Archive pour le 19 février, 2007

Avis: Je ne mets pas rien d’autre pour ce jour

19 février, 2007

Je ne mets pas rien d’autre pour ce jour parce que le discours du Pape Benoît c’est longe et dans le même temps vraiment belle et utile pour notre vie avec le Seigneur et nostre chemin vers Lui;

LE RENCONTRE DE SA SAINTETÉ BENOÎT XVI AVEC LE SÉMINAIRE ROMAIN MAJEUR

19 février, 2007

sur le site Vatican il a été publié en italien le texte de l’entretien eu par le Saint-Père au Séminaire Romain, je l’ai traduit, avec différentes difficultés, il est un peu longe, mais il est vraiment beaucoup de beau:

VISITE AU SÉMINAIRE ROMAIN MAJEUR EN OCCASION DE
LA FÊTE DE MARIE DE
LA CONFIANCE  - 

LE RENCONTRE DE SA SAINTETÉ BENOÎT XVI AVEC LE SEMINARISTE –SAMEDI, 17 FÉVRIER 2007  QUESTIONS DE SEMINARISTE ET  RÉPONSES DU SAINT PÈRE :

GREGORPAOLO STANO : DIOCÈSE DE ORIA – de an (1° PHILOSOPHIE) 

Sainteté, les nôtre est le premier des deux ans dédiés au décernement, pendant lequel nous sommes engagés à scruter dans le profond notre personne. Il est un exercice fatigant, pour nous, parce que le langage de Dieu est spécial et seul qui est attentif il peut le cueillir entre les mille voix que résonne dans de nous. Nous lui demandons donc de nous aider à comprendre comme concrètement il parle à Dieu et les quelles les traces qui laissent avec le sien se prononcer dans secret

 « Comme premier mot, des merci à Monsignor Recteur pour son discours. Je suis déjà curieux de connaître ce teste que vous écrirez et ainsi même d’apprendre. Je ne suis pas sûr d’être en mesure de éclaircir des points essentiels de la vie du séminaire, mais je dis combien je peux dire. Maintenant cette première question : comme nous pouvons discerner la voix de Dieu entre les mille voix que nous sentons chaque jour dans notre monde. S’ils disaient : Dieu parle en très différentes modalités avec nous. Il parle pour moyen d’autres personnes, à travers des amis, les parents, le curé, les prêtres. Ici, les prêtres auxquels vous êtes confiés, qu’ils vous guident. Il parle pour moyen des événements de notre vie, dans lesquels nous pouvons discerner un geste de Dieu ; il parle même à travers la nature, la création, et parle, naturellement et surtout, dans Sa Parole, dans
la Sacrée Écriture, lue dans la communion de l’Église et lue personnellement en entretien avec Dieu. Elle est important légère
la Sacrée Écriture, d’une partie dans une mode beaucoup de personnel, et réellement, comme il dit San Paul, pas comme mot d’un homme ou comme un document du passé, comme nous lisons Omero, de Virgilio, mais comme une Parole de Dieu qui est toujours actuel et parle avec moi. Apprendre à sentir dans le teste, historiquement du passé, du Parole vivant de Dieu, c’est-à-dire entrer en prière, et ainsi faire de la lecture de
la Sacrée Écriture un entretien avec Dieu. Sant’Agostino dans le sien homélie dit souvent : J’ai frappé divergées tournées à la porte de ce Mot, tant que ai pu percevoir ce que Dieu même disait moi. D’une partie, cette lecture beaucoup de personnel, cet entretien personnel avec Dieu, dans lequel je cherche ce que les Seigneur dit moi, et ensemble à cette lecture personnelle est très importante la lecture communautaire, parce que le sujet vivant de
