Archive pour le 7 février, 2007

La catéchèse d’aujourd’hui 7.2.07,

7 février, 2007

du site italien « Korazym » (traduction): 

est-ce que je désire dire vous que les traductions qui se trouvent elles sont faites par l’Italien probablement et, donc, est-ce qu’ils sont déjà traduction de l’Allemand ou une traduction d’une traduction, celles seules du site du vaticano ils sont, (certainement?) traductions de l’Allemand – aussi la langue du texte originaire aux autres langues est bien, donc, pour une compréhension meilleure, en chaque cas, relire le texte sur le site Vatican dès qu’il est traduit 

La catéchèse d’aujourd’hui 7.2.07 

Le pape aux nouvelles générations :  que vous soyez des témoins pas violence et de paix

de Roberta  Leone /07/02/2007 Ancre une audience générale caractérisée au courage du témoignage et au partage dans la charité, pendant qu’il tourne à faire de guide l’exemple des premiers collaborateurs dans l’apostolat de San Paolo.

Le salue de le pape aux évêques et les pèlerins de
la Lombardie

 Chers frères et soeurs des Diocèses Lombardes ! Il salue d’abord vous, chers Frères dans l’Épiscopat, convenus à Rome pour
la Visite à Limina Apostolorum. Avec vous je salue les fidèles qui vous accompagnent dans cet significatif instant d’intense communion avec le Successeur de Pierre. L’Église qui vit en Lombardie, et ici représentée dans toutes sa composante, a un rôle important à continuer à dérouler dans la société lombarde : annoncer et témoigner l’Évangile dans chaque son domaine, spécialement où elles émergent les traits négatifs d’une culture de consommation et hédonistique, du caractère laïque et de individualisme, où s’enregistrent des anciennes et nouvelles formes de pauvreté avec des signaux préoccupants de la malaise juvénile et des phénomènes de violence et de criminalité. Si les Institutions et les diverses agences éducatives semblent parfois traverser des instants de difficulté, ils ne manquent pas, cependant, grandes ressources idéales et moraux dans le vôtre peuple, riche de nobles traditions familiales et religieuses. J’ai vu dans l’entretien avec vous, chers Frères dans l’Épiscopat, comme l’Église en Lombardie est réellement une Église vivante, riche du dynamisme de la foi et même d’esprit missionnaire, capable et décidé à transmettre le flambeau de la foi aux futures générations et au monde de notre temps. j’y suis reconnaissant pour ce dynamisme de la foi, qui vit vraiment dans les Diocèses de
la Lombardie. Vaste il est le vôtre vis d’action. Il s’agit, d’une partie, de défendre et promouvoir la culture de la vie humaine et de la légalité, de l’autre elle est nécessaire une toujours plus cohérente conversion à Christ personnel et communautaire. Pour croître en effet dans la fidélité à l’homme créé à image et à ressemblance du Créateur, il faut avec cohérence pénétrer plus intimement dans le mystère de Christ et en répandre le message de salut. Nous devons faire de tout pour connaître toujours mieux la figure de Jésus, pour avoir de Lui une connaissance pas seulement « de seconde main », mais une connaissance à travers la rencontre dans la prière, dans la liturgie, dans l’amour pour prochain le. Il est un engagement certain difficile, mais ils sont de réconforte les mots des Seigneur : « Et voici que je suis avec vous pour toujours jusqu’à la fin du monde » (Mt 28, 20). Suis avec nous les Seigneur, même aujourd’hui, demain, jusqu’à la fin du monde ! Tu t’intensifies, par conséquent, la témoignage évangélique parce que dans chaque ambiant les chrétiens, guidés de l’Esprit Saint qui demeure dans l’Église et dans les coeurs des fidèles comme dans un temple (cfr.1 Cor 3, 16-17), soient des signes vivants de l’espoir surnaturels. Notre temps, avec tant d’angoisses et problèmes, a besoin d’espoir. Et notre espoir vient vraiment de la promesse des Seigneur et de sa présence. Je vous encourage, chers Évêques, à guider l’alacre peuple lombard sur tel chemin, en comptant dans chaque situation sur l’indéfectible assistance divine. Nous allons en avant avec l’aide des Seigneur dans cette direction !

