Archive pour février, 2007

l’agent jeune tué à Catane (Italie) pendant un match de football

5 février, 2007

l'agent jeune tué à Catane (Italie) pendant un match de football dans Pape Benoit raciti

l’agent jeune tué à Catane (Italie) pendant un match de football

Le 17 janvier 1967 né à Catane, Filippo Raciti était entré en Police dans le juin de 86 d’Élève Agent Auxiliaire. Jusqu’à le l’an dernier il était de service près de la Préfecture de police de Catane au bureau Prévention Générale et Secouru Public. Dans le décembre 2006 ère été transféré près du X Rayon Mobile.

Il vivait à l’Acireale avec la femme et aux deux fils de 15 et 8 ans.

du site de la Police d’État:

http://www.poliziadistato.it/pds/primapagina/raciti/chi_era.html

 

ew_candid dans Pape Benoit

Avis: sur « Pages »…

5 février, 2007

un site pour la liturgie des heures

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Pape : jeunes, vous croyez dans le vrai amour

5 février, 2007

du site « AsiaNews »(traduction):

VATICAN  - Pape :  

jeunes, vous croyez dans le vrai amour. Dans le message pour
la Journée mondiale de la jeunesse, Benoit XVI indique des « itinéraires » en trois instants à la découverte des amours et trois « domaines » où le manifester : l’Église, sa croissance et la société. L’exemple de Mère Teresa, qui a répandu dans le monde entier le message de l’amoure divin. 
Città del Vaticano (AsiaNews) – 
l’amour il est possible et les jeunes doivent nous croire : amour vrai, « fidèle et fort », que « il engendre de la paix et de la joie » à manifester dans l’Église – en animant la vie – dans sa croissance – si fiancés en cherchant le mûrissement ensemble et pas la personnelle satisfaction – dans la société – où viser pas seulement à devenir plus « compétitifs » et « productifs », mais à être des « témoins de la charité », comme il a montré Mère Teresa. Roue autour de la phrase de l’Évangile de Jean « vous aimer les uns les autres, comme je vous ai aimés » (Jn 13,34b), le message, rendu connu aujourd’hui, qui Benoît XVI envoie aux jeunes du monde en occasion de
la XXII Journée mondiale de la jeunesse, qui seront célébrés le premier avril prochain, dimanche des Palmiers, à niveau diocésain. 
« Chaque personne – il écrit le Pape – avertit le désir d’amères et d’être aimée. Pourtant ce qu’est difficile d’aimer , combien d’erreurs et des faillites doivent s’enregistrer dans le amour ! Il y a même qui arrive à douter que l’amour soit possible. Mais si des carences affectives ou des déceptions sentimental peuvent faire penser qu’amère soit une utopie, rêve-je impossible à atteindre, faut peut-être se résigner ? Non ! L’amour il est possible « .    »À raviver » dans les jeunes la confiance dans la possibilité de un amour « vrai », Benoît XVI les indique « des itinéraires, en trois instants, au  « découverte de l’amour » et ensuite trois « domaines » dans lesquels il doit être manifesté. 
  »Le premier instant concerne la source de l’amour vrai, qu’il est unique : il est Dieu. Il le pose bien en évidence Saint Jean en affirmant que « Dieu est amour » (1 Jn 4,8.16) ; maintenant il ne veut pas dire seulement que Dieu nous aime, mais que l’être même de Dieu est amour « . La plus grande manifestation de Dieu-dieu-amour est l’incarnation – en second lieu instant de l’itinéraire – et, dans elle, de
la Croix. Dans elle,  » rachetée dal son sang, aucune vie humaine est inutile ou de peu de valeur, parce que tous nous sommes aimés personnellement d’Lui avec un amour passionné et fidèle, un amour sans limites ». « Au contraire, le Crucifié, qui après les résurrection porte toujours les signes de sa passion, met en lumière le « contrefaçons et mensonges du Dieu », que se recouvrent de violence, de vengeance et d’exclusion. Christ est l’Agneau de Dieu, qui prend sur de lui le péché du monde et éradique la haine dal coeur de l’homme. Voilà la révolution véridique : l’amour. 
De celle rejointe conscience il dérive l’appel à manifester l’amour de Dieu, pour lequel le document indique aux jeunes « trois domaines de la vie quotidienne ».   Le premier est l’Église. « Alimentées, avec votre enthousiasme et votre charité, les activités des paroisses, des communautés, des mouvements ecclésiaux et des groupes juvéniles auxquels vous appartenez. Que vous soyez prompts dans chercher bien de l’autre, fidèles aux engagements pris. Vous ne hésitez pas à renoncer avec joie à quelques uns de vos plaisirs, acceptées de bon esprit les sacrifices nécessaires, témoignées le vôtre amour fidèle pour Jésus en annonçant son Évangile spécialement entre le personne du même age « . 
Le second domaine, « où vous êtes appelés à exprimer l’amour et à croître dans lui, est votre préparation au futur qui vous attend. Si vous êtes des fiancés, Dieu a projette de amour sur vos futur de couple et de famille et est donc essentiel que vous le découvriez avec l’aide de l’Église, libre du préjugé diffus qui le christianisme, avec ses commandement et ses défenses, pose des obstacles à la joie de l’amour et empêche en particulier de goûter pleinement ce bonheur que l’homme et la femme cherchent dans leur réciproque amour ». « Apprendre à s’aimer comme couple est un chemin merveilleux, qui toutefois demande un stage qui engage. La période des fiançailles, fondamentales pour construire le couple, est un temps d’attendue et de préparation, qui doit être vécu dans la chasteté des gestes et des mots. Cela permet de mûrir dans l’amour, dans prévenance et dans l’attention vers l’autre ; il aide à exercer la domination d’elle, à développer le respect de l’autre, caractéristiques toutes du vrai amour qu’il ne recherche pas en premier lieu sa satisfaction né son bien-être « .  Et, également, « vous soyez prêts à dire  ‘oui’, si Dieu vous appelle à le suivre sur du sacerdoce ministériel ou de la vie consacrée ».    »Le troisième domaine de l’engagement qui l’amour comporte est celui de la vie quotidienne avec ses multiples relations. Je me réfère notamment à la famille, à l’école, au travail et au temps libre. Des chers jeunes, cultivées vos talents pas seulement pour conquérir une position sociale, mais même pour aider les autres « à croître ». Développées vos capacités, pas seulement pour devenir plus ` compétitif et ` productif, mais pour être ` témoignes du charité’ ».   D’ici une invitation « à oser l’amour », « à ne pas désirer c’est-à-dire rien moins pour votre vie dont un amour fort et belle, capable de rendre l’existence entière une joyeuse réalisation du don de vous même à Dieu et aux frères, à l’imitation de Celui qui  au moyen de l’amour il a vaincu toujours la haine et aux mortes ». Le Pape porte par exemple Mère Teresa qui a eu comme « unique désir de sa vie » celui « d’éteindre les soies de amour de Jésus pas à des mots, mais avec des actes concrets, en reconnaissant la face défigurée, désirée de amour, dans le visage de plus pauvres entre les pauvres ». « Et le message de ces humble témoin de l’amour divin on est diffus dans le monde entier ». 

