Archive pour février, 2007

MESSAGE DE SA SAINTETÉ POUR LA XV JOURNÉE MONDIALE DU MALADE

11 février, 2007

Quelque fois je ne compris pas tout de suite l’importance d’un discours, d’une réflexion, d’une journée dédie à un problème d’importance pour tout, les jours qui passe avec se problème et, naturellement, avec sa joie fais oublier les chose des autre personne, n’est pas bonne, mais c’est notre  faiblesse, alors, et il est bon, quelqu’un te le rappelle ; j’ai  n’ai pensé pas aux jour du malade, mais le Pape l’ait souligne avec beaucoup de vigueur ; c’est ainsi : nous avons besoins l’un de l’autre et, surtout, de Dieu et de son « Pierre », je vous mets ici le texte de la journée du Malade, du site Vatican:

MESSAGE DE SA SAINTETÉ
LE PAPE BENOÎT XVI
POUR LA XV JOURNÉE MONDIALE DU MALADE

Chers frères et soeurs,

Le 11 février 2007, jour où l’Eglise célèbre la mémoire liturgique de Notre-Dame  de  Lourdes,  sera  célébrée  à Séoul, en Corée, la Quinzième Journée mondiale du Malade. Un certain nombre de rencontres, de conférences, de rassemblements pastoraux et de célébrations liturgiques auront lieu avec les représentants de l’Eglise qui est en Corée, avec le personnel médical, les malades et leurs familles. Encore une fois, l’Eglise se tourne vers ceux qui souffrent et attire l’attention sur les malades incurables, dont un grand nombre meurent à la suite de maladies en phase terminale. Ils sont présents sur chaque continent, en particulier dans des lieux où la pauvreté et les difficultés sont la cause d’une misère et d’une douleur immenses. Conscient de ces souffrances, je serai spirituellement présent à la Journée mondiale du Malade, uni à ceux qui se rencontreront pour discuter du fléau des maladies incurables dans notre monde et qui encourageront les efforts des communautés chrétiennes dans leur témoignage de la tendresse et de la miséricorde du Seigneur.

Etre malade comporte inévitablement un moment de crise et une sérieuse confrontation avec sa propre situation personnelle. Les progrès dans les sciences médicales offrent souvent les instruments nécessaires pour affronter ce défi, tout au moins en ce qui concerne ses aspects physiques. Cependant, la vie humaine a ses limites intrinsèques et, tôt ou tard, elle se termine par la mort. Il s’agit d’une expérience à laquelle chaque être humain est appelé et à laquelle il doit être préparé. Malgré les progrès de la science, on ne peut pas trouver de traitement pour chaque maladie et ainsi, dans les hôpitaux, dans les hospices et dans les maisons du monde entier, nous rencontrons la souffrance d’un grand nombre de nos frères et soeurs incurables et souvent en phase terminale. En outre, des millions de personnes dans le monde vivent encore dans des conditions insalubres et n’ont pas accès aux ressources médicales nécessaires, souvent même à celles de base, avec pour résultat que le nombre d’êtres humains considérés comme « incurables » a beaucoup augmenté.

L’Eglise désire soutenir les malades incurables et ceux qui sont en phase terminale en exhortant à des politiques sociales équitables, qui puissent contribuer à éliminer les causes de nombreuses maladies et en demandant de manière urgente une meilleure assistance pour les personnes qui meurent et pour lesquelles aucun traitement médical n’est disponible. Il est nécessaire de promouvoir des politiques en mesure de créer des conditions où les êtres humains puissent également supporter des maladies incurables et affronter la mort de manière digne. A ce propos, il est nécessaire de souligner encore une fois la nécessité d’un plus grand nombre de centres pour les soins palliatifs qui offrent une assistance intégrale, fournissant aux malades l’aide humaine et l’accompagnement spirituel dont ils ont besoin. Il s’agit d’un droit qui appartient à chaque être humain et que nous devons tous nous engager à défendre.

Je désire encourager les efforts de ceux qui oeuvrent quotidiennement pour garantir que les malades incurables et en phase terminale, ainsi que leurs familles, reçoivent une assistance adaptée et pleine d’amour. L’Eglise, suivant l’exemple du Bon Samaritain, a toujours fait preuve d’une sollicitude particulière pour les malades. A travers chacun de ses membres et ses institutions, elle continue d’être aux côtés de ceux qui souffrent et qui vont mourir, cherchant à préserver leur dignité en ces moments significatifs de l’existence humaine. Un grand nombre de ces personnes, du personnel médical, des agents pastoraux et des volontaires, ainsi que des institutions présentes dans le monde entier, servent inlassablement les malades dans les hôpitaux et dans les unités de soins palliatifs, dans les rues de la ville, dans le cadre des projets d’assistance à domicile et dans les paroisses.

A présent, je m’adresse à vous, chers frères et soeurs qui souffrez de maladies incurables ou en phase terminale. Je vous encourage à contempler les souffrances du Christ crucifié et, en union avec Lui, à vous adresser au Père avec une confiance totale dans le fait que toute la vie, et la vôtre en particulier, est entre ses mains. Sachez que vos souffrances, unies à celles du Christ, se révéleront fécondes pour les besoins de l’Eglise et du monde. Je demande au Seigneur de renforcer votre foi dans Son amour, en particulier au cours de ces épreuves que vous affrontez. Je forme le voeu que, partout où vous êtes, vous trouverez toujours l’encouragement et la force spirituelle nécessaires pour nourrir votre foi et vous conduire plus près du Père de la Vie. A travers ses prêtres et ses collaborateurs pastoraux, l’Eglise désire vous assister et être à vos côtés, en vous aidant à l’heure du besoin et en manifestant ainsi la miséricorde pleine d’amour du Christ envers ceux qui souffrent.

