la théologie de la libération par Wikipedia

un des problèmes qui le Pape devra affronter est celui de la théologie de la libération, aujourd’hui, ici en Europe maintenant se retiene fermée la réflexion de cette théologie née en sud Amérique, n’a pas été acceptée, peut-être a été humainement comprise, dans le sens qui on pouvait comprendre l’état d’esprit des prêtres et les théologien qu’on trouvait en situations ainsi difficiles et extrêmes, je ne me sens pas de reparcourir tout le long chemin de la théologie de la libération, j’ai choisi pour une relecture, le teste de Wikipedia qui fait à des analyse historique théologique claire, il est possible approfondir – je mets le lien au site – sur chaque mot en bleu, il se peut clikkare pour savoir de plus sur question pour le comprenons mieux , c’est bien cercher la page sur Google parce que l’addresse ne prend pas la page:

http://www.google.it/search?hl=it&sa=X&oi=spell&resnum=0&ct=result&cd=1&q=Wikipedia++%2B+th%C3%A9ologie+de+la+liberation&spell=1 

Théologie de la libération

Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

Aller à : Navigation, Rechercher

La théologie de la libération est un mouvement de pensée politique et religieux issu de l’Église Catholique né en Amérique latine en 1972 et inspiré par le communisme pour certains (plutôt marxiste), mais qui trouve sa source dans les textes prophétiques de la bible et la révélation évangélique (la victime innocente). Ce courant prône la libération des peuples et entend ainsi renouer avec la tradition chrétienne de solidarité.Il est li

é à l’apparition de militants politiques des pays du Tiers-monde dont l’action partage un fondement politique et religieux : politiquement, proche du socialisme, qui insuffle à la religion chrétienne une valeur intrinsèque de mission libératrice du peuple de leur point de vue.

Cette conception de la religion, dont le rôle est central dans beaucoup de pays du Tiers-monde ayant adopté les religions autrefois imposées par les pays colonisateurs, est à l’opposé des conceptions condamnant la religion comme instrument univoque d’oppression ééé[réf. nécessaire], lié notamment a l’idéologie communiste.

Desmond Tutu a été un militant actif de la théologie de la libération.

En France, ce courant théologique fut représenté par les mouvements ouvriers d’action catholique, principalement la Jeunesse Ouvrière Chrétienne (JOC).

Sommaire

[masquer]

  • 1 Histoire 
  • 2 Principes 
  • 3 Critiques 
  • 4 Figures de la théologie de la libération 
  • 5 Bibliographie 
  • 6 Source 
  • 7 Liens externes

 

Histoire [modifier]

Le mouvement a été théorisé en 1972 par le théologien péruvien Gustavo Gutiérrez, dans son essai Théologie de la libération. Il trouve notament sa source dans l’ouvrage de Paul Gauthier Les Pauvres, Jésus et l’Église publié en 1963, résultat des travaux préliminaires au Concile Vatican II et qui est considéré comme un précurseur du mouvement.

Le mouvement, voix du peuple opprimé, eut immédiatement une grande popularité en Amérique latine pour cause d’innombrables injustices perpétrées par les groupes militaires au pouvoir.En ao

ût 1975 se tient le congrès théologique de Mexico, auquel participent plus de 700 personnes sur le thème Libération et captivité.

En 1976, le théologien Leonardo Boff publie Teologia do Cativeiro e da Libertação (Lisbonne : Multinova).En

1979 lors de la IIIe conférence générale de l’épiscopat Sud-américain,(Conférence de Puebla), les évêques définissent le concept d’option préférentielle pour les pauvres.

Lors d’un voyage à Mexico en janvier 1979, le pape Jean-Paul II déclare que « cette conception du Christ comme une figure politique, un révolutionnaire (…) est incompatible avec les enseignements de l’Église ».La th

éologie de la libération a fait l’objet de deux condamnations du Vatican en 1984 et 1986. Tout en reconnaissant la légitimité d’un combat contre la misère, la Congrégation pour la doctrine de la foi condamnait les emprunts faits à la philosophie marxiste et tentait de recadrer les aspirations des peuples sud-américains dans la doctrine sociale de l’Église.