Deux nouveaux textes en chantier: l’un sur la bioéthique et l’autre sur la loi naturelle

5 février, 2007

du site italien « La Chiesa.it » un article du Sandro Magister, (original français)) 

Deux nouveaux textes en chantier:

l’un sur la bioéthique et l’autre sur la loi naturelle La congrégation pour la doctrine de la foi est en charge de leur préparation. C’est le « style Ratzinger » qui continue, explique le secrétaire de dicastère, l’archevêque Angelo Amato

par Sandro Magister

Deux nouveaux textes en chantier: l'un sur la bioéthique et l'autre sur la loi naturelle dans article

ROME, 5 février 2007 – Vie humaine naissante et loi naturelle: c’est sur ces deux sujets que la congrégation pour la doctrine de la foi prépare actuellement deux nouveaux textes. Le secrétaire de la congrégation, l’archevêque Angelo Amato, l’a annoncé dans une interview accordée à « Avvenire », le quotidien de la conférence épiscopale italienne.Le premier texte, qui traite de la vie humaine naissante, sera dans le droit fil de l’instruction « Donum Vitae » publiée en 1987 par le préfet de la congrégation de l’époque, le cardinal Joseph Ratzinger. Mgr Amato dit à ce propos:« Cette Donum Vitae 2 n’est pas conçue pour abolir la précédente, mais pour traiter les différentes questions bioéthiques et biotechnologiques qui se posent aujourd’hui et qui étaient encore impensables à l’époque. L’instruction Donum Vitae garde toute sa valeur et, par certains côtés, elle se révèle prophétique. Le problème est qu’en dépit de ses vingt ans d’existence, elle est encore peu connue. La question n’est donc pas de réviser la doctrine morale – par exemple sur le caractère licite du préservatif – qui ne me semble pas être à l’ordre du jour. Il s’agit plutôt de nouveaux défis, par certains côtés bien plus graves et destructeurs de l’identité de la personne humaine, comme celui que lancent ceux qui considèrent le fœtus comme un produit biologique et non comme un être humain. Comme l’affirme Donum Vitae, l’être humain doit être respecté – comme une personne – depuis le premier instant de son existence’ (‘Viventi humano – uti persona – observantia debetur inde a primo eius vitae momento’). Et ce respect dû à l’embryon humain est ‘un principe anthropologique non négociable’ ». Mgr Amato précise en outre:« L’étude de sujets aussi délicats est de la compétence de notre congrégation qui soumet ensuite ses travaux au pape. Les positions présentées sur ces sujets par d’autres institutions ou personnalités ecclésiastiques, si respectables soient-elles, ne peuvent donc pas avoir l’autorité que veulent bien parfois leur prêter les médias ».

Parmi les positions de personnalités ecclésiastiques auxquelles Mgr Amato fait référence figurent celles du cardinal Carlo Maria Martini dans le « Dialogue sur la vie », publié dans l’hebdomadaire « L’Espresso » en avril 2006, justement à propos du contenu de l’instruction « Donum Vitae ». Ou encore les positions formulées par le même cardinal Martini sur l’euthanasie dans le quotidien « Il Sole 24 Ore » du 21 janvier dernier, une semaine avant cette interview de Mgr Amato dans « Avvenire ». Les deux interventions du cardinal Martini s’éloignent de l’enseignement officiel de l’Eglise en plusieurs points.

* * *
Le second des nouveaux textes, relatif à la loi naturelle, sera en revanche une première. En plusieurs occasions, Benoît XVI a donné comme fondement à la vie des hommes en commun les principes moraux imprimés dans le cœur de chaque homme et « répétés de manière unique par la voix faible mais claire de la conscience ». Pourtant, le préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi lui-même n’y avait consacré aucun texte spécifique.Mgr Amato explique:
« Un catholique, par exemple, ne peut donner son consentement à une législation qui introduit le mariage entre deux personnes du même sexe: cela va contre la révélation biblique et la loi naturelle elle-même. [...] Le pape cite souvent cette dernière dans ses catéchèses. Et notre congrégation prépare quelque chose sur la question. A cette fin, elle a déjà consulté toutes les universités catholiques. Les réponses venues du monde entier sont encourageantes, même celles qui viennent des universités considérées comme plus ‘difficiles’. La loi naturelle est également très importante car elle peut être le seul socle pour un dialogue fructueux entre les religions ».
* * *
Mgr Amato a accordé cette interview à l’occasion de la publication d’un imposant volume rassemblant les 105 textes produits par la congrégation pour la doctrine de la foi pendant quarante ans, de 1965 à aujourd’hui.Le souhait que tous ces textes soient publiés à nouveau en un seul volume – explique Mgr Amato dans l’interview et en introduction de l’ouvrage – a été émis par « beaucoup d’évêques, de cardinaux et de théologiens » du monde entier.
Les textes sont presque tous dans leur version originale, en latin, ou bien en version italienne. Mais pour lire les plus importants dans différentes langues, il suffit de se rendre sur la section de la congrégation pour la doctrine de la foi du site web du Vatican.Les 200 premières pages du volume regroupent les documents émis par la congrégation quand le cardinal Alfredo Ottaviani puis le cardinal Franjo Seper en étaient les préfets. Les 400 pages suivantes rassemblent quant à elles les textes, beaucoup plus longs et nombreux, datant de l’époque où le cardinal Ratzinger était préfet. Selon Mgr Amato, on peut parler d’un « style Ratzinger » à la congrégation:
« Avec lui, on cherchait d’une part à étendre et articuler les arguments justifiant la vérité des croyances contestées, et à proposer d’autre part des orientations assurées face aux multiples défis de la culture contemporaine ».Seule une petite partie des interventions de la congrégation concerne des théologiens qui sont entrés en conflit avec le magistère de l’Eglise. En quarante ans, certaines œuvres des onze théologiens suivants ont fait l’objet de mesures: Hans Küng, Jacques Pohier, Edward Schillebeeckx, Leonardo Boff, Charles Curran, Tissa Balasuriya, Anthony de Mello, Reinhard Messner, Jacques Dupuis, Marciano Vidal, Roger Haight.

