Archive pour le 10 mai, 2007

Le pape au Brésil pour endiguer la vague évangélique

10 mai, 2007

 Ce texte je l’ai trouvé sur en site que je ne connais pas, je le place sur le Blog pourquoi c’est bien, je croix, de savoir ce que dit le « media »

http://www.radioactif.com/nouvelles/nouvelle-pape_bresil_pour_endiguer-15524-12.html

Le pape au Brésil pour endiguer la vague évangélique 

SAO PAULO, Brésil (AP) – Le pape Benoît XVI entame mercredi une visite pastorale de cinq jours au Brésil avec un enjeu crucial: tenter d’endiguer la vague protestante évangélique qui déferle sur le premier pays catholique du monde.
Lors de ce premier voyage apostolique hors d’Europe, le souverain pontife cherchera à galvaniser la foi des 120 à 140 millions de catholiques brésiliens à travers plusieurs temps forts, à commencer par la canonisation du bienheureux Frei Antonio de Santa Ana Galvao, qui deviendra vendredi le premier saint indigène du Brésil.

Parmi les autres manifestations attendues, Benoît XVI ouvrira dimanche la Ve Conférence générale de l’épiscopat de l’Amérique latine et des Caraïbes devant le sanctuaire de l’Aparecida et célébrera plusieurs messes qui pourraient attirer des millions de fidèles. Jeudi,

à Sao Paulo, au lendemain de son arrivée, il s’entretiendra avec le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva puis avec les représentants d’autres confessions chrétiennes et d’autres religions, avant d’aller à la rencontre des jeunes au stade municipal de Pacaembu.

Mais, il n’est pas sûr que ce voyage pontifical suffise à faire revenir dans le giron catholique les innombrables fidèles qui viennent remplir tous les dimanches les églises évangéliques, notamment pentecôtistes, et proclamer leur nouvelle foi en brandissant des bibles, ceux aussi qui ont tout simplement cessé d’aller à la messe en raison des évolutions profondes de la société. Si pr

ès de la moitié des catholiques de la planète vivent en Amérique latine, l’Eglise romaine y est confrontée au boom spectaculaire des Eglises évangéliques qui promettent à leurs disciples l’intervention divine pour les sortir de la misère dans l’un des continents où les inégalités entre pauvres et riches sont les plus criantes.

Au Brésil, particulièrement, les chiffres du recensement sont éloquents: la proportion d’habitants se définissant comme catholiques a plongé de 89% en 1980 à 74% en 2000, soit un recul de 15 points en 20 ans, alors que, dans le même temps, la part de Brésiliens se disant évangéliques s’est envolée de 7% à 15%. Entre 2000 et 2003, le d

éclin catholique se serait stabilisé, mais la poussée évangélique se serait poursuivie, selon une étude publiée la semaine dernière par la Fondation Getulio Vargas, un organisme brésilien réputé fiable.

Mais, certains, même au sein de l’Eglise catholique, sont convaincus que la fuite des fidèles est un phénomène durable. Mgr Claudio Hummes, ancien archevêque catholique de Sao Paulo, nommé par Benoît XVI préfet au Vatican, soutient que, dans le continent, le catholicisme est confronté à « une hémorragie » et que « ce n’est pas fini ». « Cela est d

û à l’expansion des sectes protestantes qui attirent un nombre toujours plus grand de catholiques baptisés, mais aussi au relativisme moral, importé d’Europe et introduit sur le continent surtout par les classes dirigeantes locales, les médias de masse et les intellectuels », déplore Mgr Hummes, désormais préfet de la Congrégation pour le clergé au Saint-Siège.

En Amérique latine, le Vatican n’est pas seulement en concurrence avec les nouvelles Eglises protestantes. Il est aussi confronté à une série de sujets de société qui le mettent souvent en porte-à-faux avec la population: la distribution de préservatifs pour lutter contre le SIDA, la montée des divorces et des remariages non reconnus par l’Eglise catholique ou encore la question de l’avortement au moment où la ville de Mexico vient de le dépénaliser. Beaucoup doutent que Beno

ît XVI puisse faire la différence là où son prédécesseur, le très populaire Jean Paul II, n’a pas réussi à enrayer la désaffection, malgré ses fréquentes visites en Amérique latine. D’autant que le pape actuel y effectue son premier voyage à l’âge de 80 ans, qu’il est davantage perçu comme un théologien et un homme de paroles que comme un homme d’action et de présence charismatique.