Enfin, je demande à la communauté ecclésiale du monde entier, et en particulier à ceux qui se consacrent au service des malades, de continuer, avec l’aide de Marie, Salus Infirmorum, à rendre un témoignage concret de la sollicitude aimante de Dieu, notre Père. Que la Bienheureuse Vierge, notre Mère, réconforte ceux qui sont malades et soutienne ceux qui ont consacré leur vie, comme de Bons Samaritains, à soigner les blessures physiques et spirituelles des personnes qui souffrent. En union de pensée et de prière, je donne de tout coeur ma Bénédiction apostolique en gage de force et de paix dans le Seigneur.

Du Vatican, le 8 décembre 2006

L’Angelus Domini de ce matin – 11.2.07

11 février, 2007

du site « Korazym » (traduction): 

Nous rapportons de suivi teste intégral des mots du Saint Père avant récite de l’Angelus Domini  

 Chers frères et soeurs, cet aujourd’hui l’Église fait mémoire de la première apparition des Vierge Marie à saint Bernadette, produite le 11 février de 1858 dans la grotte de Massabielle, prés de Lourdes. Un évènement prodigieux qui a fait de cette localité, située sur le versant français des Pyrénées, le centre mondial de pèlerinages et d’intense spiritualité mariale. Dans ce lieu, maintenant presque cent cinquante d’ans, résonne avec force l’appel de
la Vierge à la prière et à la pénitence, presque permanent écho de l’invitation avec laquelle Jésus inaugura sa prédication en Galilée : « Le temps est accompli et le règne de Dieu est voisin : convertissez vous et croyez à l’Évangile « (Mc 1,15). Ce Sanctuaire est, en outre, devenu but de nombreux pèlerins tombés malade, qu’en se posant dans l’écoute de Marie Sainte, sont encouragés à accepter leurs souffrances et à les offrir pour la salut du monde, en unissant à ceux de Christ crucifié. Vraiment pour le lien existant entre Lourdes et la souffrance humaine, il y à quinze ans que l’aimé Jean Paul II a voulu que, en occasion de la fête de
la Vierge de Lourdes, on célébrait même
la Journée Mondiale du Malade. Cet an le coeur de cette répétition est dans la ville de Séoul, capital de
la Corée du Sud, où à me représenter j’ai envoyé le Cardinal Javier Lozano Barragán, Président du Pontifical Conseil pour les Pastorale des Santé. Je le tourne et à quel ils sont là rassemblés un cordial il salue. Je voudrais étendre ma pensée aux opérateurs sanitaires du monde entier, bien conscient de l’importance qui revêt dans notre société leur service aux personnes malades. Surtout je désire manifester ma spirituelle proximité et mon affection à nos frères et soeurs tombés malade, avec un détail je me rappelle pour ceux qui ils sont frappés de maux plus graves et douloureux : à eux, en mode spéciale, elle est directe dans cette Journée notre attention. Il est nécessaire de soutenir développe de soins palliative qui offrent une assistance intégrale et fournissent aux malades incurables ce soutien humain et cet accompagnement spirituel dont ils ont fortement du besoin. Cet après-midi, dans
la Basilique de San Pierre, ils se ramasseront nombreux malades et pèlerins autour du Cardinal Camillo Ruini, qui présidera
la Célébration eucharistique. Au terme du Saint Messe, j’aurai la joie, comme l’an passé, de m’entretenir avec eux, en revivant le climat spirituel qui s’expérimente prés de
la Grotte de Massabielle. À la maternelle protection des Vierge Immaculée je voudrais maintenant confier, avec la prière de l’Angelus, des malades et souffrants dans le corps et dans l’esprit du monde entier. 

Pope Benedict XVI acknowledges cheers from faithful and pilgrims from his studio window overlooking St. Peter’s square at the Vatican Sunday, Feb. 11, 2007. (AP Photo/Plinio Lepri)

commentaire aux evangile d’aujourd’hui 11.2.07

11 février, 2007

du site EAQ: 

Paul VI, pape de 1963-1978
Exhortation apostolique « Sur la joie chrétienne » (trad. DC 1677 1/6/75, p. 503)
« Regardant ses disciples, Jésus dit : ‘ Heureux vous les pauvres : le Royaume de Dieu est à vous ‘ »


