Attendue partout pour la présentation, demain, du livre de Benoît XVI « Jésus de Nazareth »
du site du Radio Vaticana italienne (traduction)
http://www.oecumene.radiovaticana.org/it1/Articolo.asp?c=127946
Attendue partout pour la présentation, demain, du livre de Benoît XVI « Jésus de Nazareth »
Il croît l’attente pour la présentation, demain, du livre de Benoît XVI « Jésus de Nazareth », qui sera en vente dans les librairies de lundi 16 avril dans les éditions italienne (Rizzoli), allemande (Herder) et polonaise (Wydawnictwo M). L’oeuvre sera présentée, aux heures 16, dans la Salle du Synode prés de la Salle Paolo VI. Dans la préface du livre, déjà rendue connue les derniers jours, le Pape écrit qu’avec ce volume on propose « de présenter le Jésus des Évangiles comme le vrai Jésus, comme le Jésus historique dans le vrai sens de l’expression ». Le Pape on dit auto convaincu que « cette figure est beaucoup plus de logique et du point de vue historique même plus compréhensible des reconstructions avec lesquelles nous y avons dû confronter dans les dernières décennies ». Sur ce passage, Fabio Colagrande a ramassé la réflexion du bibliste père Giulio Michelini, professeur de Nouveau Testament prés de l’institut théologique d’Assisi :
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R. – Je pense qu’il y avait besoin et tous en accueillent favorablement cette initiative. Il y a le désir de s’approprier de nouveau d’un quelque chose qui a été, peut-être, oublié. En ce sens l’initiative des Pontife est bonne pour faire revenir les croyants à la racine du problème, parce que – peut-être en Italie en particulier – nous sommes dans une situation dans laquelle le catéchisme qui a été enseignée aux enfants ne suffit plus et est nécessaire s’approprier de nouveau de la foi qui nous a été offerte, pourvu que on fait sans désavouer d’une tradition bimillénaire qui nous a été délivrée. Chose qui, par contre, il arrive, me semble avec quelques publications.
D. – Père Michelini, dans la préface à son livre, qui a été anticipée, à le Pape recompte que quelques études critiques des ans Cinquante dans ensuite ont laissé l’impression que nous savons bien peu de certes sur Jésus et que seulement plus tard la foi dans sa divinité a modelé cette image. Il a parlé d’une situation dramatique pour la foi, de ce point de vue. Comment studieux du Nouveau Testament, qu’est-ce que pense de ces mots de le Pape ?
R. – Je suis d’accord, même parce que maintenant nous sommes sur la vague longue de ce scepticisme qui voyait une différence infranchissable et une que ne se peu pas combler entre la figure du Jésus historique et le Christ de la foi, par exemple celui présenté des Églises et en particulier nous faisons référence à notre Église catholique. Ces études, qui aussi sont méritantes et ont été peut-être nécessaires, cependant ont porté à la conclusion qu’elle est impossible à atteindre la figure de Jésus. Il y a maintenant une autre vague longue que je crois vienne du Nord Amérique et qu’il a une autre position et c’est-à-dire que nous sommes de front à un mythe nouveau des origines chrétiennes. Si des ans Cinquante – comme il écrit le Pape – on disait que le Jésus de l’histoire était divergé du Christ de la foi présenté des Églises, maintenant on dit que le Christ présenté des Églises est un Christ faux, un Christ qui ne correspond pas à la historicité. Ceci loi même en récentes publications, qui même ont été fortement publicisées dans le panorama italien et sur la base dont nous dans les Églises sentirions parler d’un Jésus totalement divergé de ce qu’il a réellement été. Ceci n’est pas vrai, parce que certes l’Église a la fatigue de présenter la Face de Christ, mais même a toujours été attentive qu’il ne disait pas du blague, que n’inventait pas des mythes, mais qu’il prononçait vraiment cet Évangile qui était l’Évangile reçu il y à deux mille ans.
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Le livre, écrit toujours le Pape, est fruit « d’un long chemin intérieur ». Benoît XVI avertit dans la préface qui son Jésus de Nazareth « n’est pas absolument un acte magisteriale, mais est uniquement expression » de sa « recherche personnelle de la Face des Seigneur ». Sur la contribution qui ce livre peut offrir à la connaissance de la figure de Jésus Christ, Alexandre Gisotti a interviewé père Michele Piccirillo, archéologue prés du « Studium Biblicum Francescanum » de Jérusalem :
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R. – Credo que le Pape veut tirer file d’un discours qui va en avant maintenant d’une cinquantaine d’ans : passé la période du Huit cents et ensuite même la première moitié des Neuf cents, où on parlait un peu d’un Jésus mythique et des exégèse qui regardaient à l’Évangile comme un fait simplement de foi, on a fait des efforts en Allemagne – et même hors de l’Allemagne – pour dépasser celle-ci impasse et donc de chercher y à faire comprendre qu’on peut donner un message de foi aussi en utilisant fait historique. Sur cette ligne déjà divergés spécialistes – même en Italie – pour dépasser l’impasse et pour faire quelque chose de positif. Ligne, celle-ci, qui a suivi même le Pape avec ce livre.
D. – Voilà, un livre comme « Jésus de Nazareth de Benoît XVI peut susciter intéresse et peut-être dans quelqu’un simplement curiosité, capable cependant de le pousser à s’approcher aux Évangiles ?
R. – Credo qui, au-delà de l’autorité de le Pape comme studieux et au-delà de l’autorité de la place qui occupe dans l’Église, sera un livre de succès. Même si il ne s’attend pas ceci, certes il ne l’a pas écrit pour ce ! Elle sera certainement une bonne occasion pour pousser quelqu’un à aller aux sources. Nous avons ces quatre Évangiles et je, en plaisantant avec mes amis exégète, dis : « Vous écrivez tant de livres sur les ces pauvres quatre livrets, mais heureusement que vous ne les changez pas et restent toujours le même! ».
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