la Sacrée Écriture est le Peuple de Dieu, est l’Église. Cette Écriture n’était pas une chose seulement privée de grands écrivains – même si les Seigneur a toujours du besoin de la personne, de sa répondue personnelle – mais elle a crû avec des personnes qu’était impliquées dans le chemin de Peuple de Dieu et ainsi leurs mots sont expression de ce chemin, de cette réciprocité de l’appel de Dieu et de la répondu humaine. Donc, le sujet vit aujourd’hui comme il a vécu dans ce temps, donc l’Écriture n’appartient pas au passé, parce que son sujet, Peuple de Dieu inspiré de Dieu même, est toujours le même, et donc
La Parole est toujours vivant dans le sujet vivant. Donc elle est important légère
la Sacrée Écriture et sentir
la Sacrée Écriture dans la communion de l’Église, c’est-à-dire avec tous les grands témoins de ça Parole, en commençant des premiers Pères jusqu’aux Saints d’aujourd’hui, jusqu’au Magistère d’aujourd’hui. Surtout, il est une Parole qui devient vital et vivant dans
la Liturgie, donc
la Liturgie disaient qu’il est le lieu privilégié où chaque de il nous entre dans « nous » des fils de Dieu en entretien avec Dieu. Il est important : Pater noter commence avec les mots « Notre Père » ; seulement si je suis inséré dans « nous » de ces « Notre », je peux trouver le Père ; seulement à l’intérieur de ceci « nous », qu’il est le sujet de la prière du Pater noster, sentons bien
la Parole de Dieu. Donc, ceci me semble très important :
la Liturgie est le lieu privilégié où
la Parole est vivant, est présent, où au contraire
La Parole, le Logos, les Seigneur, parle avec nous et il se donne dans nos mains ; si nous nous posons dans écoute des Seigneur dans cette grande communion de l’Église de tous les temps, nous le trouvons. Il nous ouvre la porte man main. S’ils disaient donc que celui-ci est le point dans lequel ils se concentrent tous les autres : nous sommes personnellement dirigés des Seigneur dans les nôtre je et, au même temps, nous vivons dans grands « nous » de l’Église, où le Mot de Dieu est vivant. Ensuite, on associe les autres points, ceux de sentir les amis, de sentir les prêtres qui nous guident, de sentir la vivantes voix de l’Église d’aujourd’hui, en sentant ainsi même les voix des événements de ce temps et de la création, qui deviennent déchiffrable dans ce conteste profond. Pour reprendre ils disaient, donc, que Dieu parle dans beaucoup de modalités avec nous. Il est important, d’une partie, sont dans « nous » de l’Église, dans « nous » vécu dans
la Liturgie. Il est important personnaliser celui « nous » dans moi même, est important être attentif aux autres voix des Seigneur, nous laisser guider même de personnes qui ont expérience avec Dieu, pour ainsi dire, et elles nous aident dans ce chemin, pour que ceci « nous » il devient mien « nous », et moi, un qui réellement appartient à ceci « nous ». Ainsi il croît le décernement et croît l’amitié personnelle avec Dieu, la capacité de percevoir, dans les mille voix d’aujourd’hui, la voix de Dieu, qui est présent toujours et parle toujours avec nous. 

