j’ai écrit quelque chose de:
La visite du Pape Benoît à le Séminaire Majeur de Rome, aujourd’hui h. 18
Le Pape, comme de programme, est allée au Séminaire Majeur à 18 heures, je me suis mis à le voir et le sentir de la télévision et j’ai cherché d’écrire quelque chose de ce qui arrivait, rapporte les choses que j’ai réussi à écrire ainsi comme, justement, ai réussi à faire, sont certainement des pièces, mais… en dirigée ;
heures 18.00 nous sommes dans la chapelle du Séminaire Majeur, le Pape arrive et cette rencontre entame avec un chante à Marie en grégorien, ensuite le Saint Père tourne une prière à Marie; il intervient en accueil Mons. Giovanni Tano, Recteur du Séminaire, il propose comme mot pour accompagner le discours le pas de Jn. 15.6 : « Qui reste dans moi et je dans il lui fait beaucoup de fruit » , et ensuite il lit tout le cap. 15 de Jean ; ensuite il reprend le discours et se rappelle de que dans la communion en Christ elle jaillit la vie sacerdotale et communique qu’il voudrait faire, en communion avec les autres un livre concernant la vie de la communauté ;
près sont arrivées les questions des séminariste à le Pape, il était 6 jeunes, je écris en ordre de présentation ce que j’ai pu marquer :
1 demande : nous sommes ici à étudier, ou ce qui sont les points essentiels de la vie du prêtre ;
Répondue de le Pape : comment discerner la voix de Dieu entre tant de voix ? Dieu parle à travers les personnes que nous connaissons, à travers les événements, à travers la nature, surtout dans sa Parole, est bien léger la Parole de Dieu en mode personnelle, c’est-à-dire qu’elle parle avec moi et ensuite entrer dans la prière ; ensuite le Pape parle de Sant’Agostino qui se rappellera à plusieurs reprises, il a frappé au Parole pour comprendre ce que Dieu disait a lui ; lecture communautaire, sujet le vivant Peuple de Dieu, l’Écriture n’appartient pas au passé parce qu’il se trouve dans le sujet vivant en communion avec les Saints, avec le magistère de l’Église, dans la liturgie, lieu privilégié où nous sommes en entretien avec Dieu – ensuite il parle du « Pater noster » et dit : je suis dans le sujet : les nôtre ; il est le lieu où les Seigneur se donnent dans nos mains et il nous ouvre la porte main à la main ; sentir les amis, les prêtres, la voix de l’Église d’aujourd’hui, les personnes, les événements d’aujourd’hui, importants, répète, est dans nous de l’Église ;
2° demande : comment articulait-il sa vie (le Pape) dans la formation au sacerdoce, Marie ce qui posé avait ?
Répondue : Notre vie était articulée plus ou moins comme le vôtre : – heures 7 méditation, ensuite – messe – petit déjeuner – leçons – à l’après-midi séminaire étudie – ensuite le soir les recteurs parlaient (de quelque chose) pour aider le méditation, ensuite le Saint Père parle et recompte de nouveau de Sant’d'Agostino, et de le sien oui à l’Église, il fut un chemin souffert ; – il était important les exégèse – la Sacrée Écriture était l’âme de les nôtre étudie théologique – la formation liturgique, il n’y avait alors pas le cours en liturgie le faisait le professeur de théologie pastorale, ainsi les résultait de l’enseignement été aussi… « concrète » (je ne me rappelle pas du mot) 3 question : nous sommes lointains de dire d’un vrai oui, de la fatigue quotidienne de la vocation ainsi exigeante Répondue : il est bien reconnaître sa faiblesse, les mêmes apôtres était fragiles, Dieu appelle ceux qui, tous les jours, ont besoin d’Lui, une : conversion permanente (l’appelle) ; même Sant’Agostino a vécu après ses conversions instants de « vallées obscures », ainsi est important le sacrement de la réconciliation, ensuite il insiste sur ne pas se laisser isoler et sur l’aide des laïques ; ici il recompte qu’il a reçu une lettre de Card. Carlo Maria Martini qui disait… remercie surtout pour la persévérance, la persévérance dit le Pape est grâce de la persévérance, avec ténacité avec humilité et avec patience… mais peut-être il répète les mots de Martini, en effet il dit… surtout dans ce achève parcours de ma vie ;
4 question : la séminariste se rappelle des mots de le Pape dans la « via Crucis » de 2005 : la saleté dans l’Église et, l’année passée, le carriérisme ;
Répondue : dans l’Église il y a même le péché et (est important) voir le péché pas seulement dans les autres, dans les structures, mais dans nous mêmes ; un homme qui a trouvé l’amour du Seigneur est vraiment riche, écrivait… (ha cité un saint, ne l’ai pas écrit, peut-être Sant’Ignazio) ; il peut se dire ainsi : j’ai trouvé la perle précieuse,
la Cathedra de Jésus est plus en haut parce qu’elle est
la Croix ;
5 question : le séminariste reprend le « Salvicis doloris », comme on peut être des témoins dans la souffrance, c’est-à-dire face à la souffrance des autres ;
Répondue : – nous devons faire le possible pour vivre la souffrance de l’humanité et l’être libérés des maux provoqués de nous mêmes ; – nous devons reconnaître et comprendre que la souffrance et une partie des (résurrection ?), – comme le grain qui tombe en terre et meurt, mais celui-ci n’est pas l’évènement d’un instant mais toujours, un mûrissement ; – apprendre à aller avec la Croix, l’amour est même se perdre ; – lorsque nous accueillons la série de Christ pouvons plus facilement répondre, la bonté des Seigneur est même dans la vallée plus obscure;
6 question : serons-nous commandés des prêtres, irons dans les paroisses, comme ferons ?
Répondue : même dans la vie des prêtres il est bien conserver un certain ordre du jour : messe quotidienne et sentie comme vrai besoin, prendre le temps pour la liturgie des heures, pour être plus libres et plus ouvert, ne pas perdre la communion avec les autres prêtres et avec la Parole de Dieu ; pour l’homélie de la dimanche nous commençons à des légères les lectures de la dimanche le lundi précédent, et jour pour jour léger même quelque autre chose, méditer et la répondue mûrira d’abord, ainsi nous pourrons la dire comme vraie… Je ne désire ensuite pas donner autres conseils parce que ma vie, alors, en Bavière, n’est pas celle dans la grande ville de Rome ;
Le Pape a aussi parlé de l’enseignement de la littérature dans les Universités pontificie, à mentionné les noms de quelques écrivains, russes, autres et le Manzoni qui, alors il a naturellement lu en allemand;
ensuite ils ont chanté un hymne à la Vierge « Hymne de la confiance » mais je ne le connais pas ;