      Il importe de bien saisir le secret de la joie insondable qui habite Jésus et qui lui est propre… Si Jésus rayonne une telle paix, une telle assurance, une telle allégresse, une telle disponibilité, c’est à cause de l’amour ineffable dont il se sait aimé de son Père. Lors de son baptême sur les bords du Jourdain, cet amour, présent dès le premier instant de son incarnation, est manifesté : « Tu es mon Fils bien-aimé ; tu as toute ma faveur » (Lc 3,22). Cette certitude est inséparable de la conscience de Jésus. C’est une présence qui ne le laisse jamais seul (Jn 16,32). C’est une connaissance intime qui le comble : « Le Père me connaît et je connais le Père » (Jn 10,15). C’est un échange incessant et total : « Tout ce qui est à moi est à toi, et ce qui est à toi est à moi » (Jn 17,10)… « Tu m’as aimé avant la fondation du monde » (Jn 17,24). Il y a là une relation incommunicable d’amour, qui se confond avec son existence de Fils et qui est le secret de la vie trinitaire : le Père y apparaît comme celui qui se donne au Fils, sans réserve et sans intermittence, dans un élan de générosité joyeuse, et le Fils, celui qui se donne de la même façon au Père, avec un élan de gratitude joyeuse, dans l’Esprit Saint.
      Et voilà que les disciples, et tous ceux qui croient dans le Christ, sont appelés à participer à cette joie. Jésus veut qu’ils aient en eux-mêmes sa joie en plénitude (Jn 17,13) : « Je leur ai révélé ton nom et le leur révélerai, pour que l’amour dont tu m’as aimé soit en eux et moi aussi en eux » (Jn 17,26).

      Cette joie de demeurer dans l’amour de Dieu commence dès ici-bas. C’est celle du Royaume de Dieu. Mais elle est accordée sur un chemin escarpé, qui demande une confiance totale dans le Père et dans le Fils, et une préférence donnée au Royaume. Le message de Jésus promet avant tout la joie, cette joie exigeante ; ne s’ouvre-t-il pas par les Béatitudes ? « Heureux, vous les pauvres, car le royaume des cieux est à vous. Heureux vous qui avez faim maintenant, car vous serez rassasiés. Heureux vous qui pleurez maintenant, car vous rirez ».

Dieu en quête de l’homme – de Abraham Heschel

10 février, 2007

J’ai lu nombreux écrits de ce personnage – de cet homme de foi – il a fait une partie importante de ma vie et il m’a aidé dans le chemin de la foi, du site:

http://www.massorti.com/spip.php?article37

Dieu en quête de l’homme, philosophie du judaïsme  jeudi 29 juin 2006

 de Abraham Heschel – Abraham Heschel 1907 – 1972 fut un des plus grands penseurs juifs du XXe siècle. Rabbin descendant d’une très grande lignée rabbinique du hassidisme, il finit par trouver sa place au sein du mouvement Massorti où il enseigna jusqu’à sa mort. Il était une personnalité remarquable et contribua beaucoup à l’extension du mouvement Massorti aux États-Unis. Il incarnait parfaitement le judaïsme tel que le mouvement Massorti le conçoit. Plusieurs de ses livres sont traduits en français. À lire absolument. Le rabbin Abraham Heschel est né en 1907 à Varsovie. Il a étudié à l’Université de Berlin et à la « Hochschule für die Wissenschaft des Judentums » de Berlin ; fondateur de l’ »Institute of Jewish Learning » de Londres en 1940 ; professeur au Séminaire américain de théologie juive depuis 1945, à l’Université de Stanford, à l’Université du Minnesota et au « Union Theological Seminary ». Parmi ses ouvrages nous devons citer : « Die Prophetie » (1935), « The Earth is the Lord’s » (1950), « Man is Not Alone » (1951), « Man’s Quest for God » (1954), « God in Search of Man » (1956), « The Prophets » (1962). Tout comme Saadia Gaon, Yehouda Halevi, Maïmonide, Blaise Pascal et Franz Rosenzweig, Heschel est un apologiste. Cependant, son but n’est pas de promouvoir un dogme ou une idéologie. Il cherche plutôt à transformer la conscience même que nous avons de la réalité, à la fois sur le plan émotionnel et rationnel. Dans la mesure où l’on peut définir une « source » de la pensée de Heschel, celle-ci ne peut être que le hassidisme, en d’autres termes l’héritage du Baal Shem Tov qui fut son fondateur. L’étude, par Heschel, de la vie et de l’action spirituelle actualise cette tradition. Il utilise le terme de foi de manière presque interchangeable avec celui de piété , puisque le fondement de l’une comme de l’autre est une prise de conscience théocentrique. Toutefois, la piété, qui inclut l’attachement à Dieu à travers la prière et les actes sacrés (les mitsvot ), est davantage inhérente au judaïsme que la foi. La piété, telle que la définit Heschel, est l’achèvement de la foi. Heschel nous enseigne comment penser et vivre religieusement. Il éduque notre amour, notre crainte et notre tremblement en allant au-delà des dogmes, des institutions et des préoccupations ethniques. Ses travaux répondent aux perplexités universelles touchant le sens de la vie, la mort, le mal, la souffrance, aussi bien que la joie, l’extase et la célébration. Ils nous aident à assumer notre identité personnelle et collective dans un monde fragmenté et souvent hostile. Heschel souhaitait que le judaïsme coopère avec d’autres religions pour apporter au monde la paix, la justice et la compassion. Au départ de notre cheminement, nous rencontrons un homme à la fois enraciné dans l’histoire et arraché à elle. Les Bâtisseurs du temps de A.J. Heschel (Auteur) C’est un très beau petit livre sur le shabbat et ce qu’il peut apporter à l’homme aujourd’hui.  Dieu en quête de l’homme, philosophie du judaïsme de Abraham Heschel (Auteur) Quatrième de couverture Le sous-titre de ce livre est significatif : philosophie du judaïsme, c’est-à-dire enquête rationnelle ayant pour but de découvrir si et comment le judaïsme répond valablement aux  » questions ultimes  » posées à l’homme par le monde, l’humanité, la mort, l’avenir, l’au-delà, la liberté, Dieu et la révélation. Selon l’auteur, le judaïsme est une réalité, un drame historique, ce n’est pas seulement un sentiment ou une expérience ; le judaïsme affirme la réalité d’événements d’où il a tiré son origine, il enseigne des vérités fondamentales, il revendique d’être l’engagement d’un peuple envers Dieu. La tâche que s’est assignée Abraham Heschel est d’expliquer le sens de ces événements, et de faire comprendre la vision du monde et le sens de la vie qu’ils impliquent. Avis d’un lecteur : Tout en restant loin des formulations figées, ce livre expose avec une grande clarté comment le judaïsme, sa lecture et sa pratique doivent être abordée : les pieds sur terre, le cœur ouvert, la tête dans les étoiles et le regard vers le créateur. Entre philosophie et poésie, nous (re)découvrons un judaïsme qui brille de la clarté du juste et réchauffe de l’amour du pieux, une réelle (re)découverte de la spiritualité aussi bien pour l’éloigné que pour le pratiquant. Définitivement inspirant et inspiré. Le Tourment de la vérité de Heschel Abraham Joshua (Auteur) Agir en Juif, c’est chaque fois faire un nouveau départ sur une vieille route. On n’hérite pas la foi, chacun doit la gagner. Cette méditation fondamentale d’un des plus grands maîtres spirituels du judaïsme contemporain se déroule à partir d’un parallèle entre Reb Menahem Mendel ( « le rabbi de Kotzsk, âme dissidente qui n’était que protestation contre la banalisation et la routine du judaïsme ») et son contemporain, Sören Kierkegaard (« Je ne suis ni tolérance, ni sevérité. Je suis une honnêteté humaine »). Le Danois et le Polonais ne se sont pas connus. Et sans doute leurs pensées n’auraient-elles pu se rejoindre. C’est pourtant la base d’un très étonnant œcuménisme de l’esprit qui est posé ici, par une analyse profonde et convaincante. Au début du livre, Heschel situe le Rabbi morose dans la lignée hassidique, en contraste avec le fondateur, le Besht. Entre la figure rayonnante du Baal Shem Tov et l’intransigeance tourmentée du disciple dissident, « était-il bon de vivre le cœur écartelé ? Pour moi, il n’y avait pas de choix… L’un m’apprenait le chant, l’autre le silence ». Un livre difficile mais comportant des pages magnifiques. Il est hélas épuisé.  Heschel a écrit de nombreux autres ouvrages, en anglais, en allemand et en hébreu. Sur Heschel lui-même son parus deux livres en français : 
La Sainteté en paroles Abraham Heschel : piété, poétique, action Par Edward K. Kaplan « Les théologies nous divisent, la théologie des profondeurs nous unit », a souvent répété le grand théologien juif Heschel. C’est cette théologie qu’expose Edward K. Kaplan, en introduisant le lecteur dans les écrits et la philosophie existentielle d’un maître à penser chez qui l’intériorité spirituelle nourrit l’engagement dans le monde. 
Un tsaddiq dans la cité Abraham J. Heschel Les editions du nadir Passeur de judaïsme, telle pourrait être la juste définition de la vie de cet « homme convoqué » que fut Abraham Heschel. Héritier d’un lignage aristocratique du hassidisme, philosophe écrivain, théologien poète, auteur d’une oeuvre sans égale – et trop peu connue. Une oeuvre toute de méditations métaphysiques, de perspectives éducatives, de stylistique poétique. L’oeuvre d’une présence du monde profané d’après la « catastrophe ». Construire tel un oratorio qui en enjamberait les ténèbres. Ou se déplie le rappel d’un judaïsme compris non comme une culture, mais comme une civilisation. Citation :
La Bible est sainteté en paroles . … C’est comme si Dieu avait pris ces paroles hébraïques et leur avait insufflé quelque chose de Sa puissance ; dès lors, les paroles sont devenues comme un fil électrique animé, chargé de Son esprit. De nos jours encore, elles constituent des traits d’union entre le ciel et la terre. Heschel, 1955 
http://en.wikipedia.org/wiki/Abraham_Joshua_Heschel
Dieu en quête de l’homme - de Abraham Heschel  dans Approfondissement 0701je86

 Abraham_Joshua_Heschel

11 février – Notre-Dame de Lourdes

10 février, 2007

 du site:

http://missel.free.fr/Sanctoral/02/11.php#homelie

11 février – Notre-Dame de Lourdes
Confesseur, fondateur des Somasques


Aujourd’hui rappelons, chers Frères et Sœurs, une présence significative de cette nouvelle Femme dans notre histoire. Nous célébrons la mémoire liturgique de la première apparition de la Bienheureuse Vierge Marie à Bernadette Soubirous dans la grotte de Massabielle.Rappelons ensuite que - comme je le disais dans mon encyclique Redemptoris Mater - “ Marie est présente dans la mission de l’Église, présente dans l’action de l’Église qui fait entrer dans le monde le Règne de son Fils ” (n. 28). Cette présence se manifeste aussi, entre autre, “ par la force d’attraction et de rayonnement des grands sanctuaires où non seulement les individus ou les groupes locaux, mais parfois des nations et des continents cherchent la rencontre avec la Mère du Seigneur ”.

