Archive pour le 20 août, 2007

bonne nuit

20 août, 2007

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Tout quitter pour suivre le Christ

20 août, 2007

Saint Pierre Damien (1007-1072), ermite puis évêque, docteur de l’Église
Sermon 9 ; PL 144, 549-553 (trad. Delhougne, Les Pères commentent, p. 499)

Tout quitter pour suivre le Christ

C’est une grande chose, en vérité, de « tout quitter », mais une plus grande de « suivre le Christ » car, comme nous l’apprenons dans les livres, beaucoup ont tout quitté mais n’ont pas suivi le Christ. Suivre le Christ est notre tâche, c’est notre travail, en cela consiste l’essentiel du salut de l’homme, mais nous ne pouvons pas suivre le Christ si nous n’abandonnons pas tout ce qui nous entrave. Car « il s’élance en conquérant joyeux » (Ps 18,6), et personne ne peut le suivre s’il est chargé d’un fardeau.

« Voilà, dit Pierre, que nous avons tout quitté », non seulement les biens de ce monde, mais aussi les désirs de notre âme. Car il n’a pas tout abandonné, celui qui reste attaché ne serait-ce qu’à lui-même. Bien plus, cela ne sert à rien d’avoir abandonné tout le reste à l’exception de soi-même, car il n’y a pas pour l’homme de fardeau plus lourd que son moi. Quel tyran est plus cruel, quel maître plus impitoyable pour l’homme que sa volonté propre ?… Par conséquent, il faut que nous abandonnions nos possessions et notre volonté propre si nous voulons suivre celui qui n’avait « pas d’endroit où reposer la tête » (Lc 9,58) et qui est venu « non pour faire sa volonté, mais pour faire la volonté de celui qui l’a envoyé » (Jn 6,38).

Francisco Goya y Lucientes, S Roberto di Molesme. accueille Saint Bernard de Clairvaux dans l’ordre cistercien, 1787, Valladolid Espagne

20 août, 2007

Francisco Goya y Lucientes, S Roberto di Molesme. accueille Saint Bernard de Clairvaux dans l'ordre cistercien, 1787, Valladolid Espagne dans images sacrée

Francisco Goya y Lucientes, S Roberto di Molesme. accueille Saint Bernard de Clairvaux dans l’ordre cistercien, 1787, Valladolid Espagne

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Saint Bernard (Dijion, France – Chiaravalle-Clairvaux 20 agosto 1153)

20 août, 2007

du site:  

http://www.cef.fr/catho/saints/index.php

Le saint du jour présenté aujourd’hui est l’un des saints choisi parmi ceux proposés par l’Église. Chaque jour, l’Église honore plusieurs saints et bienheureux : ceux du calendrier romain (sanctoral romain), ceux des calendriers diocésains et ceux du calendrier des églises orientales (synaxaire).

Saint Bernard (Dijion, France – Chiaravalle-Clairvaux 20 agosto 1153)

A quoi pouvait rêver dans l’éclat de sa jeunesse le fils de Tescelin, chevalier du duc de Bourgogne, et de dame Aleth de Montbard, si bonne chrétienne ? De chasses ou de tournois ? de chants de guerre ou de galantes conquêtes ? En tous cas, certainement pas de vie monastique comme il en fera le choix à l’âge de vingt-trois ans. D’autant qu’il entraînait avec lui une trentaine de jeunes en quête d’absolu…Dès 1115, après trois années de vie monastique à Citeaux, Bernard est envoyé à Clairvaux pour y fonder l’abbaye dont il restera père-abbé jusqu’à sa mort. Mais loin de rester cloîtré il parcourt les routes d’Europe devenant, comme on a pu l’écrire, « la conscience de l’Eglise de son temps ». Il vient plusieurs fois à Paris, à Saint Pierre de Montmartre, à la chapelle du Martyrium, à la chapelle Saint Aignan où il vient prier souvent devant la statue de la Vierge qui se trouve maintenant à Notre-Dame de Paris. Sa correspondance abondante avec des princes, des frères moines ou des jeunes gens qui requièrent son conseil ne l’empêche pas de se consacrer à la contemplation tout autant qu’à l’action directe dans la société de son temps. Infatigable fondateur, on le voit sur sa mule, traînant sur les routes d’Europe sa santé délabrée et son enthousiasme spirituel. Sa réforme monastique l’oppose à l’Ordre de Cluny dont il jugeait l’interprétation de la règle de saint Benoît trop accommodante. A sa mort, en 1153, ce sont trois cent quarante-trois abbayes cisterciennes qui auront surgi du sol européen.

« Si vous êtes sage, vous serez une vasque plutôt qu’un tuyau. »

(Paroles de saint Bernard)

« Ne point aspirer à monter, c’est descendre »

(Paroles de saint Bernard)

« Aussitôt qu’il est venu à moi, il a éveillé mon âme qui dormait. Il s’est mis à arracher, à détruire et à plante, à arroser ce qui était sec, à éclairer ce qui était ténébreux, à ouvrir ce qui était fermé, à enflammer ce qui était froid et a redresser ce qui était tortueux, si bien que mon âme bénissait le Seigneur et que tout en moi glorifiait son nom. »

(Paroles de saint Bernard)

Encouragements du pape pour la rencontre de Rimini Organisée par le mouvement « Communion et libération »

20 août, 2007

du site: 

http://zenit.org/article-15965?l=french

Encouragements du pape pour la rencontre de Rimini

Organisée par le mouvement « Communion et libération »

ROME, Dimanche 19 août 2007 (ZENIT.org) – Le pape Benoît XVI a encouragé ce dimanche les participants à la rencontre de Rimini (Italie) organisée par le mouvement « Communion et libération », à vivre pleinement la vocation de l’homme qui est d’être un « chercheur de la vérité ».