CLAUDIO FABBRI : DIOCÈSE de ROME de l’II an (2° PHILOSOPHIE)   2. Père Saint, comme elle était articulée sa vie dans la période de la formation au sacerdoce et ce qui intéressent cultivait ? En considérant l’expérience faite, ce qui sont les points pivot de la formation au sacerdoce ? En particulier, Marie, ce qui posé occupe dans elle ? 

« Je pense que notre vie, dans notre séminaire de Frisinga, était articulée en mode très semblable à le vôtre, même si je ne connais pas précisément vos horaire quotidien. On commençait, me semble, à 6,30, à 7 heures, avec un méditation d’une demi-heure, dans lequel chacune, dans silence, parlait avec les Seigneur, il cherchait à prévoir l’esprit à
la Sacrée Liturgie. Ensuite il suivait le Saint Messe, le petit déjeuner et ensuite, dans la matinée, les leçons. Dans l’après-midi séminaires, temps de j’étudie, et ensuite encore la prière commune. Le soir, la soi-disant « puncta » (parola originale), c’est-à-dire le directeur spirituel ou le recteur du séminaire, dans les différents soirs, nous parlaient pour nous aider à trouver le chemin du méditation, en ne nous donnant pas un méditation déjà fait, mais des éléments qui pouvaient aider chacun à personnaliser
La Parole du Seigneur qui auraient été objet de notre méditation. Ainsi la parcours jour pour jour ; ensuite naturellement y etait les grandes fêtes avec une belle liturgie, la musique… Mais, il me semble, et peut-être, je reviendrai sur celui à la fin, que soit très important avoir une discipline qui me précède et ne pas devoir chaque jour, de nouveau, inventer qu’est-ce que faire, comme vies ; il y a une règle, une discipline qui déjà m’attend et elle m’aide à vivre ordonnément ce jour. Maintenant, quant à mes préférences, naturellement je suivais avec attention, puisque je pouvais, les leçons. Initialement, dans les deux premiers ans la philosophie, m’a fasciné, depuis le début, surtout la figure de Saint’Agostino et ensuite même le courant augustinienne dans le Moyen âge : Saint Bonaventura, les grands franciscains, la figure de Saint Francesco d’Assisi. Pour elle était fascinante surtout la grande humanité de Saint’Agostino, qui n’eut pas la possibilité simplement de s’identifier avec l’Église parce que catéchumène da le début, mais qu’il dut par contre lutter spirituellement pour trouver man main l’accès au Parole de Dieu, à la vie avec Dieu, jusqu’au grand oui dit à son Église. Ce chemin ainsi humain, où même aujourd’hui nous pouvons voir comme on commence à entrer dans contacte avec Dieu, comme toutes les résistances de notre nature doivent être prises sérieusement et ensuite ils doivent même être canalisé pour arriver au grand oui aux Seigneur. Ainsi il m’a conquis sa théologie beaucoup de personnel, développée surtout dans la prédication. Ceci est important, parce qu’initialement Augustine voulait vivre une vie purement contemplatif, écrire autres livres de philosophie…, mais les Seigneur ne l’a pas voulue, l’a faite prêtre et évêque et ainsi tout le reste de sa vie, de son oeuvre, s’est développé substantiellement dans dialogue avec peuple très simple. Il dut toujours, d’une partie, trouver personnellement signifié de l’Écriture et, de l’autre, tendres compte de la capacité de ces gens, de leur conteste vital, et arriver à un christianisme réaliste et au même temps très profond. Ensuite, naturellement, pour il était très important les exégèse : nous avons eu deux exégète un peu libéraux, mais toutefois grands exégète, même réellement croyants, qui nous ont fasciné. Je peux dire que, réellement,
la Sacrée Écriture était l’âme de les nôtre étudie théologique : nous avons réellement vécu avec
la Sacrée Écriture et avons appris à l’aimer, à parler avec elle. Ensuite j’ai déjà dit de
la Patrologie, de la rencontre avec les Pères. Même nos enseignants de dogmatique était personne alors très célèbre, avait nourri sa dogmatique avec les Pères et avec
la Liturgie. Un point beaucoup de centrale était pour nous la formation liturgique : dans ce temps était n’y ancre pas de bureaux de Liturgie, mais notre professeur de Pastorale nous a offertes des grands cours de liturgie et le, à l’instant, il était même Recteur du séminaire et ainsi, liturgie vécue et célébrée et liturgie enseignée et pensée allaient ensemble. Ceux-ci, ensemble avec
la Sacrée Écriture, était les points brûlants de notre formation théologique. De ceci je suis toujours reconnaissant aux Seigneur, parce qu’ensemble est réellement centre d’une vie sacerdotale. Autre intéresse était la littérature : il était obligatoire léger Dostoïevski, était la goût de l’instant, ensuite y était les grands français : Claudel, Mauriac, Bernanos, mais même la littérature allemande ; il y avait même une édition allemande des Manzoni : je ne parlais pas dans ce temps italien. Ainsi nous avons un peu, en ce sens, même formé notre horizon humain. Un grand amour était même la musique, comme pures la beauté de la nature de notre terre. Avec ces préférences, ces réalités, dans un chemin pas toujours facile, je suis allé en avant. Les Seigneur m’a aidé à arriver jusqu’à oui du sacerdoce, oui qu’il m’a accompagné chaque jour de ma vie. » 
  

 GIANPIERO SAVINO : DIOCÈSE DE TARANTO de l’III an (1° THÉOLOGIE)   3. au regard plus du, nous pouvons apparaître comme des jeunes qui disent avec fermeté et courageusement leurs oui et laissent tout pour suivre les Seigneur ; mais nous savons d’être bien lointains d’une vraie cohérence avec ce oui. En conscience de fils, nous les confessons la partialité notre de répondue à l’appel de Jésus et la fatigue quotidienne dans les vies une vocation que nous sentons nous porter sur de la definitivité et de la totalité. Comment faire à répondre à une vocation ainsi exigeante comme cette de bergers de peuple-le saint de Dieu, en avertissant constamment notre faiblesse et incohérence ? 

