Archive pour le 4 mai, 2007

Paul Poupard – Projet « STOQ » : Le Conseil pontifical de la Culture publie les 4 premiers volumes

4 mai, 2007

du site:

http://www.zenit.org/french/visualizza.phtml?sid=106967

2007-05-03

Projet « STOQ » : Le Conseil pontifical de la Culture publie les 4 premiers volumes

Et inaugure de nouveaux locaux

ROME, Jeudi 3 mai 2007 (ZENIT.org) Le conseil pontifical de la Culture publie les 4 premiers volumes dans le cadre du « Projet Stoq » (« Science, théologie et recherche ontologique », « Science, Theology and the Ontological Quest »), qui implique six universités pontificales romaines, et inaugure ses nouveaux locaux.Un communiqué de ce dicastère annonce en effet pour le 8 mai une conférence de presse de présentation des ces premiers volumes, par le président du dicastère, le cardinal Paul Poupard, au nouveau siège de ce conseil pontifical, via della Conciliazione (n. 5).Ce sont les premiers livres dune sé

rie importante, qui concerne :
- les m
éthodes mathématiques employé
es en physique,
- des
études historico-critiques sur les dé
finitions du vivant et des organismes,
- les actes du premier carrefour organis
é à luniversité pontificale gré
gorienne sur les relations entre science et philosophie,
- diff
érentes contributions sur le concept de vie et le problè
me des organismes.
Le cardinal Poupard sera accompagné de Mgr Melchor Sanchez de Toca, directeur du Projet STOQ, et sous-secrétire du dicastère, de M. Gennaro Auletta, directeur scientifique de STOQ et professeur à luniversité pontificale grégorienne, et M. Pietro Ramellini, professeur de science et foi à lathénée Regina Apostolorum.Le projet Stoq III, qui est soutenu par la Fondation Templeton et dautres sponsors italiens, est lun des plus prestigieux programmes d’étude et de recherche actuellement existant dans le monde, sur la relation entre science, philosophie et thé

ologie. Le programme est coordonné par le Conseil pontifical de la Culture, et il en est à sa IIIe phase, impliquant les universités pontificales romaines.Il constitue, indique ce dicastère « un des fruits du nouvel esprit de dialogue entre sciences naturelles et théologie », un esprit « inauguré par le concile Vatican II », et mûri dans la commission d’étude sur le cas Galilée, instituée par Jean-Paul II, et présidée par le cardinal Poupard. Cette étude a conduit, rappelons-le, à la célébration, pour la première fois dans lhistoire, du Jubilé des personnalités scientifiques, le 25 mai 2000 (cf. le dossier de Zenit des 21, 23, 25, 26 mai 2000).

L’ATTAQUE à l’ÉGLISE

4 mai, 2007

Du journal on line « Avvenire » (traduction très difficile):

 

L’ATTAQUE à l’ÉGLISE

Père Lombarde sur les mots de la comique Rivera : « Acte irresponsable ». Mais tous doivent se donner à faire « pour désamorcer les tensions. Il ne faut pas transformer une bêtise dans une tragédie « 

 » Est terrorisme alimentaire fureur aveugles et des irrationnel « 

L’  » Observateur romain « : stratégie de la tension les phrases contre la Pape à le concerte du 1° mai

