Archive pour le 31 janvier, 2007

aujourd’hui San Giovanni Bosco

31 janvier, 2007

Saint Jean Bosco (1815-1888)

du site:

http://www.mariedenazareth.com/2398.1.html

 

Dès sa plus tendre enfance, Jean Bosco apprit de sa mère (veuve) à aimer, à prier la Vierge Marie, à avoir souvent recours à elle. A l’âge de 9 ans, Marie lui indiquera la route à suivre. Sous la forme d’un « songe », comme cela lui arrivera plusieurs fois dans sa vie.

« Je suis celle que ta maman t’a appris à prier trois fois par jour »

Il le raconte lui-même : « Je me trouvais au milieu d’une troupe d’enfants qui se battaient, juraient, s’injuriaient. Aussitôt je voulus les en empêcher en usant de la force de mes poings. Je vis alors venir à moi une belle Dame qui m’a dit : « Ce n’est pas ainsi que tu y arriveras, mais par la douceur ». Tout à coup ce fut une bande de bêtes sauvages de toutes sortes. A la vue de la Dame, ils se transformèrent tous en brebis dociles. Je lui demandai alors qui elle était et elle me répondit : « Je suis celle que ta maman t’a appris à prier trois fois par jour ». Elle me montra son fils et me dit qu’il m’aiderait ». Tel est ce songe, que l’on a appelé le « songe des 9 ans » et dans lequel Jean Bosco a compris, au fil des ans, qu’il lui indiquait clairement sa mission. On peut remarquer la place primordiale de Marie. Et cette mission : s’occuper des jeunes pauvres et abandonnés.

Le 8 décembre 1841…

Don Bosco s’apprête à célébrer la messe dans une église de Turin. Il fait froid. La porte de la sacristie est ouverte. Un jeune d’une quinzaine d’années entre pour être au chaud. Le sacristain apprenant qu’il ne sait pas servir la messe, le chasse à coup de plumeau. Et Don Bosco de lui dire : « Rappelez-le, c’est mon ami ». Un dialogue bref s’engage alors. Don Bosco apprend que, venu de la campagne pour trouver du travail ce jeune est orphelin, ne sait ni lire ni écrire, ne sait pas grand-chose de la religion. Alors Don Bosco lui demande : « Tu sais au moins siffler ? Jouer ? » La glace est rompue. « Et si, moi, je te faisais le catéchisme, tu voudrais ? » Réponse positive, bien sûr… Don Bosco célèbre la messe à laquelle assiste le garçon. Ensuite, c’est la première leçon de catéchisme. Don Bosco, conscient que quelque chose de grand commençait, récite de tout son cœur un « Je vous salue » et confie la suite à Marie. C’était un 8 décembre, fête de Marie Immaculée, et Don Bosco a affirmé qu’il n’avait jamais prié l’Ave Maria avec autant de ferveur. « Vous serez leur mère » La semaine suivant ce 8 décembre, notre jeune revient. Comme il l’avait promis à Don Bosco, il est accompagné de quelques dizaines d’autres, dans le même cas que lui. Au bout d’un certain temps, ils sont plusieurs centaines. Après pas mal de difficultés et de déboires, Don Bosco trouve à louer une sorte de hangar, que les jeunes eux-mêmes aménagent, car la plupart son apprentis ou ouvriers du bâtiment. Ce sera le premier « internat ». Pour s’occuper du linge, de la nourriture, du jardinage, il fait venir sa maman, depuis la campagne piémontaise. Après avoir fait le tour de la maison, elle dit à son fils : « Mais ça manque de tout ici ». A quoi le fils répond, en montrant une image de Marie accrochée au mur : « Mais elle est là, elle ! ». Au bout de quelques temps, « maman Marguerite » meurt. Don Bosco se tourne vers Marie et dit : « Désormais, c’est vous qui serez la maman de ces jeunes et qui veillerez sur eux ». Terre de Feu et Patagonie… 

