Archive pour février, 2007

Apprends-moi, Seigneur, à dire merci…

18 février, 2007

une très belle poesie du site « Spiritualité Chretienne »: 

Apprends-moi, Seigneur, à dire merci…

Merci pour le pain, le vent, la terre et l’eau.
Merci pour la musique et pour le silence.
Merci pour le miracle de chaque nouveau jour.

Merci pour les gestes et les mots de tendresse.
Merci pour les rires et les sourires.
Merci pour tout ce qui m’aide à vivre
malgré les souffrances et les détresses.
Merci à tous ceux que j’aime et qui m’aiment.

Et que ces mille mercis
se transforment en une immense action de grâces
quand je me tourne vers Toi,
la source de toute grâce
et le rocher de ma vie.

Merci pour ton amour sans limite.
Merci pour la paix qui vient de Toi.
Merci pour le pain de l’Eucharistie.
Merci pour la liberté que Tu nous donnes.

Avec mes frères je proclame ta louange
pour notre vie qui est entre tes mains,
pour nos âmes qui Te sont confiées,
pour les bienfaits dont Tu nous combles
et que nous ne savons pas toujours voir.

Dieu bon et miséricordieux,
que ton nom soit béni à jamais.

Jean-Pierre Dubois-Dumée

J’espère d’avoir bientôt le texte de l’entretien du Pape avec le Séminaire Romain…et

18 février, 2007

J’espère d’avoir bientôt le texte, au moins en italien, de l’entretien du Pape avec le Séminaire Romain, ma tentative de synthèse était… un peu synthétique, mais le discours etait vraiment très beau…da re…lire…et…

je voudrais vous présenter aussi quelque chose du Cardinal Biffi, il est celui qui il fera les catechesi pour le carême au Pape et à son « team », c’est un personnage forte, très solide et intéressante, dès que je peux 

Gabriella

L’ « Angelus » de le Pape aujourd’hui: 18.2.07

18 février, 2007

Du site Zenith : 

L’ « Angelus » de le Pape aujourd’hui: 

 Chers frères et soeurs ! L’Évangile de cette dimanche contient une des mots plus typiques et forts de la prédication de Jésus : « Aimées vos ennemis » (Lc 6,27). elle est tirée de l’Évangile de Luc, mais il se trouve même dans celui de Matthieu (5.44), dans conteste du discours programmatique qui s’ouvre avec les célèbres « Béatitudes ». Jésus le prononça en Galilée, au debout de sa vie publique : presque une « affiche » présentée à tous, sur laquelle Il demande l’adhésion de ses disciples, en les proposant en termes radicaux son modèle de vie. Mais quel est-il le sens de son mot ? Pourquoi Jésus demande d’amères ses ennemis, c’est-à-dire un amour qu’il excède les capacités humaines ? En réalité, la proposition de Christ est réaliste, parce qu’il tient compte qui dans le monde il y a trop de violence, trop d’injustice, et donc on ne peut dépasser cette situation si pas en opposant de plus qu’amour, de plus que bonté. Ce « de plus » il vient de Dieu : elle est sa miséricorde, qui s’est faite chair en Jésus et que seule il peut « déséquilibrer » le monde du mal vers bien, à partir ce de petit et décisif « monde » qui est le coeur de l’homme. Justement cette page évangélique est considérée la magna charta de la non violence chrétienne, qui ne consiste pas dans se rendre au mal – selon des fausse interprétation de la « A qui te frappe sur un joue, présente encore l’autre » » (cfr Lc 6,29) – mais dans répondre au mal avec le bien (cfr Rm 12.17-21), en cassant de telle manière la chaîne de l’injustice. Il se comprend alors que la non violence pour les chrétiens n’est pas un pur comportement tactique, mais plutôt une mode d’être de la personne, l’attitude de quel est ainsi auto convaincue de l’amour de Dieu et de sa puissance, qui n’a pas de la peur d’affronter le mal avec les seules armes de l’amour et de la vérité. L’amour de l’ennemi il constitue le noyau de la « révolution chrétienne », une révolution non basée sur des stratégies de pouvoir économique, politique ou un médiatique. La révolution de l’amour, un amour qu’il ne pose pas en définitive sur les ressources humaines, mais est don de Dieu qui on obtiennent en confiant uniquement et sans de réserves sur sa bonté miséricordieuse. Voilà la nouveauté de l’Évangile, qui change le monde sans faire bruit. Voilà l’ héroïsme des « petits », qu’ils croient dans l’amour de Dieu et le répandent même à coûte de la vie. Chers des frères et des soeurs,
la Carême, qui entamera mercredi prochain avec le rite des Cendres, est le temps favorable dans lequel tous les chrétiens sont invités à se convertir toujours plus profondément à l’amoure de Christ. Nous demandons aux Vierge Marie, docile disciple des Rédempteur que nous aides à nous laisser conquérir sans réserves de ce amour, à apprendre à des amères comme Il nous a aimées, pour être miséricordieux comme il est miséricordieux notre Père qui est dans les cieux (cfr Lc 6,36). 