 « Il est bien reconnaître sa faiblesse, parce qu’ainsi nous savons que nous avons besoin de la grâce des Seigneur. Les Seigneur nous console. Dans le collège des Apôtres il n’y avait pas seulement Judas, mais même les Apôtres bons, et toutefois Pierre est tombé et tant de fois les Seigneur reproche la lenteur, la fermeture du coeur des Apôtres, peu de foi qu’ils avaient. Donc il montre qu’aucune de il est simplement à la hauteur de ce grand oui, la hauteur de célébrer « in persona Christi », de vivre cohérente ment dans ce conteste, d’être uni à Christ dans sa mission de prêtre. Les Seigneur nous a offertes même, pour notre consolation, ces paraboles du réseau avec des poissons bons et pas bons, du champ où elle croît le grain mais même la zizania. Il nous fait savoir d’être venu vraiment pour nous aider dans notre faiblesse, de ne pas être venu, comme Il dit, pour appeler les justes, ceux qu’ils prétendent être déjà complètement juste, de ne pas avoir besoin de la grâce, ceux qui prient en louant si mêmes, mais être venu à appeler ceux dont ils savent d’être des insuffisant, à provoquer ceux qu’ils savent d’avoir besoin chaque jour de le pardonne des Seigneur, de sa grâce pour aller en avant. Ceci me semble très important : reconnaître que nous avons besoin d’une conversion permanente, nous ne sommes jamais simplement arrivés. Sant’Agostino, dans l’instant de la conversion, pensait être arrivé sur les altitudes maintenant de la vie avec Dieu, de la beauté des seules qui est son Parole. Ensuite il a dû comprendre que même le chemin après la conversion reste un chemin de conversion, qui reste un chemin où ils ne manquent pas les grandes perspectives, les joies, les lumières des Seigneur, mais où même ils ne manquent pas de vallées obscures, où nous devons aller en avant avec confiance en nous appuyant à la bonté des Seigneur. Et donc il est important même le sacrement de
la Réconciliation. Il n’est pas juste penser que nous devrions vivre ainsi à avoir jamais du besoin de ne pardonne pas. Accepter notre fragilité, mais rester en chemin, ne pas nous rendre mais aller en avant et, au moyen du sacrement de
la Réconciliation, toujours nouveau de convertir de nous pour un nouveau l’entame et ainsi croître, mûrir pour les Seigneur, dans notre communion avec Lui. Il est important, naturellement, même ne pas s’isoler, ne pas penser pouvoir aller en avant tous seuls. Nous avons vraiment du besoin de la compagnie de prêtres amis, même de laïques amis, qui nous accompagnent. ils nous aident. Pour un prêtre il est très important, vraiment dans la paroisse, voir comme les gens ait confiance dans lui et expérimenter avec leur confiance même leur générosité dans pardonner ses faiblesses. Les vrais amis nous défient et ils nous aident à être fidèle dans ce chemin. Il me semble que cette attitude de patience, d’humilité puisse nous aider à être bon avec les autres, à avoir à compréhension pour les faiblesses des autres, à les aider, même ils, à pardonner comme nous pardonnons. Je pense pas être indiscret si je dis qu’aujourd’hui j’ai reçu une belle lettre du cardinal Martini : je lui avais exprimé des félicitation pour le sien quatre-vingt-huitième anniversaire – nous sommes du même âge ; dans me remercier il a écrit : je remercie surtout les Seigneur pour
le don de la persévérance. Aujourd’hui – il écrit – même bien il se fait plus plutôt à « tempus », à « experimentum ». Bien, en second lieu son essence, peut seulement se faire en mode définitive ; mais pour le faire en mode définitive, nous avons besoin de la grâce de la persévérance ; je prie chaque jour – il concluait – parce que les Seigneur me donne cette grâce. Je reviens à Sant’Agostino : il était initialement content avec la grâce de la conversion ; ensuite il découvrit que y il est besoin d’une autre grâce, la grâce de la persévérance, que nous devons chaque jour demander aux Seigneur ; mais comme – je reviens à quel il dit le cardinal Martini – « jusqu’à présent les Seigneur il m’a offert cette grâce de la persévérance ; elle me la donnera, espère, même pour celle-ci dernière étape de mon chemin sur cette terre « . Il me semble que nous devons avoir confiance dans ce don de la persévérance, mais que nous devons même avec ténacité, avec humilité et avec patience prier les Seigneur parce que nous aides et nous soutienne avec le don de la vraie definitivité ; qu’il il nous accompagne jour pour jour jusqu’à la fin, même si le chemin doit passer à travers des vallées obscures. Le don de la persévérance de nous de joie, nous la certitude que nous sommes aimés des Seigneur et de ceci amour nous soutient, il nous aide et il ne nous laisse pas dans nos faiblesses « . 