Et puis, nombreux sont les Brésiliens qui adhèrent encore à la théologie de la libération, un mouvement que le cardinal Joseph Ratzinger, avant de devenir Benoît XVI, avait tout fait pour écraser en le qualifiant d’ »hérésie marxiste ».

la théologie de la libération par Wikipedia

10 mai, 2007

un des problèmes qui le Pape devra affronter est celui de la théologie de la libération, aujourd’hui, ici en Europe maintenant se retiene fermée la réflexion de cette théologie née en sud Amérique, n’a pas été acceptée, peut-être a été humainement comprise, dans le sens qui on pouvait comprendre l’état d’esprit des prêtres et les théologien qu’on trouvait en situations ainsi difficiles et extrêmes, je ne me sens pas de reparcourir tout le long chemin de la théologie de la libération, j’ai choisi pour une relecture, le teste de Wikipedia qui fait à des analyse historique théologique claire, il est possible approfondir – je mets le lien au site – sur chaque mot en bleu, il se peut clikkare pour savoir de plus sur question pour le comprenons mieux , c’est bien cercher la page sur Google parce que l’addresse ne prend pas la page:

http://www.google.it/search?hl=it&sa=X&oi=spell&resnum=0&ct=result&cd=1&q=Wikipedia++%2B+th%C3%A9ologie+de+la+liberation&spell=1 

Théologie de la libération

Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

Aller à : Navigation, Rechercher

La théologie de la libération est un mouvement de pensée politique et religieux issu de l’Église Catholique né en Amérique latine en 1972 et inspiré par le communisme pour certains (plutôt marxiste), mais qui trouve sa source dans les textes prophétiques de la bible et la révélation évangélique (la victime innocente). Ce courant prône la libération des peuples et entend ainsi renouer avec la tradition chrétienne de solidarité.Il est li

é à l’apparition de militants politiques des pays du Tiers-monde dont l’action partage un fondement politique et religieux : politiquement, proche du socialisme, qui insuffle à la religion chrétienne une valeur intrinsèque de mission libératrice du peuple de leur point de vue.

Cette conception de la religion, dont le rôle est central dans beaucoup de pays du Tiers-monde ayant adopté les religions autrefois imposées par les pays colonisateurs, est à l’opposé des conceptions condamnant la religion comme instrument univoque d’oppression ééé[réf. nécessaire], lié notamment a l’idéologie communiste.

Desmond Tutu a été un militant actif de la théologie de la libération.

En France, ce courant théologique fut représenté par les mouvements ouvriers d’action catholique, principalement la Jeunesse Ouvrière Chrétienne (JOC).

Sommaire

[masquer]

  • 1 Histoire 
  • 2 Principes 
  • 3 Critiques 
  • 4 Figures de la théologie de la libération 
  • 5 Bibliographie 
  • 6 Source 
  • 7 Liens externes

 

Histoire [modifier]

Le mouvement a été théorisé en 1972 par le théologien péruvien Gustavo Gutiérrez, dans son essai Théologie de la libération. Il trouve notament sa source dans l’ouvrage de Paul Gauthier Les Pauvres, Jésus et l’Église publié en 1963, résultat des travaux préliminaires au Concile Vatican II et qui est considéré comme un précurseur du mouvement.

Le mouvement, voix du peuple opprimé, eut immédiatement une grande popularité en Amérique latine pour cause d’innombrables injustices perpétrées par les groupes militaires au pouvoir.En ao

ût 1975 se tient le congrès théologique de Mexico, auquel participent plus de 700 personnes sur le thème Libération et captivité.

En 1976, le théologien Leonardo Boff publie Teologia do Cativeiro e da Libertação (Lisbonne : Multinova).En

1979 lors de la IIIe conférence générale de l’épiscopat Sud-américain,(Conférence de Puebla), les évêques définissent le concept d’option préférentielle pour les pauvres.

Lors d’un voyage à Mexico en janvier 1979, le pape Jean-Paul II déclare que « cette conception du Christ comme une figure politique, un révolutionnaire (…) est incompatible avec les enseignements de l’Église ».La th

éologie de la libération a fait l’objet de deux condamnations du Vatican en 1984 et 1986. Tout en reconnaissant la légitimité d’un combat contre la misère, la Congrégation pour la doctrine de la foi condamnait les emprunts faits à la philosophie marxiste et tentait de recadrer les aspirations des peuples sud-américains dans la doctrine sociale de l’Église.

 

Principes [modifier]

Dans la tradition chrétienne, les pauvres ont tenu depuis les origines une place particulière : ils sont à la fois des modèles (« Heureux, vous les pauvres, car le Royaume de Dieu est à vous » Lc 6, 20) et des sujets de compassion et de charité. La théologie de la libération dépasse ce point de vue, et propose non seulement de libérer les pauvres de leur pauvreté, mais en plus d’en faire les acteurs de leur propre libération.
Elle d
énonce dans le capitalisme la cause de l’aliénation à la pauvreté de millions d’individus. Aujourd’hui, les thèses soutenues par les théologiens de la libération font de moins en moins appel au marxisme, et rejoignent les mouvements altermondialistes dans leurs actions contre la mise en place d’un ordre néolibéral mondial.