[ Le Pape a ensuite salué les pèlerins en différentes langues. En Italien il a dit : ] En divers Pays de l’Orient on célèbre aujourd’hui le jour de l’an lunaire, avec joie et dans l’intimité des familles. À tous ces grands peuples je souhaite de coeur de la sérénité et de la prospérité. Je désire ensuite exprimer ma spirituelle proximité à un Pays africain qui vit instants de détail difficulté :
la Guinée. Les Évêques de cette Nation m’ont exprimée leur appréhension pour la situation de paralysie sociale, avec des grèves générales et des réactions violentes, qui ont causé des nombreuses victimes. Dans demander le respect des droits humains et civils, j’assure ma prière parce que le commun engagement à parcourir de je dialogue ports y à dépasser la crise. Il salue finalement les pèlerins de langue italienne, en particulier les fidèles de La nôtre Madame de Valme en Rome, qui célèbrent le 25° anniversaire de
la Paroisse. Il salue en outre les familles provenantes de Trente et d’Offanengo, les garçons de
la Paroisse de San Leonardo de Mattarello, les fidèles des Paroisses des Saints Faustino et Giovita de Villa d’Almé et de San Giovanni Battista de Moyeu, les enfants de la première Communion d’Isera et le groupe de Pozzuoli, comme pures les Grenadiers de Sardaigne de
la Vénétie et des Friuli. À tous je souhaite une bonne dimanche. [© 

SAINT BERNARD: LA DEMEURE DE LA DIVINE SAGESSE

18 février, 2007

du site:

http://spiritualite3.free.fr/divine_sagesse.html

SAINT BERNARD 
LA DEMEURE DE
LA DIVINE SAGESSE 
     »
La Sagesse s’est construit une demeure » (Prov. IX, 1). Comme le mot de sagesse a diverses acceptions, il nous faut rechercher quelle est cette sagesse qui s’est construit une demeure. On parle d’une sagesse selon la chair, qui est l’ennemie de Dieu et d’une sagesse selon le monde, qui est sottise aux yeux de Dieu (I Cor. III, 19). L’une et l’autre, suivant l’Apôtre Jacques, est « terrestre, animale, diabolique » (Jacques III, 15). Ceux qui s’y conforment « sont sages pour commettre le mal et ne savent pas faire le bien » (Jérémie, IV, 22). Ils seront accusés et condamnés dans leur sagesse, car il est écrit : « Il faut surprendre ces sages dans leurs ruses (I Cor. III, 19) et je détruirai la sagesse des sages et je rejetterai la science des savants (Isaïe. XXIX, 14). C’est à ces sages-là que me paraît s’appliquer parfaitement ce proverbe de Salomon : J’ai vu un grand mal sous le soleil : un homme sage à ses propres yeux. Cette sagesse, de la chair ou du monde, n’édifie pas, elle détruit plutôt la demeure qu’elle habite. Mais il existe une autre sagesse qui vient d’en haut ; elle est d’abord réservée, ensuite pacifique (Jacques. III, 17). C’est le Christ lui-même, Force et Sagesse de Dieu, de qui l’Apôtre dit : « Dieu l’a fait notre sagesse, notre justice, notre sanctification et notre rédemption ((I Cor. I, 30).
Donc cette Sagesse qui était de Dieu et qui était Dieu, venue à nous du sein du Père, s’est construit une demeure, dans laquelle il a taillé sept colonnes (Prov. IX, 1), et cette demeure est sa mère,
la Vierge Marie. Qu’est-ce que se tailler en elle sept colonnes, sinon se préparer en elle, par la foi et les oeuvres, une résidence digne de lui ? Le chiffre trois se rapporte à la foi, à cause de
la Trinité ; le chiffre quatre à la morale, à cause des quatre vertus cardinales. Que la sainte Trinité ait été présente en la bienheureuse Marie – et ceci par la présence de majesté, tandis que le Fils seul y était pour avoir assumé l’humanité – c’est ce qu’atteste le messager du ciel qui, lui découvrant les plus secrets mystères, dit : Je te salue, pleine de grâce, le Seigneur est avec toi, et un instant après :
Le Saint-Esprit surviendra en toi, et
la Force du Très-Haut te couvrira de son ombre
(Luc. I, 28, 35). Nous avons là le Seigneur, l’Esprit-Saint et
la Force du Très-Haut, soit le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Car le Père ne peut être sans le Fils, ni le Fils sans le Père, ni sans l’un et l’autre le Saint-Esprit qui procède de l’un et de l’autre. Le Fils a dit : « Je suis en mon Père et mon Père est en moi », et encore : « Le Père qui réside en moi fait lui-même ces oeuvres » (Jn. XIV, 10). Il est donc manifeste que
la Vierge a porté dans son coeur la foi en

