c’est moi…je, cet après-midi…

J’ai cherché, sur les divers sites français et francophone, quelque chose que vraiment il me plaisait, que correspondait à ce « quelque chose » de Dieu que me port dans et que je voudrais dire mieux, n’est pas pour le français, en italien je ne réussis à ruminer ce que j’ai dans moi, la réalité est que, peut-être, on rends compte que, lorsque je m’approche à Dieu – en réalité il est lui qu’il a pourvu à cette rencontre, ne m’a pas imposée la rencontre, mais il l’a préparé, après un temps d’événements que – humainement – beaux ou laids – sont le chemin pour moi pour rencontrer vraiment Dieu Il disait en plaisantant – en télévision un présentateur -acteur – mais en répétant une phrase il dicte de… ne me rappelle pas, de qu’il y a qui dans aucun fait voient des miracles et qui voient les miracles dans tous les faits ; je ne suis pas encore al point de voir les miracles, la « mirabilia Dei » dans toutes les choses et dans tous les événements, au contraire, les choses qui arrivent dans ma vie sont souvent difficiles à affronter et je le fais avec fatigue, toutefois et, dans le même temps, m’arrive de rencontrer les Seigneur partout, il est vrai que l’Église, l’eucharistie sont l’instant fondamental de le rencontre avec Dieu, toutefois, il m’arrive comme de vivre une sorte de « cellule monastique » à ciel ouvert, était un peu la pensée de San François, que j’ai aimé et que j’ai suivi – dans sens que je me suis sentie franciscaine pour beaucoup de temps, ensuite – et en même temps – ai rencontré et aimé les autres, à commencer de San Paul, ensuite Sainte Augustin, ensuite autres – souvent mystiques – mais, beaucoup, les Pères de l’Église, les Pères du Désert, mais faut les lire bien et à fond, le monde hébreu, cependant celui de Martin Buber, du Hassidim, du Ghetto de Varsovie, et même si j’ai eu des rapports avec les hébreux romains ne réussissais pas à avoir dialogue avec eux, mais elle fut cause mienne, n’ai pas réussi à supporter leur douleur et, au même temps, pour les survivants, il me semble encore les d’avoir laissé à leur douleur, en réalité au-delà des conférences et les rencontres officielles il est vraiment difficile pour tous les rencontrer, le Maire de Rome a fait quelque chose, à porté les jeunes à Auschwitz, peut-être, à mode le sien réussit à dialoguer ; la persona à auquel j’ai trouvé plus voisine était, et est encore, des Bergères de l’Église Valdés, peut-être l’enracinement sur
la Bible de l’ Église Valdés les aide à comprendre mieux, mais les Bergères il m’a dit que le souffrait même et, parfois, ne savait pas que faire pour elles ; port dans le coeur l’ex Rabbin de Rome Toaff, avec affection, celui que Pape Jean Paul II a rencontré dans celle-là très belle visite à Temple de Rome ; 

 en somme ils sont en tour, je vais en cherchant, et, d’une partie, retrouve les choses vécues, mais en mode nouvelle, de l’autre il m’apparaît comme percevoir une ouverture dans le ciel – certainement je ne vois pas les anges comme Saint Etienne – cependant sais que le ciel n’est pas fermé et, peut-être, ce à que faire même avec les mortes – pas prochaine pour moi (mais peut-être ?) la mortes, comme passage de ce monde au Père, n’est peut-être pas faire un pas ou un passage, même si ainsi elle est décrite dans l’Écriture, mais c’est le venir rencontre de Dieu à nous, un être à nous prochain même dans le monde à venir, je continue ce écrit lorsque il me semble que j’ai des choses nouvelles à vous dire, pour aujourd’hui poste ce que j’ai trouvé et qu’il me semble au moins utile, je mets ce aussi sous « Je suis », (je suis… peut-être deviens un journal « sui generis »)

une embrasse à tous,

Gabriella

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