En revanche, d’autres documents expliquent mieux le travail de la congrégation pendant l’ère Ratzinger: les deux instructions sur la théologie de la libération de 1984 et de 1986, l’instruction « Donum Vitae » de 1987 sur la vie humaine naissante et la procréation, l’instruction « Donum Veritatis » de 1990 sur le rapport entre théologiens et magistère de l’Eglise, la lettre « Communionis Notio » de 1992 sur les rapports entre l’Eglise universelle et les Eglises locales, la déclaration « Dominus Iesus » de 2000 sur le christianisme par rapport aux autres religions, la note doctrinale de 2002 sur les catholiques dans la vie politique, la note de 2003 sur la légalisation des unions entre personnes du même sexe, la lettre de 2004 sur la femme.

Certains de ces documents – par exemple ceux sur la théologie de la libération et la déclaration « Dominus Iesus » – ont fait l’objet de critiques sévères au moment de leur publication, même de la part de membres de la hiérarchie. D’autres – comme la note de 2002 sur les catholiques dans la vie politique – ont été ignorés ou bien sous-évalués.

Ce dernier texte se révèle cependant aujourd’hui d’une brûlante actualité. Les principes « fondamentaux et irrévocables » qui y sont rappelés – et constamment repris par Benoît XVI dans sa prédication – sont de plus en plus au centre des controverses éthico-politiques qui divisent les différents pays sur l’avortement, l’euthanasie, l’embryon, la famille, l’éducation… En Italie, par exemple, une loi sur le « testament biologique » et une autre sur les couples de fait sont en ce moment-même en cours d’élaboration, l’Eglise s’engageant avec énergie contre l’euthanasie et pour la défense de la famille fondée sur le mariage monogamique entre un homme et une femme.

Dans son interview à « Avvenire », Mgr Amato observe:

« Beaucoup d’hommes politiques catholiques demandent des éclaircissements sur ce genre de sujets. Qu’ils veuillent ou réussissent ensuite à agir en conséquence, c’est une autre question. Les hommes politiques catholiques devraient en tout cas toujours se rappeler qu’ils n’ont pas à consentir à l’introduction de lois allant à l’encontre des principes moraux. Quand bien même ce type de loi serait déjà en vigueur, ils pourraient au moins chercher à en atténuer la portée ».

Le futur texte sur la loi naturelle se propose d’expliquer qu’en défendant ces principes fondamentaux, non seulement l’Eglise n’obéit qu’à la révélation divine, mais elle défend aussi chaque homme en tant que tel.

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Le livre:

L’interview intégrale de Mgr Angelo Amato, secrétaire de la congrégation pour la doctrine de la foi, à « Avvenire » le 28 janvier 2007:

Congregatio pro Doctrina Fidei, « Documenta inde a Concilio Vaticano Secundo Expleto Edita (1966-2005), Libreria Editrice Vaticana, 2006, pp. 665, euro 40,00.

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L’entrevue de l’archevêque Angelo Amato, secrétaire de la congrégation pour la doctrine de la foi, à « Avvenire » du 28 janvier 2007:

> Una « Donum Vitae » due: allo studio un documento sulla bioetica__________ Les textes de la congrégation pour la doctrine de la foi dans différentes langues, sur le site web du Vatican: > Congrégation pour la Doctrine de la Foi__________ A propos de l’euthanasie, la controverse provoquée fin janvier au sommet de l’Eglise par un discours du cardinal Carlo Maria Martini:> Le cardinal Martini et l’euthanasie: quand il est permis d’abréger la vie (30.1.2007)__________ Traduction française par Charles de Pechpeyrou, Paris, France

Le livre du Job

4 février, 2007

Je vous présente le livre du Job, vous trouvez ce livre dans
la Bible sous 
Le livre poétiques et sapientiaux (BJ) 
J’ai trouvé une commentaire a ce livre, il est une de le plus important de
la Bible, peut être parce que il parle de le motif du mal dans le monde, je lis ce texte antique et le trouve très actuel parce que Job, le protagoniste, demande a Dieu le pourquoi du mal, mais Dieu réponde seulement a la fin du touts le discours et, il semble, que ne réponde pas, mais il est que – à nous – la demande du mal dans le monde  reste de difficile réponse ; nous, comme dit Dieu a Job, ne pouvons pas comprendre tout, il est – tout – dans le main de Dieu ; nous savon, comme chrétien, que Jésus est venu dans le monde et a souffrir
la Croix, et que, aussi que nous ne comprenons pas beaucoup de foi le motif du mal, c’est bon de demandé a Dieu l’aide, et de regardé à
la Croix, mais ce livre parle de la souffrance d’un Juste, il est que Jésus nous demande de le suivre et d’embrassé
la Croix, mais demandé la ragions du souffrance, du mal, de tout ce que nous voyons dans ce monde, c’est bon le demandé, mais pas de exiger une réponse que se trouve au-delà de notre compréhension, c’est comme considérer Dieu pas Dieu et nous n’avons pas personne que vraiment peux nous aidé, 
Je ne peux pas mettre tout le texte, je mets seulement le début du discours, aussi le « Résumé du livre de Job », vous trouverai tout l’exégèse à le site :  

http://biblio.domuni.org/articlesbible/job/index.htm « Résumé du livre de Job

Le prologue (chap 1 et 2) : Le texte en prose présente les protagonistes du drame. Il ne pose pas de difficulté à un lecteur attentif ; le texte souligne la perfection de Job et à la responsabilité de Dieu dans la conduite des événements.

Le premier cycle de discours commence par un longue plainte de Job (chap. 3). Il maudit la nuit de sa conception et le jour de sa naissance (v. 2-10) ; ensuite il aspire au néant et au repos de l’absence (v. 11-19) ; enfin, il parle de la souffrance de tous les hommes soumis à l’épreuve (v. 20-28).

Eliphaz de Téman lui répond en défendant le dogme de la justice rétributive (chap. 4, v. 1-11) qui explique l’énigme de la souffrance : les méchants sont punis. Au chap. 5, il reproche à Job son manque de confiance en la justice de Dieu (v. 1-7) et l’invite à prier (v. 8-17) pour obtenir la guérison (v. 18-27).

Job reprend sa plainte ; il décrit le poids de l’angoisse qui l’accable (chap. 6, v. 1-7) et redit son désir de disparaître pour ne plus souffrir (v. 8-14) ; il relève l’absence de soutien de la part des amis (v. 15-21) et les appelle à une relation vraie (v. 22-30). Au chap. 7, Job relève la misère qui fait partie de la condition humaine désespérée et s’adresse à Dieu pour lui reprocher de le persécuter (v. 1-21).

Bildad de Chouah lui répond que Dieu est juste et que la misère de l’homme est la conséquence du péché (chap. 8).

