Archive pour janvier, 2007

Alors, la paix viendra…

28 janvier, 2007

du site libanese « Famille Saint Charbel » une poesie, j’ajoute une prière personnellement pour le Liban comme le Pape il a dit et comme j’entends pour « avoir fréquenté par internet le site depuis beaucoup d’ans personnellement

Alors, la paix viendra… 

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Si, tu crois qu’un sourire est plus fort qu’une arme,  Si tu crois à la puissance d’une main offerte, 

Si tu sais regarder l’autre avec un brin d’amour, 

Si tu sais préférer l’espérance au soupçon, 

Si tu estimes que c’est à toi de faire le premier pas ! 

Si tu peux te réjouir de la joie de ton voisin, 

Si pour toi l’étranger est un frère qui t’est proposé, 

Si tu sais donner gratuitement un peu de ton temps par amour, 

Si tu peux accepter qu’un autre te rendre service, 

Si tu partages ton pain et que tu saches y joindre un morceau de ton cœur, 

Si tu crois qu’un pardon va plus loin qu’une vengeance, 

Si tu peux écouter le malheureux qui te fait perdre de ton temps et lui garder le sourire, 

Si tu sais accueillir un avis différent que le tien, 

Si pour toi l’autre est d’abord un frère, 

Si tu crois que la paix est possible 

Alors viendra la paix !

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Pierre Quilbert 

 

l’Angelus Domini de ce matin – 28.1.07

28 janvier, 2007

du site italien « Korazym » (traduction): 

l’introduction du Journal à le mot du Saint Père

Les mots du Saint Père à l’Angelus Domini dans
la IV Dimanche du Temps Ordinaire, 28 janvier 2007  »Pourquoi foi et raison doivent avoir de la peur l’une de l’autre, si en se rencontrant et en dialoguant ils peuvent s’exprimer au mieux? ». Benoît XVI réfléchit sur le rapport entre foi et raison, en partant de la fondation qui  »considérer vrai seulement ce qu’il est expérimentable constitue une limitation de la raison humaine  ». En réalité,  »la raison ne perd rien en s’ouvrant aux contenus de foi  », pendant que  »la foi suppose la raison et elle la perfectionne  ». Un style à vivre même dans le rapport avec les autres religions et les cultures, à travers la synthèse chrétienne entre raison et foi,  »un patrimoine précieux pour la civilisation occidentale  ». Au terme de l’Angelus, nouvelle appel pour la paix en Liban et à Gaza et une pensée aux malades de lèpre, en à occasion de leur 54ma journée mondiale. Espace finalement à un message de paix avec la libération de deux colombes ensemble à deux garçons de l’Action catholique (dans la photo).  »Mais les messagers de la paix il est vous – il a dit Benoît XVI en se tournant à i 5 mille membres de l’association catholique présents en place – avec les ailes de la bonté et de la foi, portées partout la joie d’être des fils  ». À bras, les pontife a ajouté que  »les colombes sont des messagers de paix mais même nous sommes des messagers de paix et prions qu’elles cessent les violences en Liban, à Gaza et dans toutes les parties du monde  ».

 Nous rapportons de suivi le teste intégral des mots du Saint Père avant récite de l’Angelus des Domini  

 Chers frères et soeurs !   Le calendrier liturgique rappelle aujourd’hui Saint Tommaso d’Aquino, grand docteur de l’Église. Avec sa charisme de philosophe et de théologue, il offre un valide modèle d’harmonie entre raison et foi, dimensions de l’esprit humain, qui se réalisent pleinement dans la rencontre et dans le dialogue entre elles. Selon la pensée Saint Tommaso, la raison humaine, pour ainsi dire, « respire » : on bouge, c’est-à-dire, dans un horizon vaste, plain air, où il peut exprimer le mieux de lui. Lorsque par contre l’homme on réduit à penser seulement à des objets matériels et des expérimentable et se ferme aux grands questionnés vous sur la vie, sur si le même et sur Dieu, il s’appauvrit. Le rapport entre foi et raison constitue un sérieux défi pour la culture actuellement dominante dans le monde occidental et, vraiment pour ceci, aimé Jean Paul II a voulu vous dédier une Encyclique, intitulée justement Fides et ratio – Foi et raison. Je m’ai repris même ce argue récemment, dans le discours à l’Université de Regensburg. En réalité, le développe moderne des sciences apporte des innombrable effets positifs, qui vont toujours reconnus. Au même temps, cependant, il faut admettre que la tendance à considérer vrai seulement ce qu’est expérimentable constitue une limitation de la raison humaine et produit une terrible schizophrénie, maintenant déclarée, pour laquelle ils cohabitent rationalisme et matérialisme, iper-technologie et une instinctivité desserrée le frein. Il est urgent, par conséquent, redécouvrir en mode nouvelle la rationalité humaine ouverte à la lumière du Logos divin et à sa parfaite révélation qui est Jésus Christ, Fils de Dieu fait homme. Lorsque elle est authentique la foi chrétienne pas mortifie la liberté et la raison humaine ; et alors, pourquoi foi et raison doivent avoir de la peur l’une de l’autre, si en se rencontrant et en dialoguant ils peuvent s’exprimer au mieux ? La foi suppose la raison et elle la perfectionne, et la raison, éclairée de la foi, trouve la force pour s’élever à la connaissance de Dieu et des réalités spirituelles. La raison humaine ne perd rien en s’ouvrant aux contenus de foi, au contraire, ceux-ci demandent son la libre et consciente adhésion. Avec clairvoyante sagesse, Saint Tommaso d’Aquino réussit à instaurer une comparaison fructueuse avec la pensée arabe et hébreu de son temps, oui à être considéré un maître toujours actuel de le dialogue avec autres cultures et religions. Il sut présenter celle-là admirable synthèse chrétienne entre raison et foi qui pour la civilisation occidentale représente un patrimoine précieux, auquel puiser même aujourd’hui pour dialoguer efficacement avec les grandes traditions culturelles et religieuses de l’est et du sud du monde. Nous prions pour que les chrétiens, spécialement combien actionnent en domaine académique et culturel, ils sachent exprimer le bon sens de leur foi et de la témoigner dans dialogue inspiré de l’amour. Nous demandons à ce don aux Seigneur pour intercession de Saint Tommaso d’Aquino et surtout de Marie, Siège de
la Sagesse.
 