 DIMOV KOICIO : DIOCÈSE de NICOPOLI À ISTRUM (BULGARIE) IV an (2° THÉOLOGIE) 

4. très bienheureux Père, elle en commentant la (via) « Crucis » de 2005 a parlé de la saleté qui il y a dans l’Église, et dans l’homélie pour les ordinations des prêtres romains de l’an passé il nous a mis en garde du risque « du carriérisme, de la tentative d’arriver en haut, de se procurer une position au moyen de l’Église ». Comment mettre nous devant ces problématiques dans la mode plus sereine et responsable possible ? 

« Elle est une question pas facile, mais il me semble d’avoir dit déjà, et est un point important, que les Seigneur sait, il savait fin da le début, que dans l’Église il y a même le péché et pour notre humilité il est important reconnaître ceci et voir le péché pas seulement dans les autres, dans les structures, dans les hautes charges hiérarchiques, mais même dans nous mêmes pour être ainsi plus humble et apprendre que ne compte pas, devant les Seigneur, la position ecclésiale, mais compte est dans le sien amour et fit briller le sien amour. Personnellement je retiens que, sur ce point, soit très important la prière de Sant’Ignazio qui dit : « Suscipe, Domine, universam meam libertatem ; accipe memoriam, intellectum atque voluntatem omnem ; quidquid habeo vel possideo mihi largitus es ; id tibi totum restitoì ac tuae prorsus voluntati traoi gubernandum ; amorem tuum cum gratia tes mihi dones et dives sum satis, nec aliud quidquam ultra posco « . Vraiment celle-ci une dernière partie me semble très importante : comprendre que le vrai trésor de notre vie est dans l’amour des Seigneur et ne pas perdre jamais ceci amour. Ensuite nous sommes réellement riches. Un homme qui a trouvé un grand amour on sent réellement riche et sait que celle-ci est la vraie perle, que celui-ci est le trésor de sa vie et pas toutes les autres choses qui peut-être ont. Nous avons trouvé, au contraire, nous avons été trouvés de l’amour des Seigneur et combien de plus laisser nous toucher de ce, le sien amour dans la vie sacramentale, dans la vie de prière, dans la vie du travail, du temps libre, très plus nous pouvons comprendre qu’oui, j’ai trouvé la vraie perle, tout le reste ne compte pas, tout le reste est important seulement dans la mesure dans laquelle l’amour des Seigneur il m’attribue ces choses. Je suis riche, suis réellement riche et en haut si je suis dans ce amour. Trouver ici le centre de la vie, la richesse. Ensuite laissons nous guider, laissons nous à
la Providence de décider ce qu’il fera avec nous. Elle me vient ici en menthes une petite histoire de Saint Bakhita, de ce beau Saint africain, qui était esclave en Soudan, ensuite en Italie a trouvé la foi, on a fait soeur et lorsque il était déjà âgé l’évêque faisait visite à son monastère, dans sa maison religieuse et ne la connaissait pas ; il vit cette petite, déjà courbe, soeur africaine et dit à Bakhita : « Mais qu’est-ce qu’il y à Elle, soeur? » ;
la Bakhita répondit : « Je fais à la même chose qu’elle, Excellence ». L’évêque étonné des églises : « Mais qu’est-ce que? » et Bakhita répondit : « Mais Excellence, nous deux voulons faire la même chose, faire la volonté de Dieu ». Elle me semble la répondue très belle, l’Évêque et la petite soeur, qui ne pouvait presque plus travailler, faisaient, en positions divergées, la même chose, cherchaient à faire à la volonté de Dieu et ainsi était à la place juste. Il me vient même en menthes un mot de Saint Augustine qui dit : Nous sommes tous toujours seulement disciples de Christ et son « |cattedra » est plus en haut, parce que ce cattedra »  est la croix et seul cette hauteur est la vraie « hauteur, la communion avec les Seigneur, même dans sa passion. Il me semble que, si nous commençons à comprendre ceci, dans une vie de prière chaque jour, dans une vie de dévouement, pour le service des Seigneur, nous pouvons nous libérer de ces tentations très humaines. » 

