Archive pour le 5 février, 2007

l’agent jeune tué à Catane (Italie) pendant un match de football

5 février, 2007

l'agent jeune tué à Catane (Italie) pendant un match de football dans Pape Benoit raciti

l’agent jeune tué à Catane (Italie) pendant un match de football

Le 17 janvier 1967 né à Catane, Filippo Raciti était entré en Police dans le juin de 86 d’Élève Agent Auxiliaire. Jusqu’à le l’an dernier il était de service près de la Préfecture de police de Catane au bureau Prévention Générale et Secouru Public. Dans le décembre 2006 ère été transféré près du X Rayon Mobile.

Il vivait à l’Acireale avec la femme et aux deux fils de 15 et 8 ans.

du site de la Police d’État:

http://www.poliziadistato.it/pds/primapagina/raciti/chi_era.html

 

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Avis: sur « Pages »…

5 février, 2007

un site pour la liturgie des heures

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Pape : jeunes, vous croyez dans le vrai amour

5 février, 2007

du site « AsiaNews »(traduction):

VATICAN  - Pape :  

jeunes, vous croyez dans le vrai amour. Dans le message pour
la Journée mondiale de la jeunesse, Benoit XVI indique des « itinéraires » en trois instants à la découverte des amours et trois « domaines » où le manifester : l’Église, sa croissance et la société. L’exemple de Mère Teresa, qui a répandu dans le monde entier le message de l’amoure divin. 
Città del Vaticano (AsiaNews) – 
l’amour il est possible et les jeunes doivent nous croire : amour vrai, « fidèle et fort », que « il engendre de la paix et de la joie » à manifester dans l’Église – en animant la vie – dans sa croissance – si fiancés en cherchant le mûrissement ensemble et pas la personnelle satisfaction – dans la société – où viser pas seulement à devenir plus « compétitifs » et « productifs », mais à être des « témoins de la charité », comme il a montré Mère Teresa. Roue autour de la phrase de l’Évangile de Jean « vous aimer les uns les autres, comme je vous ai aimés » (Jn 13,34b), le message, rendu connu aujourd’hui, qui Benoît XVI envoie aux jeunes du monde en occasion de
la XXII Journée mondiale de la jeunesse, qui seront célébrés le premier avril prochain, dimanche des Palmiers, à niveau diocésain. 
« Chaque personne – il écrit le Pape – avertit le désir d’amères et d’être aimée. Pourtant ce qu’est difficile d’aimer , combien d’erreurs et des faillites doivent s’enregistrer dans le amour ! Il y a même qui arrive à douter que l’amour soit possible. Mais si des carences affectives ou des déceptions sentimental peuvent faire penser qu’amère soit une utopie, rêve-je impossible à atteindre, faut peut-être se résigner ? Non ! L’amour il est possible « .    »À raviver » dans les jeunes la confiance dans la possibilité de un amour « vrai », Benoît XVI les indique « des itinéraires, en trois instants, au  « découverte de l’amour » et ensuite trois « domaines » dans lesquels il doit être manifesté. 
  »Le premier instant concerne la source de l’amour vrai, qu’il est unique : il est Dieu. Il le pose bien en évidence Saint Jean en affirmant que « Dieu est amour » (1 Jn 4,8.16) ; maintenant il ne veut pas dire seulement que Dieu nous aime, mais que l’être même de Dieu est amour « . La plus grande manifestation de Dieu-dieu-amour est l’incarnation – en second lieu instant de l’itinéraire – et, dans elle, de