Pope Benedict XVI, aided by a young boy, left, and a young girl (unseen at right), releases one of two doves as a symbol of peace from his apartment window overlooking St. Peter’s Square at the Vatican Sunday, Jan. 28, 2007. In his speech the pontiff called for a halt to violence in Lebanon and the Gaza strip, saying he was hugely saddened by the pain inflicted on the populations and appealing for dialogue. (AP Photo/Plinio Lepri)

Pope Benedict XVI, aided by a young boy and a young girl, releases two doves as a symbol of peace from his apartment window overlooking St. Peter’s Square at the Vatican Sunday, Jan. 28, 2007. In his speech the pontiff called for a halt to violence in Lebanon and the Gaza strip, saying he was hugely saddened by the pain inflicted on the populations and appealing for dialogue. (AP Photo/Plinio Lepri)

Avis…

28 janvier, 2007

j’ai dû changer le template plusieurs d’une fois pour faire bien de manière de ranger les articles, excusées moi pour ces changements,

Gabriella

du journal « Avvenire »: À la recherche des Justes anonymes

27 janvier, 2007

j’ai traduit un article du journal « Avvenire », un approfondissement du journaliste sur la Shoah, chacun de nous – aussi chrétiens – il a sa mémoire de ces faits, le propre sens de l’horreur, la propre réaction, je ne pas fais de commente; les souvenirs ici à Rome ils sont forts et la souffrance a été grande, j’ai rencontré quelques survivant mais je ne peux pas raconter, seul ils peuvent le faire, il y a un respect pour ces faits qu’il va à l’aussi de la des mots,  même si elles doivent être dites de qui peut et il sait ; 

Shoah, le Jour de
la Mémoire 

À la recherche des Justes anonymes 

Roberto Righetto 

Dans une scène de Vie et je destine, le grandiose fresque de Vasilij Grossman sur l’horreur de tous les deux les totalitarismes qui ont marqué ’900, une femme russe offre un morceau de pain à un soldat allemand fait prisonnier des soviétiques après assiège de Stalingrad, vraiment pendant que le jeune nazie craint d’être lynché. Elle est une page emblématique de l’existence des Justes, de tous ceux c’est-à-dire qu’au beau milieu d’une tragédie inénarrable, en risquant souvent sa vie et beaucoup de fois en agissant presque pour instinct et sans buts dus à une idéologie, ils ont aidé un blessé même si militait dans file opposées, ont caché juifs qui étaient persécutés, ont vu en somme dans l’autre un homme et pas un ennemi. Elles sont les personnes qui sont recomptées de Margarete buber-Neumann dans ce magnifique et ensemble terrible document des atrocités du nazisme et du communisme qui est Prisonnier de Stalin et de Hitler : personnes que dans le lager ont décidé d’aider l’autre et qu’elles cohabitaient avec cette énorme zone grise qui finissait pour être complice déesses bourreaux et que Premo Levi a mis en bas accusation, énervé de ceux qui peignaient les criminels nazis comme l’incarnation du mal absolu, en oubliant les responsabilités de tous. En réalité, comme bien elle a écrit le historique Tzvetan Todorov dans un sage (Mémoire du mal, tentation de bien) qu’il reste dont il faut tenir compte pour qui veut s’accoster sans pré jugements à l’histoire de ’900, les figures des Justes, des témoins silencieux se profilent pas seulement pour leur héroïsme, mais pour leur normalité. Il y eut donc qui sut résister au mal. Pas seulement : qui eut le courage de dire non à la tyrannie et que souvent il subit à son tour injustices si pas atrocité. Mais l’injustice plus grande, à au-delà à de 60 ans de distance, reste cette de l’oubli historique. Le débat qui s’est déroulé dans ces mois sur les pages culturelles de « Avvenire » a eu vraiment le but de rouvrir une page d’histoire collective peu étudiée et explorée. On traite d’affronter une question : peut-être que l’histoire du Shoah n’est pas de réécrire – ou mieux, de préciser de nouveau – en en racontant même le Bien que ces ans terribles ont vu émerger ? Pas certes pour diminuer l’énormité de ce qu’arrivé, mais parce que même la « recherche sur bien », et pas seulement celle sur le « mal », a sens pour l’histoire. Les italiens connaissent d’ans maintenant quelques figures de « Schindler » italiennes, de George Perlasca à Giovanni Palatucci, mais certainement l’exigence « d’un Wiesenthal pour les Justes » s’impose à la recherche historiographique: ils a il y les 27.000 dans tout hébreux sauvés sur 35.000 qui vivaient en Italie, mais seulement 371 sont les « Justes entre les nations » reconnus. Pourquoi cette recherche a-t-il été jusqu’à aujourd’hui ainsi fragmentaire ? Pourquoi tant de inattention ? Il est peut-être arrivé le temps d’une histoire sans idéologies, oserions dire d’une « histoire commune » entre des hébreux et des chrétiens. Vraiment pour rendre honneur à la légion des Justes anonymes, à ces  » raccommodeurs de l’existence », pour la dire avec le théologue Olivier Clément, qui avec leur oeuvre réagissent et ils posent remède au monde continûment déchiré des forces du rien ; mais même pour indiquer les historiens – italiens mais pas seulement – une piste de travail qui porte finalement à recompter avec plus de caractère complet les immenses actes des saveur. Même sauvés ils les rendront mérite. 