 FRANCESCO ANNESI : DIOCÈSE de ROME de l’V an (3° THÉOLOGIE) 

 5. Sainteté, de
la Lettre Apostolique « Salvifici doloris » de Jean Paul II émerge clairement combien la souffrance soit source de richesse spirituelle pour tous qui l’accueillent en union aux souffrances de Christ. Comment, aujourd’hui, dans un monde qui cherche chaque moyen licite ou illicite pour éliminer n’importe quel forme de douleur, le prêtre peut être des témoin du sens chrétien de la souffrance et comme il doit se comporter devant qui souffre sans risquer d’être rhétorique ou pathétique ? 

« Oui, comme faire ? Alors, il me semble que nous devons reconnaître qu’est juste faire le possible pour vaincre les souffrances de l’humanité et pour aider les personnes souffrantes – ils sont beaucoup dans le monde – à trouver une vie bonne et à être libéré des maux que souvent nous nous causons mêmes : la faim, les épidémiologies, l’etc. Mais, au même temps, en reconnaissant ce devoir de travailler contre les souffrances causées de mêmes, nous devons même reconnaître et comprendre que la souffrance est une partie essentielle pour notre mûrissement humain. Je pense à la parabole des Seigneur sur le semence de grain tombé en terre, qui seulement ainsi, en mourant, peut porter fruit, et cette tombée en terre et mourir n’est pas le fait d’un instant, mais il est vraiment le procès d’une vie. Tomber comme grain en terre et mourir ainsi, se transformer, être des moyens de Dieu, ainsi porter le fruit. Les Seigneur non par coeur ne dit pas ses disciples : le Fils de l’Homme doit aller à Jérusalem pour souffrir ; donc qui veut être mon disciple doit prendre sa croix sur les épaules et ainsi me suivre. En réalité, nous sommes toujours un peu comme Pierre, qui dit aux Seigneur : Non, Seigneur, ceci ne peut pas être la circonstance tien, tu ne dois pas souffrir. Nous ne voulons pas porter
la Croix, voulons créer un Règne plus humain, plus beau en terre. Ceci est totalement trompé : les Seigneur l’enseigne. Mais Pierre a eu besoin de beaucoup de temps, peut-être de toute sa vie pour le comprendre ; pourquoi ce légende du « Quo Vadis » ? il a quelque chose de vrai dans lui : apprendre que vraiment dans aller avec
la Croix des Seigneur il est le chemin qui porte les fruits. Ainsi, ils disaient, avant de parler aux autres, devons nous mêmes comprendre le mystère de
la Croix. Certes, le christianisme nous donne la joie, parce que l’amour il donne joie. Mais l’amour il est toujours même un procès de se perdre et donc même d’un procès de sortir de soi même ; en ce sens, même un procès douloureux. Et seulement ainsi il est beau et il nous fait mûrir et arriver à la vraie joie. Qui veut affirmer ou qui promet une vie seulement gaie et confortable, menthes, parce qu’elle n’est pas celle-ci la vérité de l’homme; la conséquence est qu’ensuite on doit fuir en paradis faux. Et on n’arrive vraiment ainsi pas à la joie, mais à l’autodestruction. Le christianisme il nous annonce la joie, oui ; cette joie cependant croît seul sur de l’amour et cette de l’amour il à faire avec
la Croix, avec la communion avec le Christ crucifix. Et elle est représentée dans le semence de grain tombé en terre. Lorsque nous commençons à comprendre et à accepter ceci, chaque jour, parce que chaque jour il nous impose quelque insatisfaction, quelque poids qui crée même douleur, lorsque nous acceptons cette école de la série de Christ, comme les Apôtres ont dû apprendre à cette école, alors devenons même capables d’aider les souffrants. Il est vrai qu’il est toujours problématique si un qu’il est plus ou moins dans bonne santé ou en bonnes conditions doit consoler un autre touché d’un grand mal : soit maladie, soit perte de amour. Devant ces maux que nous connaissons tous, presque inévitablement tout apparaît comme seul rhétorique et pathétique. Mais, ils disaient, si ces personnes peuvent sentir que nous sommes con – patients, que nous voulons porter avec eux
la Croix en communion avec Christ, surtout en priant avec eux, en assistant même avec un silence plein de sympathie, de amour, en aidant puisque nous pouvons, les pouvons devenir croyables. Nous devons accepter ceci, que peut-être dans un premier instant nos mots apparient comme purs mots. Mais si nous vivons réellement dans cet esprit de la vraie série de Jésus, nous trouvons même la manière d’être voisin avec notre sympathie. Sympathie étymologiquement veut dire compassion pour l’homme, en l’aidant, en priant, en créant ainsi la confiance qui la bonté des Seigneur existe même dans la vallée plus obscure. Nous pouvons ainsi ouvrir le coeur pour l’Évangile de Christ même, qui est le vrai consolateur ; ouvrir le coeur pour l’Esprit Saint, qui est appelé les autres Consolateur, l’autre Paraclet, qui assiste, qu’il est présent. Nous pouvons ouvrir le coeur pas pour nos mots, mais pour grand enseignement de Christ, pour son être avec nous et ainsi aider parce que la souffrance et le douleur deviennent réellement grâce de mûrissement, de communion avec le Christ crucifix et rené. 