la Croix. Dans elle,  » rachetée dal son sang, aucune vie humaine est inutile ou de peu de valeur, parce que tous nous sommes aimés personnellement d’Lui avec un amour passionné et fidèle, un amour sans limites ». « Au contraire, le Crucifié, qui après les résurrection porte toujours les signes de sa passion, met en lumière le « contrefaçons et mensonges du Dieu », que se recouvrent de violence, de vengeance et d’exclusion. Christ est l’Agneau de Dieu, qui prend sur de lui le péché du monde et éradique la haine dal coeur de l’homme. Voilà la révolution véridique : l’amour. 
De celle rejointe conscience il dérive l’appel à manifester l’amour de Dieu, pour lequel le document indique aux jeunes « trois domaines de la vie quotidienne ».   Le premier est l’Église. « Alimentées, avec votre enthousiasme et votre charité, les activités des paroisses, des communautés, des mouvements ecclésiaux et des groupes juvéniles auxquels vous appartenez. Que vous soyez prompts dans chercher bien de l’autre, fidèles aux engagements pris. Vous ne hésitez pas à renoncer avec joie à quelques uns de vos plaisirs, acceptées de bon esprit les sacrifices nécessaires, témoignées le vôtre amour fidèle pour Jésus en annonçant son Évangile spécialement entre le personne du même age « . 
Le second domaine, « où vous êtes appelés à exprimer l’amour et à croître dans lui, est votre préparation au futur qui vous attend. Si vous êtes des fiancés, Dieu a projette de amour sur vos futur de couple et de famille et est donc essentiel que vous le découvriez avec l’aide de l’Église, libre du préjugé diffus qui le christianisme, avec ses commandement et ses défenses, pose des obstacles à la joie de l’amour et empêche en particulier de goûter pleinement ce bonheur que l’homme et la femme cherchent dans leur réciproque amour ». « Apprendre à s’aimer comme couple est un chemin merveilleux, qui toutefois demande un stage qui engage. La période des fiançailles, fondamentales pour construire le couple, est un temps d’attendue et de préparation, qui doit être vécu dans la chasteté des gestes et des mots. Cela permet de mûrir dans l’amour, dans prévenance et dans l’attention vers l’autre ; il aide à exercer la domination d’elle, à développer le respect de l’autre, caractéristiques toutes du vrai amour qu’il ne recherche pas en premier lieu sa satisfaction né son bien-être « .  Et, également, « vous soyez prêts à dire  ‘oui’, si Dieu vous appelle à le suivre sur du sacerdoce ministériel ou de la vie consacrée ».    »Le troisième domaine de l’engagement qui l’amour comporte est celui de la vie quotidienne avec ses multiples relations. Je me réfère notamment à la famille, à l’école, au travail et au temps libre. Des chers jeunes, cultivées vos talents pas seulement pour conquérir une position sociale, mais même pour aider les autres « à croître ». Développées vos capacités, pas seulement pour devenir plus ` compétitif et ` productif, mais pour être ` témoignes du charité’ ».   D’ici une invitation « à oser l’amour », « à ne pas désirer c’est-à-dire rien moins pour votre vie dont un amour fort et belle, capable de rendre l’existence entière une joyeuse réalisation du don de vous même à Dieu et aux frères, à l’imitation de Celui qui  au moyen de l’amour il a vaincu toujours la haine et aux mortes ». Le Pape porte par exemple Mère Teresa qui a eu comme « unique désir de sa vie » celui « d’éteindre les soies de amour de Jésus pas à des mots, mais avec des actes concrets, en reconnaissant la face défigurée, désirée de amour, dans le visage de plus pauvres entre les pauvres ». « Et le message de ces humble témoin de l’amour divin on est diffus dans le monde entier ». 

