Archive pour avril, 2007

Cardinal Jean-Marie Lustiger – « Artistes recherchent peuple désespérément »

24 avril, 2007

du site:

http://catholique-paris.cef.fr/diocese/pretres/cardinal/J-M-Lustiger/index.php

Cardinal Jean-Marie Lustiger – « Artistes recherchent peuple désespérément »
(Texte paru à la cré
ation d’Art Culture et Foi)

Lart ? Cest devenu un marché ; et les objets dart, un placement. Et la culture ? Tout autant. Elle se gère et se digère au gré des choix politiques. Pour exporter, il faut exposer. Et réciproquement. Désormais, les foires artistiques ou culturelles son plus réputées que jadis, les foires aux bestiaux. Et le chiffre daffaire plus élevé.
Mais il est des cr
éateurs qui refusent de vendre, même sils ont besoin de manger pour vivre. Des hommes pour qui il est vital de faire retentir le langage du beau, tragique ou serein ; et ils savent que personne ne peut leur acheter ce don quils ont reç
u. On les appelle des artistes.
Aujourd
hui, les artistes sont peut-être plus solitaires quen aucun autre temps. Les modes et leur commercialisation dépouillent brutalement les peuples et les cultures de leurs sens de la beauté si lentement affiné et si fragile. Ils oublient la sagesse , les paroles et les gestes, le savoir-faire et les signes acquis par des apprentissages immémoriaux. Ils perdent le chiffre de leur message secret qui exprime la gratuité du jeu, la profondeur de la tristesse, la joie et la vie. Et surtout, l’énigmatique beauté de ce mystère qui donne sens à la vie : ce qui dans lhomme est sacré. Nous savons, nous chrétiens , quil est limage de Dieu. Et les créateurs, sans langue commune, ont le sentiment de parler dans le vide. Il n
y a plus de peuple, mais des publics.
L
Eglise catholique en notre pays- et sans doute dans la plupart des pays du monde na pas les moyens financiers pour entrer en compétition dans la foire aux objets, dans les enchères aux « productions ». Mais les croyants devraient à nouveau devenir le « peuple » nécessaire à lexpérience esthétique qui rejoint si souvent lexpérience spirituelle. Dans le chemin toujours obscur de la création, les croyants peuvent, en écoutant une parole encore inconnue, aider celui qui la prononce à en déchiffrer le sens, à recevoir un message et à trouver par leur foi l’énoncé de la parole qui retentit. Ils devraient, surtout et avant tout, devenir des interlocuteurs désintéressés et capables du respect dont la source est en Dieu, respect sans lequel lartiste quel que soit son art, et même sil récuse ce titre- mourrait plus sû
rement de faim.J

ai été parfois émerveillé par les initiatives de telle paroisse, par les intuitions de tel groupe de fidèles. Quelle joie et quel élan naissent de la rencontre- souvent exigeante ou éprouvante- entre un peintre, un musicien, un poèteet la ferveur des croyants ! Mais comment les soutenir ?
C
est le but du Comité « Art , Culture et Foi » qui vient d’être créé à ma demande. Faire converger et mettre en harmonie les diverses initiatives, permettre quelles soient mieux connues et reconnues, favoriser laccueil mutuel, encourager les cré
ations.
Les m
écènes ne manquent pas. Le véritable enjeu est la naissance dun art vraiment « populaire ». Cet art dont tous caressent le rêve ne récuse ni le savoir ni le savoir-faire des plus compétents et des plus doués. Il est fondé, non sur le snobisme ou le tourisme, mais sur une existence communautaire qui a besoin de signes ; nourri dune expérience spirituelle qui donne à des hommes et des femmes « ordinaires » une autre sensibilité, une autre finesse de perception, alors même quelle est moins armée que celle des critiques et des savants. Cest un pari et cest aussi un risque. Ce peut être une contribution des catholiques à lapparition dune esthétique digne de notre univers technique. Cest une chance pour les non-chrétiens. Merci à ceux et celles qui voudront bien la saisir »
.

Jean Marie cardinal Lustiger, 30 mars 1989

l’événement de converti, il nous questionne

24 avril, 2007

Un approfondissement du journal on line Avvenire italienne (traduction):

Le sens d’un voyage

l’événement de converti, il nous questionne

Gian Marie Vian

 

la clé de l’étape à Pavie de Benoît XVI, qui dimanche a vénéré le relique de sant’Agostino, est le « pèlerinage » : celui d’un évêque qui a prié devant la tomba de le sien prédécesseur dans la foi et dans la recherche de Dieu, en montrant ainsi à chaque femme et à chaque homme d’aujourd’hui combien de cette foi et cette recherche ils soient indispensables. Une clé qui est autobiographique, certain, mais pas seulement, comme a indiqué la même Pape : arrivé à Pavie « pour exprimer soit l’hommage de toute l’Église catholique à un de ses  » pères  » plus grands, soit mon personnel dévotion et reconneissance vers celui que tant de partie a eu dans ma vie de théologue et de bergères, mais disaient d’abord ancre d’homme et de prêtre ».