la Sainte Trinité.

Il vaut la peine de se demander si elle a possédé aussi ces quatre colonnes que sont les vertus cardinales. Voyons d’abord si elle a eu
la Force. Cette vertu n’a pu faire défaut à celle qui, rejetant les vanités du monde et méprisant les plaisirs de la chair, forma le voeu de vivre dans la virginité et pour Dieu seul. Si je ne me trompe, c’est de cette Vierge que parle Salomon : « Qui trouvera la femme forte ? Elle est de grand prix, et il faut aller la chercher bien loin aux extrémités de la terre » (Prov. XXXI, 10). Elle eut la force de broyer la tête de ce serpent à qui le Seigneur avait dit : « Je mettrai l’hostilité entre la femme et toi et entre vos deux races ; et c’est elle qui écrasera ta tête » (Gen. III, 15). Qu’elle fût également tempérante, prudente et juste, cela ressort clair comme le jour des paroles que lui adresse l’ange, et de sa propre réponse. Saluée avec un si grand respect par l’ange : « Je te salue, pleine de grâce, le Seigneur est avec toi », elle ne conçoit aucun orgueil de se voir favorisée d’une grâce unique, mais elle se tait et se demande à part soi ce que signifie une salutation ainsi insolite. C’était montrer de la tempérance. Mais comme le même ange l’instruisait des mystères divins, elle demanda aussitôt comment elle pourrait concevoir et enfanter, puisqu’elle n’avait pas connu d’homme ; et en cela, sans aucun doute, elle agit avec prudence. Elle porte enfin la marque de la justice, lorsqu’elle se donne pour la servante du Seigneur. Que ce soit là la confession des justes, nous en avons un témoignage dans l’Ecriture : Les justes confesseront ton nom, et les hommes droits se tiendront devant ta face (Ps. CXXXIX, 14). Et ailleurs, il est dit aux justes : Vous confesserez l’excellence de toutes les oeuvres de Dieu (Eccli. XXXIX, 21).

La bienheureuse Vierge Marie fut donc forte en sa résolution, tempérante dans son silence, prudente dans son interrogation, juste dans sa confession. Sur ces quatre colonnes de la morale et sur les trois colones de la foi,
la Sagesse céleste a édifié en elle sa demeure. Et cette Sagesse a si bien rempli son âme que cette plénitude suffit à féconder aussi la chair ; aussi Marie, par une grâce extraordinaire, put-elle en restant vierge enfanter cette même Sagesse habitant dans sa chair qu’elle avait d’abord conçue dans la pureté de son âme. A notre tour, si nous voulons devenir des demeures de
la Sagesse, il faut que nous élevions en nous ces sept colonnes, c’est-à-dire que nous nous préparions à l’accueillir par la foi et par les oeuvres. Pour celles-ci, je tiens que la justice est à elle seule suffisante, mais que les autres vertus doivent l’étayer. Aussi, pour que notre justice ne soit pas égarée par l’ignorance, la prudence la devancera ; et pour qu’elle ne penche ni à droite ni à gauche, nous mettrons de part et d’autre la tempérance et la force. 

commantaire au évangile du jour – 18.2.07

18 février, 2007

Saint Ambroise (vers 340-397), évêque de Milan et docteur de l’Église
Sur le psaume 45, 2; CSEL 64, 6, 330-331 (trad. Delhougne, Les Pères commentent, p. 186 rev.)