de Rome Gianni Santamaria

« Même ceci est terrorisme ». Il ne recourt pas aux demis termes l’Observateur Romain pour définir la performance du comique Andrea Rivera, que de la loge du premier mai – sur lequel il était salé comme conducteur ensemble à l’actrice Claudia Gerini – on a laissé aller lourds à des battues sur le Pape et l’Église catholique. Le jour après, hier, le journal du Saint Siege, dans la chronique qui ouvre la page des nouvelles italiennes, a défini l’épreuve un « petit meeting (politique) », dans lequel le conducteur « a mêlé des diverses choses et des diverses agressions verbales, en donnant de la vie à un confus et approximatif discours sur l’évolutionnisme et sur les thèmes de la vie et des mortes ». En soirée, en parlant au Tg1, le directeur de la Salle imprime Vatican, père Federico Lombards, a défini les mots de Rivera un « acte irresponsable », en invitant ensuite à se donner à faire tous « pour désamorcer les tensions et pour recréer les conditions pour le dialogue serein dans notre société ». En ce sens, il a conclu le jésuite, « il est bien que celle qui en réalité a été une évident bêtise ne devient pas une tragédie, et ne soit pas occasion pour se rallumer de disproportionné conflits ». Mais à faire allumer une enflammée polémique dans le cours de la journée elle avait été la référence de l’Observateur au terrorisme. L’articule apparu sur l’organe du Saint Siege, par contre, affirme avec sûreté qui « est terrorisme lancer des attaques à l’Église. Il est terrorisme alimentaire fureur des aveugles et irrationnel contre qui il parle toujours de l’amour pour la vie et l’amour pour l’homme « . Et il renchérit la dose : « Il est lâche et terroriste lancer des cailloux, cette fois même contre le Pape, en se sentant couverts des cris d’approbation d’une foule facilement excitable ». En outre l’Observateur souligne comme cela soit fait par des sujets des « risible », qu’ils manifestent l’ « habitude déconcertante ignorance sur les thèmes dans lesquels on prétend d’intervenir aussi en faisant tout autre métier ». Finalement, le journal d’Oltretevere (ou delà du Tevere) relie l’événement au climat de ces mois, culminé dans les menaces au président des Cei Ange Bagnasco. « Ils sont de ces heures même les slogans dans les défilé des louangeur aux terroristes, les messages qui apparaissent sur internet, provenant de » br « ( brigades rouges – rouge politique) en prison, une offensive qui cherche à trouver terrain fertile dans la haine anticléricale ». Ce haine « est consciemment alimenté de quel elle fait du laïcisme sa seule raison être, pour avantage politique ». Une attitude qui emploie des « interprétation captieux de discours faits du même président des Cei, discours conduits toujours, comme il se disait, au nom de l’amour, en défense de bien de l’homme, raisonnements articulés et argués, tournés à quel il a la honnête de les écouter ». Pendant que les forcement servent seulement à ouvrir une « nouvelle stratégie de la tension, dont il tire de l’inspiration qui cherche des raisons pour tourner à empoigner les armes, pour revitaliser des organisations qui ont perdu sur tous les fronts, premier parmi tous celui de l’histoire ». En somme, à faire revivre des « anachronismes ». « Comme cette présence sur la loge à San Giovanni. Un surplus au milieu de tant de jeunes « . Finalement, l’articule se demande comme y soit fini sur la loge « ce personnage, auquel il s’est malheureusement forcé à concéder maintenant à une immédiat notoriété ». « Qui l’a choisi il n’a pas tenu compte de l’instant que nous vivons. Les mots du « conducteur » peut-être sont seulement expression d’une déconcertante superficialité. Mais leur dangerosité n’est pas aussi superficielle « . Les organisateurs, aussi les confédérations syndicales, ont pris les distances vite pour bouche des trois secrétaires. « Elles sont des phrases entièrement inopportunes, très plus dans une journée comme celle-ci », a été commente de Guglielmo Epifani du Cgil. Pour Raffaele Bonanni du Cisl, « celui-ci n’est pas le lieu apte pour faire politique et faire des divisions ». Angeletti (Uil) a liquidé ces de Rivera comme « déclarations stupides ». Bonanni hier a invité l’artiste à s’excuser avec le Vatican, mais même avec les syndicats « parce qu’il a employé improprement » la manifestation « comme occasion de propagande idéologique » et a affirmé que, avec les autres deux sigles des travailleurs, il évaluera dans les jours qui suivent si « demander les dommages à cette personne pour avoir lésé, dans quelque mode, l’image de tolérance et de cohabitation typique de le concerte du premier mai ». Rivera – déjà artiste de route, ensuite transité du théâtre, avec Gigi Proietti (en acteur du théâtre du premier plan), au tv, avec Sereine Dandini (« Parle avec moi » sur Raitre) – à la fin et s’est dite « profondément se regretter d’avoir crée des polémiques ainsi allumées dans le monde télévisé, politique et religieux » et il s’est dit « conscient de ne pas avoir fait des extériorisation légères », mais qu’elle n’était pas son intention offenser le Pape et l’Église.

 

Saints Philippe et Jacques reposent en la basilique des XII apôtres ( à Rome)

4 mai, 2007

du site: 

http://www.zenit.org/french/

2007-05-03

Saints Philippe et Jacques reposent en la basilique des XII apôtres ( à  Rome)

Catéchèses de Benoît XVI

ROME, Jeudi 3 mai 2007 (ZENIT.org) LEglise fête le 3 mai et depuis 1959 les saints apôtres Jacques le Mineur et Philippe, que le pape Benoît XVI a présentés respectivement lors de ses catéchèses du mercredi les 28 juin et 6 septembre dernier, et dont les reliques reposent à Rome.

Selon la tradition, Philippe a évangélisé les régions dAsie Mineure, où il est mort martyr.

Les reliques des deux apôtres ont été transférées à Rome au VIe siècle, sous les pontificats de Pélage et de Jean III. Elles furent déposées en la basilique édifiée en leur honneur près du Forum de Trajan, en ex-voto pour la libération de Rome de loccupation des Goths.

La basilique actuelle remonte au XVIIIe s., comme le montre son style baroque, et elle est maintenant dédiée aux Douze apôtres.

Le 28 juin 2006, Benoît XVI expliquait, dans sa catéchèse du mercredi, qu’« aux côtés de Jacques le Majeur, fils de Zébédée, les Actes des Apôtres évoquent un autre Jacques, dit le Mineur, faisant partie des douze Apôtres choisis personnellement par Jésus, et désigné comme étant fils dAlphée ».