Ayant établi des œuvres en dehors d’Italie déjà (France, Espagne, Belgique…), don Bosco songe à envoyer des Salésiens en mission au loin, dans des terres encore païennes. Or, une nuit, la Vierge montre à Don Bosco, dans un songe, des contrées où la foi chrétienne n’avait pas encore pénétré : Patagonie et Terre de Feu, à l’extrême sud de l’Amérique du Sud. Et Don Bosco vit ces pays avec une telle précision que, quelques années après, de passage à Lyon, il peut faire une conférence sur ces régions à des membres d’une académie de géographie qui en furent stupéfaits… car il n’y était jamais allé ! Les Salésiens furent ainsi les premiers à christianiser cette partie du monde.

La Navarre

Un songe encore, où la Sainte Vierge joue le premier rôle. En 1878, une nuit, elle montre à Don Bosco une petite œuvre comprenant deux petits bâtiments où travaillent quelques dizaines d’orphelins qui apprennent les métiers de la terre et de la vigne. Cette œuvre marche vaille que vaille sous la conduite d’un prêtre du diocèse de Fréjus Toulon. Et Don Bosco voit s’organiser la maison avec toujours plus de jeunes. Il en sort même des Salésiens… (Il faut dire que pendant 30 ans de 1929 à 1959, la Navarre servit de noviciat pour la province de Lyon)… Moins de 3 jours après, l’évêque de Fréjus-Toulon écrit à Don Bosco pour lui demander de venir prendre la maison… Evidemment, il accepta sans hésitation.

« La Vierge Marie : c’est elle qui a tout fait !… »

Ce ne sont là que quelques faits. Il y en a bien d’autres ! Mais ils montrent la confiance de Don Bosco en Marie : comment il s’est laissé guider par elle, combien elle a été son inspiratrice… et comment il a su inculquer à ses jeunes (élèves et religieux) une grande dévotion à la Sainte Vierge, invoquée sous le titre d’ « Auxiliatrice »ou  »Secours des chrétiens ». Tout cela lui a permis de dire, à la fin de sa vie, alors que l’on s’étonnait de toutes ses œuvres :  »La Vierge Marie : c’est elle qui a tout fait !… » …y compris ses nombreux miracles, toujours réalisés par son intermédiaire. Il est le fondateur de la Société de Saint François de Sales (Salésiens), approuvée en 1869 et de l’Institut des Filles de Marie Auxiliatrice (salésiennes). Sa fête : le 31 janvier.aujourd'hui San Giovanni Bosco dans Approfondissement clear
giovannibosco dans Pape Benoit

San Giovanni Bosco, image du site:

http://www.enrosadira.it/santi/g/giovannibosco.htm

Le Pape ce matin a San Pietro

31 janvier, 2007

Le Pape ce matin a San Pietro dans Pape Benoit

Pope Benedict acknowledges the crowd during his weekly general audience at the Vatican January 31, 2007. REUTERS/Dario Pignatelli (VATICAN)

 dans Pape Benoit

Pope Benedict XVI is lit by the flash of a camera as the faithful take pictures, as he arrives for the weekly general audience in Paul VI hall at the Vatican, Wednesday Jan. 31, 2007. At midground left facing camera, the chief of papal security Domenico Giani. (AP Photo/Plinio Lepri

La Catéchèse du Pape de ce matin – 31.1.07…et…

31 janvier, 2007

Du site italien « Korazym » (traduction ; en effets cette fois j’ai travaille beaucoup pour la traduction pour contrôler toutes les citations bibliques, au moins celles-là sont exacts, de BJ et du site : 

      http://www.listabible.com/bible-lirelabible-segond-actes-19.html

pour la traduction il y a deux heures et moyen, même si il y a des erreurs pour ce qui concerne la Bible j’ai contrôlé  tout); 