Job reprend sa plainte en accusant Dieu d’avoir une conduite arbitraire qui est justifiée par sa toute-puissance (chap. 9, v. 1-13). Il souligne la situation de l’homme qui ne peut entrer en procès avec Dieu, car il a pour lui la raison du plus fort (v. 14-33). Job s’adresse alors directement à Dieu lui reprochant de ne pas avoir égard à la condition humaine ; il accuse Dieu de le persécuter en reprenant les images par lesquelles les prophètes disaient l’action de Dieu punissant l’impiété (chap. 10, v.1-17), avant de souhaiter disparaître.

Sophar de Naamat lui rétorque que la situation de Job est liée à son péché et que son ignorance rend injuste sa protestation (chap. 11) v. 1-12). Il invite Job à la conversion (v. 13-20). Job reprend la parole (chap. 12) pour récuser la théologie de la rétribution développée par ses amis (v. 1-10) ; il remet en cause la théologie de l’histoire, qui veut que Dieu agisse en tout avec sagesse et miséricorde, pour relever l’absurde de la conduite de Dieu (v. 11-25). Job prend à partie ses amis (chap. 13) leur reprochant d’être de mauvais avocats de Dieu (v. 1-13). Il décide de procéder en justice contre Dieu-même (v. 13-19) et s’adresse à Dieu, lui demandant pourquoi il le traite ainsi (v. 20-26). Au chap. 14, Job parle au nom de l’humanité (v. 1-14) dont il dit la terrible condition ; il relève l’irrévocabilité de la mort (v. 13-22).

Eliphaz de Téman reprend la parole pour accuser Job d’être prétentieux (chap. 15, v. 1-16) et l’invite à entrer dans la tradition des sages qui ont dit le bonheur illusoire du méchant et sa punition prochaine (v. 17-35). Job lui répond que ce discours est trop connu et qu’il parle au nom de sa souffrance (chap. 16, v. 1-10) ; il relève que Dieu est injuste à son égard (v. 11-17) et appelle à la justice (v. 18-22). Au plus extrême de sa peine, il en appelle à Dieu contre Dieu (chap. 17, v. 1-10) et dit son désespoir (v. 11-16).

Bildad de Chouah prend la parole et redit que le méchant seul périt (chap. 18, v. 1-21). Job répond (chap. 19) que Dieu est en cause (v. 1-12) qui le traite comme un ennemi. Ses amis aussi le persécutent (v. 13-22). Il en appelle une fois encore à Dieu contre Dieu (v. 23-29) pour dire une espérance insensée : sa guérison et sa justification.

Sophar de Naamat (chap. 20) reprend le thème du châtiment mérité par le pécheur (v. 1-29). Job (chap. 21) lui répond que ce tableau ne correspond pas à la réalité, car les méchants sont prospères tandis que les justes sont persécutés (v. 1-34).

Eliphaz de Téman accuse Job de fautes d’ordre social : étant riche, il n’a pas pu ne pas commettre des injustices (chap. 22, v. 1-20) et l’appelle au repentir (v. 21-30).

Job répond par une lamentation où il se plaint du silence du Dieu inaccessible (v. 1-7) qui se cache (v. 8-9) et lui fait peur (v. 13-17). Job élargit la plainte à la situation des victimes de l’arrogance des riches et des méchants (chap. 24, v. 1-25).

Bildad de Chouah développe le thème du péché originel : personne n’est pur devant Dieu (v. 1-6) et le thème de la toute-puissance de Dieu dans la création (chap. 26).

Job continue son propos en affirmant son innocence (chap. 27, v. 1-5) ; il confirme son attitude de demande de justice et souligne le paradoxe de la situation de l’humanité (v. 13-23). La plainte de Job laisse place à un développement sur la sagesse qui est inaccessible à l’homme (chap. 28) et que Dieu seul connaît. Job reprend la parole pour évoquer sa grandeur passée (chap. 29, v. 1-20) et sa détresse présente (chap. 30) : les misérables se moquent de lui (v. 1-8) ; il subit l’injure (v. 9-15) ; il est sans force (v. 16-19). Job se plaint encore en s’adressant à Dieu (v. 20-31). Job poursuit en disant une fois encore son innocence (chap. 31) qui est le fruit de l’observation de
la Loi, extérieurement mais aussi intérieurement (v. 1-34) avant de redire son appel à Dieu (v. 35-37).

Intervient alors Elihou rapidement présenté. Il commence par reprocher aux trois sages leur échec à raisonner Job (chap. 32), avant de s’adresser à Job (chap. 33) ; il évoque l’action de Dieu dans la création et par révélation qui apprend que la souffrance est liée au péché et que Dieu s’en sert comme d’une médecine pour guérir l’homme. Il généralise ce propos en s’adressant de nouveau aux trois amis de Job (chap. 34, v. 1-15) puis à Job à qui il expose que Dieu est juste en tout ce qu’il fait. Pour lui, Job est pécheur et doit reconnaître son tort pour être sauvé. Au chap. 35, il invite Job à contempler la majesté de Dieu et justifie son silence par l’orgueil de Job qui demandait des comptes à Dieu. (v. 1-16). Il se fait l’avocat de Dieu, chap. 36) et maintient que Job a contesté Dieu et donc qu’il doit se repentir (v. 1-21). Il élargit le propos par un hymne au créateur (v. 22-33) qui se poursuit au chapitre suivant.

Dieu répond enfin dans un premier discours (chap. 38 et 39). Il interroge Job pour lui faire sentir sa faiblesse devant la toute-puissance à l’oeuvre dans la création. Job s’incline (chap. 40 v. 1-5). Un deuxième discours reprend la même apologie de la puissance de Dieu à partir de la description des monstres mystérieux : Béhémot, Léviathan ( chap. 40 et 41). Job répond en confessant la tout puissance de Dieu L’épilogue montre comment Dieu restaure Job dans son bonheur et récuse ses amis. Job doit intercéder pour eux. Tout se termine donc très bien. »

Un texte du Pape Benoît du 2005

4 février, 2007

j’ai choisi ce texte pour approfondir un discours sur la vie humaine même si le texte est de 2005 c’est le Pape qui parle et, comme toujours il rifà à la dignité de l’homme créée par Dieu en effet chaque discours sur l’homme et sur sa vie doit être imprimé à sa création et rédemption pour oeuvre de Dieu, ra beaucoup de raisonnements il reste un fondement que notre vie notre coeur, aussi quand nous ne le voulons pas, tentes vers Dieu;du site Vatican:

DISCOURS DU PAPE BENOÎT XVI
AUX PARTICIPANTS À
LA XX CONFÉRENCE INTERNATIONALE
SUR LE GÉNOME HUMAIN 
Samedi 19 novembre 2005 
  

Monsieur le Cardinal,
vénérés frères dans l’épiscopat et dans le sacerdoce,
Mesdames et messieurs! 
J’adresse à tous un salut cordial, avec une pensée de gratitude particulière à l’égard du Cardinal Javier Lozano Barragán, pour les aimables paroles de salut qu’il a prononcées au nom des personnes présentes. Je salue de façon particulière les Evêques et les prêtres qui prennent part à cette Conférence, ainsi que les rapporteurs, qui ont assurément offert ces jours-ci une contribution de qualité sur les problèmes soulevés:  leurs réflexions et leurs propositions feront l’objet d’un examen attentif de la part des instances ecclésiales compétentes. 