Le teste intégral des catéchèse

 Chers frères et soeurs, en faisant un nouveau pas dans cette sorte de galerie de retraites des premiers témoins de la foi chrétienne, que nous avons entamé il y à quelques semaines, prenons aujourd’hui en considération un couple d’époux. Il s’agit des conjoints Priscilla et Aquila, qui se placent dans l’orbite des nombreux collaborateurs des gravitant autour de l’apôtre Paul, auxquels avais déjà brièvement fait signe mercredi passé. Sur la base des nouvelles dans notre possession, ce couple de conjoints déroula un rôle beaucoup active au temps des origines post-pascales de l’Église. Les noms d’Aquila et de Priscille sont latins, mais l’homme et la femme qui les portent était d’origine juive. Au moins Aquila, cependant, provenait géographiquement de la diaspora de l’Anatolie septentrionale, qu’on montre sur le Mer Noir – dans l’actuelle Turquie -, pendant que Priscille, le nom de laquelle on trouve parfois abrégé en Prisca, était probablement une juive provenant de Rome (cfr Ac 18,2). Est de toute façon de Rome qu’ils était joints à Corinthe, où Paul les rencontra au debout des ans ’50 ; là il s’associa à eux puisque, comme il nous recompte Luc, ils exerçaient le même métier de fabricants de tend ou banne pour j’emploie domestique, et fut accueilli même dans leur maison (cfr Ac 18,3). Le motive de leurs venue à Corinthe avait été la décision de l’empereur Claudio de chasser de Rome les Juif résidents dans
la Ville. Le historique romain Svetonio dit sur cet événement qui avait expulsé les Hébreux parce que « ils provoquaient des tumultes à motive d’un certain Cresto » (cfr des « Vies des douze Cesari, Claudio », 25). Voit qu’il ne connaissait pas bien le nom – au lieu de Christ écrit « Cresto » – et avait une idée seulement très confuse de ce qu’il s’était produit. En tout cas, y était des discordes à l’intérieur de la communauté juive autour de la question si Jésus était le Christ. Et ces problèmes était pour l’empereur le motive pour expulser simplement tous les Hébreux de Rome. On en déduit que les deux conjoints avaient embrassé la foi chrétienne déjà à Rome dans les ans ’40, et maintenant avait trouvé en Paul quelqu’un qui pas seulement partageait avec eux cette foi – qui Jésus est le Christ – mais qu’il était même apôtre, appelé personnellement des Seigneur René. Donc, la première rencontre est à Corinthe, où ils l’accueillent dans la maison et travaillent ensemble dans la fabrication de tend. Dans un second temps, ils se ils s’établirent en Asie Minore, à Ephèse. Là ils eurent une partie déterminante dans le complètement de la formation chrétienne du juif alexandrin Apollo, dont nous avons parlé mercredi passé. Puisqu’il connaissait seulement sommairement la foi chrétienne, « Priscille et Aquila l’écoutèrent, ensuite ils le prirent avec eux et lui exposèrent plus exactement
la Voie » (Ac 18,26). Lorsque d’Ephèse l’apôtre Paul écrit sa Première Lettre aux Corinthe, ensemble à ses saluts envoie explicitement même ceux d’ »Aquila et de Prisca, avec la communauté qui se rassemble dans leur maison » (16.19). Nous venons ainsi à savoir du rôle très important que ce couple déroula dans le domaine de l’Église primitif : celui d’accueillir dans sa maison le groupe des chrétiens locaux, lorsque ils on rassemblaient pour écouter le Mot de Dieu et pour y célébrer l’Eucharistie. Il est vraiment ce type d’assemblée qui est dite en grecque « ekklesìa » – le mot latin est « ecclesia », celle-là italienne « Chiesa » – qu’il veut dire des convocation, assemblée, reunion. Dans la maison d’Aquila et de Priscille, donc, on réunit l’Église, les convocation de Christ, qui célèbre ici les sacrés Mystères. Et ainsi nous pouvons voir la naissance vraiment de la réalité de l’Église dans les maisons des croyants. Les chrétiens, en effet, fin vers le siècle III° n’avaient pas ses lieux de culte : tels ils furent en premier temps , le synagogue juives, fin lorsque les originaire symbiose entre Ancien et Nouveau Testament s’est dénoué et l’Église des Gens fut forcée à se donner son identité, toujours profondément enraciné dans l’Ancien Testament. Ensuite, après cette « rupture », on réunit dans les maisons les chrétiens, qui deviennent ainsi « Église ». Et finalement, dans le III siècle, ils naissent des véritables édifices de culte chrétien. Mais ici, dans la première