Le témoignage des prophètes conduit au témoignage des apôtres

Le Seigneur Jésus a voulu que Moïse gravît seul la montagne, mais il a été rejoint par Josué (Ex 24,13). Dans l’Évangile aussi, c’est à Pierre, Jacques et Jean, seuls de tous les disciples, qu’il a révélé la gloire de sa résurrection. Ainsi voulait-il que son mystère demeure caché, et il les avertissait fréquemment de ne pas annoncer facilement ce qu’ils avaient vu à n’importe qui, pour qu’un auditeur trop faible ne trouve là un obstacle qui empêcherait son esprit inconstant de recevoir ces mystères dans toute leur force. Car Pierre lui-même « ne savait pas ce qu’il disait », puisqu’il croyait qu’il fallait dresser trois tentes pour le Seigneur et ses compagnons. Ensuite, il n’a pas pu supporter l’éclat de gloire du Seigneur qui se transfigurait, mais il est tombé sur le sol (Mt 17,6), comme sont tombés aussi « les fils du tonnerre » (Mc 3,17), Jacques et Jean, quand la nuée les a recouverts…

Ils sont entrés donc dans la nuée pour connaître ce qui est secret et caché, et c’est là qu’ils ont entendu la voix de Dieu disant : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis tout mon amour : écoutez-le ». Que signifie : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé » ? Cela veut dire –- Simon Pierre, ne t’y trompe pas ! — que tu ne dois pas placer le Fils de Dieu sur le même rang que les serviteurs. « Celui-ci est mon Fils : Moïse n’est pas mon Fils, Elie n’est pas mon Fils, bien que l’un ait ouvert le ciel, et que l’autre ait fermé le ciel ». En effet, l’un et l’autre, à la parole du Seigneur, ont vaincu un élément de la nature (Ex 14;1R 17,1), mais ils n’ont fait que prêter leur ministère à celui qui a affermi les eaux et fermé par la sécheresse le ciel, qu’il a fait fondre en pluie dès qu’il l’a voulu.

Là où il s’agit d’une simple annonce de la résurrection, on fait appel au ministère des serviteurs, mais là où se montre la gloire du Seigneur qui ressuscite, la gloire des serviteurs tombe dans l’obscurité. Car, en se levant, le soleil obscurcit les étoiles, et toutes leurs lumières disparaissent devant l’éclat de l’éternel Soleil de justice (Ml 3,20).

j’ai écrit quelque chose de: La visite du Pape Benoît à le Séminaire Majeur de Rome, aujourd’hui h. 18

17 février, 2007

j’ai écrit quelque chose de:

La visite du Pape Benoît à le Séminaire Majeur de Rome, aujourd’hui h. 18 

Le Pape, comme de programme, est allée au Séminaire Majeur à 18 heures, je me suis mis à le voir et le sentir de la télévision et j’ai cherché d’écrire quelque chose de ce qui arrivait, rapporte les choses que j’ai réussi à écrire ainsi comme, justement, ai réussi à faire, sont certainement des pièces, mais… en dirigée ; 

heures 18.00 nous sommes dans la chapelle du Séminaire Majeur, le Pape arrive et cette rencontre entame avec un chante à Marie en grégorien, ensuite le Saint Père tourne une prière à Marie; il intervient en accueil Mons. Giovanni Tano, Recteur du Séminaire, il propose comme mot pour accompagner le discours le pas de Jn. 15.6 : « Qui reste dans moi et je dans il lui fait beaucoup de fruit » , et ensuite il lit tout le cap. 15 de Jean ; ensuite il reprend le discours et se rappelle de que dans la communion en Christ elle jaillit la vie sacerdotale et communique qu’il voudrait faire, en communion avec les autres un livre concernant la vie de la communauté ; 

près sont arrivées les questions des séminariste à le Pape, il était 6 jeunes,  je écris en ordre de présentation ce que j’ai pu marquer :  

1 demande : nous sommes ici à étudier, ou ce qui sont les points essentiels de la vie du prêtre ; 

Répondue de le Pape : comment discerner la voix de Dieu entre tant de voix ? Dieu parle à travers les personnes que nous connaissons, à travers les événements, à travers la nature, surtout dans sa Parole, est bien léger la Parole de Dieu en mode personnelle, c’est-à-dire qu’elle parle avec moi et ensuite entrer dans la prière ; ensuite le Pape parle de Sant’Agostino qui se rappellera à plusieurs reprises, il a frappé au Parole pour comprendre ce que Dieu disait a lui ; lecture communautaire, sujet le vivant Peuple de Dieu, l’Écriture n’appartient pas au passé parce qu’il se trouve dans le sujet vivant en communion avec les Saints, avec le magistère de l’Église, dans la liturgie, lieu privilégié où nous sommes en entretien avec Dieu – ensuite il parle du « Pater noster » et dit : je suis dans le sujet : les nôtre ; il est le lieu où les Seigneur se donnent dans nos mains et il nous ouvre la porte main à la main ; sentir les amis, les prêtres, la voix de l’Église d’aujourd’hui, les personnes, les événements d’aujourd’hui, importants, répète, est dans nous de l’Église ; 