Il n’a pas été en effet seulement l’accomplissement d’un désir de l’âme le voyage de Benoît, cet évêque de Rome, qui avec ses mots simples sait toucher le coeur de quel il l’écoute. Et que dimanche a voulu indiquer comme sant’Agostino restes un modèle pour l’humanité d’aujourd’hui. Modèle signifie exemple qu’il frappe et fascine, comme le grand intellectuel et évêque africain a été et est pour Joseph Ratzinger, aujourd’hui Benoît XVI. Et comme il peut être pour n’importe qui on accoste à l’événement de l’auteur de celle-là extraordinaire autobiographie intérieure qui est les Aveux : événement de converti, au contraire d’ « un de plus grands convertis de l’histoire de l’Église », a souligné le Pape qui n’a pas eu de la peur d’employer un mot pour notre temps presque scandaleux. Mais pourquoi celui converti il y à de seize siècles peut fasciner encore aujourd’hui, quand semble que plus de rien soit vrai ? Parce que la conversion de sant’Agostino « ne fut pas un évènement d’un unique instant », il a expliqué Benoît XVI, mais « un chemin » : recherche inépuisée de la face de Dieu qui continua jusqu’à à lorsque l’évêque d’Ippona mourante fit attaquer au mur les psaume pénitentiels pour les pouvoir légères du lit dans la dernière prière. Mais sin de jeune Agostino avait cherché, a dit le Pape : « On accontent ò jamais de la vie ainsi comme elle se présentait et comme tous ne la vivait. Ère toujours tourmenté de la question de la vérité. Il voulait trouver la vérité. Il voulait réussir à savoir ce qu’il est l’homme ; dont il provient le monde ; dont nous venons mêmes, où nous allons et comme pouvons trouver la vie vraie. Il voulait trouver la droite vie et pas simplement vivre aveuglement sans sens et sans but. La passion pour la vérité est la vraie mot-clé de sa vie « . Et la recherche della vérité n’est pas, en second lieu Ratzinger, né une prérogative né un luxe d’intellectuels : « Je ne dois pas dire combien de tout ces égards nous : rester des personnes qui cherchent, ne pas se contenter de ce que tous disent et font. Pas le regard détourner du Dieu eternel et de Jésus Christ. Apprendre toujours de nouveau l’humilité de la foi dans l’Église corporelle de Jésus Christ « . Comme il sut faire Agostino, appelé à traduire l’évangile « dans le langage de la vie quotidienne » : en reconnaissant de façon continue la nécessité de la « bonté miséricordieuse d’un Dieu qui pardonne », dans la conscience que « nous nous rendons semblables à Christ, le Parfait, dans la mesure plus grande possible, lorsque nous devenons comme Lui des personnes miséricordieux ». De ceci il est auto convaincu Benoît XVI : « Seulement de quel il vit dans l’expérience personnelle des amour du Seigneur est en mesure exercer épelle de guider et accompagner autres dans le chemin de la série de Christ. À l’école de sant’Agostino je répète cette vérité pour vous comme Évêque de Rome, pendant que, avec joie toujours nouvelle, je l’accueille avec vous comme chrétien « . Parce qu’Agostino, comme il écrivit son ami Possidio, est vivant et il parle encore : à le Pape comme à n’importe qui de nous.

 

Le médecin doit-il soigner ou satisfaire ?

24 avril, 2007

DU SITE:

http://www.zenit.org/french/

2007-04-24

Le médecin doit-il soigner ou satisfaire ?

Réflexion du Dr. Carlo Bellieni, médecin italien

ROME, Lundi 23 avril 2007 (ZENIT.org) Nous publions ci-dessous une analyse du docteur Carlo Valerio Bellieni, directeur de lunité de soins intensifs néonatals à la Polyclinique universitaire « Le Scotte » de Sienne et membre de lAcadémie pontificale pour la Vie sur le rôle du médecin. Le médecin doit-il soigner ou satisfaire ? sinterroge le docteur Bellieni.

* * *

Les récents cas de soins de mauvaise qualité enregistrés en Italie mettent en évidence lexistence de vraies ou prétendues fautes ; mais ces cas montrent aussi que la profession médicale a ses limites. Quil sagisse d « erreurs » ou d « insuccès thérapeutiques », ces limites sont inhérentes à la profession même du médecin, et à lhumanité de celui qui la pratique. Mais il y en a dautres qui entrent dans le cadre des lois et du bon sens : par exemple la limite à ne pas se servir des patients comme cobayes, qui bloque ainsi toute possibilité scientifique mais que nous jugeons absolument indispensable. Nous revendiquons également la limite de ne pas mettre fin à une vie, de sélectionner ou éliminer des embryons, des fœtus, même si cest le public qui le demande.

Nous devons comprendre quel est vraiment le rôle du médecin et quelles sont ses vraies limites : le médecin doit-il soigner ou satisfaire ? Mais pour cela, il convient dabord de nous interroger sur lobjet de sa profession, cest-à-dire sur la santé, et sur la manière de ne pas tomber dans les dérives commerciales ou, plus cyniquement encore, sur la manière de ne pas succomber à la mode du moment.

La santé cest quoi ? Pour répondre à cette question nous devons partir de lexpérience : quand éprouvons-nous le sentiment de ne pas être en bonne santé ? La réponse est facile : « Quand nous narrivons plus à faire une chose que nous avions lhabitude de faire avant ou quand nous narrivons pas à faire ce que les autres arrivent à faire ». Par exemple, quand nous narrivons plus à courir comme avant, ou à marcher normalement parce que nous sommes atteints dune paralysie. Comme on le voit, lidée de santé est profondément liée à lidée de désir. Et il est évident quon ne parle pas dun « caprice », mais dun vrai désir. La différence entre ces deux termes est vite vue : le désir doit impliquer que lon cherche à obtenir quelque chose qui est inscrit dans la nature de la personne. Ainsi, vouloir le même nez quune célèbre actrice relève du caprice, alors que vouloir réparer son nez pour éviter les moqueries ou rétablir une fonction respiratoire relève du désir.