moitié du I siècle et dans le II siècle, les maisons des chrétiens deviennent véritable « église ». Comme j’ai dit, on lit ensemble les Sacrées Écritures et on célèbre l’Eucharistie. Ainsi il se produisait, par exemple, à Corinthe où Paolo mentionne un certain « GaÏus, qu’il me reçoit et toute la communauté » (Rm 16,23), ou à Laodicée, où la communauté se rassemblait dans la casa d’une certaine Nymphas (cfr Col 4,15), ou à Colosses, où le meeting se produisait dans la casa d’un certain Archippe (cfr Fh 2). Tournés successivement à Rome, à Aquila et à Priscille ils continuèrent à dérouler cette très précieuse fonction même dans la capitale de l’Empire. En effet Paul, en écrivant aux Romains, envoie ce précis salue : « Saluées Prisca et Aquila, mes collaborateurs en Christ Jésus ; pour me sauver la vie ils ont risqué leurs teste, et à moi seulement ne suis pas reconnaissant, mais toutes les Églises des Gentils ; saluées même l’église qui se réunit chez eux « (Rm 16.3-5). Quel extraordinaire le vante des deux conjoints dans ces mots ! Et à le tisser il est rien de moins que l’apôtre Paul. Il reconnaît explicitement dans eux deux vrais et importants collaborateurs de son apostolat. La référence au fait de risquer la vie pour lui doit être relié probablement à des interventions dans sa faveur pendant quelques unes de ses captivités, peut-être dans le même Ephèse (cfr Ac 19.23 ; 1 Cor 15.32 ; 2 Cor 1.8-9). Et qu’à sa gratitude Paul associe même les ces de toutes Églises des Gens, aussi en considérant l’expression peut-être pas mal hyperbolique, il laisse pressentir combien de vaste soit été leur rayon d’action et, de toute façon, leur influence à avantage de l’Évangile. La tradition agiographique postérieure a conféré un relief tout détail à Priscille, même si il reste le problème de son identification avec une autre Priscille martyre. En tout cas, ici à Rome nous avons soit une église dédiée à Saint Prisca sur l’ « Aventino » soit les Catacombe de Priscille sur Salarie. De cette manière on perpétue la mémoire d’une femme, qui a été sûrement une personne active et de beaucoup de valeur dans l’histoire du christianisme romain. Une chose est certaine : ensemble à la gratitude de celles-là des premières Églises, dont il parle Saint Paul, il nous doit être même le nôtre, puisque merci à la foi et à l’engagement apostolique de fidèles laïques, de familles, d’époux comme Priscille et Aquila le christianisme est arrivé à notre génération. Il pouvait croître pas seulement des merci aux Apôtres qui l’annonçaient (je ne comprend pas bien le sens du italien) . Pour s’enraciné dans la terre de le peuple, pour se développer vivement, était nécessaire l’engagement de ces familles, de ceux-ci époux, de ces communautés chrétiennes, de fidèles laïques qui ont offert le « humus » à la croissance de la foi. Et toujours, seulement ainsi il croît l’Église. En particulier, ce couple montre combien soit important l’action des époux chrétiens. Lorsque ils sont soutenus de la foi et d’une forte spiritualité, il devient naturel engage courageux pour l’Église et dans l’Église. La quotidienne communauté de leur vie se rallonge et dans quelque mode il se sublime dans l’engagement d’une commune responsabilité en faveur du Corps mystique de Christ, étais même d’une petite partie d’elle. Ainsi il était dans la première génération et ainsi il sera souvent. Une ultérieure leçon pas négligeable nous pouvons tirer de leur exemple : chaque maison peut se transformer dans une petite église. Pas seulement dans le sens qui dans elle doit régner le typique amour chrétien fait d’altruisme et du réciproque soin, mais encore plus dans le sens qui toute la vie familiale, sur la base de la foi, est appelé à tourner autour de l’unique domination de Jésus Christ. Pas au hasard dans
la Lettre aux Ephésiens Paul ne compare pas le rapport matrimonial à la communion des époux qu’il se passe entre Christ et l’Église (cfr Ep 5.25-33). Au contraire, nous pourrions retenir que l’Apôtre indirectement module la vie de l’Église entière sur cette de la famille. Et l’Église, en réalité, est la famille de Dieu. Nous honorons donc Aquila et Priscille comme modèles d’une vie conjugale responsable ment engagée à service de toute la communauté chrétienne. Et nous trouvons dans eux le modèle de l’Église, famille de Dieu pour tous les temps.

