Le pape : la vraie révolution vient des saints et de Dieu –
11 mai, 2007j’espère qu’il y aura vite la traduction de tout le texte d’un site en laquelle j’ai confiance (comme j’ai répété plusieurs fois l’italien et le français divergent beaucoup même si elles sont des langues semblables et faut est attentif à ne pas modifier trop la phrase, ensuite, dans ce cas, l’italien est traduction de le portugais qui est une langue latine mais complètement différente et incomprensibile pour nous);
j’espère bientôt d’avoir quelque commentaire bien fait sur ce que le Pape a dit, je lis commentaires faits en extraiant un pas dicte du Pape de tout le conteste historique, logique et ecclésial de Lui présumé, il y a beaucoup de mensonge et élaboration malveillante des choses qui dit le Pape dans ces jours ( et beaucoup de foi );
Traduction du site Korazym (italien) que traduit du portugais, mais, pour ce que je rappelle de l’homélie ce texte est voisin a la traduction italien en directe, le texte meilleur, je pense, que il verra du site Vatican:
Le pape : la vraie révolution vient des saints et de Dieu
de Mattia Blancs
/11/05/2007
Le teste intégral de l’Homélie prononcée de Benoît XVI pendant le Saint Messe de canonisation de moine Antonio Galvao, à San Paolo : œuvres aux pauvres, enthousiasme, sainteté dans le quotidien.
La traduction italienne… Le teste pas définitif
Monsieur Cardinaux, Monsieur Archevêque de San Paolo et Evêques du Brésil et de l’Amérique Latine, Distinctes Autorités, Sœurs et Frères en Christ ! « Je bénirai les Seigneur dans chaque temps,/sur ma bouche toujours son éloge » (Sal 32,2). 1. Réjouissons nous dans les Seigneur dans ce jour dans lequel nous contemplons une autre étonnement de Dieu que, pour sa admirable providence, nous permet de goûter un vestige de sa présence dans cet acte de donation d’Amour constitué du Saint Sacrifice de l’Autel. Oui, nous ne pouvons pas ne pas louer notre Dieu. Louons le tous combien, peuples du Brésil et de l’Amérique, nous chantons aux Seigneur ses étonnements, parce que grandes choses il a fait pour nous. Aujourd’hui, la Divine Sagesse permet y de nous rencontrer autour de son autel, en attitude d’éloge et de remerciement pour nous avoir concédé la grâce des Canonisation Entre Antonio de Sant’d'Anne Galvão. Je veux remercier pour les affectueux mots de l’Archevêque de San Paolo, qui s’est fait voix de vous tous. Je remercie pour la présence de chacun et chacune de vous, soit des habitants de cette grande ville soit dont ils sont venus d’autres villes et de nations. Je me réjouis parce que, à travers les moyens de communication, mes mots et expressions de mon affection peuvent entrer dans chaque maison et dans chaque cœur. Que vous soyez en en certains : la Papa vous aime, et il vous aime parce que Jésus Christ vous aime. Dans cette solennelle Célébration eucharistique a été proclamé l’Évangile dans lequel Jésus, en attitude d’intérieur transport, proclama : « Je Te bénis, ou Père, Seigneur du ciel et de la terre, parce que tu as tenu cachées ces choses aux savants et à intelligents et tu elles as révélées aux petits » (Mt 11,25). Me sens donc heureux parce que l’élévation d’Entre Galvão aux autels il restera toujours encadré dans la liturgie que cet aujourd’hui l’Église nous offre. Il salue avec affection toute la communauté franciscaine et, en mode spéciale, les sœurs conceptionistes que, du Monastère de la Lumière, de la Capitale de l’État de San Paolo, rayonnent la spiritualité et la charisme de l’première brésilienne élevé à la gloire des autels. 2. Rendrons-nous merci à Dieu pour les bénéfices continus obtenus au moyen de la forte influence évangélisatrice que l’Esprit Saint mets dans tant d’âmes à travers Entre Galvão. La charisme franciscain, évangéliquement vécu, a donné des fruits significatifs à travers son témoignage d’ardent adorateur de l’Eucharistie, de prudent et savante guide des âmes qui le cherchaient et du grand fidèle de l’Immaculée Conception de Marie, dont on considérait « fils et esclave je perpétue ». Dieu y vient rencontre, « cherche à nous conquérir – jusqu’au Dernier Dîner, jusqu’au Cœur transpercé sur la croix, jusqu’aux apparitions de René et aux