LE SOULÈVEMENT DU GHETTO DE VARSOVIE

27 janvier, 2007

du site:

http://memorial-wlc.recette.lbn.fr/article.php?lang=fr&ModuleId=45

LE SOULÈVEMENT DU GHETTO DE VARSOVIE

visitez le site « Enciclopedie Multimedia de la Shoah »:

http://memorial-wlc.recette.lbn.fr/fr/ LE SOULÈVEMENT DU GHETTO DE VARSOVIE dans Shoah 34083b

United States Holocaust Memorial Museum

Entre juillet et la mi-septembre 1942, les Allemands déportèrent au moins 300 000 Juifs du ghetto de Varsovie. Pour les 40 000 qui restaient dans le ghetto, la déportation semblait inéluctable.

Plusieurs organisations juives créèrent une unité de défense armée, l’Organisation juive de combat (OJC ou Zydowska Organizacja Bojowa – ZOB). Le Parti révisionniste (les sionistes de droite) fonda une autre organisation de résistance, l’Union combattante juive (Zydowski Zwiazek Wojskowy – ZZW). Bien qu’au départ il existât certaines tensions entre ces deux organisations, elles décidèrent en fin de compte de combattre ensemble contre les nouvelles déportations.

Les Allemands tentèrent de reprendre les déportations des Juifs de Varsovie en janvier 1943. Un groupe de combattants juifs s’infiltra dans un groupe de Juifs que l’on dirigeait vers l’Umschlagplatz (point de rassemblement) et, à un signal donné, se jeta sur les gardes allemands. Après avoir pris entre 5 000 et 6 500 résidents du ghetto, les Allemands interrompirent les déportations. Encouragés par le succès apparent de la résistance, l’arrêt des déportations, les habitants du ghetto commencèrent à bâtir des abris souterrains (qu’ils nommèrent « bunkers ») en préparation d’une révolte, au cas où les Allemands entameraient la déportation finale. Les Allemands avaient l’intention de commencer à déporter les Juifs restants dans le ghetto de Varsovie le 19 avril 1943, le soir de
la Pâque juive. Lorsqu’ils entrèrent ce jour-là dans le ghetto, les rues étaient vides. La reprise des déportations constitua le signal d’une révolte armée. Bien que les Allemands soient rapidement venus à bout de la résistance militaire, des individus et de petits groupes continuèrent à se cacher et à combattre les Allemands jusqu’au 16 mai 1943. La révolte du ghetto de Varsovie fut la première révolte urbaine et symboliquement la plus importante de l’Europe occupée
Le commandant de l’OJC, Mordekhaï Anielewicz, dirigea les forces de la résistance dans la révolte du ghetto de Varsovie. Le troisième jour de la révolte, des forces blindées commandées par le général SS Jürgen Stroop commencèrent à incendier le ghetto, un immeuble après l’autre, pour faire sortir les Juifs de leurs cachettes. Les combattants effectuaient des raids sporadiques, mais les Allemands réduisirent systématiquement le ghetto en ruines. Anielewicz et ses amis furent tués lors d’une attaque de leur bunker, le 8 mai.
Le 16 mai 1943, Stroop ordonna la destruction de
la Grande synagogue de la rue Tlomacki, pour symboliser la victoire allemande. Du ghetto il ne restait que des ruines. Stroop rapporta avoir capturé 56 065 Juifs et détruit 631 abris. Il estima que ses unités avaient tué 7 000 Juifs durant la révolte. Environ 7 000 autres furent déportés à Treblinka, où ils furent exterminés. Les Allemands déportèrent les Juifs survivants dans les camps de travail de Poniatowa, de Trawniki et de
Maïdanek.
Les Allemands avaient prévu de liquider le ghetto de Varsovie en trois jours mais les combattants juifs réussirent à tenir plus d’un mois.