En me plaçant dans l’optique pastorale propre au Conseil pontifical qui a organisé cette Conférence, je suis heureux de souligner qu’aujourd’hui, en particulier dans le domaine des nouvelles contributions de la science médicale, a été offerte à l’Eglise une possibilité supplémentaire d’accomplir une oeuvre précieuse d’illumination des consciences, pour faire en sorte que chaque nouvelle découverte scientifique puisse servir au bien intégral de la personne, dans le respect constant de la sa dignité. En soulignant l’importance de ce devoir pastoral, je voudrais avant tout prononcer une parole d’encouragement à tous ceux qui sont chargés de le promouvoir. Le monde actuel est caractérisé par un processus de sécularisation qui, à travers des événements culturels et sociaux complexes, a non seulement revendiqué une juste autonomie de la science et de l’organisation sociale, mais a également souvent effacé le lien existant entre les réalités temporelles et leur Créateur, parvenant également à oublier la protection de la dignité transcendante de l’homme et le respect de sa vie elle-même. Aujourd’hui toutefois, cette sécularisation, sous sa forme de sécularisme radical, ne satisfait plus les esprits les plus conscients et attentifs. Cela signifie que des espaces possibles et peut-être nouveaux s’ouvrent en vue d’un dialogue bénéfique avec la société, et non seulement avec les fidèles, en particulier sur des thèmes importants comme ceux liés à la vie.  Cela est possible car parmi les populations de longue tradition chrétienne, les semences d’un humanisme demeurent présentes, qui n’ont pas encore été touchées par les débats de la philosophie nihiliste, des semences qui tendent, en réalité, à se renforcer au fur et à mesure que les défis deviennent plus graves. Le croyant, du reste, sait bien que l’Evangile possède une harmonie intrinsèque avec les valeurs inscrites dans la nature humaine. L’image de Dieu est si profondément ancrée dans l’âme  de  l’homme que la voix de la conscience peut difficilement être totalement réduite au silence. A travers la parabole du semeur, Jésus, dans l’Evangile, nous rappelle qu’il existe toujours un terrain fertile dans lequel la semence s’enracine, germe et porte du fruit. Même les hommes qui ne se reconnaissent plus comme membres de l’Eglise ou qui ont même perdu la lumière de la foi, demeurent quoi qu’il en soit attentifs aux valeurs humaines et aux contributions positives que l’Evangile peut apporter au bien personnel et social. 

Il est facile de s’en rendre compte en particulier en réfléchissant sur ce qui constitue l’objet de votre Conférence:  les hommes de notre temps, rendus encore plus sensibles par les terribles événements qui ont assombri le XX siècle et le début même du nouveau siècle, sont en mesure de bien comprendre la façon dont la dignité de l’homme ne s’identifie pas avec les gènes de son ADN, et ne diminue pas à cause de l’éventuelle présence de différences physiques ou de défauts génétiques. Le principe de « non discrimination », sur la base de facteurs physiques ou génétiques, est profondément entré dans les consciences et il est formellement énoncé dans les Chartes sur les droits de l’homme. Ce principe trouve son fondement le plus authentique dans la dignité inscrite dans chaque homme en vertu du fait d’être créé à l’image et à la ressemblance de Dieu (cf. Gn 1, 26). D’ailleurs, l’analyse sereine des données scientifiques conduit à reconnaître la présence de cette dignité dans toutes les phases de la vie humaine, en commençant par le premier moment de la fécondation. L’Eglise annonce et propose ces vérités non seulement avec l’autorité de l’Evangile, mais également à travers la force qui découle de la raison, et précisément pour cela, elle sent le devoir de faire appel à tous les hommes de bonne volonté, dans la certitude que l’accueil de ces vérités ne peut que bénéficier aux personnes et à la société. En effet, il faut éviter le danger d’une science et d’une technologie qui se prétendraient totalement autonomes à l’égard des principes moraux inscrits dans la nature de l’être humain.  Les Organismes professionnels et les Académies capables d’évaluer les nouveautés dans le domaine scientifique, en particulier dans le domaine de la biomédecine ne manquent pas dans l’Eglise; il existe également des Organismes doctrinaux destinés de façon spécifique à identifier les valeurs morales à préserver et à formuler les normes nécessaires pour leur protection efficace; il existe, enfin, des dicastères pastoraux, tels que le Conseil pontifical pour
la Pastorale des Services de
la Santé, auxquels il revient d’élaborer les méthodes opportunes pour assurer une présence incisive de l’Eglise sur le plan pastoral. Ce troisième moment est précieux non seulement en ce qui concerne une humanisation toujours plus adéquate de la médecine, mais également pour assurer une réponse opportune aux attentes, de la part des personnes, d’une aide spirituelle plus efficace. Il faut donc donner un nouvel élan à la pastorale de la santé. Cela nécessite un renouveau et un approfondissement de la proposition pastorale elle-même, qui tienne compte du volume accru de connaissances diffusées par les médias dans la société et du plus haut niveau d’instruction des personnes auxquelles elles s’adressent. On ne peut négliger le fait que, toujours plus souvent, sur des problèmes complexes et difficiles également au niveau scientifique, non seulement les législateurs mais les citoyens eux-mêmes, sont appelés à exprimer leur point de vue. En l’absence d’une instruction adéquate, et même une formation adéquate des consciences, de fausses valeurs ou des informations trompeuses peuvent facilement prévaloir dans l’orientation de l’opinion publique. 

