Archive pour le 16 août, 2007

16 août, 2007

 il m’est arrivée ce commentaire et je désire le faire vous lire, et merci a Georg: Georg a dit:
16 août, 2007 à 15:07

Pie XII a fait ce qu’il a pu pour alléger les souffrances des persécutés pendant la seconde guerre mondiale. Par son action directe ou indirecte, il a sauvé de nombreux Juifs de l’extermination : ceux-là ne diront pas qu’il aurait dû faire ceci plutôt que cela, dira ça plutôt que ci !
Plus d’information peut être trouvé par exemple sur


http://wikipie12.telemack.net

 

 

L’Assomption de Marie, vitreaux

16 août, 2007

L'Assomption de Marie, vitreaux dans images sacrée plangesame

http://www.salesien.com/perelachaise/plvitraux6a.htm

en douce photo du pae avec le frère Don Georg

16 août, 2007

en douce photo du pae avec le frère Don Georg dans Pape Benoit

Pope Benedict XVI is handed a copy of the book, « The Brother of the Pope », by his brother Reverend Monsignor Georg Ratzinger (L) at Castelgandolfo outside Rome August 16, 2007. REUTERS/Osservatore Romano (ITALY)

l’Angélus de le jour de l’Assomption de Marie

16 août, 2007

le texte de L’Angélus du 15.8.07, (traduction Babelfish est corrigée par moi), le texte de la Constitution Munificentissimus Deus dans le site Vatican il n’y a pas en français;

http://www.korazym.org/news1.asp?Id=24770 

Les mots du Saint Père à l’Angélus dans la solennité de l’Assomption du B.V. Marie, 15 août 2007. Nous rapportons de suivi teste intégral des mots du Saint Père avant récite de l’Angélus.

Chers frères et sœurs, nous célébrons cet aujourd’hui la solennité de l’Assomption de Bienheureuse Vierge Marie. Il s’agit d’une fête ancienne, qui a sa fondation achève dans la Sacrée Écriture : celle-ci en effet présente la Vierge Marie étroitement uni à son Fils divin et toujours à Lui solidaire. Mère et Fils apparaissent étroitement associés dans la bataille contre l’ennemie infernale jusqu’à la pleine victoire sur lui. Cette victoire s’exprime, en particulier, dans le dépassement du péché et des mortes, dans le dépassement c’est-à-dire de ces ennemis qui Saint Paul présente toujours joints (cf. Rm 5, 12. 15-21 ; 1 Cor 15, 21-26). Donc, comme la résurrection glorieuse de Christ il fut marque définitif de cette victoire, ainsi la glorification de Marie même dans son corps virginal constitue la confirmation finale de sa pleine solidarité avec le Fils tant dans la bataille combien dans la victoire. De tel profond signifié théologique du mystère se fit à interprète l’Esclave de Dieu Pape Pio XII dans prononcer, le 1 novembre 1950, la solennelle définition dogmatique de ce privilège de Marie. Il déclarait : « De telle manière le auguste Mère de Dieu, mystérieusement unie à Jésus Christ depuis toute l’éternité avec un même décret de prédestinations, Immaculée en sa Conception, toujours Vierge dans sa divine maternité, généreuse Associée des Divin Rédempteur, qui a rapporté un plein triomphe sur le péché et sur ses conséquences, à la fin, comme suprême couronnement de le privilégies, obtint d’être préservait de la corruption du sépulcre et, vaincue les mortes, comme déjà son Fils, d’être élevé en âme et corps à la gloire du Ciel, où resplendi Reine à la droite du Fils, le sien, Roi immorale des siècles » (Cost. Munificentissimus Deus : AAS 42.1950) Chers frères et sœurs, assumée en ciel, Marie on n’est pas éloigné de nous, mais il y reste encor plus voisine et sa lumière se projette sur notre vie et sur l’ histoire dell’ entière humanité. Attirés du fulgore céleste de la Mère des Rédempteur, nous recourons avec confiance à Celle qui du haut nous regarde et nous protège. Nous avons tout besoin de son aide et de le sien je réconforte pour affronter les épreuves et les défis de chaque jour ; nous avons besoin de lui sentir mère et sœur dans les concrètes situations de notre existence. Et pour pouvoir partager un jour même nous toujours son même destine, imitons la maintenant dans la docile séquelle de Christ et dans le généreux service des frères. C’est ceci l’unique mode pour pré-goûter, déjà dans notre pèlerinage terrain, la joie et la paix qui vit en plénitude qui arrive au but immorale du Paradis.

 

l’homélie prononcée à bras de Benoît XVI pendant le Saint Messe de l’Assomption

16 août, 2007

Le pape : l’amoure il vainc sur la haine; de Mattia Blancs/15/08/2007, le teste intégral de l’homélie prononcée à bras de Benoît XVI pendant le Saint Messe de l’Assomption, dans la paroisse de San Tommaso à Castel Gandolfo.