« Merci, l’Abbé Pierre, de nous avoir donné un tel exemple ! »

27 janvier, 2007

du Zenith: 

Obsèques de l’Abbé Pierre : Homélie du card. Barbarin

« Merci, l’Abbé Pierre, de nous avoir donné un tel exemple ! »

ROME, Vendredi 26 janvier 2007 (ZENIT.org) – Nous publions ci-dessous le texte de l’homélie prononcée ce vendredi matin par le cardinal Philippe Barbarin lors des obsèques de l’abbé Pierre qui ont été célébrées à Notre-Dame de Paris en présence de plusieurs milliers de personnes (cf. www.cef.fr).

Homélie du Cardinal Barbarin pour les obsèques de l’Abbé Pierre
Notre-Dame de Paris,
vendredi 26 janvier 2007

Emmaüs, le nom d’un village qui résume toute la vie et l’oeuvre de l’Abbé Pierre. Emmaüs, c’est un chemin.

Emmaüs, c’est d’abord la page d’Evangile que nous venons d’entendre. Elle raconte comment un chemin de tristesse peut devenir une promesse d’espérance. Deux compagnons découragés ont quitté Jérusalem. Tandis qu’ils s’éloignent de la Ville Sainte, un inconnu les rejoint, s’approche, les interroge et commence à leur parler.
Quelque chose s’éveille en eux et les bouleverse intérieurement : « Notre coeur n’était-il pas tout brûlant tandis qu’il nous parlait sur la route ? », diront-ils, lorsque leurs yeux s’ouvriront et reconnaîtront Jésus ressuscité.

Dans cet épisode du soir de Pâques, l’Abbé Pierre a vu toute sa mission, l’aventure d’Emmaüs. « Georges, lance-t-il un jour à son premier compagnon,viens, toi qui es tout cassé. Trouvons-en un autre comme toi, et nous irons ensemble soulager un troisième. »

Quelques années plus tard, la France a découvert l’épopée des chiffonniers d’Emmaüs. On les regardait comme des exclus ou des blessés de la vie, mais en vérité, ils étaient devenus des semeurs d’espérance. Il avait suffi que quelqu’un fasse jaillir en eux la source, pour que toute leur humanité soit à nouveau irriguée.

Où trouvait-il son énergie, ce prêtre à la santé fragile, constamment malade depuis son enfance ? La prière, la conversation quotidienne avec Jésus étaient le secret du dynamisme intrépide de l’Abbé Pierre. Dès son enfance, en famille, il avait appris à boire à cette fontaine d’eau vive. Durant les sept années de sa vie chez les Capucins, il reçut une solide formation spirituelle dans l’esprit de Saint François d’Assise. Plus tard, il voulut se retirer dans le silence et vécut huit ans au milieu des moines, à l’Abbaye de saint Wandrille, près d’Esteville, l’endroit où reposent ses premiers compagnons et qu’il va rejoindre ce soir.

On ne peut pas s’engager dans le service des pauvres et aller au devant de toutes les misères avec un tel enthousiasme, jusqu’à quatre vingt quatorze ans, si l’on ne va pas chercher cette force venue d’ailleurs. Que de fois, quand le fardeau se faisait trop lourd, ses proches l’ont entendu dire : « Laissez-moi ». Il entrait alors dans un dialogue dont il ne nous a livré que quelques mots : « O Dieu, toi qui es, sois ! ». Ce Dieu auquel il s’adressait avec une confiance d’enfant, Jésus lui révélait qu’Il est amour. L’appel était là ; il fallait donc repartir sur le chemin, témoigner de cet amour et le partager avec les autres.

Emmaüs, c’est une maison.

Emmaüs, c’est aussi une maison, une auberge. Elle est comme un refuge pour tous ceux que les difficultés de la route ont épuisés ou égarés. Les compagnons vont lutter ensemble pour panser les blessures. « Restituer à l’homme sa dignité, dit l’Abbé Pierre, voilà le grand secret. » Pour cela, l’itinéraire est simple : bâtir une maison, retrouver le sens et le goût du travail, gagner un salaire pour assurer sa vie et, sans tarder, venir en aide à ceux qui sont dans une misère plus grande encore.

Toujours penser aux autres d’abord. Qu’on me permette de raconter une anecdote, moment marquant de son enfance et de sa vie de famille à Lyon. Un dimanche, le jeune Henri – il n’avait pas encore dix ans – avait été puni et privé d’une sortie chez des cousins. Quand ses frères, en rentrant le soir, racontent la joie et les jeux de l’après midi, il leur répond : « Que voulez-vous que cela me fasse ; je n’y étais pas. » « Alors, dit-il, j’ai vu le visage de mon père s’assombrir. Il m’a pris à part et m’a dit : ‘Mais Henri, et les autres ? Ils ne comptent pas pour toi !’ ». Cette phrase qu’il n’a jamais oubliée marque le début de sa lutte acharnée contre toute forme d’égoïsme, le sien et celui des autres.

Béni soit Dieu pour ce père de famille nombreuse qui fait attention à chacun de ses enfants ! Et qui, par amour, lutte contre le péché dès qu’il le voit poindre dans leur coeur ! On peut dire que les autres en ont eu de la place, dans la suite de sa vie !