2° demande : comment articulait-il sa vie (le Pape) dans la formation au sacerdoce, Marie ce qui posé avait ?  

 Répondue : Notre vie était articulée plus ou moins comme le vôtre : – heures 7 méditation, ensuite – messe – petit déjeuner – leçons – à l’après-midi séminaire étudie – ensuite le soir les recteurs parlaient (de quelque chose) pour aider le méditation, ensuite le Saint Père parle et recompte de nouveau de  Sant’d'Agostino, et de le sien oui à l’Église, il fut un chemin souffert ; – il était important les exégèse – la Sacrée Écriture était l’âme de les nôtre étudie théologique – la formation liturgique, il n’y avait alors pas le cours en liturgie le faisait le professeur de théologie pastorale, ainsi les résultait de l’enseignement été aussi… « concrète »  (je ne me rappelle pas du mot)  3 question : nous sommes lointains de dire d’un vrai oui, de la fatigue quotidienne de la vocation ainsi exigeante Répondue : il est bien reconnaître sa faiblesse, les mêmes apôtres était fragiles, Dieu appelle ceux qui, tous les jours, ont besoin d’Lui, une : conversion permanente (l’appelle) ; même Sant’Agostino a vécu après ses conversions instants de « vallées obscures », ainsi est important le sacrement de la réconciliation, ensuite il insiste sur ne pas se laisser isoler et sur l’aide des laïques ; ici il recompte qu’il a reçu une lettre de Card. Carlo Maria Martini qui disait… remercie surtout pour la persévérance, la persévérance dit le Pape est grâce de la persévérance, avec ténacité avec humilité et avec patience… mais peut-être il répète les mots de Martini, en effet il dit… surtout dans ce achève parcours de ma vie ; 

 4 question : la séminariste se rappelle des mots de le Pape dans la « via Crucis » de 2005 : la saleté dans l’Église et, l’année passée, le carriérisme ; 

Répondue : dans l’Église il y a même le péché et (est important) voir le péché pas seulement dans les autres, dans les structures, mais dans nous mêmes ; un homme qui a trouvé l’amour du Seigneur est vraiment riche, écrivait… (ha cité un saint, ne l’ai pas écrit, peut-être Sant’Ignazio) ; il peut se dire ainsi : j’ai trouvé la perle précieuse,
la Cathedra de Jésus est plus en haut parce qu’elle est
la Croix ; 

5 question : le séminariste reprend le « Salvicis doloris », comme on peut être des témoins dans la souffrance, c’est-à-dire face à la souffrance des autres ; 

Répondue : – nous devons faire le possible pour vivre la souffrance de l’humanité et l’être libérés des maux provoqués de nous mêmes ; – nous devons reconnaître et comprendre que la souffrance et une partie des (résurrection ?), – comme le grain qui tombe en terre et meurt, mais celui-ci n’est pas l’évènement d’un instant mais toujours, un mûrissement ; – apprendre à aller avec la Croix, l’amour est même se perdre ; – lorsque nous accueillons la série de Christ pouvons plus facilement répondre, la bonté des Seigneur est même dans la vallée plus obscure; 

 6 question : serons-nous commandés des prêtres, irons dans les paroisses, comme ferons ? 

Répondue : même dans la vie des prêtres il est bien conserver un certain ordre du jour : messe quotidienne et sentie comme vrai besoin, prendre le temps pour la liturgie des heures, pour être plus libres et plus ouvert, ne pas perdre la communion avec les autres prêtres et avec la Parole de Dieu ; pour l’homélie de la dimanche nous commençons à des légères les lectures de la dimanche le lundi précédent, et jour pour jour léger même quelque autre chose, méditer et la répondue mûrira d’abord, ainsi nous pourrons la dire comme vraie… Je ne désire ensuite pas donner autres conseils parce que ma vie, alors, en Bavière, n’est pas celle dans la grande ville de Rome ; 