Nous sommes loin de la position de lOrganisation Mondiale de la Santé qui définit la santé comme « un état de bien-être physique, mental et social complet ». Cette définition, née pour sopposer à lidée que la santé nest que labsence de maladies, ouvre la voie à une claire utopie : le bien être complet est impossible : qui peut dire navoir jamais eu à se plaindre ? Qui peut se dire totalement satisfait ? Cette définition de lOMS est une définition qui porte à deux conséquences malheureuses : une insatisfaction existentielle (si la santé est un droit, mais que la pleine satisfaction est impossible, mon droit est donc impossible) ; et le pur caprice : moi seul suis capable de déterminer mon degré de satisfaction, et je sais que ma satisfaction nest pas totale alors je dois m « inventer » des désirs qui élèveront mon niveau de satisfaction, puisquen satisfaisant jusqu’à présent mes désirs, ma satisfaction était réduite. Eh oui, car cette définition crée une confusion entre les mots santé’ et bonheur. La société moderne croit que le bonheur est une question de satisfaction (chercher à avoir tout ce que lon veut). Non, ça ne fait que multiplier les nécessités davoir encore plus de désirs à satisfaire, et en théorie davoir plus de bonheur.

Mais alors quest-ce que la santé ? Cest la possibilité de saffirmer dans les désirs profonds qui nous caractérisent : désir de beauté, de bonheur, de liberté et damour. Mais nous devons savoir faire la part des choses entre les « grands » désirs, qui sont ceux que nous venons d’énumérer, et les désirs « partiels » qui sont ceux de tous les jours et qui nont de valeur que sils ouvrent la voie à la satisfaction des premiers. Donc la santé dun octogénaire qui a du mal à se déplacer peut être meilleure que celle dun jeune de 16 ans recalé à l’école, car la mesure de notre état ne dépend pas de ce que lon fait, mais de ce que lon peut faire par rapport à ce que nous désirons à moins que nos désirs ne se soient atrophiés…

Que le contraire de la santé nest alors pas la maladie est un corollaire de cette définition du mot « santé ». Des athlètes de grande qualité sexhibent dans des manifestations sportives, assis sur des fauteuils roulants, ou skiant sur une seule jambe. Or personne ne dit quils ne sont pas des athlètes ou que leur prestation nest pas hautement sportive ; et quils ne sont pas en bonne santé. Il suffit dailleurs de voir tous ces gens tristes et mal dans leur peau. Ils ne souffrent pourtant daucune pathologie particulière. On en déduit donc que le réel contraire du mot santé’, vu comme « possibilité de répondre à un désir », est le désespoir.

Lon comprend alors aisément ce que signifie le mot « bien-être ». Dans son acceptation moderne, ce mot tend à être utilisé pour qualifier notre état quand nous pouvons disposer de choses superflues si bien que notre bien-être finirait paradoxalement, par se mesurer en fonction des déchets que nous produisons. En réalité, cette conception est limitée et insuffisante : obtenir des choses dont on finit par se lasser tôt ou tard ne suffit pas à garantir notre sérénité. Le bien-être réel consiste à avoir conscience de sa propre santé : je me sens bien quand je sais que je maffirme moi-même.

Surgit alors le problème de ce que signifie lexpression « saffirmer soi-même », car la confondre avec une vision égocentrique et égoïste de la vie serait trop facile. En réalité, je maffirme quand je réponds à mes désirs, mais pas à mes caprices, ni à mes besoins : caprices et besoins n’étant pas dignes d’être définis des « désirs ». Ces désirs dont je parle sont mon ADN éthique, ce qui est inscrit au fond de mon cœur : le désir de beauté, de bonheur, damour, de liberté. Par conséquent, notre cheminement vers la santé passe par la réalisation de désirs partiels successifs aptes à nous ouvrir à ces « grands désirs » dont nous parlions plus haut.

Nous pouvons donc comprendre maintenant ce que veut dire « soigner » : soigner veut dire favoriser lassouvissement des « grands désirs » en satisfaisant nos désirs partiels.

Et lon comprend bien que pour soigner il faille miser sur les premiers avant de traiter les seconds.

En somme : laction de soigner est une action qui part de lhomme. Lhomme qui se consume pour le destin dun autre homme, dans la mesure de ses capacités et en utilisant les instruments qui lui sont propres. Le médecin soignera avec ses instruments, le prêtre avec les siens, lenseignant avec dautres encore. Et la méthode est la même. De tout cela on peut en déduire aussi que les actions entreprises par le médecin ne visent pas toutes à soigner. Par exemple favoriser lusage danabolisants dans le sport ; interrompre une grossesse ; céder à certaines prétentions absurdes qui consistent à remodeler le corps selon les modèles véhiculés par la publicité. Tout ceci fait la différence entre le fait de souvrir à la réalisation de soi et le saffirmer soi-même. Dans le premier cas (la réalisation de soi) son prochain est vu comme un allié ; dans le second cas (affirmation de soi), il est vu comme une entrave ou comme un moyen à saisir.

Il est dautre part erroné de dire que les opérations pharmacologiques sont le seul moyen de soigner et que laction du médecin sarrête là : la parole, l’écoute, lattention que lon porte à la prévention, au milieu ambiant et au soutien économique peuvent et doivent constituer les pivots daction du médecin.