…et…pour aujourd’hui il est tout, je suis très fatigué, en outre ai battu la tête en mode forte, c’est-à-dire la poignée de la porte de ma chambre s’est détachée tout à coup en sautant vers le haut et il m’a pris en front, s’est passé samedi soir cependant j’ai encore douleur et, même si heureusement le coup ne m’a pas pris l’oeil ai marque « aubergine » autour de oeil droit, ils m’ont dit (pour me prendre en tour) si je m’étais truquée trop fort ; donc bonne soirée et bonne nuit ;

Le teste intégral des catéchèse de le Pape 

Chers frères et soeurs, en poursuivant les nôtre voyage entre les protagonistes des origines chrétiennes, dédions aujourd’hui notre attention à quelques autres collaborateurs Saint Paul. Nous devons reconnaître que l’Apôtre est un exemple éloquent d’homme ouvert à la collaboration : dans l’Église il ne veut pas faire tout tout seul, mais il se sert de nombreux et diversifiés des collègues. Nous ne pouvons pas nous arrêter sur tous ces précieux adjudants, parce qu’ils sont beaucoup. Bâts se rappeler, entre les autres, Epaphras (cfr 1.7 ; 4.12 ; Phm 23), Epaphrodite (cfr Ph 2.25 ; 4,18), Tychique (cfr Ac 20.4 ; Ep 6.21 ;  4.7 ; 2 Tm 4.12 ; Tt 3,12), Urbain (cfr Rom 16,9), Gaïus et Aristarque (cfr Ac 19.29 ; 20.4 ; 27.2 ; 4,10). Et femmes comme Phéebe (cfr Rm 16, 1), Tryphene et Tryphose (cfr Rm 16, 12), Perside, la mère de Rufus – dont Saint Paul dit : «  et sa mère, qui est aussi la mienne.  » (cfr Rm 16, 12-13) – pour ne pas oublier de conjoints comme Prisca et Aquilas (cfr Rm 16.,3 ; 1Co 16.,19 ; 2Tm 4, 19). Aujourd’hui, entre ce grand rang de collaborateurs et de collaboratrices Saint Paul nous tournons notre intérêt à trois de ces personnes, qui ont déroulé un rôle particulièrement significatif dans les évangélisation des origines : Barnabas, Silvano et Apollo. Barnabas signifie « fils des exortation » (Ac 4,36) ou « fils de la consolation » et est le surnom d’une Juif-lévite natal de Chypre. Qui s’est établi à Jérusalem, il fut des déesses premiers qui embrassèrent le christianisme, après les résurrection du Seigneur. Avec grande générosité il vendit un champ de sa propriété en délivrant le résultat aux Apôtres pour les nécessités de l’Église (cfr Ac 4,37). Fut lui à se faire garante de la conversion de Saul prés de la communauté chrétienne de Jérusalem qui ancre se méfiait de l’ancien persécuteur (cfr Ac 9,27). Envoyé à Antiochia de Syrie, alla reprendre Paul à Tarse, où ceux-ci s’était retirés, et avec nous lui passâmes une année entière, en se dédiant aux évangélisation de celle-là importante ville, dans l’Église de laquelle Barnabas était connue comme prophète et docteur (cfr Ac 13,1). Ainsi Barnabas, à l’instant des premières conversions des païens, a arrive que celle-là était maintenant de Saul, Là il est allé à le chercher. Ainsi, dans cet instant important, il a presque rendu Paulo à l’Église ; il les a offertes, en ce sens, encore une fois l’Apôtre des Gens. De l’Église antiochienne Barnabas il fut envoyé en mission ensemble à Paulo, en accomplissant ce qui va sous le nom de premier voyage missionnaire de l’Apôtre. En réalité, on agit d’un voyage missionnaire de Barnabas, en étant il le vrai responsable, auquel Paul se réunit comme collaborateur, en touchant les régions de Chypre et de l’Anatolia centrer- méridionale, dans l’actuelle Turquie, avec