Tout est parti d’une pauvre baraque, trouvée à Neuilly Plaisance, en 1947. On la retape et les premiers compagnons arrivent deux ans plus tard. Sur la porte, il pose une pancarte : « Emmaüs ». Au fil des ans, les foyers vont se multiplier. A Charenton, où l’on a récupéré une ancienne chapelle, l’abbé loge au 10ème étage d’un immeuble voisin et vient souvent manger avec les compagnons. Durant l’hiver 54, l’insurgé de Dieu réveille la France entière de sa torpeur par ce cri devenu célèbre : « Mes amis, au secours, une femme vient de mourir gelée cette nuit à trois heures, sur le trottoir du Boulevard Sébastopol ».

Le ton de sa voix, les images de ce grand moment restent gravés dans nos mémoires. Un peuple tout entier, grâce à l’Abbé Pierre, est entré dans « l’insurrection de la bonté ».

Tout homme a droit à un logement décent où il puisse vivre avec les siens. Cinquante ans plus tard, l’aventure continue, et le combat est loin d’être gagné. L’Abbé Pierre ne l’abandonnera jamais, il a communiqué son élan à beaucoup d’autres. L’an dernier encore, à quatre vingt treize ans, il a repris son bâton de pèlerin pour aller à l’Assemblée Nationale supplier les députés d’agir en faveur des mal logés.

Non seulement il a toujours défendu les pauvres, mais il a vécu lui-même comme un pauvre. Dès l’âge de 19 ans, il renonce à sa part d’héritage et distribue tous les biens qui lui viennent de sa famille. Député de Meurthe et Moselle, au lendemain de la guerre, il donne chaque mois son indemnité parlementaire à ceux qui manquent de tout. Jusqu’au bout de sa course, malgré sa notoriété, il a gardé la pauvreté. Cela garantit l’authenticité de son action.

Mais c’est encore peu de chose pour lui. Si ce geste n’est pas habité par une lumière plus profonde, il ne vaut rien du tout. C’est lui qui a souhaité nous faire entendre ce matin le brûlant enseignement de saint Paul sur la charité : « J’aurais beau distribuer toute ma fortune aux affamés, s’il me manque l’amour, cela ne me sert à rien » (1 Cor 13, 3).

Emmaüs, c’est un repas, une révélation et un nouveau départ.

Emmaüs, enfin, c’est un repas. Dans les Foyers, on trouve une table ouverte pour une nourriture simple ou un repas de fête. Chacun a sa place, la conversation est animée, et, en hiver, le café chaud est apprécié de tous ; grand moment de la vie quotidienne et fraternelle. Depuis quelques années, pour la fin de sa route, Alfortville, cité de la banlieue parisienne était tout étonnée et heureuse d’accueillir le Français le plus estimé de ses compatriotes. C’est là qu’il a été accompagné jusqu’au bout. Dans quelques pièces, à côté du Centre International de ses compagnons, il a su garder la douce lumière d’Emmaüs, en attendant l’heure de la rencontre.

L’Evangile d’Emmaüs nous fait comprendre que nous sommes aussi attendus pour un autre repas. Le Seigneur se met à table avec nous. Il prend le pain, le bénit et nous le donne. C’est un geste qui résume toute la mission du Christ et l’ambition de l’Abbé Pierre. Rien n’est plus utile à l’humanité que ce partage concret et fraternel. A ce « repas du Seigneur », il a toujours été fidèle. Chaque soir, à l’heure dite, il célébrait la Messe. Tout était préparé avec soin dans sa chambre : la table installée, un calice, quelques hosties, et son livre usé qu’il avait annoté à toutes les pages.

Ce repas est le moment d’une Révélation. A Emmaüs, pendant que le pain est rompu, les yeux des compagnons s’ouvrent et ils reconnaissent le Seigneur : Il est vraiment ressuscité. Désormais, la victoire de l’amour contre toutes les tristesses de ce monde est assurée. Mais le Christ disparaît ; ses disciples sont passés de la désillusion à l’enthousiasme. Aussitôt, ils partent sur la route comme des messagers d’espérance.

C’est le repas que nous vivons en ce moment à Notre-Dame de Paris, et l’Abbé Pierre y prend part mystérieusement. Il attendait la mort dans la paix et avec une grande foi. On peut dire qu’il la désirait. A la fin du « Je vous salue Marie », il préférait dire : « Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de la Rencontre. » Nous prions ce matin pour que Dieu lui accorde son pardon et lui donne de vivre l’immense joie de cette rencontre. Au seuil de la maison où Jésus est parti nous préparer une place, notre Père l’attend et lui ouvre les bras.

Merci, Seigneur, de nous avoir donné un tel frère !

Merci, l’Abbé Pierre, de nous avoir donné un tel exemple !

Vous disparaissez et nous, comme les compagnons d’Emmaüs, nous repartons d’un bon pas, aujourd’hui, pour témoigner de cet amour et servir les autres, jusqu’à notre dernier souffle.