Le Pape a aussi parlé de l’enseignement de la littérature dans les Universités pontificie, à mentionné les noms de quelques écrivains, russes, autres et le Manzoni qui, alors il a naturellement lu en allemand;

ensuite ils ont chanté un hymne à la Vierge « Hymne de la confiance » mais je ne le connais pas ; 

Prière à la Vierge Marie composée par Benoît XVI pour les jeunes

17 février, 2007

du site Zenith: 

Prière à
la Vierge Marie composée par Benoît XVI pour les jeunes 
Préparation du pèlerinage à Lorette 

ROME, Vendredi 16 février 2007 (ZENIT.org) – Benoît XVI a composé une prière à
la Vierge en préparation à la rencontre œcuménique avec les jeunes Italiens qui se tiendra à Lorette les 1er et 2 septembre 2007. Ce projet des jeunes s’appelle « Agora ».
Le pape a prié cette prière avec les jeunes lors de la rencontre de mercredi dernier, en la basilique Saint-Pierre avec les pèlerins des Marches, à l’occasion de la visite ad limina des évêques de cette région.

« Marie, Mère du « oui », tu as écouté Jésus,
Et tu connais le timbre de sa voix et le battement de son cœur.
Etoile du matin, parle-nous de Lui
Et raconte-nous ton chemin pour le suivre dans le chemin de la foi.

Marie, toi qui à Nazareth as habité avec Jésus,
Imprime tes sentiments dans notre vie,
Ta docilité, ton silence qui écoute
Et fait fleurir
la Parole en choix de vraie liberté.

Marie, parle-nous de Jésus, pour que la fraîcheur de notre foi
Brille dans nos yeux et réchauffe le cœur de ceux qui nous rencontrent,
Comme tu l’as fait en rendant visite à Elisabeth
Qui dans sa vieillesse s’est réjouie avec toi du don de la vie.

Marie, Vierge du « Magnificat »,
Aide-nous à apporter au monde la joie et, comme à Cana,
Incite chaque jeune, engagé dans le service de ses frères
A faire seulement ce que Jésus dira.

Marie, pose ton regard sur l’Agora des jeunes,
Pour qu’elle soit le terrain fécond de l’Eglise italienne.
Prie pour que Jésus, mort et ressuscité, renaisse en nous
Et nous transforme en une nuit pleine de lumière, pleine de Lui.

Marie, Vierge de Lorette, porte du ciel,
Aide-nous à élever notre regard.
Nous voulons voir Jésus. Parler avec Lui.
Annoncer à tous son amour ». 

Père Cantalamessa: commentaire de l’evangile de dimanche 18.2.07

17 février, 2007

du site Zenith: 

2007-02-16  P. Cantalamessa : Faites aux autres ce que vous voudriez qu’ils fassent pour vous 

Commentaire de l’Evangile du dimanche 18 février  ROME, Vendredi 16 février 2007 (ZENIT.org) – Nous publions ci-dessous le commentaire de l’Evangile de ce dimanche proposé par le père Raniero Cantalamessa OFM Cap, prédicateur de
la Maison pontificale.
Evangile de Jésus Christ selon saint Luc 6, 27-38

Je vous le dis, à vous qui m’écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent. Souhaitez du bien à ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous calomnient. A celui qui te frappe sur une joue, présente l’autre. A celui qui te prend ton manteau, laisse prendre aussi ta tunique. Donne à quiconque te demande, et ne réclame pas à celui qui te vole. Ce que vous voulez que les autres fassent pour vous, faites-le aussi pour eux. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle reconnaissance pouvez-vous attendre ? Même les pécheurs aiment ceux qui les aiment. Si vous faites du bien à ceux qui vous en font, quelle reconnaissance pouvez-vous attendre ? Même les pécheurs en font autant. Si vous prêtez quand vous êtes sûrs qu’on vous rendra, quelle reconnaissance pouvez-vous attendre ? Même les pécheurs prêtent aux pécheurs pour qu’on leur rende l’équivalent. Au contraire, aimez vos ennemis, faites du bien et prêtez sans rien espérer en retour. Alors votre récompense sera grande, et vous serez les fils du Dieu très-haut, car il est bon, lui, pour les ingrats et les méchants.
Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux. Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés. Pardonnez, et vous serez pardonnés. Donnez, et vous recevrez : une mesure bien pleine, tassée, secouée, débordante, qui sera versée dans votre tablier ; car la mesure dont vous vous servez pour les autres servira aussi pour vous. »

