Da une image pieuse à Papa Benoît, Gabriella

(je mets ce que j’écris sous Pages. Je suis) 

j’écris choses divergent sur le Blog et elles rapportent souvent mon expérience de Dieu qui a eu phases dans la vie, la réalité est que je me rappelle de le jour dans lequel Dieu m’a visité lorsque j’avais environ 10 ans, arriva ainsi, simplement,  je ouvris un tiroir et il était un petite image du Sacré Coeur de Jésus, il y était écrit, environ : « fille voilà mon coeur parce qu’il ne l’aime pas ? d’ici tu peux avoir ce que désirs ! » en italien un peu ancien des ’800, je sortis de ma maison que j’étais transformée, heureux, différent, de alors j’ai considéré que ma vie appartenait à Dieu et à travers divergées et tourmentez événements, et est encore ainsi – ils sont passés environ 55 ans ; 

ensuite je demandai à un prêtre que je devais faire, et il me dit que, peut-être, je devais rester dans le monde ; ensuite, important, et que je connais encore, maintenant il est très âgé, un curé de montagne, où j’allais en villégiature, il a été lui qu’il m’a aidé dans la mode plus consistante et surtout à être fidèle à Dieu ; 

je ne me suis pas tournée souvent aux saints, presque seulement Dieu et suffit, Marie certain, depuis enfant ai toujours cru que l’Archange Gabriele était mon ange gardien, les autres enfants me disaient que j’étais mégalomane ; je suis entrée dans un groupe ecclésiale, mais je y suis sortie – en paix, j’en ai étudié et  je ne suis sortie avec douleur, mais toujours en paix, en somme j’ai souffert beaucoup, peut-être parce que les Seigneur il m’a toujours guidé sur une route et raide et dur et douloureuse, ne sais certes pas parce que pas secondaire le fait que je suis née sous la seconde guerre mondiale, qui a été laide partout, mais qu’à Rome elle a été beaucoup sentie et soufferte même pour la présence du groupe plus élevé que juive en Italie, pendant la guerre ne nous comprîmes pas plus que beaucoup, mais leur douleur est resté gravé dans la ville, je suis content que le Maire Veltroni il a emmené les jeunes de 17-18 ans, étudiants, à l’Auschwitz parce qu’on ne doit pas oublier ;  j’il y à pas beaucoup d’ans que je ai connu et ai parlé aux survivants, mais à l’impression de leur paix et de leur souffrance ainsi mêlée d’un grand douleur ; j’ai étudié même la spiritualité juive, un peu moins les rites, est très beau et est resté comme une partie de mon expérience de foi ; 

j’ai aimé les saints, mais comme modèles, comme témoins, rarement je me suis tournée à eux pour demander quelque chose, fort a toujours été la présence de Saint Paul auprès de moi, dans les instants de la souffrance plus grande, et comme celui qui elle t’enseigne la foi, notre foi ; Papa Benoît s’est insérée en plein dans mon histoire avec les Seigneur,  je connais son histoire, sa foi, tous le sien écrits, mais de lorsque il est devenu Pape il m’est apparu comme mon : blanc –vêtu -amour, comme ai écrit dans une poésie, comme un ange, comme rêve réel, comme un amour qu’il va à la de celui humain et est plus fort et je crois ait ramassé comme en unité ma vie, c’est-à-dire ce qu’et été et reste un chemin vers Dieu tant que Il ne m’appellera ; semble parfois se ramasser comme dans un panier, comme dans un cœur, comme un instant sans un temps humain, comme dans l’eucharistie, mon blanc-vetu-amour : une hostie pure et vivante ; 

quelques fois j’ai du désir de recompter au moins un peu – parce que ceci est peu – pour ramasser comme peux le fil logique du mon Blog, dans une vraie pensée, dans un don qui Dieu me fait surtout même de pouvoir parler de lui, en me laissant me promener en avant et en arrière dans ma vie, en retrouvant les choses belles d’un temps et en témoignant ces d’aujourd’hui, mais tout – en écrivant d’une chose ou d’une autre – se ramasse dans une sorte d’unité que, j’espère, vienne dehors plus clairement jour après jour ; 

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