La catéchèse d’aujourd’hui 7.2.07, dans Pape Benoit

Pope Benedict XVI greets worshippers at the end of his weekly general audience at the Vatican February 7, 2007. REUTERS/Chris Helgren (VATICAN)

commentaire au evangile du jour…7.2.07

7 février, 2007

 commentaire au evangile du jour du EAQ:

Origene (vers 185-253), prêtre et théologien
Homélies sur la Genèse, n° 13, 3-4 ; PG 12,233 (trad. SC 7, p. 222 rev.)
« Tu aimes la vérité, mon Dieu, au fond du coeur » (Ps 50,8)

      Le Christ nous a enseigné que Dieu n’est pas à chercher en un lieu déterminé et nous a appris qu’« un sacrifice est offert à son nom en tout endroit de la terre » (Ml 1,11). En effet, c’est maintenant « le temps où les vrais adorateurs adorent le Père », non plus à Jérusalem ni sur le mont Garizim, « mais en esprit et en vérité » (Jn 4,21.24). Ce n’est donc pas dans un lieu ni sur la terre que Dieu habite, mais dans le coeur. Vous cherchez alors où se trouve Dieu ? Dieu se trouve en un coeur pur. C’est là en effet qu’il fera sa demeure, selon ce qu’il a dit par le prophète : « J’habiterai et je marcherai au milieu d’eux, et ils seront mon peuple et je serai leur Dieu, dit le Seigneur » (Lv 26,12).

      Remarquez bien que chacune de nos âmes contient en quelque sorte un puits d’eau vive ; il y a en elle un certain sens céleste, une image de Dieu enfouie… Il est là, le Verbe de Dieu, et son opération actuelle est de dégager le sable de votre âme à chacun, pour faire jaillir votre source. Cette source est en vous et ne vient pas du dehors, car « le Royaume de Dieu est au-dedans de vous » (Lc 17,21).

      Ce n’est pas au dehors, mais chez elle que la femme qui avait perdu sa pièce d’argent l’a retrouvée. « Elle avait allumé sa lampe, elle avait balayé sa maison » (Lc 15,8) des ordures et des saletés qui s’y étaient accumulées par sa négligence, et c’est là qu’elle a retrouvé sa pièce d’argent. Quant à vous, si vous allumez votre lampe, si vous vous servez de l’illumination du Saint Esprit, « si vous voyez la lumière dans sa lumière » (Ps 36,10), vous trouverez la pièce d’argent en vous. Car c’est en vous que se trouve l’image du roi céleste.

une prière pour Pape Benoît –

7 février, 2007

 (directement en français) 

Je te prie Seigneur pour Pape Benoît

Ensemble a des enfant l’ha contempler

Lui-même Petit et Père Un sourire adorable et simple Joyeux du peu, surferant du trop

Un regarde qui vais da les enfant a Dieu

Et de Lui revient vers nous

Pour embrasser qui ne l’aime pas;

Je te prie que reste le sage

Et le petit enfant ensemble

Parce que les petits sont

qui nous mener à Dieu ;

envoie un ange, un ange blanc,

argenté, doré comme les colombes

qui réfléchissent le soleil du matin

je te prie Seigneur;