Deux nouveaux textes en chantier: l’un sur la bioéthique et l’autre sur la loi naturelle

5 février, 2007

du site italien « La Chiesa.it » un article du Sandro Magister, (original français)) 

Deux nouveaux textes en chantier:

l’un sur la bioéthique et l’autre sur la loi naturelle La congrégation pour la doctrine de la foi est en charge de leur préparation. C’est le « style Ratzinger » qui continue, explique le secrétaire de dicastère, l’archevêque Angelo Amato

par Sandro Magister

Deux nouveaux textes en chantier: l'un sur la bioéthique et l'autre sur la loi naturelle dans article

ROME, 5 février 2007 – Vie humaine naissante et loi naturelle: c’est sur ces deux sujets que la congrégation pour la doctrine de la foi prépare actuellement deux nouveaux textes. Le secrétaire de la congrégation, l’archevêque Angelo Amato, l’a annoncé dans une interview accordée à « Avvenire », le quotidien de la conférence épiscopale italienne.Le premier texte, qui traite de la vie humaine naissante, sera dans le droit fil de l’instruction « Donum Vitae » publiée en 1987 par le préfet de la congrégation de l’époque, le cardinal Joseph Ratzinger. Mgr Amato dit à ce propos:« Cette Donum Vitae 2 n’est pas conçue pour abolir la précédente, mais pour traiter les différentes questions bioéthiques et biotechnologiques qui se posent aujourd’hui et qui étaient encore impensables à l’époque. L’instruction Donum Vitae garde toute sa valeur et, par certains côtés, elle se révèle prophétique. Le problème est qu’en dépit de ses vingt ans d’existence, elle est encore peu connue. La question n’est donc pas de réviser la doctrine morale – par exemple sur le caractère licite du préservatif – qui ne me semble pas être à l’ordre du jour. Il s’agit plutôt de nouveaux défis, par certains côtés bien plus graves et destructeurs de l’identité de la personne humaine, comme celui que lancent ceux qui considèrent le fœtus comme un produit biologique et non comme un être humain. Comme l’affirme Donum Vitae, l’être humain doit être respecté – comme une personne – depuis le premier instant de son existence’ (‘Viventi humano – uti persona – observantia debetur inde a primo eius vitae momento’). Et ce respect dû à l’embryon humain est ‘un principe anthropologique non négociable’ ». Mgr Amato précise en outre:« L’étude de sujets aussi délicats est de la compétence de notre congrégation qui soumet ensuite ses travaux au pape. Les positions présentées sur ces sujets par d’autres institutions ou personnalités ecclésiastiques, si respectables soient-elles, ne peuvent donc pas avoir l’autorité que veulent bien parfois leur prêter les médias ».

Parmi les positions de personnalités ecclésiastiques auxquelles Mgr Amato fait référence figurent celles du cardinal Carlo Maria Martini dans le « Dialogue sur la vie », publié dans l’hebdomadaire « L’Espresso » en avril 2006, justement à propos du contenu de l’instruction « Donum Vitae ». Ou encore les positions formulées par le même cardinal Martini sur l’euthanasie dans le quotidien « Il Sole 24 Ore » du 21 janvier dernier, une semaine avant cette interview de Mgr Amato dans « Avvenire ». Les deux interventions du cardinal Martini s’éloignent de l’enseignement officiel de l’Eglise en plusieurs points.

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Le second des nouveaux textes, relatif à la loi naturelle, sera en revanche une première. En plusieurs occasions, Benoît XVI a donné comme fondement à la vie des hommes en commun les principes moraux imprimés dans le cœur de chaque homme et « répétés de manière unique par la voix faible mais claire de la conscience ». Pourtant, le préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi lui-même n’y avait consacré aucun texte spécifique.Mgr Amato explique:
« Un catholique, par exemple, ne peut donner son consentement à une législation qui introduit le mariage entre deux personnes du même sexe: cela va contre la révélation biblique et la loi naturelle elle-même. [...] Le pape cite souvent cette dernière dans ses catéchèses. Et notre congrégation prépare quelque chose sur la question. A cette fin, elle a déjà consulté toutes les universités catholiques. Les réponses venues du monde entier sont encourageantes, même celles qui viennent des universités considérées comme plus ‘difficiles’. La loi naturelle est également très importante car elle peut être le seul socle pour un dialogue fructueux entre les religions ».
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Mgr Amato a accordé cette interview à l’occasion de la publication d’un imposant volume rassemblant les 105 textes produits par la congrégation pour la doctrine de la foi pendant quarante ans, de 1965 à aujourd’hui.Le souhait que tous ces textes soient publiés à nouveau en un seul volume – explique Mgr Amato dans l’interview et en introduction de l’ouvrage – a été émis par « beaucoup d’évêques, de cardinaux et de théologiens » du monde entier.
Les textes sont presque tous dans leur version originale, en latin, ou bien en version italienne. Mais pour lire les plus importants dans différentes langues, il suffit de se rendre sur la section de la congrégation pour la doctrine de la foi du site web du Vatican.Les 200 premières pages du volume regroupent les documents émis par la congrégation quand le cardinal Alfredo Ottaviani puis le cardinal Franjo Seper en étaient les préfets. Les 400 pages suivantes rassemblent quant à elles les textes, beaucoup plus longs et nombreux, datant de l’époque où le cardinal Ratzinger était préfet. Selon Mgr Amato, on peut parler d’un « style Ratzinger » à la congrégation:
« Avec lui, on cherchait d’une part à étendre et articuler les arguments justifiant la vérité des croyances contestées, et à proposer d’autre part des orientations assurées face aux multiples défis de la culture contemporaine ».Seule une petite partie des interventions de la congrégation concerne des théologiens qui sont entrés en conflit avec le magistère de l’Eglise. En quarante ans, certaines œuvres des onze théologiens suivants ont fait l’objet de mesures: Hans Küng, Jacques Pohier, Edward Schillebeeckx, Leonardo Boff, Charles Curran, Tissa Balasuriya, Anthony de Mello, Reinhard Messner, Jacques Dupuis, Marciano Vidal, Roger Haight.