 

Principes [modifier]

Dans la tradition chrétienne, les pauvres ont tenu depuis les origines une place particulière : ils sont à la fois des modèles (« Heureux, vous les pauvres, car le Royaume de Dieu est à vous » Lc 6, 20) et des sujets de compassion et de charité. La théologie de la libération dépasse ce point de vue, et propose non seulement de libérer les pauvres de leur pauvreté, mais en plus d’en faire les acteurs de leur propre libération.
Elle d
énonce dans le capitalisme la cause de l’aliénation à la pauvreté de millions d’individus. Aujourd’hui, les thèses soutenues par les théologiens de la libération font de moins en moins appel au marxisme, et rejoignent les mouvements altermondialistes dans leurs actions contre la mise en place d’un ordre néolibéral mondial.

 

Critiques [modifier]

Le pape Jean-Paul II et le courant de l’Opus Dei, très influent au Vatican, se sont montrés défavorables à ce mouvement, à cause de ses théories reprenant des concepts marxistes comme la lutte des classes. La théologie de la libération était ressentie comme une menace pour l’unicité et l’impact public de l’Église catholique. En outre, affirmer la lutte des classes pouvait dans une certaine mesure encourager la participation à des actions violentes comme la guérilla, ce que refusait le Vatican.

Toutefois Jean-Paul II a finalement reconnu que la théologie de la libération pouvait être « bonne, utile et même nécessaire », dans une lettre à la Conférence des évêques du Brésil[1].Dans le document

Interprétation de la Bible dans l’Église de la Commission Biblique Pontificale 1993, qui a été présenté à Jean-Paul II par le cardinal Ratzinger, la théologie de la libération est reconnue comme une approche possible (paragraphe 1.E.1). Les critiques du Vatican se concrétisent le 15 mars 2007, lorsque la Congrégation pour la doctrine de la foi fait état, à propos des écrits du jésuite Jon Sobrino, de « notables divergences avec la doctrine de l’Église »[2], faisant notamment remarquer que Jon Sobrino accorde une place trop importante à l’aspect humain de Jésus, au détriment de son aspect divin. Le théologien est alors interdit d’enseignement et de publication par l’archevêque de San Salvador, Fernando Saenz Lacalle, membre de l’Opus Dei. Le père Jose Vera, porte-parole du Conseil général des Jésuites, a annoncé que l’Ordre ne prendra pas de sanctions contre Jean Sobrino[3], qui est cependant interdit de publication et d’enseignement en Mai 2007[4].

 

Figures de la théologie de la libération [modifier]

  • Carlos Felipe Ximenes Belo
  • Samuel Ruiz
  • Leonardo Boff
  • Paul Gauthier
  • Jose Miguez Bonino
  • Hélder Câmara
  • Ernesto Cardenal
  • Gustavo Gutiérrez
  • Erwin Kräutler
  • Oscar Romero
  • Juan Luis Segundo
  • Jon Sobrino
  • Camilo Torres
  • Ignacio Ellacuría
  • Luis Felipe Zegarra

Bibliographie [modifier]

  • Une expérience colombienne de la fatalité – une parole habitée par le destin interpelle une théologie de la liberté, Ignacio Madera Vargas, 1995, in Destin, prédestination, destinée sous la direction d’Adolphe Gesché, Cerf, ISBN 2-204051098 
  • Les Pauvres, Jésus et l’Église, Paul Gauthier, 1963, Editions Universitaires, Chrétienté Nouvelle, 141p, ISBN B0000DV4DF 
  • Le discours homilétique de Mgr Oscar Romero, Yves Carrier, Québec, Éditions l’Harmattan, 2003, 324 p. 

     

Source [modifier] José-Maria Mayrink, « Retour annoncé de la théologie de la libération », dans Courrier international, 2005, n° 754, p. 15.

  1. Un pape au double visage: article tiré de Politis
  2. Le Monde, 16 mars 2007, p. 5
  3. Apic, Agence de presse internationale catholique, 16 mars 2007 [1]
  4. Le Monde, 8 mai 2007

Liens externes [modifier]

  • Un article sur l’action de l’Opus Dei au Chili, son soutien à Pinochet et à la tentative de coup d’état contre Hugo Chavez
  • Un article sur les liens entre la théologie de la libération et le marxisme, par Michael Löwy
  • [2] Articles de Leonardo Boff, François Houtart, Augusto Zamora R., etc. publiés par RISAL
  • Le Mouvement des Sans Terre Brésilien, ou la théologie de la libération en pratique

Article présentant la théologie de la liberation par François Houtart

 

Laisser un commentaire