Doù cette grande différence entre le médecin qui « soigne » et le médecin qui « satisfait ». La structure sanitaire veut satisfaire et les patients aussi réclament cette satisfaction, mais est-ce bien là le cœur de la profession médicale ?

Malheureusement, en créant tant de désirs et de caprices, la pression des médias nest pas étrangère à cette dérive : nos rues pullulent de panneaux, les télévisions, internet, ne cessent de nous bombarder de messages assimilant le bonheur et la consommation. Cela dit, les sociétés pharmaceutiques ont, elles aussi leur part de responsabilité quand elles favorisent leur propre invention de nouvelles maladies créées de toutes pièces pour vendre des médicaments : cest ce quon appelle le disease mongering : cest-à-dire créer des nécessités pour vendre des remèdes. Et nous savons bien aujourdhui à quel niveau de consommation nous sommes arrivés, par exemple dans le domaine de la reproduction, où lon multiplie les examens médicaux au nom dune hypothétique garantie de la « perfection » du nouveau-né. Certains articles sur la surconsommation procréative et sur comment le diagnostic prénatal est devenu acceptable en France (un phénomène en expansion également en Italie), sont significatifs.

Dans le domaine de la chirurgie esthétique, de la fécondation in vitro, de leuthanasie, on ne compte plus les demandes. Des demandes qui veulent être satisfaites même si elles ne sont pas liées directement à la recherche de la santé. Le médecin, semblerait-il, « doit garantir la guérison », pas soigner qui plus est fournir « un service », sans poser de questions et encore moins dobjections.

Cest pourquoi nous ne devons cesser de réclamer notre droit de vivre une profession médicale qui ait à cœur de soigner et non de satisfaire, davoir des médecins non des machines à ordonnances qui sintéressent à lhomme, à ses besoins et à ses souffrances.

« Seigneur, donne-nous ce pain-là, toujours »

24 avril, 2007

Saint Colomban (563-615), moine, fondateur de monastères
Instruction spirituelle, 12,3 (trad. Bouchet, Lectionnaire, p. 311)

« Seigneur, donne-nous ce pain-là, toujours »

Le prophète dit : « Vous qui avez soif, allez à la fontaine » (Is 55,1). C’est la fontaine de ceux qui ont soif, non de ceux qui sont abreuvés. Elle appelle ceux qui ont faim et soif, qu’ailleurs elle dit bienheureux (Mt 5,6), eux dont la soif n’est jamais étanchée, et qui ont d’autant plus soif qu’ils se sont déjà abreuvés à la fontaine. Nous devons donc désirer, frères, la fontaine de la sagesse, le Verbe de Dieu dans les hauteurs, nous devons la chercher, nous devons l’aimer. En elle sont cachés, comme le dit l’apôtre Paul, « tous les trésors de la sagesse et de la science » (Col 2,3) et elle invite tous ceux qui ont soif à s’abreuver.

Si tu as soif, va boire à la fontaine de vie. Si tu as faim, mange le pain de vie. Bienheureux ceux qui ont faim de ce pain et soif de cette fontaine. Buvant et mangeant sans fin, ils désirent encore boire et manger ; douce est cette nourriture et douce cette boisson. Nous mangeons et nous buvons, mais nous avons encore faim et nous avons encore soif ; notre désir est comblé et nous ne cessons de désirer. C’est pourquoi David, le roi prophète, s’écrie : « Goûtez et voyez comme est doux le Seigneur » (Ps 33,9). C’est pourquoi, frères, suivons notre appel. La Vie, la fontaine d’eau vive, la fontaine de la vie éternelle, la fontaine de lumière et la source de clarté nous invite elle-même à venir et à boire (Jn 7,37). Là nous trouvons la sagesse et la vie, la lumière éternelle. Là, buvons l’eau vive, jaillissant pour la vie éternelle (Jn 4,14).

je désire encore faire une intervention, dans le sens qui voudrais vous dire en que direction je suis en train de tâcher d’aller avec ce Blog…

23 avril, 2007

comme j’ai dit autres fois je suis en train de tâcher de suivre Pape Benedetto, mais dans le sens qui cherche de vous suivez son parcours de foi;dimanche qui en le regarde en télévision pendant le voyage à Pavie, je voyais ses yeux changer expression selon l’événements: intéressés qui en écoutent les autres, silencieux, si on peut dire ainsi des yeux, et finalement, ou pour cette présentation…doux, gâteaux sont devenus particulièrement et de manière profonde, j’il semblait que ripercorressero l’histoire de l’Église et son histoire en même temps, devant les reliqui d’Augustin;moi pour la fête de Sant’Agostino suis décennie maintenant que je vais à l’Église du Saint à Rome et le jour avant qu’on fête Sainte Monica, et, j’essaie toujours une émotion riasscoltando profond les mots du Saint souvent prises par les Aveux, qul tu t’entretiens avec la Mère mourante à l’Hostie, le port de Rome ancienne, où elle se trouvait, livre « Confession » livre 9, XI,XII,XI; dans les yeux du Pape j’il semble de retrouver cette émotion immense d’Augustin devant la maman, devant Dieu en l’eux tempérer cet amour de Dieu que il l’étonnait toujours de plus;

c’est une bonne chose, excellente, reporter les mots du Pape, ses discours, cependant regarder ses yeux qu’ils changent expression et en qui peut retrouver toujours Dieu, et comme chercher Dieu, comme: « isegni » de lequel parlait, il les signes de Dieu dans ce monde peuvent les trouver dapertutto mais dimanche dans l’église augustinienne, j’ai trouvé Dieu dans les yeux du Pape metre il regardait les reliques de Sant’Agostino;