© AELF

Ne juger pas

L’Evangile de ce dimanche renferme une sorte de code moral qui doit caractériser la vie du disciple du Christ. Le tout se résume dans la fameuse « règle d’or » de la conduite morale: « Tout ce que vous voulez que les autres fassent pour vous, faites-le vous-mêmes pour eux ». Cette règle, si elle était appliquée, suffirait à elle seule à changer le visage de la famille et de la société dans laquelle nous vivons. L’Ancien Testament la connaissait sous sa forme négative: « Ne fais à personne ce que tu n’aimerais pas subir » (Tb 4, 15); Jésus la propose sous sa forme positive: « Faire aux autres tout ce que nous voudrions qu’ils fassent pour nous », qui est beaucoup plus exigeant.

Mais ce passage de l’Evangile porte aussi son lot d’interrogations. « A qui te frappe sur une joue, présente encore l’autre ; à qui t’enlève ton manteau, ne refuse pas ta tunique. A quiconque te demande, donne, et à qui t’enlève ton bien ne le réclame pas … ». Jésus ordonnerait-il donc à ses disciples de ne pas s’opposer au mal, de laisser faire les violents ? Comment cette vision est-elle conciliable avec l’exigence de combattre l’arrogance et le crime, et de dénoncer tout cela avec fermeté, au prix même des risques encourus ? Que dire de la « tolérance zéro », aujourd’hui invoquée par certains face à l’augmentation de la micro criminalité ?

Non seulement l’Evangile condamne cette exigence de légalité, mais elle la renforce. Il y a des situations où la charité n’exige pas de tendre l’autre joue, mais d’aller tout droit à la police pour dénoncer le fait. La règle d’or, qui vaut pour tous les cas, nous l’avons entendu, c’est de faire aux autres ce que nous voudrions qu’ils fassent pour nous. Si vous, par exemple, étiez victime d’un vol ou d’un chantage, ou que quelqu’un vous rentre dedans et emboutisse votre voiture, vous seriez certainement contents de voir que celui qui a assisté au fait est prêt à aller témoigner en votre faveur. Et bien c’est ce que l’Evangile vous demande de faire, au lieu de vous réfugier toujours derrière cette phrase: « Je n’ai rien vu, je ne sais rien ». Le crime prospère car il est couvert par la peur et le silence.

Mais prenons les paroles de l’Evangile de demain, qui sont en quelque sorte plus dangereuses : « Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés ». Est-ce à dire que l’impunité a la voie libre ? Et que dire alors des magistrats qui font les juges à plein temps, par profession ? Que l’Evangile les condamne dès le départ ? L’Evangile n’est pas si naïf ou si irréaliste qu’on pourrait le penser à première vue. Ce qu’il nous ordonne ce n’est pas tant de bannir tout esprit de jugement de notre vie, mais plutôt de bannir de notre jugement le venin qui est en lui! C’est-à-dire, cette partie de hargne, de refus, ou de vengeance qui se mélange souvent à l’évaluation objective des faits. Le commandement de Jésus : « Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés » est immédiatement suivi, nous l’avons vu, par le commandement : « Ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés » (Lc 6, 37). La seconde phrase sert à expliquer le sens de la première.

La Parole de Dieu bannit ces jugements « sans pitié », sans miséricorde. C’est une pratique qui, avec le péché, condamne sans appel les pécheurs. A juste titre, la conscience du monde civil rejette aujourd’hui, presque à l’unanimité, la peine de mort, reconnaissant qu’il s’agit davantage d’un acte de vengeance de la part de la société, que d’un réel souci de se défendre ou d’une manifestation de dépit face au crime, auquel on pourrait d’ailleurs répondre, non moins efficacement, par d’autres types de peine. Et il n’est d’ailleurs pas rare, dans ce cas-là, qu’une personne soit exécutée à la place de celle qui a vraiment commis le crime et qui entre temps, s’est repentie et a radicalement changé ! 