Lourdes, comme tant d’autres lieux, est un signe particulier de cette action de Marie dans le cours de notre histoire. En effet -comme le dit Vatican II (Const. Dogm. Lumen Gentium, 62) - “ après son Assomption au ciel, son rôle dans le salut ne s’interrompt pas ; par son intercession répétée elle continue à nous obtenir les dons qui assurent notre salut éternel. Son amour maternel la rend attentive aux frères de son Fils dont le pèlerinage n’est pas achevé, ou qui se trouvent engagés dans les périls et les épreuves, jusqu’à ce qu’ils parviennent à la patrie bienheureuse ”.

A Lourdes Marie accomplit une mission de soulagement de la souffrance et de réconciliation des âmes avec Dieu et avec le prochain.

Les grâces que cette Mère de Miséricorde obtient aux foules immenses d’une humanité endolorie et égarée, ont toutes le but de les conduire au Christ et de leur obtenir le don de son Esprit.

A Lourdes, Marie, par l’intermédiaire de Sainte Bernadette, s’est révélée, de façon éminente, comme “ porte-parole de la volonté du Fils ” (cf. Enc. Redemptoris Mater, n. 21).

Tout ce que la Madone dit à la Voyante, tout ce qu’elle l’exhorta à faire, tout ce qui ensuite est né, est arrivé et arrive, reflète, en un certain sens, la “ volonté ” de la Madone : mais au nom de qui a-t-Elle obtenu tout ceci, à la grâce de qui, si ce n’est de son Fils divin ? Donc, Lourdes, nous pouvons le dire, appartient au Christ encore plus qu’à sa Très Sainte Mère. A Lourdes, nous apprenons à connaître le Christ à travers Marie. Les miracles de Lourdes sont les miracles du Christ, obtenus par l’intercession de Marie.

Pour cela, Lourdes est un lieu privilégié d’expérience chrétienne. A Lourdes, on apprend à souffrir comme le Christ a souffert. On accepte la souffrance comme Il l’a acceptée.

A Lourdes la souffrance s’allège parce qu’on la vit avec le Christ. Pourvu qu’on la vive avec le Christ. Soutenus par Marie.

A Lourdes, on apprend que la foi soulage la souffrance, mais pas tellement dans le sens de la diminuer physiquement. C’est le devoir de la médecine, ou cela peut arriver exceptionnellement de façon miraculeuse.

A Lourdes, on apprend que la foi soulage la souffrance en ce qu’elle la rend acceptable comme moyen d’expiation et comme expression d’amour. A Lourdes, on apprend à s’offrir non seulement à la justice divine, mais aussi - comme le disait Sainte Thérèse de Lisieux – à l’Amour miséricordieux de Celui qui, comme je l’ai dit dans ma lettre apostolique Salvifici Doloris (n. 18), a souffert “ volontairement et innocemment ”.



Litanies

Seigneur, ayez pitié de nous Seigneur, ayez pitié de nous
O Christ, ayez pitié de nous O Christ, ayez pitié de nous
Seigneur, ayez pitié de nous Seigneur, ayez pitié de nous
Père du Ciel qui êtes Dieu, ayez pitié de nous
 
Fils, Rédempteur du monde qui êtes Dieu, ayez pitié de nous
Saint-Esprit qui êtes Dieu, ayez pitié de nous
Sainte Trinité qui êtes un seul Dieu, ayez pitié de nous
   
Sainte Mère de Dieu, priez pour nous
Sainte Marie, Vierge très-sainte, priez pour nous
Sainte Marie, Vierge très-digne, priez pour nous
Sainte Marie, Vierge très-pure, priez pour nous
Sainte Marie, Vierge très-illustre, priez pour nous
Sainte Marie, Vierge très-glorieuse, priez pour nous
Sainte Marie, Vierge très-précieuse, priez pour nous
Sainte Marie, Vierge très-juste, priez pour nous
Sainte Marie, Mère de la miséricorde, priez pour nous
Sainte Marie, Mère de la prudence, priez pour nous
Sainte Marie, Mère de l’obéissance, priez pour nous
Sainte Marie, Mère de la grâce, priez pour nous
Sainte Marie, Mère de la pureté, priez pour nous
Sainte Marie, Mère de la confiance, priez pour nous
Sainte Marie, Mère de la patience, priez pour nous
Sainte Marie, Reine des cieux, priez pour nous
Sainte Marie, Reine des Anges, priez pour nous
Sainte Marie, Reine des Patriarches, priez pour nous
Sainte Marie, Reine des Apôtres, priez pour nous
Sainte Marie, Reine des Martyrs, priez pour nous
Sainte Marie, Reine de tous les saints, priez pour nous
Sainte Marie, source de l’humilité, priez pour nous
Sainte Marie, source de la piété, priez pour nous
Sainte Marie, source de la charité, priez pour nous
Sainte Marie, source de la grandeur, priez pour nous
Sainte Marie, source de la bonté, priez pour nous
Sainte Marie, source de la vérité, priez pour nous
Sainte Marie, source de la consolation, priez pour nous
Sainte Marie, source du salut, priez pour nous
Sainte Marie, source de la réparation, priez pour nous
Sainte Marie, source de la douceur, priez pour nous
Sainte Marie, source de la béatitude, priez pour nous
Sainte Marie, source de la beauté, priez pour nous
Sainte Marie, source de la perfection, priez pour nous
Sainte Marie, plus élevée que les cieux, priez pour nous
Sainte Marie, placée au-dessus des puissances, priez pour nous
Sainte Marie, plus estimable qu’une pierre précieuse, priez pour nous
Sainte Marie, plus belle que la lune, priez pour nous
Sainte Marie, plus précieuse qu’un trésor, priez pour nous
Sainte Marie, plus brillante que les étoiles, priez pour nous
Sainte Marie, qui êtes au-dessus de tout éloge, priez pour nous
Sainte Marie, fleur de la véritable sagesse, priez pour nous
Sainte Marie, fleur de la véritable science, priez pour nous
Sainte Marie, fleur de la véritable indulgence, priez pour nous
Sainte Marie, fleur de la véritable excellence, priez pour nous
Sainte Marie, fleur de la véritable justice, priez pour nous
Sainte Marie, fleur de la véritable milice, priez pour nous
Sainte Marie, fleur de la véritable joie, priez pour nous
Sainte Marie, pierre la plus précieuse du ciel, priez pour nous
Sainte Marie, qui êtes sans tache, priez pour nous
Sainte Marie, porte du paradis, priez pour nous
Sainte Marie, route du bon conseil, priez pour nous
Sainte Marie, avocate des pécheurs, priez pour nous
Sainte Marie, élevée au-dessus de toutes les créatures, priez pour nous
Sainte Marie, pendant toute l’éternité, priez pour nous

