Archive pour le 8 août, 2007

St Dominicus

8 août, 2007

St Dominicus dans images sacrée

http://santiebeati.it/immagini/?mode=album&album=23950&dispsize=Original

BENOÎT XVI AUDIENCE GÉNÉRALE: Mercredi 8 août 2007

8 août, 2007

je vous poste l’audience du Pape Benoît de ce matin ancre ce le texte n’est pas complet, parce que la possibilité d’avoir une traduction de tout le texte je n’ai pas, le site Zenit qui donne une bonne traduction est fermé pour 15 jour jusque l’Assomption de Marie, du site:

http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/audiences/2007/documents/hf_ben-xvi_aud_20070808_fr.html

BENOÎT XVI

AUDIENCE GÉNÉRALE

Salle Paul VI
Mercredi 8 août 2007

Chers Frères et Sœurs,

Saint Grégoire de Nazianze, illustre Père de l’Église, originaire de Cappadoce, fut un grand théologien, défenseur de la foi chrétienne au quatrième siècle. Né en 330, il fréquenta les écoles les plus célèbres de son temps. À Césarée de Cappadoce, il se lia d’amitié avec Basile, puis il séjourna notamment à Alexandrie d’Égypte et surtout à Athènes. Revenu chez lui, Grégoire fut baptisé et s’orienta vers la vie monastique, recevant ensuite l’ordination presbytérale avec une certaine réticence. En 371, Basile voulu le consacrer Évêque de Sasimes, mais il continuera à résider dans la ville de Nazianze. Vers 379, il fut appelé à Constantinople pour conduire la petite communauté chrétienne fidèle au Concile de Nicée. Dans l’Église de l’Anastasis, il prononça cinq Discours théologiques, demeurés célèbres par la sûreté de la doctrine, l’habilité du raisonnement et la splendeur de la forme. Alors qu’il participait au deuxième Concile œcuménique, il fut élu Évêque de Constantinople et dut assurer la présidence du Concile. Mais une forte opposition se dressa contre lui, jusqu’à devenir insoutenable, le conduisant à démissionner. Il retourna à Nazianze pour se consacrer au soin pastoral de la communauté chrétienne. Puis il se retira définitivement dans la solitude, dans son pays natal. Il mourut en 390.

* * *

J’accueille avec plaisir les pèlerins francophones, particulièrement les membres du pèlerinage organisé par les Chanoines réguliers de Saint-Augustin, le groupe de Mende ainsi que les pèlerins venus d’Égypte. Que le Seigneur vous aide à grandir dans une connaissance authentique de sa personne pour que vous puissiez en vivre et en témoigner parmi vos frères! Avec ma Bénédiction apostolique.

dans l’attente de la fête de l’Assomption de Marie

8 août, 2007

Je désire donner quelque texte sur Marie du Pape Benoît avant l’Assomption, non pour faire une série de texte lié l’un a l’autre, mais donné quelque pensée de le Pape sur Marie pour la fête de l’Assomption, du site:

http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/speeches/2005/december/documents/hf_ben_xvi_spe_20051208_piazza-spagna_fr.html

HOMMAGE DU SAINT-PÈRE
À L’IMMACULÉE SUR LA PLACE D’ESPAGNE

PRIÈRE DU PAPE BENOÎT XVI

Jeudi 8 décembre 2005

En ce jour consacré à Marie, je suis venu, pour la première fois, en tant que Successeur de Pierre, au pied de la statue de l’Immaculée ici, Place d’Espagne, en reparcourant en esprit le pèlerinage tant de fois accompli par mes prédécesseurs. Je sens que m’accompagnent la dévotion et l’affection de l’Eglise qui vit dans cette ville de Rome et dans le monde entier. Je porte avec moi les préoccupations et les espérances de l’humanité de notre temps, et je viens les déposer aux pieds de la Mère céleste du Rédempteur.

En ce jour particulier, qui rappelle le 40 anniversaire de la clôture du Concile Vatican II, je reviens en pensée au 8 décembre 1965 lorsque, précisément au terme de l’homélie de la Célébration eucharistique Place Saint-Pierre, le Serviteur de Dieu Paul VI adressa une pensée à la Vierge « la Mère de Dieu et notre Mère spirituelle… la créature en laquelle l’image de Dieu se reflète avec une absolue limpidité, sans aucun trouble, comme au contraire cela se passe en toute créature humaine ». Le Pape se demandait ensuite: « N’est-ce pas en fixant notre regard sur cette Dame humble, notre soeur et en même temps notre céleste Mère et Reine, miroir net et sacré de l’infinie bonté, que [...] peut commencer notre travail post-conciliaire? Cette beauté de Marie Immaculée ne devient-elle pas pour nous le modèle qui nous inspire? Une espérance réconfortante? ». Et il concluait: « Nous, nous le pensons pour nous et pour vous; et c’est notre salut le plus élevé et, avec la grâce de Dieu, le plus valide! » Paul VI proclama Marie « Mère de l’Eglise » et lui confia pour l’avenir l’application féconde des dé

cisions conciliaires. Nous souvenant des nombreux

événements qui ont marqué les quarante ans qui viennent de s’écouler, comment ne pas revivre aujourd’hui les divers moments qui ont marqué le chemin de l’Eglise en cette période? La Madone a soutenu au cours de ces quatre décennies les Pasteurs et, en premier lieu, les Successeurs de Pierre dans leur ministère exigeant au service de l’Evangile; elle a guidé l’Eglise vers la compréhension fidèle et l’application des documents conciliaires. Pour cela, me faisant la voix de la communauté ecclésiale tout entière, je voudrais rendre grâces à la Très Sainte Vierge et m’adresser à Elle avec les mêmes sentiments qui animèrent les Pères conciliaires, qui consacrèrent précisément à Marie le dernier chapitre de la Constitution dogmatique Lumen gentium, en soulignant le lien inséparable qui lie la Vierge à l’Eglise.