les villes d’Attalìa, de Perge, d’Antiochia de Pisidie, d’Icone, de  Lystre et  Derbe Lystre et Derbe (cfr Ac 13-14). Ensemble à Paulo il s’apporta ensuite al soi-disant Concilie de Jérusalem où, après approfondi examen de la question, les Apôtres avec les Âgés décidèrent de disjoindre la pratique de la circoncision da l’identité chrétienne (cfr Ac 15.1-35). Seulement ainsi, à la fin, ils ont officiellement rendu possible l’Église des païen, une Église sans circoncision : nous sommes des fils d’Abraham simplement pour la foi en Christ. Les deux, Paul et Barnabas, entrèrent ensuite dans contraste, au debout de la seconde voyage missionnaire, parce que Barnabas était de l’idée de prendre comme pareil Jean surnommé Marc, pendant que Paulo ne voulait pas, en s’étant le jeune séparé d’eux pendant le voyage précédent (cfr Ac 13.13 ; 15.36-40). Donc même entre des saints il y a des contrastes, discordes, controverses. Et celui à moi apparaît beaucoup consolant, parce que nous voyons que les saints « ne sont pas tombés du ciel ». Ils sont des hommes comme nous, avec des problèmes même compliqués. La sainteté ne consiste dans le ne pas avoir jamais faux, péché. La sainteté croît dans la capacité de conversion, de repentir, de disponibilité à recommencer, et surtout dans la capacité de réconciliation et de le pardonne. Et ainsi Paul, qui avait été plus plutôt âpre et amer vis-à-vis de Marc, à la fin il se retrouve avec lui. Dans les dernières Lettres Saint Paul  à Philémon et dans la deuxième à Timoteo, vraiment Marc apparaît comme « mon collaborateur ». Il n’est donc le ne pas avoir jamais faux, mais la capacité de réconciliation et de je pardonne qu’il nous fait des saints. Et tous nous pouvons apprendre ce chemin de sainteté. En tout cas Barnabas, avec Jean Marc, répartit vers Chypre (cfr Ac 15,39) autour de l’an 49. de cet instant on pardonne ses traces. Tertullien lui attribue
la Lettre aux Hébreux, qu’il ne manque pas de vraisemblance parce que, en étant de la tribu de Lévi, de Barnabas pouvait avoir un intérêt pour le thème du sacerdoce. Et
la Lettre aux Juifs nous interprète en mode extraordinaire le sacerdoce de Jésus. Un autre pareil de Paulo fut Silas, forme gréciser d’un nom hébreu (peut-être sheal, « demander, invoquer », qu’elle est la même racine du nom « dont Saul »), elle résulte même la forme latinisé Silvan. Le nom Silas est attesté seulement dans le Livre des Actes, pendant que le nom Silvan paraît seul dans les Lettres de Saint Paul (note  au Actes 15,22 BJ : b) Silas, compagnon de mission de Paul, 15,22 – 18 5, est identique au Silvan que mentionne 1 Th 1, 1; 2 Th 1 1; 2 Co 1 19; 1 P 5 12;). 
  Il était un Juif de Jérusalem, un des premiers à se faire chrétien, et dans cette Église jouissait de grande estime (cfr Ac 15,22), en étant considéré prophète (cfr Ac 15,32). Fut chargé d’apporter « les frères d’Antiochia, de Syrie et de Cilicie » (Ac 15,23) les décisions prises à Concilie de Jérusalem et de les expliquer. Évidemment il était retenu capable d’actionner une sorte de médiation entre Jérusalem et Antiochia, entre juif- chrétiens et chrétiens d’origine païen, et ainsi de servir l’unité de l’Église dans la diversité de rites et d’origines. Lorsque Paul se sépara de Barnabas, il assuma vraiment Silas comme nouvelle pareil de voyage (cfr Ac 15,40). Avec Paul il rejoignit