En revanche, d’autres documents expliquent mieux le travail de la congrégation pendant l’ère Ratzinger: les deux instructions sur la théologie de la libération de 1984 et de 1986, l’instruction « Donum Vitae » de 1987 sur la vie humaine naissante et la procréation, l’instruction « Donum Veritatis » de 1990 sur le rapport entre théologiens et magistère de l’Eglise, la lettre « Communionis Notio » de 1992 sur les rapports entre l’Eglise universelle et les Eglises locales, la déclaration « Dominus Iesus » de 2000 sur le christianisme par rapport aux autres religions, la note doctrinale de 2002 sur les catholiques dans la vie politique, la note de 2003 sur la légalisation des unions entre personnes du même sexe, la lettre de 2004 sur la femme.

Certains de ces documents – par exemple ceux sur la théologie de la libération et la déclaration « Dominus Iesus » – ont fait l’objet de critiques sévères au moment de leur publication, même de la part de membres de la hiérarchie. D’autres – comme la note de 2002 sur les catholiques dans la vie politique – ont été ignorés ou bien sous-évalués.

Ce dernier texte se révèle cependant aujourd’hui d’une brûlante actualité. Les principes « fondamentaux et irrévocables » qui y sont rappelés – et constamment repris par Benoît XVI dans sa prédication – sont de plus en plus au centre des controverses éthico-politiques qui divisent les différents pays sur l’avortement, l’euthanasie, l’embryon, la famille, l’éducation… En Italie, par exemple, une loi sur le « testament biologique » et une autre sur les couples de fait sont en ce moment-même en cours d’élaboration, l’Eglise s’engageant avec énergie contre l’euthanasie et pour la défense de la famille fondée sur le mariage monogamique entre un homme et une femme.

Dans son interview à « Avvenire », Mgr Amato observe:

« Beaucoup d’hommes politiques catholiques demandent des éclaircissements sur ce genre de sujets. Qu’ils veuillent ou réussissent ensuite à agir en conséquence, c’est une autre question. Les hommes politiques catholiques devraient en tout cas toujours se rappeler qu’ils n’ont pas à consentir à l’introduction de lois allant à l’encontre des principes moraux. Quand bien même ce type de loi serait déjà en vigueur, ils pourraient au moins chercher à en atténuer la portée ».

Le futur texte sur la loi naturelle se propose d’expliquer qu’en défendant ces principes fondamentaux, non seulement l’Eglise n’obéit qu’à la révélation divine, mais elle défend aussi chaque homme en tant que tel.

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Le livre:

L’interview intégrale de Mgr Angelo Amato, secrétaire de la congrégation pour la doctrine de la foi, à « Avvenire » le 28 janvier 2007:

Congregatio pro Doctrina Fidei, « Documenta inde a Concilio Vaticano Secundo Expleto Edita (1966-2005), Libreria Editrice Vaticana, 2006, pp. 665, euro 40,00.

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L’entrevue de l’archevêque Angelo Amato, secrétaire de la congrégation pour la doctrine de la foi, à « Avvenire » du 28 janvier 2007:

> Una « Donum Vitae » due: allo studio un documento sulla bioetica__________ Les textes de la congrégation pour la doctrine de la foi dans différentes langues, sur le site web du Vatican: > Congrégation pour la Doctrine de la Foi__________ A propos de l’euthanasie, la controverse provoquée fin janvier au sommet de l’Eglise par un discours du cardinal Carlo Maria Martini:> Le cardinal Martini et l’euthanasie: quand il est permis d’abréger la vie (30.1.2007)__________ Traduction française par Charles de Pechpeyrou, Paris, France