grandes œuvres au moyen dont Il, à travers l’action des Apôtres, a guidé le chemin de l’Église naissante » (Lettre En. Deus caritas est, 17). Il se révèle à travers sa Parole, dans les Sacrement, spécialement dans l’Eucharistie. La vie de l’Église, donc, est en modo essentiel eucharistique. Les Seigneur, dans sa affectueuse providence, nous a laissé marque visible de sa présence. Lorsque nous contemplons dans le Saint Messe les Seigneur, élevé du prêtre, après les Consécration du pain et du vin, ou bien lorsque nous l’adorons avec des dévotions exposées dans l’Ostensoir, nous rénovons notre foi avec profonde humilité, comme il faisait Entre Galvão en « laus perennis », en constante attitude d’adoration. Dans la Sacrée Eucharistie il est contenu tout le bien spirituel de l’Église, c’est-à-dire, le même Christ notre Pâques, le Pain vivant qui a descendu du Ciel vivifiât de l’Esprit Saint et vivifiante parce qu’il donne la Vie aux hommes. Cette mystérieuse et ineffable manifestation de l’amoure de Dieu pour l’humanité occupe un lieu privilégié dans le cœur des chrétiens. Ils doivent pouvoir connaître la foi de l’Église, à travers ses ministres commandés, pour l’exemplarité avec laquelle ils accomplissent les rites prescrits, qui indiquent toujours dans la liturgie eucharistique centre de toute l’œuvre d’évangélisation. Les fidèles, à eux tourne, doivent chercher à recevoir et vénérer le très saint Sacramento avec pitié et dévotion, en désirant accueillir les Seigneur Jésus avec foi, et en sachant recourir, chaque tourne qu’il sera nécessaire, au Sacramento de la réconciliation pour purifier l’âme de chaque péché grave.
3. Significative est l’exemple de fré Galvão pour sa disponibilité au service de peuple, chaque foi venait interpellait. Conseiller de renommée, de pacificateur des âmes et des familles, du dispensateur de la charité spécialement vers les pauvres et les infirmes. Il était beaucoup recherché pour les aveux, parce que zélé, sage et prudent. Une caractéristique dont il aime vraiment est ne pas vouloir qu’Aimé il vienne offensé ; la conversion des pécheurs était, donc, la grande passion de notre Saint. Sœur Helena Marie, qui a été la première « religieuse » destinée à donner entame au « Recolhimento de Nossa Senhora de Conceição », a témoigné ce qui Entre Galvão avait dit : « Priées parce que Dieu nos Seigneur soulève les pécheurs avec son bras fort du misérable abîme des fautes dans lesquelles on trouve ». Qu’il puisse ce délicat avertissement nous servir de stimule pour reconnaître dans la Divine Miséricorde le chemin vers la réconciliation avec Dieu et avec prochain le et pour la paix de nos consciences.
4. Unit avec les Seigneur dans la suprême communion de l’Eucharistie et réconciliés avec Lui et avec nos prochain, nous serons ainsi des porteurs de cette paix qui le monde ne réussit pas à dette. Pourront les hommes et les femmes de ce monde trouver la paix, s’ils ne seront pas conscients de la nécessité de se réconcilier avec Dieu, avec prochain le et avec lui même ? De haut signifié a été, en ce sens, ce que l’Assemblée du Sénat de San Paolo écrivit au Ministre Provincial des Franciscains à la fin du siècle XVIII, en définissant Entre Galvão un « homme de paix et de charité ». Que nous demande-il les Seigneur ? « Aimées vous les uns les autres, comme je vous ai aimé ». Mais vite après il ajoute : « Portiez du fruit, et que le vôtre fruit demeure » (cf. Jn 15,12.16). Et ce que le fruit nous demande, si celui de ne pas savoir amères, en nous inspirant à l’exemple du Saint de Guaratinguetá ? La renommée de son immense charité ne connaissait pas de limites. Des personnes de toute la géographie nationale allaient donnent Entre Galvão, qui tous accueillait paternellement. Ils étaient pauvres, infirmes dans le corps et dans l’esprit, que supplient son aide. Jésus ouvre son cœur et il nous révèle centre de tout son message rédempteur : « Personne n’a un amour plus grand que ceci : donner la vie pour ses amis « (Ibid., v. 13). Il même aima jusqu’à donner à sa vie pour nous sur la Croix. Même l’action de l’Église et des chrétiens dans la société doit posséder cette même inspiration. Les initiatives pastorale de