« Saint Paul, qui lui attribue une apparition particulière du Ressuscité, à loccasion de sa venue à Jérusalem, le nomme avant Simon-Pierre et le qualifie aussi de colonne de l’Église. Lacte le plus important accompli par Jacques au sein de l’Église primitive fut son intervention au sujet des rapports difficiles entre les chrétiens dorigine juive et ceux qui venaient du paganisme. Naquit alors une estime réciproque et un respect qui, malgré de regrettables incompréhensions ultérieures, tendaient à sauvegarder ce qui caractérisait chacune des deux parties », précisait le pape.

« Dans le canon des Écritures, nous trouvons aussi une Lettre portant le nom de Jacques, qui insiste beaucoup sur la nécessité de ne pas réduire la foi à une pure déclaration verbale ou abstraite, mais de la manifester en accomplissant de bonnes œuvres et de nous abandonner entre les mains de Dieu. Ainsi, saint Jacques demeure aujourdhui encore un maître de vie », soulignait le pape.

La catéchèse du 6 septembre a été consacrée à saint Philippe. Le pape le présentait ainsi : « Nous découvrons aujourdhui la figure de lApôtre Philippe, que nous connaissons par l’Évangile de Jean. Dorigine juive, né à Bethsaïde, comme Pierre et André, son nom est grec, petit signe douverture culturelle. Il jouit dun prestige particulier dans le collège des Apôtres ».

« Viens, et tu verras, cette invitation est adressée par Philippe à Nathanaël, alors que celui-ci se montre sceptique devant les déclarations du disciple concernant lidentité de Jésus, rappelait encore le pape. Par cette réponse, Philippe ne se contente pas dannoncer le Christ, il invite son interlocuteur à faire lui-même une expérience personnelle de ce qui est annoncé ».

Soulignant lactualité de ce message, le pape ajoutait : « Il semble aussi sadresser à nous, nous appelant à connaître le Christ en personne, à découvrir son humanité et sa divinité, son mystère, sa beauté. Philippe sait orienter les demandes qui lui sont faites vers le Seigneur, le seul qui puisse les satisfaire en plénitude. À sa question, au cours de la dernière Cène : Seigneur, montre-nous le Père ; cela nous suffit, Jésus répondra par cette révélation : Celui qui ma vu a vu le Père [...] Croyez ce que je vous dis : je suis dans le Père, et le Père est en moi. Dieu sest donné un visage humain, celui de Jésus. Si nous voulons connaître le visage de Dieu, il nous suffit de contempler le visage de Jésus ! »

je suis allé au médecin…j’ai fait un petit « tour » entre quelque Blog de ce serveur et…

4 mai, 2007

Bonjour, j’espère ne pas être « encombrant » si je vous parle encore de moi. J’ai le visage, près du nez plein de taches rouges, le sang qui, commune est sorti à l’intérieur du visage.  J’ai été du médecin. Il n’y a pour l’instant pas autre à me faire que penser avec une crème, toutefois pour précaution, parce que ne semble pas que je suis tombé pour être achoppé sur escalade ou de quelque partie, et parce qu’en tombant je n’ai pas mis les mains en avant, je devrai faire un  électroencéphalogramme, est contrôle normal, toutefois il me donne la sensation de ne pas être plus étendue, au contraire elle est une sensation que j’ai depuis longtemps, espère ne pas être mauvais, au moins devant Dieu parce que je prie et  Dieu m’aide. 

Une autre chose, j’ai fait un petit « tour » entre quelque Blog de ce serveur et je me suis aperçue que le vôtre il est un monde divergé dal mien, est un monde serein où on va trouver les amis, où on joue avec les fils, où on parle d’amitié, un monde uni de quelque chose de fort, d’un fort lien, pour moi, ici, n’est pas ainsi, ici on parle aux uns les autres seuls de football (les hommes), de sexe, de politique, on nous plaint de tout, et souvent médit, même et volontiers contre le Pape, et pas seulement contre lui, et pas seulement extracommunautaire, qui attaque, en insultant les personnes ; mien il est un monde où beaucoup font beaucoup pour le bien de l’Italie : il y a trop de hostilité, trop poison, spécialement dans la chose publique, même le Président Napolitano a invité au calme, à un majeur dialogue ; ici, spécialement à Rome, nous avons surtout le Pape, insulté, entre autre à la fête du premier mai, au concerte de San Giovanni, à deux pas de ma maison ; 

en somme votre monde, beau n’est certainement comme le mien, pour moi est seulement en peu en commémoration d’en passé : pouvoir avoir des amis, pouvoir dialoguer avec quelqu’un de choses sérieuses, de choses belles, n’existe pas plus, ainsi même les comiques en Italie n’existent pas plus, une des transmissions télévisées, disons comiques, est intitulé « les hyènes ; il est celui-ci notre monde ; il y a les Seigneur et, comme il disait Teresa d’Avila : « seulement il suffit » »