Oui, nous voulons te rendre grâce, Sainte Vierge Mère de Dieu et notre Mère bien-aimée, pour ton intercession en faveur de l’Eglise. Toi qui, accueillant sans réserve la volonté divine, t’es consacrée de toutes tes forces à la personne et à l’oeuvre de ton Fils, enseigne-nous à garder dans notre coeur et à méditer en silence, comme Tu l’as fait, les mystè

res de la vie du Christ. Toi, qui as avanc

é jusqu’au Calvaire, toujours profondément unie à Ton Fils qui, sur la Croix, te donna comme mère au disciple Jean, fais que nous te sentions toujours proche de nous à chaque instant de notre existence, en particulier dans les moments sombres et d’épreuve.

Toi, qui, le jour de la Pentecôte, avec les Apôtres en prière, as imploré le don de l’Esprit Saint pour l’Eglise naissante, aide-nous à persévérer en suivant fidèlement le Christ. Avec confiance, nous tournons notre regard vers Toi, comme vers « un signe d’espérance assuré

e et de consolation devant le peuple de Dieu [...] en attendant la venue du jour du Seigneur » (n. 68). Partout dans le monde, les fidèles t’invoquent avec une prière insistante, Marie, afin que, exaltée dans le ciel parmi les anges et les saints, tu intercèdes pour nous auprès de ton Fils « jusqu’à ce que toute les familles des peuples, qu’ils soient déjà marqués du beau nom de chrétiens, ou qu’ils ignorent encore leur Sauveur, soient enfin heureusement rassemblées dans la paix et la concorde en un seul peuple de Dieu à la gloire de la Très Sainte et indivisible Trinité » (n. 69). Amen

la suite de le passage du livre de Lustiger posté hier

8 août, 2007

je continue où j’ai laissé hier la lecture du livre « Le choix de Dieu », e reporte seul les deux pages suivantes au but de finir le discours entreprise, page 595:

D.W. – Qu’en est- il de l’histoire humaine? Dieu fait l’histoire, sait l’histoire, voit l’histoire des hommes?

J.M.L. – C’est un difficile problème à maîtriser en peu de mots, parce qu’il sous-entend le rapport de la volonté divine et de la liberté des hommes. Les représentations trop simplistes consistent à s’imaginer les hommes comme marionnettes dont Dieu tirerait les ficelles. Une autre vision, non moins simpliste, consiste à se représenter un principe tellement transcendant qu’il est absent, c’est-à-dire qu’il ne s’occupe de rien. Ecartez ces deux caricature de la contingence des libertés humaines et de l’absolu de la liberté divine, du temps et de l’éternité, et vous découvrirez la position intuitive du croyant. Le croyant « sait » qu’il a reçu sa liberté de Dieu et que le champ de l’expérience humaine est un lieu de liberté; il « sait » que sa liberté se déploie avec d’autant plus de puissance qu’il entre dans une plus grande soumission à Dieu. C’est une affirmation paradoxale: Dieu agit d’autant plus qu’il donne à l’homme une plus grande et souveraine liberté d’agir. Loin de se présenter comme deux entités antinomiques et contradictoires, exclusives l’une de l’autre, la liberté de l’homme se reçoit de la liberté de Dieu. Alors, « Dieu sait » et « Dieu voit »? Oui, ce sont des paroles de l’Ecriture qu’il faut garder et que qui sont d’une puissante consolation, d’une grande force! « Dieu sait », oui, Dieu sait même ce que l’homme ne sait pas, et Dieu voit ce qui échappe au regard des hommes. Cette référence à l’Alliance est une fantastique source de liberté.

D.W. – Ce que vous appelez liberté n’est en général pas vécu comme cela.

J.M.L. – Je pense à cette phrase de Victor Hugo :  » l’œil était dans la tombe et regardait Caïn » C’est une très belle phrase; elle a pourtant le défaut de transporter dans le registre de la culpabilité le regard paternel de Dieu. C’est donc en contresens, car la culpabilité exprime précisément l’absence de liberté de l’homme pécher.

D.W. – Voulez-vous dire que la liberté, c’est de se savoir pécheur?

J.M.L. – La liberté, c’est de se savoir pécheur pardonné, alors que la culpabilité, c’est finalement le refus de reconnaître et le péché er le pardon; elle fait de Dieu l’image de son propre tourment. « L’œil était dans la tombe et regardait Caïn. » Ce qui regardait Caïn, suivant le poète, c’était son crime, sa culpabilité, ce n’était pas le pardon! Et l’œil était « dans la tombe »! Cette phrase est admirable, mais elle est fausse, car Dieu n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants.

bonne nuit

8 août, 2007

bonne nuit dans image bon nuit, jour, dimanche etc. lambs

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