« Actualité der la louange »

23 avril, 2007

du site « Ministére de Louange »:

http://louange.org/html/index.php?name=News&file=article&sid=410

« Actualité der la louange »

Par Mme Judith Ann Robinson Il y a quelques semaines, je parlais à un conducteur de louange dont les chants ont touché le monde entier. Curieuse de savoir quel était son point de vue sur ce qu’on peut appeler “ l’actualité de la louange ”, je lui ai posé la question. Après quelques secondes de réflexion, il m’a dit la chose suivante : “ Je crois qu’en ce moment, on a vraiment besoin de chants qui nous rappellent, objectivement, qui est Dieu. Des chants qui expriment qui est Jésus. Nous avons bénéficié d’une multitude de chants qui ont permis à cette génération d’exprimer ses émotions et les choses qu’elle vit personnellement avec le Seigneur, et c’était important. Mais maintenant nous avons besoin d’un complément, de chants qui redressent l’équilibre. ”
Sa réponse m’a poussée à la réflexion et la prière. Je partage ici les quelques éléments qui sont sortis de ce moment, car je pense qu’il a touché quelque chose de très profond. Ceci a des conséquences pour tous ceux qui sont impliqués dans la conduite de la louange.
Notre Dieu, l’objet de notre louange, est toujours :

Transcendant et immanentDans le langage des théologiens, Dieu est transcendant, c’est-à-dire au-dessus de toute matière, de toute créature, et Il existe avant et indépendamment de tout. Il ne dépend pas de nous pour son existence. À ce Dieu transcendant, on peut adresser des prières et des louanges qui élèvent Sa grandeur, Sa magnificence, Sa toute-puissance, Sa nature de Créateur, Son Omniscience. C’est cette transcendance qui est la base de notre foi en la puissance de Dieu. Elle nous permet aussi d’avoir un regard juste sur ce Dieu qui, tout en nous aimant passionnément, n’est pas un distributeur automatique de bénédictions et n’est surtout pas sujet à notre volonté humaine.Mais Dieu est aussi immanent, c’est-à-dire qu’il est tout près de nous. Il n’est pas tout simplement à côté de nous, mais il habite en nous. Il nous touche au plus profond de notre être et nous restaure corps, âme et esprit. Le Père désire l’intimité avec Ses enfants. Jésus est notre Bien-aimé. Il est l’époux, nous sommes l’épouse. Le Saint-Esprit est le Consolateur qui ne nous quitte jamais.Dieu est en même temps justice et miséricordeNotre Seigneur s’est donné sur la croix pour payer le prix de nos péchés afin de nous pardonner. Il nous aime d’un amour infini. Il est aussi le juste juge, qui séparera tous ceux qui ne le connaissent pas à la fin des temps et qui les enverra vers le châtiment éternel. Il nous touche au plus profond de notre être afin de nous guérir de toutes nos craintes et de nos mauvaises images de Lui-même, mais Il nous appelle aussi à la crainte de Son nom et à une vie de sainteté.La grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ (Jean 1 :17)Dieu nous aime. Il nous pardonne. Il déverse librement sur nous Son Saint-Esprit. Il oublie nos péchés pardonnés. Il nous permet de vivre sous la grâce, sans aucune condamnation. Mais Il est aussi concerné par la vérité. Si nous perdons le réflexe de vérifier nos “ inspirations ”, nos charismes, nos paroles et les directions que nous pensons recevoir, en nous référant à la Bible, des erreurs et des fausses directions peuvent s’installer de manière très subtile. À force de nous référer constamment à des choses que nous croyons “ recevoir ”, nous pouvons en arriver à un point où nous dépendons entièrement de notre révélation “ directe ” et subjective. À ce moment-là nous sommes en danger. Nous sommes, précisément, ouverts “ à tout vent de doctrine ” et “ à la tromperie des hommes ” ou pire. (Éphésiens 4 : 14) Mais si nous gardons le réflexe de rester fidèle à la Bible, tout en étant libre dans l’exercice des dons inspirationnels et autres du Saint-Esprit, “ sous l’inspiration de la grâce ” nous restons aussi fidèles à ce Dieu qui a permis que la grâce et la vérité soient venues par le même Sauveur.Les implications pour la louange

Qu’est-ce que tout cela a à faire avec la louange?

  • D’abord, cela affecte le contenu de nos compositions en matière de chants de louange. Mon ami conducteur de louange a soulevé un point important. Si nous voulons louer et adorer le vrai Dieu et ne pas mettre à Sa place une image de notre création, il vaut mieux que la gamme de nos chants reflète fidèlement Sa nature. Cela n’empêche pas qu’il y aura des périodes où certains aspects seront mis en avant plus que d’autres, mais à long terme on gardera l’équilibre.
  • Deuxièmement, si, en ce qui concerne la conduite de la louange, nous avons compris ces choses, nous serons capables de conduire les différentes étapes ou les différentes saisons de la louange. Sans vouloir être rigide, il faut avouer que le Psaume 100 nous exhorte à entrer dans Ses portes avec des louanges et dans Ses parvis avec des chants de reconnaissance. Pour ce faire nous avons besoin de chants qui élèvent le nom de Dieu et nous rappellent Sa bonté, Sa puissance et Sa merveilleuse nature, indépendamment de notre situation ou de nos émotions. Mais à d’autres moments, nous entrons dans une communion très personnelle, très intime, où nous avons besoin d’exprimer nos émotions, et notre amour pour le Dieu qui est aussi notre époux. Pour ce faire, un autre style de chant est plus approprié.