Cardinal Philippe Barbarin
Archevêque de Lyon

un commentaire sur 12 Corinthiens 12,13-13 du Père Cantalamessa

26 janvier, 2007

du site Zenith un commentaire sur 12 Corinthiens 12,13-13:

Donnée publication : 2007-01-26 Le prédicateur de le Pape sur le plus célèbre et sublime hymne à l’amour –  Le commente de père Raniero Cantalamessa, OFM cap, à la liturgie de dimanche prochaine 

SI JE N’AI PAS CHARITÉ… 

IV Dimanche du Temps Ordinaire Jérémie 1, 4-5.17-19 ; Les Corinthiens 12, 31-13.13 ; Luc 4, 21-30 

Nous dédions notre réflexion à la seconde lecture, où nous trouvons un message très important. Il s’agit de le célèbre hymne de Saint Paul à la charité. Charité est le terme religieux pour dire amour. Ceci donc est un hymne à l’amour, peut-être plus célèbre et sublime que soit jamais écrit. Lorsque il apparut sur la scène du monde le christianisme, l’amour il avait eu déjà divergés des chantres. La plus illustre était Platon qui avaient écrit sur elle un entier traité. Le nom commun de l’amour était alors éros (dont notre érotico et érotisme). Le christianisme sentit que ceci amour passionnel de recherche et de désir ne suffisait pas d’exprimer la nouveauté du concept biblique. Donc il évita entièrement le terme éros et à lui il substitua celui de agape, qu’on devrait traduire avec des dilection ou avec de la charité, si ce terme n’avait pas acquis maintenant un sens trop serré (faire la charité, oeuvres de charité). La différence principale entre les deux amours est celle-ci. L’amour de désir, ou érotico, est exclusif ; il se consomme entre deux personnes ; l’interférence d’une troisième personne signifierait le sien fine, le trahison. Parfois même l’arrivée d’un fils réussit à mettre en crise ce type de amour. L’amour de donation, ou agape, au contraire, il embrasse tous, ne peut pas exclure personne, même pas l’ennemi. La formule classique du premier amour est celle que nous sentons sur les lèvres de Violetta dans
la Traviata de Verdi :  » aime-moi Alfredo,
aime-moi combien je t’aime « . La formule classique de la charité est cette de Jésus qui dit : « Comme je vous ai aimés, ainsi vous aimées vous les uns les autres ». Ceci est un amour fait circulaire, pour s’étendre. Une autre différence est celle-ci. L’amour érotique, dans la forme plus typique qui est fait de tomber amoureux, pour sa nature pas dure à le long de, ou dure seulement en changeant objet, c’est-à-dire en se tombant amoureux successivement divergées de personnes. De la charité par contre Saint Paul dit que « il reste », au contraire est l’unique chose qui reste dans éternel, même après que seront cessé la foi et l’espoir. Entre les deux amours cependant – celui de recherche et celui de donation, il n’y a pas séparation nette et contraposition, mais plus plutôt je développe, croissance. Le premier, l’éros, est pour nous le point de départ, la seconde, la charité, le point d’arrivée. Entre les deux il y il a tout l’espace pour une éducation à une amour et croissance dans elle. Nous prenons le cas plus commun qu’il est l’amour de couple. Dans l’amour entre deux époux, au debout il prévaudra l’éros, l’attrait, le désir réciproque, la conquête de l’autre, et donc un certain égoïsme. Si ceci amour ne force pas de s’enrichir, chemin en faisant, d’une dimension nouvelle, faite de gratuité, de tendresse réciproque, de capacité de s’oublier pour l’autre et se projeter dans les fils, tous nous savons comme il finira. Le message de Paul est de grande actualité. Tout le monde du spectacle et de la publicité semble engagé aujourd’hui à inculquer aux jeunes qui l’amour se réduisent à l’éros et à l’éros au sex. Que la vie est un idyllique continu, dans un monde où tout est beau, jeune, j’assainis ; où il n’y a pas vieillesse, maladie, et tous peuvent dépenser combien veulent. Mais celle-ci est une colossale mensonge qui engendre des attentes disproportionnées, que, déçues, provoquent de la frustration, de la rébellion contre la famille et la société, et ouvrent souvent la porte au crime. Le mot de Dieu nous aide à faire en sorte qu’on n’éteigne pas entièrement dans les gens le sens critique face à ce qui quotidiennement vient refiler. 

Homélie de Benoît XVI pour la fermeture de la Semaine de Prière pour l’Unité des Chrétiens

26 janvier, 2007

 du Zenith (traduction):

Donnée publication : 2007-01-26 Homélie de Benoît XVI pour la fermeture de
la Semaine de Prière pour l’Unité des Chrétiens 

Chers frères et soeurs ! 

