Archive pour le 5 août, 2007
« Parmi ceux qui sont ici, certains ne connaîtront pas la mort avant d’avoir vu le règne de Dieu »
5 août, 2007Un auteur syrien anonyme
Homélie attribuée à tort à Saint Ephrem (trad. Coune, in L’Année en fêtes, Migne 2000, p. 474)
« Parmi ceux qui sont ici, certains ne connaîtront pas la mort avant d’avoir vu le règne de Dieu »
Notre Seigneur Jésus Christ a emmené Pierre, Jacques et Jean sur la montagne pour leur montrer la gloire de sa divinité et leur faire connaître qu’il était le Rédempteur d’Israël, comme il l’avait montré par les prophètes. Il voulait prévenir aussi qu’ils ne soient pas scandalisés à la vue des souffrances librement consenties qu’il allait souffrir pour nous dans sa nature humaine. Ils le connaissaient en effet comme homme, mais ils ignoraient qu’il soit Dieu ; ils le connaissaient comme fils de Marie, un homme séjournant avec eux dans le monde, mais sur la montagne il leur a fait connaître qu’il était le Fils de Dieu, et Dieu lui-même.
Ils l’avaient vu manger et boire, travailler et se reposer, s’assoupir et dormir, subir l’effroi jusqu’aux gouttes de sueur, toutes choses qui ne semblaient guère en harmonie avec sa nature divine et paraissaient ne convenir qu’à son humanité. Voilà pourquoi il les a emmenés sur la montagne, afin que le Père l’appelle son Fils et leur montre qu’il était vraiment son Fils et qu’il était Dieu. Il les a emmenés sur la montagne et leur a montré son Règne avant de manifester ses souffrances, sa puissance avant sa mort, sa gloire avant les outrages et son honneur avant l’ignominie. Ainsi, lorsqu’il serait pris et crucifié, ses apôtres sauraient qu’il ne l’avait pas été par faiblesse mais par consentement et de son plein gré, pour le salut du monde.
Santa Maria Maggiore , interno
5 août, 2007Ce matin à Sainte Marie la Majeur pour la fête de la « Vierge de la Neige »
5 août, 2007Ce matin à Sainte Marie la Majeur pour la fête de la « vierge de la Neige » Ce matin je suis allée à messe à Saint Maria Majeure pour la fête de la Vierge de la Neige et la dédicacions ( ?) de la Basilique ; Elle a été une expérience très belle, peut-être l’an passé je ne nous étais pas allée, ou bien ai passé une période de difficultés personnelles qui ne m’ont pas faite jouir pleinement de certains « instants »…, de toute façon il m’a semblé tout nouveau et très beau même si je le connaissais et j’y avais été même en passé,. mais l’eucharistie, la splendide Basilique, la liturgie toute dans latin exclue les lectures, m’ont comme rapporté à ces ans lointains où Rome vivait son primitif christianisme ; je me suis vue ou trouvée comme dans les premiers siècles – autour 400 – lorsque après neigée du 5 août Papa Liberio il fit construire une première Église, d’ensuite reconstituée de Papa Sisto III, j’espère de me rappeler bien ; il semble que la Madonna même, apparue à Papa Liberio et demanda la construction d’une Église à Elle dédiée sur le Colle Esquilino, ensuite Neigée dans les jours plus chauds et lourds que Rome, ils se convainquirent à construire l’Église ; tant de souvenirs se sont pressés ensemble comme s’ils étaient des souvenirs mes de famille et par contre remontaient il y à 1600 ans environ ; dans plus la célébration dans latin, il me rapportait, simultanément, toujours au 400 environ, lorsque Sant’Agostino devenait Évêque et commençait son « magistral » magistère ; il était tout là, l’histoire de Jésus qui naît de Marie – les lectures était en effet celles spécifiques de la fête et l’évangile renvoyait à la naissance de Jésus des « Vierge Marie » ; dans l’église il été mon histoire de souffrances psychologiques, spirituelles, et physiques : dernièrement j’avais deux problèmes, je ne réussissais pas à me promener à cause d’une sciatique, et je ne peux pas prendre des médicine trop fortes, et étais quelque an que je ne réussissais plus à des légères les lectures en Église, et surtout, à chanter, mais il était quelque jour que je me sentais meilleur, peut-être un médicament pour bouche d’herboristerie m’a faite bien – il y a la confirmation du bénéfice de cette herbe sur un site médical français – et ce matin je pouvais me promener et même rapidement et, surtout, parce qu’en fond j’avais renoncer participer au chœur en Église, j’ai chanté, miracle ? Certes, mais dans le sens plus beau du terme : que Dieu, et sa Mère, écoutent même nos prières inexprimées, vraiment parce que j’avais renoncer, et ils m’ont fait don de quelque chose qui m’a fait bien et ce chose fait une partie de la création ; il était moi là, mais je était une autre, espère plus de voisine à Dieu avec le cœur ; elle était la messe dominicale du10 heure que de beaucoup d’ans, je ne rappelle pas de, quel elle est célébrée entièrement dans latin sauf les lectures en italien, en genre célèbre le Cardinal américain Francis Law, du Saint Maria Majeure, on me rappelle du premier jour qui célébra à Rome dans la Basilique, était presque intimidé du lieu et des gens qui se pressait autour, spécialement après les problèmes qui avaient eu en Amérique peut-être craignaient