Le besoin actuelPlusieurs ont constaté, depuis quelques mois, une lourdeur qui veut s’installer sur certaines assemblées où on loue Dieu. Une des raisons pour cela peut être que nous nous sommes depuis longtemps concentrés sur des chants qui parlaient de manière très subjective de notre relation avec le Seigneur. Tout en avouant que ces chants sont vraiment nécessaires et que cette période l’était aussi, ne pouvons-nous pas nous poser la question, peut-être c’est maintenant le moment de nous tourner de nouveau sur des chants qui élèvent les aspects transcendants de Dieu. Car des chants qui parlent de l’intimité nous aident à la vivre, mais ne nous exhortent pas forcément à lever les yeux vers ce Dieu tout-puissant et d’entrer dans Sa présence avec reconnaissance et la foi qui ne dépend pas de nos circonstances.De plus, nous avons entamé une période de jeûne et d’intercession pour la France (nous sommes le 14 mars 2001). N’est-il pas juste de se dire que si c’est, selon Jacques 5, la prière de foi des justes qui sauvera les individus, c’est aussi les prières de foi de plusieurs qui agiront en faveur de notre pays? N’avons-nous pas d’autant plus besoin de chants qui élèvent, non seulement la toute-puissance de Dieu, mais aussi les projets bienveillants qu’il a pour la France, malgré nos péchés et la situation humaine actuelle?J’aimerais dire pour conclure, que je crois qu’en tant que responsables ou équipiers de louange, nous avons une grande responsabilité d’être sensibles aux temps de Dieu. chaque fois que nous conduisons un moment de louange nous transmettons aussi un message sur notre Seigneur. Si nous Lui sommes sensibles, et si nous reflétons fidèlement son caractère dans tous Ses aspects, les personnes présentes seront édifiées dans leur marche avec Lui et peut-être d’autres auront une première révélation de Lui. Exerçons cette responsabilité avec confiance mais en même temps avec un saint respect de Dieu et de Son peuple, qui nous permettra de refléter Son image de manière juste et de Lui être sensibles nous-mêmes.

Devant la tombe de saint Augustin le pape rappelle que « Dieu est amour »

23 avril, 2007

dal sito Zenith.org.

2007-04-22

Devant la tombe de saint Augustin le pape rappelle que « Dieu est amour »

Le message central de son pontificat, explique-t-il

ROME, Vendredi 20 avril 2007 (ZENIT.org) – A l’occasion de sa visite sur la tombe de saint Augustin, ce dimanche après-midi, le pape Benoît XVI a rappelé le message central de son pontificat : « Dieu est amour ».« L’humanité contemporaine a besoin de ce message essentiel, incarné en Jésus Christ », a-t-il affirmé en concluant sa visite pastorale dans la ville de Pavie, en Lombardie, dans le nord de l’Italie.

« Tout doit partir de là et tout doit y conduire : toute action pastorale, tout exposé théologique » a-t-il affirmé au cours de l’homélie prononcée lors de la célébration des vêpres en la Basilique Saint-Pierre « in Ciel d’Oro » en présence de nombreux prêtres, religieux (de nombreux augustiniens), religieuses et séminaristes du diocèse.

Le pape a expliqué qu’il a voulu « venir vénérer la dépouille mortelle de saint Augustin, pour exprimer à la fois l’hommage de toute l’Eglise catholique à l’un de ses plus grands ‘pères’, ainsi que (sa) dévotion personnelle et (sa) reconnaissance envers celui qui a joué un si grand rôle dans (sa) vie de théologien et de pasteur », mais « avant encore, d’homme et de prêtre ».

Les écrits de saint Augustin, évêque d’Hippone (354-430), docteur de l’Eglise, ont exercé une influence importance sur Joseph Ratzinger qui lui consacra sa thèse doctorale en 1953.

« Devant la tombe de saint Augustin je voudrais redonner idéalement à l’Eglise et au monde ma première Encyclique, qui contient précisément ce message central de l’Evangile : ‘Deus caritas est’, Dieu est amour », a-t-il affirmé.

Voilà « le message que saint Augustin répète encore aujourd’hui à toute l’Eglise » : « l’Amour est l’âme de la vie de l’Eglise et de son action pastorale », a poursuivi le pape.

« Seul celui qui vit dans l’expérience personnelle de l’amour du Seigneur est en mesure d’exercer la tâche de guider et accompagner les autres sur la route à la suite du Christ », a déclaré le pape.

« A l’école de saint Augustin je répète pour vous cette vérité comme Evêque de Rome tout en l’accueillant avec vous comme chrétien, avec une joie toujours nouvelle », a-t-il ajouté.

« Servir le Christ est avant tout une question d’amour », a-t-il expliqué. « L’Eglise n’est pas une simple organisation de manifestations collectives ni, à l’opposé, une somme d’individus vivant une religiosité privée ».

« L’Eglise est une communauté de personnes qui croient au Dieu de Jésus Christ et s’engagent à vivre dans le monde le commandement de la charité qu’Il a laissé », a affirmé Benoît XVI. « Il s’agit donc d’une communauté dans laquelle on est éduqué à l’amour et cette éducation se déroule non pas malgré, mais à travers les événements de la vie ».

