Archive pour le 16 février, 2007

San Pierre et mon Copropriété –

16 février, 2007

San Pierre et mon Copropriété

Hier (15) après midi :

Hier ( nuit 14-15) j’ai rêvé que du haut il tombait un caillou, et une voix que j’ai pensé que fosses Dieu m’a dit d’écrire une poésie sur la « pierre », naturellement lorsque je me suis réveillée ai pensé « à Pierre » et ensuite à le Pape ; toutefois elle m’est restée l’impression qu’elle me demandait d’écrire sur Pierre l’apôtre, une poésie, une prière, mais je ne me sais même pas qu’est-ce que dire à l’Apôtre ; avant tout je le regarde dans les statues et dans les icône avec clé en main, les clés du « Règne », ensuite je pense à son incrédulité, à son trahison, mais même à sa passion à le sien amour pour Jésus et, peut-être, je pense à quel était près de nous cet homme imparfait auquel Jésus a confié les frères et l’Église – ce naissant et celle future – alors me semble, lui, ainsi grand et  imparfaits ; mais qu’est-ce que je peux « dire », je, à Pierre, peut-être : il y à besoin de sentir toujours ta présence dans cette Église, fait sentir tien présente au Saint Père, à Benoît, fait nous comprendre la croix que tu as vécu avec les Seigneur et celle sur laquelle tu es mort étais à teste vers la terre, disent, n’es pas certes salée au ciel avec les pieds, alors ce ciel que nous voyons est marque du ciel « vrai », c’est-à-dire de Dieu même, n’a pas sur n’a pas en bas, mais comme il est, mais nous avons répondu : il est Dieu même et ce Dieu est amour, même lorsque nous ne le sentons pas et il nous semble silencieux, même lorsque les faits du monde nous scandalisent, même lorsque on approche l’ombre des la mortes ; Pierre, restes toi avec nous, bénisse le Pape Benoît, protèges l’Église et ses fils, soin qui ne soit pas divisé des origines de l’histoire que toi et les apôtres tous as vécu avec Jésus ; préoccupé toi parce que cette histoire devienne « notre histoire », parce que dans le chemin vers les Seigneur nous pouvons calquer, selon notre temps, tes traces, les pas des disciples, le chemin des femmes, les élever de Marie ; lorsque je vais prier sur ta tombe fait que je me souviens de tous et pour tous prie, comme Jésus nous a enseigné, parce que le Père céleste fait lever le soleil sur les bons et sur les mauvais ; il y à que nous revenons à l’innocence de ta passion pour les Gesù, à courir vers de lui, dans la mer, même dans le doute ; aides nous à avoir, chacun de nous une petite clé personnelle, pour ouvrir la porte du Règne ;