Adapter la formation des pasteurs et des éducateurs, pour les rendre capables d’assumer leurs responsabilités de façon cohérente avec leur foi, et dans un dialogue respectueux et loyal avec les non-croyants, tel est le devoir incontournable d’une pastorale renouvelée de la santé. En particulier dans le domaine des applications de la génétique, les familles peuvent aujourd’hui manquer d’informations adaptées et rencontrer des difficultés à maintenir l’autonomie morale nécessaire pour demeurer fidèles à leurs choix de vie. C’est pourquoi, dans ce secteur, une formation claire et approfondie des consciences est nécessaire. Les découvertes scientifiques actuelles touchent la vie des familles, les engageant dans des choix imprévus et délicats, qu’il faut affronter avec responsabilité. La pastorale dans le domaine de la santé a donc besoin de conseillers correctement formés et compétents. Cela laisse entrevoir combien la gestion de ce secteur difficile est aujourd’hui complexe et exigeante.  Face à ces exigences accrues de la pastorale, l’Eglise, tout en continuant à avoir confiance dans la lumière de l’Evangile et dans la force de
la Grâce, exhorte les responsables à étudier les méthodes adéquates pour apporter son aide aux personnes, aux familles et à la société, en alliant fidélité et dialogue, approfondissement théologique et capacité  de  médiation. Dans ce but, elle compte en particulier sur la contribution de tous ceux qui, comme vous tous réunis ici pour prendre part à cette Conférence internationale, ont à coeur les valeurs fondamentales sur lesquelles s’appuie la coexistence humaine.  Je  profite  volontiers  de cette circonstance pour exprimer à tous mon appréciation et ma gratitude pour votre contribution dans un secteur si important pour l’avenir de l’humanité. Avec ces sentiments, j’invoque du Seigneur une abondance de lumière pour votre travail et, en signe de témoignage, d’estime et d’affection, je donne à tous ma Bénédiction apostolique. 

  

Marie dans la liturgie du dimanche

4 février, 2007

du site:

http://www.mariedenazareth.com/1129.0.html

Marie dans la liturgie du dimanche

 

La théologie liturgique exige un signe de la présence de Marie le dimanche, car en y réfléchissant, l’absence de Marie le dimanche est une absurdité. La piété populaire qui tend par contre à séparer le jour du Seigneur (dimanche) du jour de la Mère du Seigneur (samedi), doit s’ouvrir à cette réflexion.

Marie est l’éducatrice de l’union parfaite avec le Christ (Lumen Gentium 63) et elle est celle qui reproduit dans les fils les traits spirituels du Fils aîné (Marialis Cultus 57), c’est pourquoi elle est aussi la « mère mystagogique », c’est à dire celle qui introduit au mystère total du Christ célébré chaque Dimanche.

Suivons ce que le pape Jean Paul II a écrit dans la lettre apostolique Dies Domini (n.86) : « Marie, sans rien retirer à la centralité du Christ et de son Esprit, est présente chaque dimanche de l’Église ».

C’est le même mystère du Christ qui l’exige: comment se pourrait-il en effet que celle qui est la « Mater Domini » et la « Mater Ecclesiae » (la mère du Seigneur et la mère de l’Eglise), ne soit pas présente à un titre spécial, en ce jour qui est tout à la fois « dies Domini » et « dies Ecclesiae »(le jour du Seigneur et le jour de l’Eglise)?

  • Le Dimanche, Marie a une présence exemplaire dans l’écoute de la Parole : les fidèles regardent la Vierge Marie qui écoute la Parole proclamée dans l’assemblée, en apprenant d’elle à la garder et la méditer dans le propre cœur (cf. Lc 2,19).
    Marie a aussi une présence de communion dans l’offrande de l’action eucharistique : avec Marie les fidèles apprennent à rester au pied de la Croix, pour offrir au Père le sacrifice de Christ et lui unir à l’offrande de leur propre vie.

  • Avec Marie les fidèles vivent la joie de la résurrection, en faisant leurs les mots du Magnificat qui chantent le don inépuisable de la miséricorde divine en l’inexorable écoulement du temps ; élevée à la gloire du ciel, Marie montre comment le Dimanche est le signe du temps nouveau et anticipation de la gloire céleste.

  • Sa présence nous guide, parce que de dimanche en dimanche, le peuple pèlerin se met en route sur les traces de Marie : cheminement des fils à la suite de leur Mère, des disciples avec la première des disciples, avec celle qui connaît déjà la voie qui mène à la vie, pour l’avoir entièrement parcourue.

  • C’est enfin une présence orante, parce que son intercession maternelle rend particulièrement intense et efficace la prière qui s’élève vers la très sainte

  •  Trinité.

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Bibliographie complémentaire :

I. CALABUIG, « Presente in ogni domenica della Chiesa », in Marianum Notizie-News 2(1998)1-3. P S. GASPARI, Maria nella liturgia. Linee di teologia liturgica per un culto mariano rinnovato, Ed. Dehoniane, Roma 1993, pp.182-183; ID., Maria nelle tradizioni liturgiche del Ciclo pasquale, in Ephemerides Liturgicae 107 (1993)350-351.

Révélations inédites de Benoît XVI sur l’âme du cardinal Javierre

3 février, 2007

 du site Zenith: 

Révélations inédites de Benoît XVI sur l’âme du cardinal Javierre

Obsèques du cardinal en la Basilique Saint-Pierre

ROME, Vendredi 2 février 2007 (ZENIT.org) – Au cours des obsèques du cardinal Antonio María Javierre Ortas, célébrées en la basilique Saint-Pierre, le pape Benoît XVI a lu quelques passages d’écrits inédits du cardinal salésien révélant son profond amour pour l’Eucharistie. Au cours de son homélie, Benoît XVI a lu des passages de lettres que l’ancien préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, décédé ce jeudi à l’âge de 85 ans, avait adressées au pape Jean-Paul II.

En 1992, recevant sa nomination comme préfet, le cardinal écrivait : « Comptez, Sainteté, sur mon effort sincère pour porter à terme l’engagement qui m’a été confié. Je l’imagine gravitant complètement autour de l’EUCHARISTIE », « écrit en majuscules », a déclaré Benoît XVI.

« Tout gravite autour de ce barycentre », écrivait le cardinal espagnol.

A l’occasion du 50e anniversaire de son ordination sacerdotale, dans une lettre de remerciement pour les vœux que le pape lui avait adressés, il écrivait : « A l’époque de mon ordination à Salamanque le sacerdoce gravitait intégralement autour de l’Eucharistie… C’est une joie de revivre les sentiments de notre ordination, conscients que dans l’Eucharistie, sacrement du Sacrifice, le Christ actualise en plénitude son unique Sacerdoce ».

« Le cardinal Javierre Ortas a voulu que son existence personnelle et sa mission ecclésiale soient un message d’espérance ; à travers son apostolat, en suivant l’exemple de saint Jean Bosco, il s’est efforcé de communiquer à tous que le Christ est toujours avec nous », a déclaré Benoît XVI.

« Fils de la patrie de sainte Thérèse et de saint Jean de la Croix, combien de fois a-t-il prié dans son cœur : Nada te turbe, / nada te espante. / Quien a Dios tiene / nada le falta / … / Sólo Dios basta ?» (Que rien ne te trouble, que rien ne t’effraie, celui qui possède Dieu ne manque de rien… Dieu seul suffit), s’est interrogé le pape.