poesie pour la nuit, Padre Pio

17 février, 2007

du site:

http://www.spiritualite-chretienne.com/prieres/priere_1.html#Pio

Restez avec moi, Seigneur, car il est nécessaire de Vous avoir présent pour ne pas Vous oublier. Vous savez avec quelle facilité je Vous abandonne.
Restez avec moi, Seigneur, parce que je suis faible et que j’ai besoin de Votre force pour ne pas tomber si souvent.
Restez avec moi, Seigneur, parce que Vous êtes ma vie, et que sans Vous, je suis sans ferveur.
Restez avec moi, Seigneur, parce que Vous êtes ma lumière, et que sans Vous, je suis dans les ténèbres.
Restez avec moi, Seigneur, pour me montrer Votre volonté.
Restez avec moi, Seigneur, pour que j’entende Votre voix et Vous suive.
Restez avec moi, Seigneur, parce que je désire Vous aimer beaucoup et être toujours en Votre compagnie.
Restez avec moi, Seigneur, si Vous voulez que je Vous sois fidèle.
Restez avec moi, Seigneur, parce que, si pauvre que soit mon âme, elle désire être pour Vous un lieu de consolation, un nid d’amour.
[...]
Restez avec moi, Seigneur, parce que, dans cette nuit de la vie et des dangers, j’ai besoin de Vous. Faites que je vous reconnaisse comme Vos disciples à la fraction du pain, c’est-à-dire que la communion eucharistique soit la lumière qui dissipe les ténèbres, la force qui me soutienne et l’unique joie de mon cœur.
[...]
Restez avec moi, Seigneur, je ne Vous demande pas les consolations divines, parce que je ne les mérite pas, mais le don de Votre présence, oh oui, je Vous le demande.
Restez avec moi, Seigneur, c’est Vous seul que je cherche, Votre amour, Votre grâce, Votre volonté, Votre cœur, Votre esprit, parce que je Vous aime et ne demande pas d’autre récompense que de Vous aimer davantage. D’un amour ferme, pratique, Vous aimer de tout mon cœur sur la terre, pour continuer à Vous aimer parfaitement pendant toute l’éternité.
Ainsi soit-il.

Padre Pio
Extrait du Journal « Vers Demain »

poesie pour la nuit, Padre Pio dans Pape Benoit padre_pio

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commentaire a l’évangile du jour 17.2.07

17 février, 2007

Saint Ambroise (vers 340-397), évêque de Milan et docteur de l’Église
Sur le psaume 45, 2; CSEL 64, 6, 330-331 (trad. Delhougne, Les Pères commentent, p. 186 rev.)

Le témoignage des prophètes conduit au témoignage des apôtres

Le Seigneur Jésus a voulu que Moïse gravît seul la montagne, mais il a été rejoint par Josué (Ex 24,13). Dans l’Évangile aussi, c’est à Pierre, Jacques et Jean, seuls de tous les disciples, qu’il a révélé la gloire de sa résurrection. Ainsi voulait-il que son mystère demeure caché, et il les avertissait fréquemment de ne pas annoncer facilement ce qu’ils avaient vu à n’importe qui, pour qu’un auditeur trop faible ne trouve là un obstacle qui empêcherait son esprit inconstant de recevoir ces mystères dans toute leur force. Car Pierre lui-même « ne savait pas ce qu’il disait », puisqu’il croyait qu’il fallait dresser trois tentes pour le Seigneur et ses compagnons. Ensuite, il n’a pas pu supporter l’éclat de gloire du Seigneur qui se transfigurait, mais il est tombé sur le sol (Mt 17,6), comme sont tombés aussi « les fils du tonnerre » (Mc 3,17), Jacques et Jean, quand la nuée les a recouverts…

Ils sont entrés donc dans la nuée pour connaître ce qui est secret et caché, et c’est là qu’ils ont entendu la voix de Dieu disant : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis tout mon amour : écoutez-le ». Que signifie : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé » ? Cela veut dire –- Simon Pierre, ne t’y trompe pas ! — que tu ne dois pas placer le Fils de Dieu sur le même rang que les serviteurs. « Celui-ci est mon Fils : Moïse n’est pas mon Fils, Elie n’est pas mon Fils, bien que l’un ait ouvert le ciel, et que l’autre ait fermé le ciel ». En effet, l’un et l’autre, à la parole du Seigneur, ont vaincu un élément de la nature (Ex 14;1R 17,1), mais ils n’ont fait que prêter leur ministère à celui qui a affermi les eaux et fermé par la sécheresse le ciel, qu’il a fait fondre en pluie dès qu’il l’a voulu.

Là où il s’agit d’une simple annonce de la résurrection, on fait appel au ministère des serviteurs, mais là où se montre la gloire du Seigneur qui ressuscite, la gloire des serviteurs tombe dans l’obscurité. Car, en se levant, le soleil obscurcit les étoiles, et toutes leurs lumières disparaissent devant l’éclat de l’éternel Soleil de justice (Ml 3,20).

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