(traduction Babelfish et corrigée par moi)

Le pape : l’amour il vainc sur la haine de Mattia Blancs/15/08/2007

Chers frères et sœurs, dans son grande œuvre « La Cité de Dieu », Sant’ Augustin dit autrefois que toute l’histoire humaine, l’histoire du monde, est une bataille entre deux amours : l’amour de Dieu jusqu’à la perte si de même, jusqu’au don si de même, et l’amour de soi jusqu’à la méprise de Dieu, jusqu’à la haine des autres. Ces mêmes interprétation de l’histoire comme bataille entre deux amours, entre l’amour et égoïsme, apparaît même dans la lecture traite de l’Apocalypse, que nous avons senti maintenant. Ici, ces deux amours apparaissent en deux grandes figures. Avant tout il est le dragon rouge très fort, avec une manifestation impressionnante et inquiétante du pouvoir sans grâce, sans amour, de l’égoïsme absolu, de la terreur, de la violence.

Dans l’instant où saint Jean écrivit l’Apocalypse, pour lui ces dragon était réalisées dans le pouvoir des empereurs romains antichrétiens, de Néron jusqu’à Domitien. Ce pouvoir apparaissait illimité ; le pouvoir militaire, politique, de propagande de l’empire romain était tel qui devant à lui la foi, l’Église apparaissait comme une femme inerme, sans possibilité de survivre, très moins de vaincre. Qui pouvait se opposai à ce pouvoir omniprésent, qui semblait en mesure de faire de tout ? Et toutefois, nous savons qu’à la fin il a vaincu la femme inerme, a vaincu pas l’égoïsme, pas la haine ; il a vaincu l’amour de Dieu et l’empire romain on est ouvert à la foi chrétienne.

Les mots de la Sacrée Écriture dépassent toujours l’instant historique. Et ainsi, ces dragon indique pas seulement le pouvoir antichrétien des persécuteur de l’Église de ce temps, mais les dictatures matérialiste antichrétiennes de tous les périodes. Nous voyons de nouveau réalisé ce pouvoir, cette force de le dragon rouge dans les grandes dictatures du siècle passé : la dictature du nazisme et la dictature de Stalin avaient tout le pouvoir, pénétraient chaque angle, achève angle. Il apparaissait impossible que, à longue échéance, la foi pouvait survivre devant ces dragon ainsi fort, que voulait dévorer le Dieu qui s’est fait enfant et la femme, l’Église. Mais en réalité, même dans ce cas à la fin, l’amour il fut plus fort de la haine.

Même aujourd’hui il existe le dragon en modalités nouvelles, différentes. Il existe dans la forme des idéologies matérialiste qu’ils disent : il est absurde penser à Dieu ; il est absurde observer les commandements de Dieu ; elle est chose d’un temps passé. Elle vaut seulement vivre la vie pour elle. Prendre dans ce bref instant de la vie tout combien nous est possible prendre. Il vaut seul consomme, l’égoïsme, le divertissement. Celle-ci est la vie. Ainsi nous devons vivre. Et de nouveau, il semble absurde, impossible opposai à cette mentalité dominante, avec toute sa force médiatique, propagandiste. Il semble impossible aujourd’hui ancre penser à un Dieu qui a créé l’homme et qu’on a fait enfant et que serait le vrai dominateur du monde.

Même maintenant ces dragon apparaît invincible, mais même maintenant il reste vrai que Dieu est plus fort de dragon, qui l’amour vainquent et pas l’égoïsme. En ayant considéré ainsi les différentes configurations historiques de dragon, nous voyons maintenant l’autre image : la femme vêtue de soleil avec la lune sous ses pieds, entourée de douze étoiles. Même cette image est multidimensionnelle. Un premier signifié sans doute est qu’elle est la Viège Marie vêtue de soleil, c’est-à-dire de Dieu, totalement ; Marie qui vit en Dieu, totalement, entourée et pénétrée de la lumière de Dieu. Entourée des douze étoiles, c’est-à-dire des douze tribus d’Israël, de tout Peuple de Dieu, de toute la communion des saints, et aux pieds la lune, l’image des mortes et de la mortalité. Marie a laissé derrière d’elle les mortes ; elle est totalement vêtue de vie, est assumée avec corps et âme dans la gloire de Dieu et ainsi, poste dans la gloire, en ayant dépassé les mortes, dit : Courage, à la fin vainc le amour ! Ma vie était dire : Ils sont l’esclave de Dieu, ma vie était don de moi, pour Dieu et pour le prochain. Et cette vie de service arrive maintenant dans la vraie vie. Que vous ayez confiance, vous ayez le courage de vivre ainsi même, contre toutes les menaces des dragon.