Pendant la « Semaine de prière », que ce soir se conclut, elle s’est intensifiée, en diverses Églises et Communauté ecclésiaux du monde entier, la commun invocation aux Seigneur pour l’unité des chrétiens. Nous avons médité ensemble sur les mots de l’évangile de Marc proclamée naguère: « Entendre Il y à il y à les sourdes et parler le muets » (Mc 7,37), le thème biblique proposé des Communautés chrétiennes du Sud Afrique. Les situations de racisme, de pauvreté, de conflit, d’exploitation, de maladie, de souffrance, dans lesquelles elles on trouvent, pour la même impossibilité de se faire comprendre dans ses besoins, suscitent dans eux une aiguë exigence d’écouter le mot de Dieu et de parler avec courage. Être sourd-muet, ne pas pouvoir né écouter né y parler, ne peut pas en effet être marque de manque de communion et un symptôme de division ? La division et l’incommunicabilité, conséquence du péché, sont contraires à dessine de Dieu. L’Afrique il nous a offert cet an thème de réflexion de grande importance religieuse et politique, parce que « parler » et « écouter » elles sont des conditions essentielles pour construire la civilisation de l’amour. Il y à les mots « entendre il y à les sourdes et parler les muets » ils constituent une bonne nouvelle, qui annonce les venue du Règne de Dieu et guérison de l’incommunicabilité et de la division. Ce message se retrouve dans toute la prédication et l’oeuvre de Jésus, qui traversait des villages, ville et campagnes, et partout il arrivait « posaient lui rend infirme dans les places et ils le priaient de lui pouvoir toucher au moins la frange du manteau ; et combien le touchaient ils guérissaient « (Mc 6,56). Les guérison du sourd-muet, sur lequel nous avons médité dans ces jours, se produit pendant que Jésus, laissée la région de Tir, se dirige vers le lac de Galilée, en traversant les soi-disant « Décapole », le territoire infliger une amende- ethnique et le pluri religieux (cfr Mc 7,31). Une situation emblématique même pour nos jours. Comme ailleurs, aussi dans les Décapole ils présentent à Jésus un malade, un homme sourdes et défectueux dans parler (moghìlalon) et ils le prient lui imposer les mains. Ils lui demandent une bénédiction, c’est-à-dire une intervention religieuse, parce qu’ils le considèrent un homme de Dieu. Jésus mène le sourd-muet lointain de la foule, et accomplit des gestes qu’ils signifient contacte salvifique – il pose les doigts dans l’oreille, il touche avec sa salait la langue du malade -, et ensuite, en tournant le regard au ciel, il commande : « Ouvrez-toi! ». Il prononce ce commande en araméen (« Ephphathà »), vraisemblablement la langue des personnes présentes et du même sourd-muet, expression qui l’évangéliste traduit en grec (dianoìchthéti). L’oreille du sourdes ils s’ouvrirent, on dénoua le noeud de sa langue : « et il parlait correctement » (or thés). Jésus recommande qu’on ne dise rien du miracle. Mais plus il le recommandait, « plus ils en parlaient » (Mc 7,36). Et je commente étonné de combien avaient assisté calque la prédication d’Isaïe pour la venue de le Messie : « Entendre Il y à il y à les sourdes et parler le muets » (Mc 7,37). Le premier enseignement que nous tirons de cet épisode biblique, rappelé même dans le rite du baptême, est que, dans la perspectif chrétienne, j’écoute est prioritaire. À ce sujet Jésus il affirme en mode explicite : « Charmés qui écoutent le mot de Dieu et ils la mettent en pratique » (Lc 11,28). Au contraire, Il dit que « une seule est la chose dont il y a besoin » (Lc 10,42). Et de le conteste résulte que cette unique chose est écoute obéissant du Mot. Donc l’écoute du mot de Dieu est prioritaire pour les nôtre engage œcuménique. Il n’est pas en effet nous à faire ou à organiser l’unité de l’Église.  Le Église pas il y à si même et pas vivre si même, mais de le mot que vient da la bouche de Dieu. Écouter ensemble le mot de Dieu ; pratiquer la « lectio divine » de
la Bible, c’est-à-dire la lecture liée à la prière ; se laisser surprendre de la nouveauté, qui jamais vieillit et jamais s’épuise, du mot de Dieu ; dépasser notre surdité pour ces mots qu’on n’accorde pas avec nos préjudice et nos opinions ; écouter et étudier même ceux qui avant nous ont écouté le mot de Dieu, pour apprendre de leurs et ainsi légers
la Bible en cette longue et riche tradition de eux écoute ; tout cela constitue un chemin à parcourir pour rejoindre l’unité dans la foi, comme répondue à écoute du Mot. Qui se pose à écoute du mot de Dieu peut et doit ensuite parler et la transmettre aux autres, aux à lesquels ils ne l’ont jamais écoutée, ou à qui l’a oublié et a enterré sous les épines des préoccupations et des duperies du monde (cfr Mt 13,22). Devons-nous nous demander : nous chrétiennes, ne sommes-nous pas devenus peut-être trop muets ? Ne nous manque pas peut-être le courage de parler et de témoigner comme ils ont fait ceux qui étaient les témoins des guérison du sourd-muet dans les Décapole ? Notre monde a besoin de ce témoignage ; il attend surtout le témoignage commun des chrétiens. Donc j’écoute du Dieu qui parle implique même écoute réciproque, je dialogue entre les Églises et les Communautés ecclésiaux. Je dialogue honnête et loyal il constitue le moyen dont il faut tenir compte de la recherche de l’unité. Le Décret sur l’œcuménisme de Concilio Vatican II a souligné que si les chrétiens ne se connaissent réciproquement pas ils ne sont même pas imaginables des progrès sur de la communion. Dans le dialogue en effet on nous écoute et il se communique ; on nous confronte et, avec la grâce de Dieu, on peut converger sur son Mot en accueillant les exigences, qui sont valides pour tous. Dans l’écoute et dans le dialogue les Pères conciliaire n’ont pas entrevu une utilité adressée exclusivement au progrès oecuménique mais ils ont ajouté une perspectif référée à la même Église catholique : « De ce je dialogue – il affirme teste de Concilio – apparaîtra même plus clairement la quelle soit vraie situation de l’Église catholique » (Unitatis redintegratio, 9) Est indispensable certain « exposer avec clarté toute la doctrine » pour dialogue qu’il affronte, discute et dépasses les divergences existantes entre les chrétiens, mais au même temps « la mode et la méthode d’énoncer la foi catholique ne doit pas dans quelque mode être de entrave à dialogue avec les frères » (ibid., 11). Il faut parler correctement (orthos) et en mode compréhensible. Le dialogue oecuménique comporte l’évangélique correction fraternelle et mène à un réciproque enrichissement spirituel dans le partage des authentiques expériences de foi et de vie chrétienne. Parce que cela se produise faut implorer sans se fatiguer l’assistance de la grâce de Dieu et l’éclairage de l’Esprit Saint. Il est combien les chrétiens du monde entier ont fait pendant cette spéciale « Semaine », ou feront dans
la Neuvaine qui précède
la Pentecôte, comme aussi dans chaque circonstance opportune, en élevant leur confiante prière pour que tous les disciples de Christ soient une chose seule, et pour que, dans l’écoute du Mot, puissent donner un témoignage concorde aux hommes et aux femmes de notre temps. Dans ce climat d’intense communion je désire tourner mon cordial salue à tous les présents : au Monsieur Cardinale Archiprêtre de cette Basilique, au Monsieur Cardinale Président du Pontifical Conseil pour
la Promotion de l’Unité des Chrétiens et aux autres Cardinaux, à des vénérés des Frères dans l’Episcopat et dans le sacerdoce, aux Moines bénédictins, aux religieux et aux religieuses, aux laïques qui représentent l’entière communauté diocésain de Rome. En mode spéciale je voudrais saluer les frères des autres Églises et
la Communauté ecclésial qui prennent une partie à la célébration, en rénovant la significative tradition de conclure ensemble la « Semaine de Prière », dans le jour dans lequel nous commémorons la fulgurante conversion Saint Paul sur la voie de Damas. Ils sont heureux de souligner que le sépulcre de l’Apôtre des gens, prés dont nous nous trouvons, a été récemment objet d’enquêtes et d’études, suite auxquelles on a voulu le rendre visible aux pèlerins, avec une opportune intervention sous l’autel majeur. Pour cette importante initiative j’exprime mes félicitations. Aux intercession de Saint Paul, infatigable constructeur de l’unité de l’Église, je confie les fruits écoute et du témoignage commun que nous avons pu expérimenter dans beaucoup de rencontres des fraternelle et des dialogues produits dans le cours de 2006, tant avec les Églises d’Orient combien avec les Églises et Communauté ecclésiaux en Occident. Dans ces évènements il a été possible percevoir la joie de la fraternité, ensemble à la tristesse pour les tensions que ils restent, en conservant toujours l’espoir qui nous inspire les Seigneur. Nous remercions combien ont contribué à intensifier dialogue oecuménique avec la prière, avec offerte de leur souffrance et avec leur infatigable action. Il est surtout à nos Seigneur Jésus Christ que nous rendons des ferventes merci pour tout. Les Vierge Marie tu fais en sorte que combien première il puisse se réaliser l’ardent  halètement d’unité de son divin Fils : « Que tous soient une chose seule… pour que le monde croie » (Jn 17,21). 