social, si elles sont orientées vers bien des pauvres et les infirmes, portent dans même ceci lui scelle divin. Les Seigneur compte sur nous et il nous appelle des amis, parce que seulement aux ceux que nous aimons de cette manière sommes capables de donner la vie offerte de Jésus au moyen de sa grâce. Comme nous savons, la V Conférence Générale de l’Episcopat Latino-américain aura comme thème fondamental : « Disciples et missionnaires de Jésus Christ, parce que dans Lui nos peuples aient la vie ». Comment ne pas voir, alors, la nécessité d’écouter avec ferveur rénovée l’appel, pour pouvoir répondre généreusement aux défis qui l’Église à Brésil et dans l’Amérique Latine sont appelés à affronter ? 5. « Vous venez à moi, à vous tous, que vous êtes fatigués et opprimés, et à moi vous soulagerai », dit les Seigneur dans l’Évangile (Mt 11, 28). Celle-ci est la recommandation finale qu’il nous tourne. Comment ne pas voir ici le sentiment paternel et ensemble maternel de Dieu pour tous ses fils ? Marie, la Mère de Dieu et Mère, la nôtre, se trouve particulièrement liée à nous dans cet instant. Entre Galvão elle affirma avec voix prophétique la vérité de l’Immaculé Conception. Lui, la « Tota Pulchra », la Vierge très pure, qui ont conçu dans son sein les Rédempteur des hommes et a été préservait de chaque tache originale, veut être scelle définitif de les nôtre rencontre avec Dieu, nos Salvatore. Il n’y a pas fruit de la grâce dans histoire du salut qui n’ait pas comme moyen nécessaire la médiation de La nôtre Dame. De fait, notre Saint s’est offert en mode irrévocable à la Mère de Jésus depuis sa jeunesse, en désirant les appartenir toujours et en choisissant les Vierge Marie comme Mère et Protectrice de ses filles spirituelles. Très chers amis et amies, qui bel exemple à suivre nous ont laissé Entre Galvão ! Comme ils sonnent actuels pour nous, que nous vivons dans une époque ainsi pleine d’hédonisme, les mots écrits dans la formule de ses consécration : « enlevez-moi plus plutôt la vie, d’abord que j’offense ton bénit Fils, mes Seigneur! ». Ils sont des mots forts, d’une âme passionnée, mots qui devraient faire une partie de la normale vie de chaque chrétien, soit il consacré ou moins, et réveille désirs de fidélité à Dieu soit dans que hors du mariage. Le monde a besoin de vies limpides, d’âmes claires, d’intelligences simples, qui refusent d’être considérées des créatures objet de plaisir. Il est nécessaire de dire non à ces moyens de communication sociale qui mettent en ridicule la sainteté du mariage et la virginité avant le mariage. Il est juste maintenant qu’il nous est donné dans la Mère de Dieu la plus parfaite défendue contre les maux qui affligent la vie moderne ; la dévotion de Marie est la sûre garantie de protection maternelle et de tutelle dans maintenant de la tentation. Et ce qui ne sera pas cette mystérieuse présence de la Vierge très pure, quand nous invoqueront la protection et l’aide de la Senhora Aparecida ? Nous déposons dans ses mains très saintes la vie des prêtres et des laïques consacrés, du séminariste et de tous qui sont appelés à la vie religieuse.
6. Cari amis, permettez moi de finir en repensant à Veille de Prière de Marienfeld, en Allemagne : devant à une multitude de jeunes, j’ai voulu qualifier les saints de notre époque comme vrais réformateurs. Et j’ai ajouté : « Seulement des Saints, seulement de Dieu elle vient la vraie révolution, le changement décisif du monde » (homélie, 25/08/2005). Celle-ci est l’invitation que je tourne aujourd’hui à tous vous, du premier à achève, dans cette Eucharistie sans frontières. Dieu dit : « Vous soyez saints, comme je suis saint » (Lev 11,44). Donnons-nous merci à Dieu Père, à Dieu Fils, à Dieu Esprit Saint, dont ils y viennent, pour des intercession de la Vierge Marie, toutes les bénédictions du ciel ; dont il y vient ce don que, ensemble à la foi, elle est la plus grande grâce qui puisse être concédée à une créature : l’arrêté désir de rejoindre la plenitude de la charité, dans la conviction que la sainteté pas seulement est possible mais même nécessaire à chacune dans son état de vie, pour dévoiler au monde la vraie face de Christ, notre ami ! Amen !