Ceci est le premier signifié de la femme qui Marie est arrivée à être. La « femme vêtue de soleil » est le grand marque de la victoire de l’amour, de la victoire de bien, de la victoire de Dieu. Grand marque de consolation. Mais ensuite cette femme qui souffre, qu’il doit fuir, qu’accouche avec crie de douleur, est même l’Église, l’Église pèlerine de tous les temps. Dans toutes les générations de nouveaux elle doit accoucher Christ, le porter au monde avec grand douleur de cette manière souffert. Dans tous les temps persécutée, vit presque dans le désert persécutée des dragon. Mais dans tous les temps l’Église, Peuple de Dieu vit même de la lumière de Dieu et est nourrie – comme il dit l’Évangile – de Dieu, nourri dans si même avec le pain du Saint Eucharistie. Et ainsi dans toute les tribulation, dans toutes les différentes situations de l’Église dans le cours des temps, dans les différentes parties du monde, en souffrant vainc. Et elle est la présence, la garantie des amour de Dieu contre toutes idéologies de la haine et de l’égoïsme.

Nous voyons certainement que même aujourd’hui le dragon veut dévorer le Dieu qui s’est fait enfant. Vous ne craignez pas pour ce Dieu apparemment faible. La bataille est déjà qu’est-ce que dépassé. Même aujourd’hui ce Dieu faible est fort : elle est la vraie force. Et ainsi la fête d’Assomption est l’invitation à avoir à confiance en Dieu et est même invitation à imiter Marie dans ce qu’elle même a dit : Je suis le servante du Seigneur; qu’il m’advienne selon ta parole! » Celle-ci est la leçon : aller sur sa route ; donner notre vie et ne pas prendre la vie. Et vraiment ainsi nous sommes sur le chemin de l’amour qu’il est se perdre, mais se perdre qu’en réalité est l’unique chemin pour se trouver vraiment, pour trouver la vraie vie.

Nous regardons Marie, l’Assompte. Laisser nous encourager à la foi et à la fête de la joie : Dieu vainc. La foi apparemment faible est la vraie force du monde. L’amour il est plus fort de la haine. Et nous disons avec Elisabeth : Bénie il est toi entre toutes les femmes. Nous te prions avec toute l’Église : Saint Maria priez pour nous, pauvres pécheurs,
maintenant et à l’heure de notre mort.

 

La prière selon frère Roger

16 août, 2007

pour le1er anniversaire de la mort de frère Roger; Il y a un an, le 16 août 2005, Frère Roger décédait tragiquement…, du site:

http://www.croire.com/article/index.jsp?docId=2311953&rubId=188

La prière selon frère Roger

Frère Roger, fondateur de la communauté oecuménique de Taizé, partage son expérience de la prière.

Ce qui est permanent c’est la prière  » Frère Roger, de Taizé (1969)
Frère Roger et mère Teresa, portaient ensemble cette question : « comment entraîner ceux qui leur étaient confiés à toujours choisir la lumière? ». Après le décès de mère Teresa en 1997, le frère Roger écrivait :  » (…) je réalisais combien dans nos vies la prière avait toujours offert la fraîccheur d’une source. Et nous en avions la même certitude, une communion en Dieu nous sort de nous-mêmes et nous stimule à alléger les souffrances humaines sur la terre. »

« Comme une voix intérieure » par le frère Roger, de Taizé

« Pour prier, Dieu ne demande ni prodiges extraordinaires, ni efforts surhumains. Dans l’histoire des chrétiens, tant de croyants ont vécu des sources de la foi à travers une prière toute pauvre de mots.

Serais-tu pris au dépourvu devant cette réalité de la prière qui, au premier abord, te dépasse? Il en était ainsi dès le début de l’Eglise. Paul, l’apôtre écrivait :  » Nous ne savons pas comment prier… »Il ajoutait : » Mais l’Esprit saint vient au secours de notre incapacité et il prie en nous. » Ton coeur a peuine à l’imaginer, mais son Esprit est en continuelle activité au-dedans de toi.

Tu aspires à sentir la présence de Dieu et tu as l’impression d’une absence.Voici sept cents ans, un chrétien du nom de Maître Eckhart le rappelait :

 » Se tourner vers Dieu…ce n’est pas penser continuellement à Dieu. Ce serait impossible à la nature humaine d’avoir toujours Dieu en pensée et d’ailleurs ce ne serait pas le mieux. L’être humain ne peut pas se contenter d’un Dieu auquel il pense. Car alors, quand la pensée s’évanouirait, Dieu aussi s’évanouirait…Dieu est au-delà des pensées de l’être humain. Et la réalité de Dieu ne s’évanouit jamais. »

Une simple prière tel un faible soupir, telle une prière d’enfant, te tient en éveil. Dieu n’a t-il pas révélé aux plus petits, aux pauvres du Christ, ce que des puissants de ce monde ont peine à comprendre?

