L’EXEMPLE des JUSTES

Du site du Journal italien « Avvenire » : 

L’EXEMPLE des JUSTES 

l’amour pousse à agir mais la simple générosité ne suffit toute seule pas. Ainsi il enseignait à un des hommes que dans le siècle passé a témoigné avec majeur courage l’attention à dernier « Moi, adopté de Raoul Follereau je poursuis son école de charité » l’actualité de l’ « apôtre de lépreux » dans les mots d’Andrè Récipon son fils adoptif et héritier spirituel de Laura Badaracchi 

 

Raoul Follereau il le choisit en 1968 comme son fils spirituel. Et à trente ans des mortes de son « père adoptif » Andrè Récipon, de classe 1925, il a laissé dans les mains de son fils Michel l’Association française « Raoul Follereau » de Paris, pendant qu’il continue à promouvoir en Europe et Afrique l’Union internationale des associations Raoul Follereau, présent même en Italie. « Follereau – il explique – a été un des plus grands oratoires de son temps. Ère doué d’un talent phénoménal et savait auto convaincre ceux qu’ils venaient à écouter. Il n’aimait pas qu’il se définissait ainsi ; il disait : « Je ne suis pas l’apôtre des lépreux, je ne suis pas que leur porte-parole, leur haut-parleur pour faire connaître leur souffrance »". Que les a transmises à niveau spirituel ? « Surtout, la compréhension de la charité : la charité n’est pas l’aumône, est l’amour de Dieu et de nos frères. Cet amour des autres on ne doit pas seulement exprimer à des mots, mais avec les actions : « Amères il est agir », il répétait, et ajoutait : « En ne pouvant pas être juste, nous sommes simplement bon ». Quand Follereau a-t-il décidé « de l’adopter », en n’ayant eu des fils ? « À l’instant de mes fiançailles. Je ne connaissais pas encore Raoul ; je l’avais senti parler cinq ans d’abord à Lion et il m’avait enthousiasmé. Mon grand-Père Michel Rameaud avait garanti le secrétariat de l’oeuvre de 1940 à 1943 ; après ses mortes, de 1943 à 1945, elle avait été sa fille, mon fiancé, qui portait la poste à Follereau dans sa cachette à Vénissieux. Il y avait donc entre eux beaucoup plus qu’amitié : une affection immense, née dans ces heures difficiles et dangereuses vécues ensemble. Le vendredi saint de 1947 je me cachais derrière Jane- Mary pour la laisser entrer ; je crois que lorsque Raoul vit ainsi tant de bonheur dans yeux de mon fiancé, il m’adopta même. Mais officiellement passées le 14 février 1968, lorsque il me déclara devant le notaire son fils spirituel, le sien héritier, en me donnant la charge de continuer son oeuvre « . Sa vie a été marquée de l’engagement pour les autres. Combien et comme la foi a-t-il joué un rôle dans son choix ? « Follereau s’est battu toute sa vie contre toutes le lèpre. Le lépreux ère le symbole d’exclu, à refuser parce que frappé d’une maladie à l’époque incurable, aujourd’hui parce qu’inoccupée ou étranger. À partir de 1947 (j’avais 22 ans), ai combattu la même bataille. Mais sans la foi, cette bataille ne serait pas qu’altruisme, pendant qu’avec la foi il s’élève et devient « caritatif », c’est-à-dire plein de amour ». Auprès des malades et aux pauvres a-t-il rencontré des témoins de l’Évangile, souvent cachés et peu remarques le grand public ? « J’ai rencontré naturellement des témoins connus, comme les abbé Pierre en 1958 et Mère Teresa en 1973. Mais en 1996 j’ai porté à Rome de l’Asie et de l’Afrique une centaine religieuse, religieuse et laïque totalement méconnue – pourtant ils avaient déjà passé cinquante ans de leur vie au service des lépreux – pour de présenter de le Pape, que les eux a entretenus pour plus qu’et a maintenant embrassé un à un « . « Il n’y a pas paix sans justice, et il n’y a pas justice sans pardonne », affirmait Jean Paul II dans le Message pour la Journée mondiale de la paix 2002. Dans quelle mode ces mots se sont réalisés dans sa vie ? « Nous avons beaucoup aidé les Liban dans les derniers vingt ans. Entre ceux qui ils ont bénéficié de notre aide il y a monsignor Mansour Labaky, vicaire épiscopal de la diocèse maronite de Beirut, qui a écrit une réflexion intitulée « la paix à travers pardonne ». Dans le teste exprime, très mieux de ce que je saurais me faire, cette vérité : il n’y aura jamais paix sans pardonne « . 

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