Aujourd’hui après midi h. 19,00

nous refaisons la corniche du palais au est ma maison parce qu’il devait être restructuré, ont commencé à novembre en disant qu’ils faisaient vite et encore n’est pas finie ; toutefois aujourd’hui, derrière ma suggestion, je et ma soeur nous sommes allées à visiter la tombe de Saint Pierre et la tombe du Pape Jean Paul II dans la crypte de la Basilique qui est voisin sur la droite ; de la visite nous avons été contentes, naturellement, même si quelqu’un s’arrêtait devant la tombe de Jean Paul II et passait au-delà cette de Pierre (de toujours avec les omniprésentes appareils photo en main et prêtes au déclenchement, trois hommes sont passe (ont prié ?) devant la tombe de précédente Pape et ensuite ils sont passés indifférentement devant cette de Pierre ; je ai arrêtés en homme et je lui ai dit : celle-ci est la tombe de Saint Pierre, et ceux-là, dans très compréhensible espagnol ma répondu : nous sommes des espagnols, à que je lui ai répondu : alors vous avez compris ce qui ai dit? ; ensuite salés dans
la Basilique autre petite – mais cette fois amusant obstacle – dans une chapelle de la Basilique de Saint Pierre dédiée exclusivement à la prière et dans laquelle il est prohibé entrer avec les une machine photographiques ou à de la reprise, un jeune – cette fois romain – en faisant feinte de rien il entrait dans la chapelle avec la machine photographique devant les yeux en belle vue, à qu’un de son surveillant en plaisantant lui a dit (en italien vient hors en rime et résulte battu) : « beau ! tu n’as pas lu le panneau d’avis » (en italien bello-cartello), ainsi le jeune si l’elle est mise en poche ; toutefois les problèmes du Copropriété nous ont harcelés toute le matin à que nous avons mangé dehors notre maison et, après, nous sommes allés à l’Administrateur du Copropriété de premier après-midi pendant le horaire d’ouverture ; tourne-je en arrière avec le récit, ce que s’était passé ? Que l’a structure pour le travail assez imposant appuyé à le mure du palais – en second lieu les règlements de sûreté,
la Commune de Rome etc. etc. – faits les travaux devait être enlevés et devrait être sous peu lorsque, quelques copropriétaire nous ont dit – peut-être ils se sont exprimés mal, mais j’en doute, c’est-à-dire je doute de la bonne foi – que la structure pour le travail elle ne devait pas être enlevée parce qu’ils devaient se restructurer  les balconnets, il y l’impression a eu qu’ils se restructurer les balconnets avec l’argent du copropriété, je et ma soeur nous sommes allées sur toutes les fureurs – notre chat en effets était incertain sur quoi il devait croire, dans le doute a pensé bien de se manger ses croquette et se mettre à dormir, à l’après-midi nous sommes allées, comme disais, à l’Administrateur et avons su que l’ingénieur devait faire des contrôles de sûreté des balconnets ensuite doit-il décider ce que retient juste faire, avertir toujours l’Administrateur qui doit convoquer une assemblée des copropriétaires (aide !!!) pour établir à se faire, mais si les gens avant de parler – comme disaient en bureau de moi – rejoignaient le cerveau avec la bouche ? En somme ce soir nous sommes plus tranquilles qui quelqu’un on ne fait pas les travaux de sa maison avec l’argent de tous les copropriétaire, mais prêtes à la bataille ; et San Pierre? vous me demanderez, pense, Pierre est toujours  de 2000 ans, peu moins, ici, et, maintenant me semble qu’il nous regarde souriant et patient, c’est-à-dire avec beaucoup, beaucoup, de patience lorsque doit s’occuper de nous romains,

en grand baise a toi notre bon Pierre,

Gabriella

San Pierre et mon Copropriété -  dans nouvelle peter

commentaire de l’évangile du jour – 16.2.7

16 février, 2007

Saint Isaac le Syrien (7ème siècle), moine à Ninive, près de Mossoul dans l’actuel Irak
Discours ascétiques, 1ère série, n° 4 (trad. Touraille, DDB 1981, p. 75)

« Celui qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie pour moi et pour l’Evangile la sauvera »

La voie de Dieu est une croix quotidienne. Nul n’est jamais monté au ciel confortablement ; nous savons où mène cette voie du confort. Dieu ne laisse jamais sans souci celui qui se consacre à lui de tout son coeur ; il lui donne d’avoir le souci de la vérité. C’est d’ailleurs à cela qu’on connaît que Dieu veille sur un tel homme : il le conduit à travers des afflictions.

La Providence ne laisse jamais tomber dans les mains des démons ceux qui passent leur vie dans les épreuves. Et surtout s’ils embrassent les pieds de leurs frères, s’ils couvrent leurs fautes (1P 4,8) et les cachent comme si elles étaient leurs propres fautes. Celui qui veut être sans souci dans le monde, celui qui a ce désir et qui en même temps cherche à marcher sur le chemin de la vertu, a quitté le chemin. Car les justes non seulement combattent de toute leur volonté pour accomplir les oeuvres bonnes, mais ils luttent malgré eux dans les tentations ; ainsi est éprouvée leur patience.