Pour certains, la prière nécessite beaucoup de mots pour formuler ce qui emplit le coeur. Mais n’est-il pas préférable de les prononcer dans la solitude? Exprimés en présence d’autres, ne vont-ils pas les obliger à écouter ce qui était réservé à la discrétion d’une intimité avec Dieu?

Quand l’apôtre Paul invite à « prier sans cesse », cela ne signifie pas uniquement s’exprimer par des mots. La prière est tellement plus vaste ! Les mots en sont une petite part. La prière trouve de multiples expressions , des gestes comme le signe de croix, des symboles comme celui de l’offrande de soi: ainsi à la fin de l’évangile selon St Luc, quand le christ s’en va, on voit les disciples se prosterner, posant le front au sol.

Comment ignorer que certaines expressions, reprises de manière inlassable, ont soutenu une vie intérieure incomparablement? C’est la prière ininterrompue du nom de Jésus , ou encore celle de l’Ave Maria, gratia plena. Paraisssent-elles sans spontanéité ? Voilà qu’un jour surgissent des jaillissements intérieurs.

Des réalités d’Evangile peuvent pénétrer en toi à travers des chants simples, repris et encore repris:

 » Jésus le Christ, Lumière intérieure, donne-moi d’accueillir ton amour. » Quand tu travailles, quand tu te reposes, ils se poursuivent au-dedans.

Parfois la prière est un combat intérieur, parfois elle est abandon de tout l’être. A un moment donné, elle devient comme un simple repos en Dieu dans le silence. Là est peut-être un des sommets de la prière.

Jésus le Christ, en nous s’élève comme une voix intérieure, et cette voix, c’est déjà notre prière.

« Si nos lèvres gardent le silence, notre coeur, lui, t’écoute et aussi te parle. Nous sommes parfois tout surpris de savoir que tu es en nous, dans une mystérieuse présence. Et toi, le Ressuscité, tu dis à chacun : Abandonne-toi tout simplement à la vie de mon Esprit en toi, ton peu de foi y suffit, jamais je ne te laisserai, jamais. »

extrait de : Mère Teresa, frère Roger La prière , fraîcheur d’une source, Bayard ,2003.

situation météreoligique a Rome

16 août, 2007

situation météreoligique a Rome dans Avis troppo-caldo

http://www.blog-caffepiu.it/2007/05/

bonne nuit

16 août, 2007

bonne nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc. 66824899_fba2a63bb0

http://iperio.wordpress.com/tag/rose/

« Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés » (Lc 11,4)

16 août, 2007

Bienheureuse Teresa de Calcutta (1910-1997), fondatrice des Soeurs Missionnaires de la Charité
A Simple Path (trad. Un Chemin tout simple, Plon Mame1995, p. 48)

« Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés » (Lc 11,4) »

Chaque soir, avant de vous endormir, vous devez faire votre examen de conscience (car vous ne savez pas si vous serez encore de ce monde le lendemain !). Quel que soit le mal que vous avez fait, vous devez vous engager à réparer si c’est possible. Si, par exemple, vous avez volé quelque chose, essayez de le rendre. Si vous avez froissé quelqu’un, essayez de vous en excuser sans délai. S’il est impossible de réparer, exprimez à Dieu vos regrets ou vos remords. C’est très important, car nous devons être capables de contrition pour être rendus capables d’amour. Vous pourriez dire, par exemple : « Seigneur, je suis navré de t’avoir offensé et je te promets de faire de mon mieux pour ne plus recommencer ». Alors, tout à coup, quelle impression de bien-être, de délivrance, que de sentir son coeur purifié ! Souvenez-vous que Dieu est miséricorde. Il est notre Père prévenant, prêt à tout pardonner et à tout oublier, à la condition que nous essayions d’en faire autant envers ceux qui nous ont fait du tort.

Examinez donc le fond de votre coeur pour voir s’il n’y demeure pas enfouie quelque rancune envers votre prochain. Comment, en effet, pourrions-nous demander à Dieu de nous pardonner, alors que nous ne voulons pas pardonner aux autres ? Souvenez-vous que si vous vous repentez vraiment avec un coeur généreux, vos fautes seront oubliées aux yeux de Dieu. Il vous pardonnera toujours si votre repentir est sincère. Priez donc pour pardonner à ceux qui vous ont offensé, pour aimer ceux que vous n’aimez pas, et sachez ensuite pardonner comme Dieu vous a pardonné.