ces « fidèles romains », à la fin de la messe qu’il je cacherai, les gens, comme on fait toujours lorsque y il est un cardinal, s’approche le long du couloir de l’Église pour avoir la bénédiction, et ainsi et tous voisins à lui en attente de la bénédiction, avec main incertaine nous bénissait, ensuite nous le vîmes beaucoup ému et rentra hâtivement dans la sacristie ; je reviens à aujourd’hui, disais que nous étions beaucoup, mais m’a semblé plus d’habitude, ou, peut-être, pour quelque motive souvent difficile à identifier, nous étions plus silencieuse, moins brouillons, plus d’ »Église », y était beaucoup d’étrangers provenant partout du monde, derrière moi y était des personnes peut-être du Nord Europe, mais je ne sais pas ; lorsque je suis arrivée, une demie maintenant d’abord, en imaginant que tous les places à s’asseoir était déjà pris, et ainsi était, alors « j’ai visé » vers les colonnes très grandes qui séparent la basilique dans la « navata » principale et dans celles latérales, parce qu’ils sont tellement grands et donc le soubassement est tellement grand que, le soubassement même, peut faire fonction de siège, mais même ces sièges naturels de l’Église était déjà pris ; j’ai regardé les bancs latéraux, c’est-à-dire celles qu’on trouve devant et derrière les colonnes, était toutes prises, soit celles-là devant, logiquement parce qu’ils ont les visuelle de la basilique et d’un autel, soit celles-là derrière dont voit seul la basilique vers la sortie, à un certain point sur de ces bancs d’épaules s’est libéré une place, je me suis mis également même si je me trouvais d’épaules, ensuite les autres personnes qu’on était mises auprès de moi a dit : déplaçons l’en arrière ainsi nous trouvons devant l’autel, et ainsi nous avons fait, me suis trouvée dans une excellente position ; il était un peu de temps que je ne suivais pas la messe dans latin – pas trop, je nous suis allée souvent, ensuite font une célébration en latin même à San Giovanni en Laterano même si les parties en italien sont plus – a été beau réécouter cette langue splendide dont il naît notre langue, comme si je retrouvais ma mère, mes ancienne, ne le sais pas ; je comprends tout de ce qu’il est dit et connais à mémoire la plupart des témoins avec lesquels le peuple participe à la liturgie, mais je était même celui comme nouveau ; lorsque nous avons chanté le Credo, ceci de lui me rappelais tout bien, l’ai chanté et je me suis émue, ensuite après je me suis regardée furtivement autour et même autres avaient les yeux rouges ; qu’autre je peux vous recompter, oui, lorsque elle est tombée la neige – artificiel, mais vrais pétales de fleur – en ont fait tomber beaucoup, vraiment beaucoup, d’une ouverture poste al sur de l’ouverture qui porte alla crypte au dessous, comme elle est commencée à tomber la neige avons applaudi tous, comme au miracle rénové, et étions unis, le peuple provenant de parties du monde ramassé autour à Marie et al Enfant comme dans le récit lucanien du Noel, la lecture de l évangile se rappelai, en effet, de la naissance de Jésus ; mais ce récit je dois le fermer même si il me semble d’avoir dit ce que j’avais dans le cœur, ne sais pas si j’ai réussi à transmettre ce que j’ai vécu ; à la fin après la bénédiction et le passage du Cardinal beaucoup de nous nous sommes approchés à la balustrade de la crypte où était tombés les fleurs, le personnel de la basilique les ramassait en grands paniers et il les portait sur de l’escalier vers de nous, normalement à ce point il y a bagarre entre ceux qui vont prendre les pétales des fleurs, normalement les femmes, parce que les hommes font les indifférents il y à la bagarre, mais il plaisent même à eux avoir même un peu des pétales tombés, en somme bagarre vraie il n’y a pas eu, seulement une qu’il a tenté un « meeting » a été vite faite taire ; du côté j’ai attendu avec calme parce que je savais que de paniers de pétales il y en aurait eu pour tous, ensuite ai réussi à allonger la main dans un panier et avec la main j’ai pris ce qui venaient, m’en est venue une main pleine, pleine ; ainsi j’en ai donné un peu à quelqu’un qu’il était resté en arrière, à un homme assis qui me souriait et ensuite à la femme qui semblait la en vouloir même, ensuite à une sœur qui y regardait donne derrière et à une sœur jeune qui semble vouloir demander à la cette plus âgée un peu que des pétales ; ainsi elle est finie, mais je suis restée heureux, émue, et peut-être même les autres, à la voisine arrêtée de l’autobus où tous y arrivent normalement enragés pour le travail, pour le temps qui s’attend, pour affaires personnelles, y venait de bavarder entre nous, comme sur la place du pays après la messe, même ceci a été beau : les gens, sortie de la Basilique, se sentaient encore en communion avec les autres ; il vous salue, et, excusées, si je ne fais pas contrôle de teste que j’ai écrit parce que je suis un peu fatigué et veux même le traduire en français pour mon Blog français ; pour mon ami français des excusées plus fort parce que je ne peu pas, maintenait faire de mieux ; a bientôt