6. LE MARQUE CECCARELLI : DIOCÈSE de ROME, diacre (prochain aux ordination presbytérale qu’il sera le 29 avril p.v.) 

6. Sainteté, les mois à venir, mes copains et je nous serons des ordonnés prêtres. Nous passerons à dalla vie bien structurée dalle des règles du séminaire, a la situation bien plus articulée du nos paroisses. Que conseilles-tu peut nous donner pour vivre au mieux entame de notre ministère presbytérale ? 

« Donc, ici en séminaire vous avez une vie bien articulée. J’ils disaient, comme premier point, est important même dans la vie de bergers de l’Église, dans la vie quotidienne du prêtre, conserver, pour combien il est possible, des certain ordre : qu’il ne manque jamais
la Messe – sans l’Eucharistie un jour est incomplet et donc nous croissons déjà dans le Séminaire avec cette liturgie quotidienne ; il me semble très important que nous sentons le besoin d’être avec les Seigneur dans l’Eucharistie, qui ne soit pas un devoir professionnel mais soit réellement un devoir senti intérieurement, qu’il ne manque jamais l’Eucharistie. L’autre point important est se prendre le temps pour
la Liturgie des Heures et ainsi pour cette liberté intérieure : avec tous les poids qui il y ont, elle libre et nous il nous aide même à être plus ouvert et il sont dans contacte profond avec les Seigneur. Naturellement nous devons faire à tout ce qu’il impose la vie pastorale, la vie d’un vice- curé, d’un curé ou des autres fonctions sacerdotales. Mais, ils disaient, ne pas oublier jamais ces points fixes, qu’ils sont l’Eucharistie et
la Liturgie des Heures, ainsi à avoir dans le jour des certain ordre que, comme j’avais dit initialement, ne dois pas inventer toujours nouveau d’ « Serva ordinem et ordo servabit te », nous avons appris. Il est un mot vrai. Ensuite il est important ne pas perdre la communion avec les autres prêtres, avec les copains de et ne pas perdre le contacte du personnel avec
la Parole de Dieu, la méditation. Comment faire ? J’ai une ordonnance assez simple : combiner la préparation de l’homélie du dimanche avec le méditation personnel, pour faire que ces mots ne soient pas dits seulement aux autres, mais ils soient réellement des Paroles dits des Seigneur à moi même, et mûris dans un entretien personnel avec les Seigneur Parce que cela soit possible, mon conseille est de commencer déjà le lundi, parce que si on commence au samedi est trop tard, la préparation est hâtée, et peut-être l’inspiration manque, parce qu’il y a autres choses dans teste. Donc, ils disaient, déjà le lundi, légères simplement les lectures de la dimanche prochaine qui peut-être apparaissent très inaccessibles. Un peu comme ces pierres de Massa et de Meriba, où Moïse dit : « Mais comme il peut venir eau de ces pierres? ». Laissons, laissons qui le coeur les digère, ces lectures ; dans les subconscience mots ils travaillent et chaque jour un peu ils reviennent. Évidemment on devra même consulter des livres, pour combien il est possible. Et avec ce travaille intérieur, jour pour jour, il se voit comme man main mûre répondue ; man main s’ouvre ce mot, devient mot pour moi. Et puisqu’ils sont un contemporain, elle devient un mot même pour les autres. Je peux ensuite commencer à traduire combien je peut-être vois dans mon langage théologique dans le langage des autres ; la pensée fondamentale reste toutefois le même pour les autres et pour moi. Ainsi on peut avoir une rencontre permanente, silencieuse, avec
la Parole, qui n’exige pas beaucoup de temps, que nous n’avons peut-être pas. Mais réservées un peu de temps : ainsi il mûrit pas seulement une homélie pour la dimanche, pour les autres, mais mien vraiment coeur est touché du Mot des Seigneur. Je reste dans contacte même dans une situation où peut-être le temps à disposition est peu. Je n’oserais pas maintenant donner trop de conseils, parce que la vie dans la grande ville de Rome est un peu divergée de celle que j’ai vécu cinquante-cinq il y à des ans dans notre Bavière. Mais je pense que l’essentiel est vraiment celui-ci : Eucharistie, Liturgie des Lectures, prière et entretien, même si bref, chaque jours, avec les Seigneur sur ses Mots que je dois annoncer. Et ne pas perdre jamais, d’une partie, l’amitié avec les prêtres, l’écoute de la voix de l’Église vis et, naturellement, et la disponibilité pour les gens confiées à moi, parce que vraiment de ces gens, avec ses souffrances, ses expériences de foi, ses doutes et difficulté, pouvons même nous apprendre, chercher et trouver Dieu. « Trouver nos Seigneur Jésus Christ ». 