27.1.06 jour de la memoir de la Shoah

26 janvier, 2007

 je voudrais mettre quelque chose pour le jourde demain, pour le jour de la mémoire du shoah, suis difficile choisir les témoins en français même si il y a beaucoup, en mets seul une image que j’ai trouvé sur un site français, me semble déjà emblématique:

si vous voulez clikkez ici pour voir…

http://www.fondationshoah.info/

27.1.06 jour de la memoir de la Shoah dans Pape Benoit dysentrique

Carte postale éditée par des associations résistantes en 1952 (FNDIRP)

image:

http://perso.orange.fr/d-d.natanson/dysentrique.jpg

une poesie du site libanais « Marc Charbel »

26 janvier, 2007

elle m’est arrivée la newsletters de le site libanais « Marc Charbel » de rite maronite, est tant de temps que je le suis et n’arrivait pas les news de quelque temps, aujourd’hui est arrivée et je suis content, en espérons que soit le marque qu’en Liban les choses se mettent meilleure, je mette une poésie arrivée aujourd’hui, sous le lien: Église Maronite du Libano,

Mon cœur T’aime

Mon cœur T’aime,

Aussi Te désire-t-il,

Te cherche-t-il en pleurant.

Tu as orné le ciel d’étoiles,

L’air de nuages,

La terre de lacs,

De fleuves et de riants jardins ;

Mais mon âme T’aime,

Toi seul,

Et non le monde pour si beau qu’il soit.

C’est Toi que je désire, Seigneur.

Je ne puis oublier Ton regard tranquille et doux ;

Je T’en supplie avec des larmes :

Viens, entre chez moi,

Purifie-moi de mes péchés.

Tu regardes ici-bas du haut de Ta gloire ;

Tu sais bien la ferveur du désir de mon âme.

Ne m’abandonne pas,

Exauce Ton serviteur qui crie comme le prophète David :

Pardonne-moi, mon Dieu, selon Ta grande miséricorde.

STARETZ SILOUANE

Russie, 1866-1938

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