Priez pour nous, sainte Mère de Dieu.
Afin que nous soyons dignes des promesses du Christ.

Seigneur, protégez vos serviteurs, en leur accordant les bienfaits de la paix, et faites que, pleins de confiance en la protection de la bienheureuse vierge Marie, ils soient à l’abri des attaques de tous leurs ennemis. Par Jésus-Christ, notre Seigneur. – Amen.

11 février - Notre-Dame de Lourdes dans fête lourdes2

P. Cantalamessa : Heureux vous les pauvres ! Malheureux vous les riches !

10 février, 2007

du Zenith:

2007-02-09

P. Cantalamessa : Heureux vous les pauvres ! Malheureux vous les riches !Commentaire de l’Evangile du dimanche 11 février

ROME, Vendredi 9 février 2007 (ZENIT.org) – Nous publions ci-dessous le commentaire de l’Evangile de ce dimanche proposé par le père Raniero Cantalamessa OFM Cap, prédicateur de la Maison pontificale. Evangile de Jésus Christ selon saint Luc 6, 17.20-26

Jésus descendit de la montagne avec les douze Apôtres et s’arrêta dans la plaine. Il y avait là un grand nombre de ses disciples, et une foule de gens venus de toute la Judée, de Jérusalem, et du littoral de Tyr et de Sidon. Regardant alors ses disciples, Jésus dit : « Heureux, vous les pauvres : le royaume de Dieu est à vous ! Heureux, vous qui avez faim maintenant : vous serez rassasiés ! Heureux, vous qui pleurez maintenant : vous rirez ! Heureux êtes-vous quand les hommes vous haïssent et vous repoussent, quand ils insultent et rejettent votre nom comme méprisable, à cause du Fils de l’homme.
Ce jour-là, soyez heureux et sautez de joie, car votre récompense est grande dans le ciel : c’est ainsi que leurs pères traitaient les prophètes. Mais malheureux, vous les riches : vous avez votre consolation ! Malheureux, vous qui êtes repus maintenant : vous aurez faim ! Malheureux, vous qui riez maintenant : vous serez dans le deuil et vous pleurerez ! Malheureux êtes-vous quand tous les hommes disent du bien de vous : c’est ainsi que leurs pères traitaient les faux prophètes.
 

Heureux vous les pauvres ! Malheureux vous les riches !

L’Evangile de ce dimanche, les Béatitudes, nous permet de vérifier certaines choses que nous avons dites il y a deux semaines, concernant l’historicité des évangiles. Nous disions alors qu’en rapportant les paroles de Jésus chacun des quatre évangélistes, sans en trahir le sens fondamental, a développé un aspect plutôt qu’un autre, en l’adaptant aux exigences des communautés pour lesquelles il écrivait.
Alors que Matthieu rapporte huit Béatitudes prononcées par Jésus, Luc n’en cite que quatre. En compensation, cependant, Luc renforce les quatre Béatitudes, en opposant à chacune une malédiction correspondante introduite par « malheureux ». Par ailleurs, alors que le discours de Matthieu est indirect : « Heureux les pauvres ! », celui de Luc est direct : « Heureux, vous les pauvres ! ». Matthieu souligne la pauvreté spirituelle (« heureux les pauvres en esprit »), Luc souligne la pauvreté matérielle (« heureux, vous les pauvres »).
Il s’agit toutefois de détails qui ne changent en rien, comme nous le voyons, la substance des choses. Chaque évangéliste, avec sa manière particulière de rapporter l’enseignement de Jésus, met en lumière un aspect nouveau, qui serait autrement resté dans l’ombre. Luc est moins complet dans le nombre de Béatitudes mais il en saisis parfaitement la signification profonde. Lorsque l’on parle des Béatitudes la première d’entre elles vient immédiatement à l’esprit : « Heureux, vous les pauvres : le royaume de Dieu est à vous ! » Mais en réalité l’horizon est beaucoup plus vaste. Jésus décrit dans cette page deux façons de concevoir la vie : ou bien « pour le royaume de Dieu », ou « pour sa propre consolation » ; c’est-à-dire ou bien exclusivement en fonction de cette vie, ou en fonction de la vie éternelle également. C’est ce que met en lumière le schéma de Luc : « Heureux êtes vous – malheureux êtes vous » : « Heureux, vous les pauvres : le royaume de Dieu est à vous… Mais malheureux, vous les riches : vous avez votre consolation ! »

Deux catégories, deux mondes. A la catégorie des bienheureux appartiennent les pauvres, les affamés, ceux qui pleurent maintenant et ceux qui sont persécutés et bannis à cause de l’Evangile. A la catégorie des malheureux appartiennent les riches, les rassasiés, ceux qui maintenant rient et ceux qui sont élevés par tous.