la Macédoine (avec les villes de Philippes, de Thessalonique et de Bérée), où il s’arrêta, pendant que Paul poursuivit vers Athènes et ensuite Corinthe. Silas le rejoignit à Corinthe, où il coopéra à la prédication de l’Évangile ; en effet, dans la seconde Lettre adressée de Paul à cette Église, on parle de « Jésus Christ, que vous avons prêchés entre nous, moi, Silvan et Timothée » (2 Cor 1,19). Il s’explique ainsi comme jamais il résulte comme Co – expéditeur, ensemble à Paulo et à Timothée, des deux Lettres aux Thessaloniciens. Même ceci me semble important. Paulo n’agit pas de « soliste », de pur individu, mais ensemble avec ces collaborateurs dans « nous » de l’Église. Ceci « je » de Paolo il n’est pas « moi » îlot, mais « je » dans « nous » de l’Église, dans « nous » de la foi apostolique. Et Silvan à la fin est mentionné aussi dans la première Lettre de Pierre, où loi : « Je vous ai écrit pour moyen de Silvan, frère fidèle » (5.12). Ainsi nous voyons même la communion des Apôtres. Silvan sert Paul, sert à Pierre, parce que l’Église est et l’annonce missionnaire est unique. Le troisième pareil de Paul, dont nous voulons faire mémoire, est appelé Apollos, probable abréviation d’Apollonio ou Apollodoro. Aussi en se traitant d’un nom de j’imprime payent, il était un fervent juif d’Alessandria d’Egypte. Luc dans le Livre des Actes le définit « 
homme éloquent et versé dans les Écritures  » (18.24-25). L’entrée d’Apollo sur la scène des première évangélisation se produit dans la ville d’Efeso : là il s’était apporté à prêcher et là il eut la fortune de rencontrer les conjoints chrétiens Priscille et Aquilas (cfr Ac 18,26), qui l’introduisirent à une connaissance plus complète de « de Dieu » (cfr Ac 18,26). d’Efeso passèrent en Acaïe en rejoignant la ville de Corinthe : ici il arriva avec appuie d’une lettre des chrétiens d’Efeso, qu’ils recommandaient aux Corinthiens de lui faire bon accueil (cfr Ac 18,27). À Corinthe, comme il écrit Luc, « il fut beaucoup d’utile à ceux que pour oeuvre de la grâce était devenus des croyants ; il réfutait en effet vigoureusement les juif, en montrant publiquement à travers les Écritures qui Jésus sont le Christ « (Ac 18.27-28), le Messie. Son passé dans cette ville eut cependant un revers problématique, puisqu’il y eut quelques membres de cette Église que dans son nom, fascinés de sa mode de parler, s’opposaient aux autres (cfr 1 Cor 1.12 ; 3.4-6 ; 4,6). Paul dans la première Lettre aux Corinthiens exprime appréciation pour les actes d’Apollos, mais il reproche les Corinthiens de déchirer le Corps de Christ en se subdivisant en factions contraposé. Il tire un important enseignement de toute l’événement : « Qu’est-ce donc qu’Apollos ? »- il dit – nous ne sommes rien d’autre que diakonoi, c’est-à-dire simples ministres, à travers lesquels vous êtes venus à la foi (cfr 1 Cor 3,5). Chacun a épelle diversifié dans le champ des Seigneur : « Moi, J’ai planté, Apollos ai arrosé, mais c’est Dieu qui donnait la croissance…… Car nous sommes en effet coopérateur de Dieu, vous êtes le champ de Dieu, l’édifice de Dieu « (1 Cor 3.6-9). Rentré à Éphèse, Apollo résista à l’invitation de Paul de tourner vite à Corinthe, en renvoyant le voyage à une donnée suivante de nous ignorée (cfr 1 Cor 16,12). Nous n’avons pas autres ses nouvelles, même si quelques spécialistes