour son fils Augustin : en manière incessant, avec confiance d’écouter pour obtenir le repentir du fils ; 

nous pouvons prier comme mères de beaucoup que nous ne connaissons pas, pour des évènements négatifs que nous ne savons pas entièrement qui les a provoqués, pour la méchanceté que je sens, beaucoup, et sur internet pour les catholiques il vient comme «  taillée à l’excès », voilà je prie pour ceux-ci que ne connais pas, pour qui fait du mal, perce que Dieu pardonne les péchés de l’homme ou il le rende à soi: le Seigneur et le Père, et pour cette terre qui nous avait été donnée à garder, parce que la protège, parce que protège sa création des mains de l’homme ; 

je crois avoir écrit beaucoup même si je ne sais pas si j’ai réussi à vous dire ce que je vis dans ces jours ; j’ai écrit de jette, parce qu’il est mieux pour recompter les sentiments, ainsi comme ai été capable ; 

Laisser un commentaire