 

Critiques [modifier]

Le pape Jean-Paul II et le courant de l’Opus Dei, très influent au Vatican, se sont montrés défavorables à ce mouvement, à cause de ses théories reprenant des concepts marxistes comme la lutte des classes. La théologie de la libération était ressentie comme une menace pour l’unicité et l’impact public de l’Église catholique. En outre, affirmer la lutte des classes pouvait dans une certaine mesure encourager la participation à des actions violentes comme la guérilla, ce que refusait le Vatican.

Toutefois Jean-Paul II a finalement reconnu que la théologie de la libération pouvait être « bonne, utile et même nécessaire », dans une lettre à la Conférence des évêques du Brésil[1].Dans le document

Interprétation de la Bible dans l’Église de la Commission Biblique Pontificale 1993, qui a été présenté à Jean-Paul II par le cardinal Ratzinger, la théologie de la libération est reconnue comme une approche possible (paragraphe 1.E.1). Les critiques du Vatican se concrétisent le 15 mars 2007, lorsque la Congrégation pour la doctrine de la foi fait état, à propos des écrits du jésuite Jon Sobrino, de « notables divergences avec la doctrine de l’Église »[2], faisant notamment remarquer que Jon Sobrino accorde une place trop importante à l’aspect humain de Jésus, au détriment de son aspect divin. Le théologien est alors interdit d’enseignement et de publication par l’archevêque de San Salvador, Fernando Saenz Lacalle, membre de l’Opus Dei. Le père Jose Vera, porte-parole du Conseil général des Jésuites, a annoncé que l’Ordre ne prendra pas de sanctions contre Jean Sobrino[3], qui est cependant interdit de publication et d’enseignement en Mai 2007[4].

 

Figures de la théologie de la libération [modifier]

  • Carlos Felipe Ximenes Belo
  • Samuel Ruiz
  • Leonardo Boff
  • Paul Gauthier
  • Jose Miguez Bonino
  • Hélder Câmara
  • Ernesto Cardenal
  • Gustavo Gutiérrez
  • Erwin Kräutler
  • Oscar Romero
  • Juan Luis Segundo
  • Jon Sobrino
  • Camilo Torres
  • Ignacio Ellacuría
  • Luis Felipe Zegarra

Bibliographie [modifier]

  • Une expérience colombienne de la fatalité – une parole habitée par le destin interpelle une théologie de la liberté, Ignacio Madera Vargas, 1995, in Destin, prédestination, destinée sous la direction d’Adolphe Gesché, Cerf, ISBN 2-204051098 
  • Les Pauvres, Jésus et l’Église, Paul Gauthier, 1963, Editions Universitaires, Chrétienté Nouvelle, 141p, ISBN B0000DV4DF 
  • Le discours homilétique de Mgr Oscar Romero, Yves Carrier, Québec, Éditions l’Harmattan, 2003, 324 p. 

     

Source [modifier] José-Maria Mayrink, « Retour annoncé de la théologie de la libération », dans Courrier international, 2005, n° 754, p. 15.

  1. Un pape au double visage: article tiré de Politis
  2. Le Monde, 16 mars 2007, p. 5
  3. Apic, Agence de presse internationale catholique, 16 mars 2007 [1]
  4. Le Monde, 8 mai 2007

Liens externes [modifier]

  • Un article sur l’action de l’Opus Dei au Chili, son soutien à Pinochet et à la tentative de coup d’état contre Hugo Chavez
  • Un article sur les liens entre la théologie de la libération et le marxisme, par Michael Löwy
  • [2] Articles de Leonardo Boff, François Houtart, Augusto Zamora R., etc. publiés par RISAL
  • Le Mouvement des Sans Terre Brésilien, ou la théologie de la libération en pratique

Article présentant la théologie de la liberation par François Houtart

 

Le pape vient au Brésil comme missionnaire du Christ sur le « continent de l’espérance »

10 mai, 2007

du site Zenith: 

2007-05-09

Le pape vient au Brésil comme missionnaire du Christ sur le « continent de l’espérance »

Discours à l’aéroport de Sao Paulo-Guarulhos

ROME, Mercredi 9 mai 2007 (ZENIT.org) – Le pape Benoît XVI est arrivé ce mercredi soir à Sao Paulo, au Brésil, pour une visite de quatre jours au cours de laquelle il inaugurera la Ve Conférence générale de l’Episcopat latino-américain qui, espère-t-il, donnera un nouvel élan et une nouvelle vigueur missionnaire à ce continent.