Benoît XVI a poursuivi en lisant un passage d’une lettre envoyée par le cardinal, alors âgé de 75 ans, à Jean-Paul II, après avoir quitté son service à la curie romaine : « Il ne me reste qu’à implorer que le Seigneur utilise – dans un registre divin – la bonté de son vicaire lorsqu’au crépuscule de la vie – non loin – arrivera pour moi l’heure de l’examen sur l’amour ».

« Il a quitté la charge de préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements ‘sur la pointe des pieds’ pour se consacrer au service qu’en revanche on ne doit jamais quitter : la prière », a expliqué Benoît XVI.

« Et maintenant que le Père céleste l’a voulu avec lui, je suis certain qu’au Ciel – où nous croyons que le Seigneur l’a accueilli dans une accolade paternelle – il continue à prier pour nous », a-t-il ajouté.

Citant un écrit du cardinal Javierre, le pape a conclu en disant : « Il est merveilleux de penser que peu importe la série de péchés de notre vie, qu’il suffit de lever les yeux et voir le geste du Sauveur qui nous accueille un à un avec une bonté infinie, avec une extrême amabilité ».

Le discours du Pape du 2.2.2007

3 février, 2007

j’ai traduit le texte mais je suis un peu fatiguée, excusez moi si je n’ai pas réussi bien à faire bien, mais j’il  me semble qu’il s’entende ce qui dit le Pape 

Le teste intégral du discours de le Pape du 2.2.2007 au membres des Istituts Séculaire 