Gabriella

une prière pour Pape Benoît -  dans Pape Benoit image008

Da une image pieuse à Papa Benoît, Gabriella

7 février, 2007

(je mets ce que j’écris sous Pages. Je suis) 

j’écris choses divergent sur le Blog et elles rapportent souvent mon expérience de Dieu qui a eu phases dans la vie, la réalité est que je me rappelle de le jour dans lequel Dieu m’a visité lorsque j’avais environ 10 ans, arriva ainsi, simplement,  je ouvris un tiroir et il était un petite image du Sacré Coeur de Jésus, il y était écrit, environ : « fille voilà mon coeur parce qu’il ne l’aime pas ? d’ici tu peux avoir ce que désirs ! » en italien un peu ancien des ’800, je sortis de ma maison que j’étais transformée, heureux, différent, de alors j’ai considéré que ma vie appartenait à Dieu et à travers divergées et tourmentez événements, et est encore ainsi – ils sont passés environ 55 ans ; 

ensuite je demandai à un prêtre que je devais faire, et il me dit que, peut-être, je devais rester dans le monde ; ensuite, important, et que je connais encore, maintenant il est très âgé, un curé de montagne, où j’allais en villégiature, il a été lui qu’il m’a aidé dans la mode plus consistante et surtout à être fidèle à Dieu ; 

je ne me suis pas tournée souvent aux saints, presque seulement Dieu et suffit, Marie certain, depuis enfant ai toujours cru que l’Archange Gabriele était mon ange gardien, les autres enfants me disaient que j’étais mégalomane ; je suis entrée dans un groupe ecclésiale, mais je y suis sortie – en paix, j’en ai étudié et  je ne suis sortie avec douleur, mais toujours en paix, en somme j’ai souffert beaucoup, peut-être parce que les Seigneur il m’a toujours guidé sur une route et raide et dur et douloureuse, ne sais certes pas parce que pas secondaire le fait que je suis née sous la seconde guerre mondiale, qui a été laide partout, mais qu’à Rome elle a été beaucoup sentie et soufferte même pour la présence du groupe plus élevé que juive en Italie, pendant la guerre ne nous comprîmes pas plus que beaucoup, mais leur douleur est resté gravé dans la ville, je suis content que le Maire Veltroni il a emmené les jeunes de 17-18 ans, étudiants, à l’Auschwitz parce qu’on ne doit pas oublier ;  j’il y à pas beaucoup d’ans que je ai connu et ai parlé aux survivants, mais à l’impression de leur paix et de leur souffrance ainsi mêlée d’un grand douleur ; j’ai étudié même la spiritualité juive, un peu moins les rites, est très beau et est resté comme une partie de mon expérience de foi ; 

j’ai aimé les saints, mais comme modèles, comme témoins, rarement je me suis tournée à eux pour demander quelque chose, fort a toujours été la présence de Saint Paul auprès de moi, dans les instants de la souffrance plus grande, et comme celui qui elle t’enseigne la foi, notre foi ; Papa Benoît s’est insérée en plein dans mon histoire avec les Seigneur,  je connais son histoire, sa foi, tous le sien écrits, mais de lorsque il est devenu Pape il m’est apparu comme mon : blanc –vêtu -amour, comme ai écrit dans une poésie, comme un ange, comme rêve réel, comme un amour qu’il va à la de celui humain et est plus fort et je crois ait ramassé comme en unité ma vie, c’est-à-dire ce qu’et été et reste un chemin vers Dieu tant que Il ne m’appellera ; semble parfois se ramasser comme dans un panier, comme dans un cœur, comme un instant sans un temps humain, comme dans l’eucharistie, mon blanc-vetu-amour : une hostie pure et vivante ; 

quelques fois j’ai du désir de recompter au moins un peu – parce que ceci est peu – pour ramasser comme peux le fil logique du mon Blog, dans une vraie pensée, dans un don qui Dieu me fait surtout même de pouvoir parler de lui, en me laissant me promener en avant et en arrière dans ma vie, en retrouvant les choses belles d’un temps et en témoignant ces d’aujourd’hui, mais tout – en écrivant d’une chose ou d’une autre – se ramasse dans une sorte d’unité que, j’espère, vienne dehors plus clairement jour après jour ;