L’avion papal a quitté Rome ce matin à 9 h à destination de Sao Paulo, où il a atterri un peu après 16 h, heure locale, 21 h (heure de Rome), soit environ une demi heure avant l’horaire prévu, après un vol de 9.477 km.

Après les paroles de bienvenues du président de la République brésilienne, M. Luiz Inácio Lula da Silva, prononcées dans un hangar de l’aéroport de Sao Paulo-Guarulhos, aménagé pour l’occasion, le pape a exprimé son affection pour ce pays possédant le plus grand nombre de catholiques au monde, « source de joie et d’espérance pour toute l’Eglise ».

L’Eglise catholique, a expliqué le pape « est appelée à être, dans le monde, témoin de l’amour du Père, qui veut faire de l’humanité, dans son Fils, une unique famille ».

« C’est de là que naît son profond engagement dans la mission d’évangélisation, au service de la cause de la paix et de la justice », a-t-il affirmé, faisant allusion à l’un des thèmes principaux de sa visite, qui culminera le 13 mai, avec l’inauguration de la Ve Conférence de l’Episcopat à Aparecida, située à 160 kilomètres de Sao Paulo.

« La décision d’organiser une Conférence essentiellement missionnaire reflète donc bien le souci de l’épiscopat, tout comme le mien, de chercher des chemins appropriés pour faire en sorte que ‘nos peuples aient la vie’, en Jésus Christ, comme le rappelle le thème de la Conférence », a poursuivi le pape.

L’évêque de Rome souhaite que cet événement renforce l’identité de l’Amérique « à travers la promotion du respect de la vie, depuis sa conception jusqu’à sa fin naturelle ». Il précise que la Conférence « fera également de la promotion de la personne l’axe de la solidarité, surtout avec les pauvres et les personnes abandonnées ».

Le pape présente trois objectifs pour l’Eglise : « l’engagement pour assurer le renforcement de la famille, comme cellule de base de la société ; l’engagement à l’égard des jeunes, dont la formation constitue un facteur décisif pour l’avenir d’une Nation, et enfin, et non le moindre, l’engagement dans la défense et la promotion des valeurs sous-jacentes dans toutes les couches de la société, surtout au sein des populations autochtones ».

Dans son allocution, le président Lula s’est félicité de la collaboration de l’Eglise dans la lutte contre la faim et la pauvreté, et a souligné la nécessité de défendre la famille et de promouvoir l’éducation des jeunes.

Au terme de la cérémonie de bienvenue à l’aéroport, le pape s’est rendu en hélicoptère au « Campo de Marte » à Sao Paulo. Il a ensuite parcouru environ 5 kilomètres, sous une pluie fine, à bord d’une « papamobile » jusqu’à l’abbaye Saint Benoît, où il résidera pendant son séjour.

A son arrivée à l’abbaye, Benoît XVI a salué la foule remplie d’enthousiasme, venue l’accueillir malgré la pluie. Après une brève allocution, il a donné sa bénédiction et souhaité une bonne nuit à la foule rassemblée devant le monastère.

La journée de demain jeudi commencera par une visite de courtoisie au président Lula. Le pape rencontrera également des représentants d’autres confessions chrétiennes et d’autres religions. Une rencontre avec les jeunes aura lieu au stade de Pacaembu

« Je vous dis cela pour que ma joie soit en vous »

10 mai, 2007

Bienheureuse Teresa de Calcutta (1910-1997), fondatrice des Soeurs Missionnaires de la Charité
Something Beautiful for God (trad. La Joie du don, p. 73 rev.)

« Je vous dis cela pour que ma joie soit en vous »

La joie est prière. La joie est force. La joie est amour. Elle est comme un filet d’amour qui prend les âmes. « Dieu aime ceux qui donnent avec joie » (2Co 9,7). Ceux qui donnent avec joie donnent le plus. Il n’y a pas de meilleure façon de manifester notre gratitude à Dieu et aux hommes que d’accepter tout avec joie. Un coeur brûlant d’amour est nécessairement un coeur joyeux. Ne laissez jamais la tristesse vous envahir au point de vous faire oublier la joie du Christ ressuscité.

Nous éprouvons tous l’ardent désir du ciel où se trouve Dieu. Or il est en notre pouvoir à tous d’être dès maintenant au ciel avec lui, d’être heureux avec lui en cet instant même. Mais ce bonheur immédiat avec lui veut dire : aimer comme il aime, aider comme il aide, donner comme il donne, servir comme il sert, secourir comme il secourt, demeurer avec lui toutes les heures du jour, et toucher son être même derrière le visage de l’affliction humaine.