« La ‘Rencontre pour l’amitié entre les peuples’ qui a cette année pour thème : ‘la vérité est le destin pour lequel nous avons été créés’, s’est ouverte ce matin à Rimini », a déclaré le pape à l’issue de la prière de l’Angélus, de Castel Gandolfo.

« J’adresse une salutation cordiale aux organisateurs et je les assure de ma prière afin qu’à travers les multiples initiatives au programme, cette rencontre soit pour un grand nombre une occasion propice de réflexion et de confrontation, pour réaliser la vocation la plus profonde de l’homme : être un chercheur de la vérité et par conséquent un chercheur de Dieu », a-t-il ajouté.

C’est le cardinal Tarcisio Bertone, secrétaire d’Etat du pape qui a inauguré la rencontre, qui se terminera le 25 août.

L’édition 2007 de Rimini prévoit 118 rencontres, 20 spectacles, 12 expositions, 13 manifestations sportives, la présence de 408 intervenants, 3211 volontaires et la participation de plusieurs centaines de milliers de personnes, en majorité des jeunes.

Ces rencontres ont lieu chaque années depuis 1980.

Au cours de la messe d’ouverture, le cardinal Bertone a déclaré qu’aujourd’hui « on a comme l’impression que dans le climat de relativisme et de scepticisme qui imprègne notre civilisation, on va jusqu’à affirmer que l’on ne croit absolument pas à la possibilité de connaître la vérité ».

Commentant l’Evangile de ce dimanche, le cardinal Bertone a expliqué que le Christ est « la vérité devenue personne » et que « celui qui le cherche et se met à sa suite se réalise pleinement ».

Le cardinal a conclu en citant saint Augustin qui se demandait : « Que peut désirer l’homme plus ardemment que la vérité ? ».

« Toute l’existence de l’homme est parcourue par cette interrogation qui trouve pleinement sa réponse dans la rencontre avec le Christ », a répondu le cardinal.

Angélus : La paix de Jésus est le fruit d’un combat permanent contre le mal

20 août, 2007

du site: 

http://www.zenit.org/article-15966?l=french

Angélus : La paix de Jésus est le fruit d’un combat permanent contre le mal

Etre instruments de la paix du Christ signifie « vaincre le mal par le bien »

ROME, Dimanche 19 août 2007 (ZENIT.org) – La paix du Christ n’est pas une « absence de conflits » mais un « combat contre le mal », a affirmé Benoît XVI ce dimanche.

Le pape a expliqué aux pèlerins réunis dans la cour intérieure de la résidence pontificale de Castel Gandolfo pour participer à la prière de l’Angélus, qu’être des « instruments » de la paix du Christ signifie « vaincre le mal par le bien ».

Commentant les paroles surprenantes de Jésus dans l’Evangile de ce dimanche « Pensez-vous que je sois venu mettre la paix dans le monde ? Non, je vous le dis, mais plutôt la division », Benoît XVI a expliqué en quoi consiste véritablement la paix de Jésus.

« Cette expression du Christ signifie que la paix qu’Il est venu apporter n’est pas synonyme d’une simple absence de conflits », a-t-il souligné.

« La paix de Jésus est le fruit d’un combat permanent contre le mal. La lutte que Jésus mène avec détermination n’est pas une lutte contre des hommes ou des pouvoirs humains, mais contre l’ennemi de Dieu et de l’homme, Satan », a expliqué Benoît XVI.

« Celui qui veut résister à cet ennemi en restant fidèle à Dieu et au bien, doit nécessairement faire face à des incompréhensions et parfois de véritables persécutions », a-t-il ajouté.

« Par conséquent, a poursuivi le pape, ceux qui entendent suivre Jésus et s’engager pour la vérité sans faire de compromis, doivent savoir qu’ils rencontreront des oppositions et deviendront, malgré eux, signe de division entre les personnes, y compris au sein de leurs propres familles ».

« Les chrétiens deviennent ainsi, sur les pas du Seigneur Jésus, ‘des instruments de sa paix’, selon la célèbre expression de saint François d’Assise. Non pas d’une paix inconsistante et apparente, mais réelle, poursuivie avec courage et persévérance dans l’engagement quotidien à vaincre le mal par le bien et payant le prix que cela comporte », a conclu le pape.

Saluant les pèlerins de langue allemande, à la fin de la prière de l’Angélus, le pape a ajouté :
« Les lectures de ce dimanche nous rappellent clairement que le Christ ne recherche pas des conformistes fatigués mais des témoins de la foi courageux en qui brûle le feu de son amour. (…) Lorsque nous nous tournons vers lui et nous ouvrons à sa grâce, nous pouvons résister à la tentation du péché et nous engager avec persévérance sur le chemin du bien ».