Jésus ne canonise pas simplement tous les pauvres, les affamés, ceux qui pleurent ou sont persécutés, pas plus qu’il ne diabolise simplement tous les riches, les rassasiés, ceux qui rient et que l’on applaudit. La distinction est plus profonde ; il s’agit de savoir sur quoi on base sa propre sécurité, sur quel terrain on construit l’édifice de sa vie : sur ce qui passe ou sur ce qui ne passe pas.

L’Evangile d’aujourd’hui est véritablement une lame à double tranchants : il sépare, trace deux destins diamétralement opposés. Il est comme le méridien de Greenwich qui divise l’est et l’ouest du monde. Mais heureusement, avec une différence essentielle. Le méridien de Greenwich est fixe : les terres qui sont à l’est ne peuvent pas passer à l’ouest, tout comme l’est l’équateur qui sépare le sud pauvre du monde et le nord riche et opulent. Dans notre Evangile, la ligne qui sépare les « bienheureux » et les « malheureux » est différente ; il s’agit d’une barrière mobile, extrêmement franchissable. Non seulement il est possible de passer d’un secteur à l’autre, mais tout cet Evangile a été dicté par Jésus pour nous inviter et nous inciter à passer d’une sphère à l’autre. Son invitation n’est pas une invitation à devenir pauvres, mais à devenir riches ! « Heureux, vous les pauvres : le royaume de Dieu est à vous ». Penser : des pauvres qui possèdent un royaume, et qui le possèdent dès maintenant ! Ceux qui décident d’entrer dans ce royaume sont en effet dès à présent enfants de Dieu, ils sont libres, frères, pleins d’espérance d’immortalité. Qui ne voudrait pas être pauvre de cette manière ?

commentaire de l’evangile du samedi 10.2.07

10 février, 2007

du site EAQ: 

Baudoin de Ford (?-v.1190), abbé cistercien
Le Sacrement de l’autel, II,1 (trad. SC 93, p. 131s rev.)

« Prenant les sept pains et rendant grâce, il les rompit »

Jésus a rompu le pain. S’il n’avait pas rompu le pain, comment les miettes seraient-elles venues jusqu’à nous ? Mais il l’a brisé et il l’a distribué ; « il l’a dispersé et donné aux pauvres » (Ps 111,9 Vlg). Il l’a brisé par grâce, pour briser la colère du Père et la sienne. Dieu l’avait dit : il nous aurait brisés, si son Unique, « son élu, ne s’était pas tenu devant lui, debout sur la brèche, pour détourner sa colère » (Ps 105,23). Il s’est tenu devant Dieu et il l’a apaisé ; par sa force indéfectible, il s’est tenu debout, non brisé.
Mais lui-même, volontairement, il a brisé, a offert sa chair, rompue par la souffrance. C’est là qu’il a « brisé la puissance de l’arc » (Ps 75,4), « brisé les têtes du dragon » (Ps 73,14), tous nos ennemis, dans sa colère. Là, il a brisé en quelque sorte les tables de la première alliance, pour que nous ne soyons plus sous la Loi. Là, il a brisé le joug de notre captivité. Il a brisé tout ce qui nous brisait, pour réparer en nous tout ce qui était brisé, et pour « renvoyer libres ceux qui étaient opprimés » (Is 58,6). En effet, nous étions « captifs de la misère et des chaînes » (Ps 106,10).
Bon Jésus, aujourd’hui encore, bien que tu aies brisé la colère, brisé le pain pour nous, pauvres mendiants, nous avons encore faim… Romps donc chaque jour ce pain pour ceux qui ont faim. Car aujourd’hui et tous les jours nous recueillons quelques miettes, et chaque jour nous avons de nouveau besoin de notre pain quotidien. « Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. » (Lc 11,3) Si tu ne le donnes, qui le donnera ? Dans notre dénuement et notre besoin, il n’y a personne pour nous rompre le pain, personne pour nous nourrir, personne pour nous refaire, personne que toi, ô notre Dieu. En toute consolation que tu nous envoies, nous recueillons les miettes de ce pain que tu nous romps et nous goûtons « combien est douce ta miséricorde » (Ps 108,21 Vlg).

pour la malheur de l’avortement légalisé…un chapelet…

10 février, 2007

Un prêtre, un professeur universitaire français d’une Université Pontificale de Rome m’a envoyé – ensemble à ses amis – la demande de prier pour le Portugal à cause de l’approbation possible de la de la loi au service de l’avortement dans deux jours, je la mets aussi sur les miens deux Blog:  Italien et Français, nous pouvont prier ensamble avec tout nos coeur: 