Le pape a conclu en lançant un appel à vivre pleinement la vie chrétienne « qui trouve dans la charité le lien de la perfection et qui doit se traduire également par un style de vie morale inspiré de l’Evangile, qui va inévitablement à contre-courant par rapport aux critères du monde, mais duquel on doit toujours témoigner avec un style humble, respectueux et cordial ».

Après sa visite sur la tombe de saint Augustin, et après avoir pris congé de la Communauté des augustiniens, le pape s’est rendu en hélicoptère jusqu’à l’aéroport de Milan-Linate où l’attendait un avion pour rentrer à Rome.

C’était la troisième visite pastorale de Benoît XVI. Hier, le pape était à Vigevano (où il a célébré la messe) et ce dimanche il était à Pavie où il a présidé plusieurs rencontres publiques.

Benoît XVI présente saint Augustin comme un modèle de conversion

23 avril, 2007

du Zenith.org:

2007-04-22

Benoît XVI présente saint Augustin comme un modèle de conversion

Il célèbre la messe à Pavie, où se trouve la tombe du saint

ROME, Vendredi 20 avril 2007 (ZENIT.org) – Le pape Benoît XVI a présenté ce dimanche saint Augustin d’Hippone comme un modèle de conversion à notre époque. Le pape était en visite pastorale à Pavie (Lombardie), dans le nord de l’Italie, où se trouve la tombe du saint.

C’est à saint Augustin, évêque et docteur de l’Eglise (354-430) que le pape a consacré son homélie au cours de la messe qu’il a présidée dans les Jardins du Collège Borromée à Pavie. Benoît XVI connaît bien saint Augustin à qui il a consacré sa thèse de doctorat et qu’il considère comme un maître.

« Jésus, le Ressuscité, vit aujourd’hui encore », a déclaré le pape.

« Conversion » et « pardon des péchés », sont « des mots clés de la catéchèse de Pierre », a-t-il ajouté, en faisant référence à la première lecture de la messe de ce dimanche.

« Le chemin que nous devons faire, le chemin que Jésus nous indique s’appelle ‘conversion’. Mais de quoi s’agit-il ? Que faut-il faire ? » s’est interrogé le pape, devant une foule de quelque 20.000 personnes.

Le pape a présenté le chemin de conversion de saint Augustin en expliquant ses « trois conversions » qui « en réalité ont été une unique grande conversion à la recherche du Visage du Christ puis en cheminant avec Lui ».

« La première conversion fondamentale a été le cheminement intérieur vers le christianisme, vers le ‘oui’ de la foi et du Baptême », a-t-il expliqué. Selon certains historiens, cette première conversion aurait eu lieu à Pâques, en l’an 387.

Saint Augustin « était toujours tourmenté par la question de la vérité. Il voulait trouver la vérité », a-t-il poursuivi.

« Il avait toujours cru – parfois vaguement, parfois plus clairement – que Dieu existait et qu’Il prenait soin de nous. Mais le grand combat intérieur de ses années de jeunesse avait été de connaître vraiment ce Dieu, de se familiariser vraiment avec ce Jésus Christ et d’arriver à Lui dire ‘oui’ avec toutes les conséquences », a expliqué le pape.

« Il nous raconte que, à travers la philosophique platonique il avait appris et reconnu que ‘au commencement était le Verbe’ – le Logos, la raison créatrice. Mais la philosophie ne lui indiquait aucune voie pour l’atteindre ; ce Logos demeurait lointain et intangible », a poursuivi Benoît XVI.

« C’est seulement dans la foi de l’Eglise qu’il a ensuite trouvé la deuxième vérité essentielle : le Verbe s’est fait chair. Et ainsi le Verbe nous touche, nous le touchons », a expliqué le pape.

La « deuxième conversion » de saint Augustin a eu lieu après son baptême, à Hippone, en Afrique alors qu’il avait fondé un petit monastère et fut consacré prêtre, de force, à la demande populaire.

« Le beau rêve de la vie contemplative s’était évanoui, la vie d’Augustin s’en trouvait fondamentalement changée. Il devait maintenant vivre avec le Christ pour tous », a expliqué Benoît XVI.

« Il devait traduire ses connaissances et ses pensées sublimes dans la pensée et le langage des gens simples de sa ville », a-t-il ajouté.

« La grande œuvre philosophique de toute une vie, dont il avait rêvé, demeura non écrite. Une chose plus précieuse nous fut donnée à la place : l’Evangile traduit dans le langage de la vie quotidienne », a poursuivi le pape.

« Voilà la deuxième conversion que cet homme, luttant et souffrant, dût réaliser continuellement : être toujours à nouveau là pour tous ; donner sa vie, sans cesse à nouveau, avec le Christ, afin que les autres puissent Le trouver, puissent trouver la vraie Vie », a-t-il expliqué.

Enfin, la troisième conversion de saint Augustin a eu lieu lorsqu’il découvrit que « un seul est vraiment parfait et que les paroles du Discours de la montagne sont entièrement réalisées en un seul : en Jésus Christ lui-même ».

« Toute l’Eglise en revanche – nous tous, y compris les Apôtres – doit prier chaque jour : ‘pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés’ » écrivait saint Augustin (cf. Retract. I 19, 1-3).

« Augustin avait appris un dernier degré d’humilité – non seulement l’humilité d’insérer sa grande pensée dans la foi de l’Eglise, non seulement l’humilité de traduire ses grandes connaissances dans la simplicité de l’annonce, mais également l’humilité de reconnaître qu’il avait lui-même, ainsi que toute l’Eglise pèlerine, continuellement besoin de la bonté miséricordieuse d’un Dieu qui pardonne ».

