Benoît XVI reçoit en audience une délégation de l’Académie des sciences morales et politiques de Paris
Du site internet d’un journal « Il Giornale » italien :
http://www.ilgiornale.it/a.pic1?ID=155973
d’Andrea Tornielli – dimanche 11 février 2007, 07:00 de Rome
Benoît XVI reçoit en audience une délégation de l’Académie des sciences morales et politiques de Paris et tourne à parler de sa préoccupation pour la mentalité relativiste qui se répand en Europe :
« La confusion au niveau du mariage et de la reconnaissance de l’être humain dans toutes les étapes de son existence, de la conception à la fin naturelle – il a dit le Pape – ne laissent pas penser qu’il y ait des périodes où l’être humain n’existe pas vraiment ». Ratzinger a exhorté à avoir « dans la vie personnelle comme dans celle-là publie, le courage de dire la vérité et de la suivre, d’être libre en rapport avec le monde qui a souvent la tendance à imposer des modalités de voir et les comportements à adopter ». « Il est important ne pas se laisser enchaîner – il a expliqué Bénit XVI – d’éléments comme le relativisme, la recherche du pouvoir et du profit à tous coûts, drogue et la relation affectives désordonné ». Il intervient par contre directement en manifestant des doutes sur « Dico » (la loi sur les unions de fait) de le quotidien des évêques italiens, « Avvenire ». « La préoccupation – il explique le journal catholique dans l’éditorial non signé de première page – naît de ce que je dessine de loi affirme et prévoit, mais même – et pas de moins – de la tendance qui risque de stimuler sur le plan des dynamiques culturelles et sociaux. Un double impact négatif, qui motive des graves réserves de fond et impose un arrêt et un sévère jugement « . Selon le quotidien des « Cei » il est comme si d’aujourd’hui dans ensuite pour les jeunes « ils s’ouvraient deux voies toutes les deux juridiquement reconnus et protégées pour poursuivre son le projette de vie. Une, qui engage et publie, le mariage, l’autre – l’union de fait – plus légère et privée, mais même plus d’avantageux et donc plus qui gagne « . L’éditorial se conclut avec un auspice : « Nous ne pouvons pas ne pas espérer que le Parlement voudra maintenant faire – pour entier et avec somme liberté – sa partie, dans la conscience qui on traite de défendre pas la vestige du passé, mais dans le format de nos futur ». il insiste sur l’ « engagement de défense de la famille fondée sur le mariage », annonce la publication le 13 février d’une monographie sur famille, le mariage prochain et unions de fait avec des citations de le Pape et revendique la répondue « aux attaques de quel, encore aujourd’hui, ils voudraient boucher la bouche à l’Église et à le Pape sur des thèmes très délicats combien considérables ». Sur le « ddl » (décrète loi) approuvé il y à deux jours du gouvernement il est intervenu même l’archevêque de Lecce Cosmos Francesco Cassai, président des évêques des Pouilles : « On a fait un grand tapage autour de ce dessine de loi, dénommé Dis, mais on ne comprend pas bien à quel vraiment esclave né quels en soient les urgences ». « Les préoccupations, continûment soulevées de le Pape – il a continué – et prises de positions unanimes des bergers des Églises italiennes répondent pas à des motivations théologiques, mais sociales ; ce qu’il intéresse n’est pas l’obéissance à celle-ci ou à cette loi canonique, mais bien des familles et bien des futures générations, qu’elles voient s’affaiblir la famille de tout ceci « can can », qu’on fait dans ces jours. Nous espérons que Parlement – il a conclu l’archevêque de Lecce – corrige teste de ce dessine de loi et rapporte le discours de la famille ses aux vraies et réelles priorités « . Sur « Dico » il intervient finalement même l’évêque de Piacenza et le vice-président des « Cei », Luciano Monari, avec une intervention sur « Avvenire » : « Le motive pour lequel nous ne réussissons pas à accepter le Pacs, ou « similia », comme nouvelle figure juridique – il explique – n’est pas éthique, mais politique. Nous ne disons pas : les cohabitations sont contre le morale catholique et donc nous sommes contraires à les reconnaître juridiquement. Nous disons par contre : les cohabitations sont risquées pour bien de la société «
Du Vatican : Observateur Romain
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