Avis: la biographie de Dante

19 février, 2007

j’ai mis la biographie de Dante sur le Pages du cantique XIII

« Je crois ! Viens en aide à mon peu de foi »

19 février, 2007

du site EAQ commentaire de l’évangile du jour 19.2.07 

Philoxène de Mabboug (?-vers 523), évêque en Syrie
Homélie 3, 52-56 (trad. SC 44, p. 71)

« Je crois ! Viens en aide à mon peu de foi »

Viens pencher ton oreille et entendre, viens ouvrir tes yeux et voir les prodiges qui sont montrés par la foi. Viens te former des yeux nouveaux, viens te créer des oreilles cachées. Tu es invité à entendre des choses cachées…; tu as été appelé à voir des réalités spirituelles… Viens voir ce que tu n’es pas encore, et renouvelle-toi en entrant dans la nouvelle création.

La Sagesse était avec ton Créateur dans ses premières oeuvres (Pr 8,22). Mais dans la deuxième création la foi était avec lui ; dans ce second enfantement il a pris la foi pour auxiliaire. La foi accompagne Dieu en toutes choses, et il ne fait rien de nouveau aujourd’hui sans elle. Il lui aurait été facile de te faire naître de l’eau et de l’Esprit (Jn 3,5) sans elle, et cependant, il ne te fait pas naître à la seconde naissance avant que tu n’aies récité le symbole de la foi, le credo. Il pouvait te renouveler, et d’ancien, te faire nouveau, et cependant il ne te change pas et ne te renouvelle pas avant d’avoir reçu de toi la foi en gage. La foi est exigée de celui qui est baptisé, et c’est alors que, de l’eau il reçoit des trésors. Sans la foi, tout est vulgaire ; lorsque la foi est venue, les choses viles apparaissent glorieuses. Sans la foi, le baptême est de l’eau ; sans la foi, les mystères vivifiants sont du pain et de l’eau ; sans l’oeil de la foi, l’homme ancien apparaît uniquement ce qu’il est ; sans l’oeil de la foi, les mystères sont vulgaires et les prodiges de l’Esprit sont vils.

La foi regarde, contemple et considère secrètement la puissance qui s’est cachée dans les choses… Car voici : tu portes sur ta main la parcelle du mystère qui, de sa nature, est du pain vulgaire ; la foi la regarde comme le corps de l’Unique… Le corps voit du pain, du vin, de l’huile, de l’eau, mais la foi oblige son regard à voir spirituellement ce qu’il ne voit pas corporellement, c’est-à-dire à manger le Corps au lieu du pain, à boire le Sang au lieu du vin, à voir le baptême de l’Esprit au lieu de l’eau et la puissance du Christ au lieu de l’huile.