l’événement de converti, il nous questionne
Un approfondissement du journal on line Avvenire italienne (traduction):
Le sens d’un voyage
l’événement de converti, il nous questionne
Gian Marie Vian
la clé de l’étape à Pavie de Benoît XVI, qui dimanche a vénéré le relique de sant’Agostino, est le « pèlerinage » : celui d’un évêque qui a prié devant la tomba de le sien prédécesseur dans la foi et dans la recherche de Dieu, en montrant ainsi à chaque femme et à chaque homme d’aujourd’hui combien de cette foi et cette recherche ils soient indispensables. Une clé qui est autobiographique, certain, mais pas seulement, comme a indiqué la même Pape : arrivé à Pavie « pour exprimer soit l’hommage de toute l’Église catholique à un de ses » pères » plus grands, soit mon personnel dévotion et reconneissance vers celui que tant de partie a eu dans ma vie de théologue et de bergères, mais disaient d’abord ancre d’homme et de prêtre ».
Il n’a pas été en effet seulement l’accomplissement d’un désir de l’âme le voyage de Benoît, cet évêque de Rome, qui avec ses mots simples sait toucher le coeur de quel il l’écoute. Et que dimanche a voulu indiquer comme sant’Agostino restes un modèle pour l’humanité d’aujourd’hui. Modèle signifie exemple qu’il frappe et fascine, comme le grand intellectuel et évêque africain a été et est pour Joseph Ratzinger, aujourd’hui Benoît XVI. Et comme il peut être pour n’importe qui on accoste à l’événement de l’auteur de celle-là extraordinaire autobiographie intérieure qui est les Aveux : événement de converti, au contraire d’ « un de plus grands convertis de l’histoire de l’Église », a souligné le Pape qui n’a pas eu de la peur d’employer un mot pour notre temps presque scandaleux. Mais pourquoi celui converti il y à de seize siècles peut fasciner encore aujourd’hui, quand semble que plus de rien soit vrai ? Parce que la conversion de sant’Agostino « ne fut pas un évènement d’un unique instant », il a expliqué Benoît XVI, mais « un chemin » : recherche inépuisée de la face de Dieu qui continua jusqu’à à lorsque l’évêque d’Ippona mourante fit attaquer au mur les psaume pénitentiels pour les pouvoir légères du lit dans la dernière prière. Mais sin de jeune Agostino avait cherché, a dit le Pape : « On accontent ò jamais de la vie ainsi comme elle se présentait et comme tous ne la vivait. Ère toujours tourmenté de la question de la vérité. Il voulait trouver la vérité. Il voulait réussir à savoir ce qu’il est l’homme ; dont il provient le monde ; dont nous venons mêmes, où nous allons et comme pouvons trouver la vie vraie. Il voulait trouver la droite vie et pas simplement vivre aveuglement sans sens et sans but. La passion pour la vérité est la vraie mot-clé de sa vie « . Et la recherche della vérité n’est pas, en second lieu Ratzinger, né une prérogative né un luxe d’intellectuels : « Je ne dois pas dire combien de tout ces égards nous : rester des personnes qui cherchent, ne pas se contenter de ce que tous disent et font. Pas le regard détourner du Dieu eternel et de Jésus Christ. Apprendre toujours de nouveau l’humilité de la foi dans l’Église corporelle de Jésus Christ « . Comme il sut faire Agostino, appelé à traduire l’évangile « dans le langage de la vie quotidienne » : en reconnaissant de façon continue la nécessité de la « bonté miséricordieuse d’un Dieu qui pardonne », dans la conscience que « nous nous rendons semblables à Christ, le Parfait, dans la mesure plus grande possible, lorsque nous devenons comme Lui des personnes miséricordieux ». De ceci il est auto convaincu Benoît XVI : « Seulement de quel il vit dans l’expérience personnelle des amour du Seigneur est en mesure exercer épelle de guider et accompagner autres dans le chemin de la série de Christ. À l’école de sant’Agostino je répète cette vérité pour vous comme Évêque de Rome, pendant que, avec joie toujours nouvelle, je l’accueille avec vous comme chrétien « . Parce qu’Agostino, comme il écrivit son ami Possidio, est vivant et il parle encore : à le Pape comme à n’importe qui de nous.
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