Chers amis,

Nous sommes à deux jours d’un referendum au Portugal sur la légalisation de l’avortement. Selon les informations d’aujourd’hui, les sondages donnent vainqueur le oui. C’est pourquoi d’ici dimanche, je vous suggère de supplier Notre-Dame de Fatima afin qu’elle épargne au Portugal ce grand malheur de l’avortement légalisé. Pourquoi pas un chapelet, ou au moins la méditation du
mystère de la Visitation, rencontre de deux futures mères…

Cari amici,

Fra due giorni, si terrà un referendum in Portogallo sulla legalizzazione dell’aborto. Secondo le informazioni di oggi, i sondagi prevedono la vittoria del sì. Ecco perché entro domenica, vi suggerisco di supplicare la Madonna di Fatima, affinché rotegga il Portogallo da questa piaga dell’aborto legalizzato. Forse
la Corona del rosario, o almeno la meditazione del mistero della Visitazione, incontro di due donne incinte…

Merci, grazie,  (firma)  

Appel de 56 euro députés contre les libéralisation de l’avortement à Portugal

10 février, 2007

Du site « Zenith » : 

Appel de 56 euro députés contre les libéralisation de l’avortement à Portugal 

BRUXELLES, jeudi, 8 février 2007 (ZENIT.org). – 56 euro députés ont manifesté sa contrariété pour le référendum sur les libéralisations de l’avortement qui aura lieu dimanche prochaine, 11 février, à Portugal. Les euro députés, de 18 Pays – Italie, Hollande, Allemagne, Malta, Belgique, Portugal, Royaume uni, Pologne, Slovaquie, Espagne, Autriche, Slovénie , Irlande, Grèce, République Tchèque, Hongrie, France et Finlande – « manifestent ses préoccupation et leurs critique vis-à-vis de cette nouvelle tentative de libéralisations de l’avortement à Portugal », loi dans une déclaration datée janvier 2007. « Les plus récents progrès dans le champ de la science et de la médicine rendent encor plus évident l’existence qu’un être humain dans le ventre maternel, en devant ceci mériter la protection adaptée à ses circonstances et à sa fragilité », ils soutiennent. En vertu de ces nouvelles connaissances, « il se discute aujourd’hui dans la plupart des États européens sur la limitation de la pratique de l’avortement et pas sur ses libéralisations », que les signataires définissent « anachronique et obscurantiste ». Aussi n n’ignorant pas « le drame des femmes qui avortent », les politiciens retiennent que « l’avortement sure demande ment de la femme représente un grave pas en arrière en n’ignorant pas au niveau de civilisation et une déraisonnable violation du droit à la vie de l’enfant de dix semaines de vie ». « Et elle est même une violence contre la femme et sa dignité banaliser l’avortement comme s’il était un moyen contraceptif », ajoutent. « En considérant les effets dévastant à niveau individuel, social et démographique qui les libéralisations de l’avortement dans quelques de nos Pays a provoqué, nous nous appelons à peuple portugais pour qu’il ne choisisse pas cette de fausses réponses à des problèmes complexes », ils soutiennent. « Les Portugais méritent de mieux », concluent les euro députés. 

De Regensburg une leçon sur le rôle de la raison dans l’existence humaine de JB. VU

10 février, 2007

Du site « AsiaNews » (traduction) : 

VIETNAM – 

De Regensburg une leçon sur le rôle de la raison dans l’existence humaine de JB. VU 

Le directeur de le centre pastorale de Ai Qui Minh City souligne que le « lectio » de Benoît XVI en affrontant la question de la raison dans la foi donne à soutien dans la comparaison avec la société de bien être. 

J’ai Qui Minh City (Asianews) – la « leçon » de Bénit XVI à Regensburg a été une réflexion sur le rapport entre foi et raison et « est importante réfléchir sur le rôle de la raison dans l’actuelle société, frappée du bien être ». Selon père Peter Nguyen Van Kham, directeur de le centre pastorale de l’ archidiocèse de Ai Qui Minh City, « la lecture de la situation réelle offerte de le Pape est un grand évènement et est une leçon pour tous ». « Sa leçon – il dit en parlant avec AsiaNews – était visée sur  le rapport entre foi et raison et sur le rôle de la raison dans la foi. Plus des parties, par contre, on a parlé seulement d’une phrase, en l’enlevant de le conteste et en perdant de vue l’objectif du discours. Dans la lecture du Saint Père nous écoutons et apprenons de la foi et de la raison. Il a la ressource d’une vaste connaissance et des profonde analyse sur l’histoire des idées humaines qu’ils ont donné des origine aux modalités de vivre « . « Aujourd’hui – il continue – partout, en mode majeure ou minore, le bine être frappe des personnes et des Pays. Pour ceci il est important regarder au rôle de la raison dans l’existence humaine, autrement face aux maux sociaux, nous et les nouvelles générations nous nous trouvons moralement en crise face à l’existence « . Un jeune de 17 ans, hôte de Centre de réhabilitation, explique à AsiaNews : « j’étais vraiment déçu de la vie, mes parents querellaient continuellement, ainsi me suis donné à drogue ». « Ma famille – il dit une fille du lycée – était l’enfer en terre : mes parents ne s’occupaient jamais de moi, ils ne me demandaient rien et ils ne parlaient pas avec moi. J’ai suivi mes amis, et pour deux ans j’ai été une droguée « . « Aujourd’hui – il conclut – autour des jeunes il y a beaucoup de pièges. Nous avons besoin d’écouter le Pape qu’elle dit de ne pas perdre la vérité, la bonté et la beauté de la vie catholique « . 

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