Chers frères et soeurs, 

Je suis heureux d’être aujourd’hui entre vous, membres des Instituts Séculaires, que je rencontre pour la première fois après mon élection au Chair de l’Apôtre Pietro. Je vous salue tous avec affection. Je salue le Cardinal Franc Rodé, Préfet de
la Congrégation pour les Instituts de vie consacrée et les Sociétés de vie apostolique, et je le remercie pour les expressions de filiale des dévotion et spirituelle proximité adressez moi même à votre nom. Il salue le Cardinal Cottier et le Secrétaire de la votre Congrégation. Il salue le Président de
la Conférence Mondiale des Instituts Séculaires, qui s’est faite interprète des sentiments et des attentes de tous vous que vous êtes convenus divergés de Pays, de tous les Continents, pour célébrer un Symposium international sur
la Constitution apostolique « Provida Mater Ecclesia ». Ils sont passés, comme a été déjà dit, 60 ans de ce 2 février 1947, lorsque mes Prédécesseur Pio XII promulguait telle Constitution apostolique, en donnant ainsi une configuration théologique- juridique à une expérience préparée dans les décennies précédentes, et en reconnaissant dans les Instituts Séculaires un des innombrables dons avec lesquels l’Esprit Saint accompagne le chemin de l’Église et elle la rénove dans tous les siècles. Cet acte juridique ne représenta pas le point d’arrivée, combien plus plutôt le point que départ d’un chemin je tourne à délinéer une nouvelle forme de consécration : de ces de fidèles laïques et presbytères diocésains , appelés à vivre avec radicalité évangélique vraiment cette sécularité dans laquelle ils sont plongés en force de la condition existentielle ou du ministère pastorale. Vous êtes ici, aujourd’hui, pour continuer à tracer cette parcours entamée il y à soixante ans, qu’il vous voit toujours plus de passionnées porteurs, en Christ Jésus, du sens du monde et de l’histoire. Votre passion naît de l’avoir découvert la beauté de Christ, de sa mode unique d’amères, rencontrer, guérir la vie, la réjouir, la réconforter. Et elle est cette beauté que vos vies veulent chanter, parce que votre être dans le monde soit marque de votre être en Christ. À rendre votre insertion dans les événements humains lieu théologique il est, en effet, le mystère de l’Incarnation (« Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il à donner son Fils Unique-Éngendré » : Jn 3,16). L’oeuvre du salut s’est accompli pas en contraposition, mais dans et à travers l’histoire des hommes. Il observe à ce sujet
la Lettre les Hébreux : « Dieu, qui avait déjà parlé dans les temps anciens beaucoup de fois et en les différentes modalités aux pères pour moyen des prophètes, dernièrement, dans ces jours, a parlé à nous pour moyen du Fils » (1,1-2a). Le même acte rédempteur est produit dans conteste du temps et de l’histoire, et il s’est connoté comme obéissance à dessine de Dieu inscrit dans l’oeuvre sortie de ses mains. Il est encore le même teste de
la Lettre des ailes Juifs inspiré à remarquer : « Après avoir dit » tu n’as pas voulu et tu n’as pas aimé né sacrifices né offerts, né holocaustes né sacrifices pour le dommage « , choses toutes qu’elles sont offertes en second lieu la loi, ajoute : « Voilà, je viens à faire ta volonté »" (10,8-9a). Ces mots du Psaume et de
la Lettre aux Hébreux il voit exprimées dans dialogue intra trinitaire, est des mots du Fils qui me dit au Père « Voilà viens à faire ta volonté ». Et ainsi on réalise l’incarnation : ils sont les mots trinitaire qu’ils entament le fait de l’incarnation : « Voilà je viens à faire ta volonté ». Les Seigneur nous implique dans ses mots qui deviennent les nôtre : voilà je viens, avec les Seigneur, avec le Fils à faire ta volonté. Il est ainsi délinéé avec clarté le chemin de vos sanctification : l’adhésion oblatif à je dessine salvifique manifesté dans le Mot révélé, la solidarité avec l’histoire, la recherche de la volonté des Seigneur inscrite dans les événements humains gouvernés de sa providence. Et au même temps on détermine les caractères de la mission séculaire : le témoignage des vertus humaines, la quelle « justice, la paix, la joie » (Rm 14,17), la « belle conduite de vie », dont elle parle Pierre dans sa Première Lettre (cfr 2,12) en retentissant le mot du Maestro : « Ainsi votre lumière doit-elle  briller  devant les hommes afin qu’ils voient vos bonnes oeuvres et glorifient votre Père qui est dans les cieux » (Mt 5,16). Fait en outre une partie de la mission séculaire l’engagement pour la construction d’une société qui reconnaisse dans les divers domaines la dignité de la personne et les valeurs inaliénables pour sa pleine réalisation : de la politique à l’économie, de l’éducation à l’engagement pour le santé publique, de la gestion des services à la recherche scientifique . Chaque propre et spécifique réalité vécue par le chrétien, le propre travail et les propres concret intéresse, aussi en conservant leur consistance relative, ils trouvent leur dernier fin en l’être enlacé par le même but pour lequel le Fils de Dieu est entré dans le monde. Sentez vous, par conséquent, appelés en cause de chaque douleur, de chaque injustice, ainsi comme de chaque recherche de vérité, de beauté et de bonté, parce que vous n’ayez pas la solution de tous les problèmes, mais parce que chaque circonstance dans laquelle l’homme vit et meurt constitue pour vous l’occasion de témoigner l’oeuvre salvifique de Dieu. Elle est celle-ci votre mission. Vos consécration met en évidence, d’un coté, le détail grâce qui y vient de l’Esprit pour la réalisation de la vocation, de l’autre, vous engage à une totale docilité de menthes, de coeur et de volonté à je projette de Dieu Père révélé en Christ Jésus, à dont la série radicale vous avez été appelés. Chaque rencontre avec Christ demande un changement profond de mentalité, mais pour certains, comme il a été pour vous, la demande des Seigneur est particulièrement exigeante : laisser tout, parce que Dieu est tout et sera tout dans votre vie. On ne traite pas simplement d’une divergé mode de vous rapporter à Christ et d’exprimer votre adhésion à Lui, mais d’un choix de Dieu qui, en mode stable chaque rencontre avec Christ demande un changement profond de mentalité, mais pour certains, comme il a été pour vous, la demande des Seigneur est particulièrement exigeante : laisser tout, parce que Dieu est tout et sera tout dans votre vie. On ne traite pas simplement d’une divergé mode de vous rapporter à Christ et d’exprimer votre adhésion à Lui, mais d’un choix de Dieu qui, en mode stable, demande de vous une confiance absolument totale dans Lui. Conformer sa vie à cette de Christ en entrant dans ces mots. Conformer sa vie à ces de Christ à travers la pratique des conseils évangélique est une note fondamentale et engageante qui, dans sa spécificité, demande des engagements et des gestes concrets, d’ »alpinistes de l’esprit », comme il eut à vous appeler vénéré Pape Paolo VI (Discours aux participants au l° Rencontre Internationale des Instituts Séculaires : Enseignements, VIII, 1970, p. 939). II caractère séculaire de vos consécration met en évidence d’un coté les moyens avec lesquels vous vous employez pour la réaliser, c’est-à-dire ceux de son de chaque homme et femme qui vivent en conditions ordinaires dans le monde, et de l’autre la forme de le sien le développe, celle c’est-à-dire d’une relation profonde avec les signes du temps que vous êtes appelés à discerner, personnellement et communautairement, à la lumière de l’Évangile. Plusieurs fois il a été influentement déterminé vraiment dans ce décernement votre charisme, parce que vous puissiez être laboratoire de dialogue avec le monde, ce « laboratoire expérimental dans lequel l’Église vérifie les modalités concrètes de ses rapports avec le monde » (Paolo VI, Discours aux Responsables  généraux des Instituts Séculaires : Enseignements, XIV, 1976, p. 676). Vraiment d’ici dérive la persistante actualité de votre charisme, parce que ce décernement doit se produire pas de hors de la réalité, mais de l’intérieur, à travers une pleine implication. Cela se produit pour moyen des relations ouvrables que vous pouvez des cartes dans les rapports familiaux et sociaux, dans l’activité professionnelle, dans tissé des communautés civiles et ecclésiale. La rencontre avec Christ, mettre se même à sa série grand ouvre et presse à la rencontre avec n’importe qui, parce que si Dieu se réalise seul dans la communion trinitaire, même l’homme seul dans la communion trouvera sa plénitude. À vous il n’est pas demandé d’instituer des particulières formes de vie, d’engagement apostolique, d’interventions sociales, si pas ceux qui peuvent naître dans les relations personnelles, sources de richesse prophétique. Comme le levain que fait fermenter toute la farine (cfr Mt 13,33), ainsi soit votre vie, parfois silencieuse et cachée, mais toujours positive et encourageant, capable d’engendrer espoir. Le lieu de votre apostolat est donc tout le humain, pas seulement dans une communauté chrétienne – soit dans la communauté civile où la relation se réalise dans la recherche du bien commun, dans le dialogue avec tous, nommés à témoigner cette anthropologie chrétienne qui constitue proposition de sens dans une société désorientée et confondue par le climat multiculturel et multi religieuse qu’il la connote.  Vous venez divergés de Pays, divergées sont les situations culturelles, politiques et même religieuses dans lesquelles vous vivez, travaillées, vieillies. Dans toutes vous soyez des chercheurs de
la Vérité, de la humaine révélation de Dieu dans la vie. Il est, nous le savons, une route longue, le présent de laquelle est inquiet, mais dont je hésite il est sûr. Annoncées la beauté de Dieu et de sa création. Sur l’exemple de Christ, vous soyez obéissants à l’amour, hommes et femmes de douceur et miséricorde, capables de parcourir les routes du monde en faisant seulement de bien. Le vôtre elles soient des vies qui posent à centre les Béatitudes, en contredisant la logique humaine, pour exprimer une inconditionnelle confiance en Dieu qui veut l’homme heureux. L’Église a besoin même de vous pour donner à caractère complet alla sa mission. Que vous soyez graine de sainteté jetée à des pleines mains dans les sillions de l’histoire. Dans l’action gratuite et efficace avec laquelle l’Esprit des Seigneur guide les événements humains, vous puissiez donner des fruits de foi naturelle, en écrivant avec votre vie et avec votre témoignage des paraboles d’espoir, en les écrivant avec les oeuvres suggérées de la « fantaisie de la charité » (Giovanni Paolo II, Lett. ap. Novo millénaire ineunte, 50). Avec ces augures, en vous assurant ma constante prière, vous donne à l’appui vos initiatives d’apostolat et de charité une spéciale Bénédiction Apostolique. 

Le discours du Pape du 2.2.2007 dans Pape Benoit

Pope Benedict waves as he arrives for a mass in St Peter’s Basilica at the Vatican February 2, 2007. REUTERS/Dario Pignatelli (VATICAN)

Bonsoir, je ne me sens pas encore bien

2 février, 2007

Bonjour, je ne me sens pas encore bien, soit pour le coup que j’ai pris dans la teste, soit parce que sont sous des antibiotiques, je continue à faire un peu à toutes les choses comme d’habitude, mais je fais fatigue ; j’espère qu’il passe vite ; 

 

je ne réussis aujourd’hui pas à faire des choix avec un certain critère tout au moins unitaire ou en suivant une sorte d’expérience que je même fais avec le Seigneur, l’Église, Papa Benoît, j’ai choisi trois choses, écrites directement en français, qui suivent ce « avertis » et excusez moi, j’espère d’être vite en pleine forme 

 

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