« Et nous – ajoutait-il – nous nous rendons semblables au Christ, le Parfait, dans la mesure la plus grande possible, lorsque nous devenons comme Lui des personnes de miséricorde », a-t-il précisé.

Le pape a conclu par cette exhortation : « Remercions Dieu pour la grande lumière qui rayonne de la sagesse et de l’humilité de saint Augustin et prions le Seigneur afin qu’il donne à chacun de nous, jour après jour, la conversion nécessaire, et nous conduise ainsi vers la vraie vie ».

 

« L’oeuvre de Dieu, c’est que vous croyiez en celui qu’il a envoyé »

23 avril, 2007

du site EAQ: 

Saint Thomas More (1478-1535), homme d’Etat anglais, martyr
Dialogue du r
éconfort dans les tribulations (trad. É
crits des saints, Soleil Levant, p.23-24)

« L’oeuvre de Dieu, c’est que vous croyiez en celui qu’il a envoyé »

La fondation sur laquelle nous nous appuyons, c’est la foi. Sans la foi, inutile d’espérer apporter quelque réconfort spirituel… Quel soutien la Sainte Écriture pourrait-elle procurer à quelqu’un qui ne croirait pas qu’elle est la Parole de Dieu et que sa Parole est vraie ? On doit y trouver bien peu de profit si on ne croit pas que c’est la Parole de Dieu ou si, admettant même qu’elle l’est, on croit qu’elle peut contenir des erreurs ! Suivant que la foi est plus ou moins forte, les paroles de réconfort de la Sainte Écriture feront plus ou moins de bien.

Cette vertu de la foi, aucun homme ne peut l’acquérir par lui-même, ni non plus la donner à un autre… La foi est un don gratuit de Dieu, et comme le dit saint Jacques : « Tout bien, toute perfection nous vient d’en haut, du Père des lumières. » (Jc 1,17) C’est pourquoi nous qui, à beaucoup de signes, sentons que notre foi est faible, prions-le pour qu’il la fortifie.

la visite du Pape Benoît a Pavie et…

22 avril, 2007

étant donné qu’il est très récent que sur internet il y a encore peu j’écris quelque chose moi:

J’ai suivi il y a jusqu’à les peu minutes la visite du Pape à Pavie, je n’ai pas vraiment vu tout cependant la dernière homélie qu’Il a tenu, et la vue « pèlerinage » aux reliques de Sant’Agostino a fait ils font résonner la pensée le plus profonde et intime du Pape, ou, perlomeno je l’ai ainsi perçu;

l’amour du Pape pour Augustin naît depuis long temps, de son doctorat, qu’il fit sur la pensée du saint, mais il semble de revoir en lui l’humilité et la fidélité à Christ d’Augustin aujourd’hui aussi, son chemin fatigant vers la foi chrétienne, que, en Benedetto, aussi en étant différent – chrétien de très petit – il semble que depuis les ans premier il pensât à la prêtrise, il se ressemble où la pensée de Benedetto renvoie à ce pèlerinage de la foi qui fit, de toute façon difficile, ce soir le Pape a répété que la chose la plus importante est « que Dieu est amour » en les rappelant au « Deus Caritas est »;

il est comme une répétition insistante, pas comme un battre sur un clou, mais comme un repenser et repenser à l’amour de Dieu, et le vivre toujours de plus en sa participation avec les autres qui se fait chaude et plus douce de plus en plus, une fidélité au Seigneur qui va des petits gestes aux grandes affirmations de foi, mais tout se réduit comme dans les mots du psaume qui répète souvent, je prends par exemple, et je crois que je sois dans les citations du Pape, le Psaume 27, 8: « De toi il mon coeur a dit: ”;

il l’a aujourd’hui aussi répété: de chercher toujours le visage du Seigneur, et il a dit, je ne rappelle plus quand, que le Paradis n’est pas un endroit statique mais dynamique, ou que continue toujours cette recherche du visage de Dieu de manière de plus en plus de plus en plus parfait;

j’écris celles-ci peu lignes parce qu’il est difficile de mettre tout ensemble, puis je propre tout je n’ai pas pu le suivre, j’espère que les autres homélies seront publiées demain et, peut-être, quelque bon commentaire, comme vous savez je me confie toujours à des gens qui ai je connais personnellement, j’ai que je connais pour le sérieux de leurs recherches;

une autre chose vient en esprit, en addition, celui-là qui souvenir et qu’il m’a frappé pendant la directe, aux étudiants, et aux professeurs, il a dit que l’étude doit être, oui scientifique, dans le sens d’approfondir les sujets différents des recherches, mais, qu’à la fin, tout doit se porter à une synthèse, une synthèse que « tu ne fends pas la recherche mais que retours vers l’homme et vers Dieu, celui-ci j’il semble aussi parce que c’est une phrase précédente l’homélie un continu reporter tout dessous l’amour gratuit de Dieu;

je m’arrête parce que je suis en train de revenir sur les mêmes sujets, je pourrai demain chercher les textes et les meilleurs commentaires comme j’ai dit, de façon à récupérer dans notre vie ce parcours du Pape, parce que j’il semble ainsi: qu’il est en train de faire personnellement un pèlerinage vers une foi plus pleine, mais aussi comme Berger de l’Église Universelle est en train de proposer celui-ci marcher à la recherche du « visage » vrai de Dieu: ce de l’amour;

 

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