je suis en train de relire dans ces jours le livre de Papa Benoît « Dieu nous est proche »,
je suis en train de relire dans ces jours le livre de Papa Benoît « Dieu nous est proche », je l’avais lu en italien et maintenant je le relis en français, en réalité – comme il est arrivé pour l’encyclique « Deus Caritas est » qui semblait au debout thème connu – ainsi même pour ce livre, soit titre, soit le sous-titre : « L’eucharistie au cœur de l’Église » ils apparaissent comme thèmes connus et bien emmagasine, je fais l’expérience que rien du mot de Dieu est définitivement connu, il y a toujours quelque chose ultérieur d’apprendre ; ainsi le premier capitule qu’il parle de l’annonce à Marie et de l’incarnation du Seigneur, nous l’avons écoutée, et pour de plus de peu, est vrai cependant que le Mot de Dieu est toujours nouveau, ainsi comme il est toujours nouveau qui Dieu est avec nous, titre du premier capitule : « Dieu avec nous et parmi nous », que Il s’est incarnées, qu’il se fait homme, que a demandé la permission à une femme, n’est pas jamais escomptées, mais est toujours nouvelle, comme peut être toujours nouvelles les nôtre « oui » à Dieu ; je vous copie seulement un bref pas ce qui est, dans un certain sens, resté à moi pour moi, l’exigence toujours d’un nouveau « oui » à Dieu, plus humble, plus complet de moi même, de ma vie, plus consciente que ce qui Dieu fait même avec moi, c’est-à-dire qu’il me demande le consentement pour venir de moi, pas me force, mais au même temps il m’est toujours à côté et, comme je l’appelle, vient, même sans tant de mots, comme les personnes qu’elles aiment vraiment ; page 15 de le livre français du 2001 :
« Un autre point de l’Annonciation lucanienne me paraît important pour notre propos. Dieu demande le oui de l’être humain. Il ne dispose pas de l’homme avec son pouvoir. Dans la créature humaine, il a crée un vis-à-vis libre et il a besoin de la liberté de cette créature pour instaurer sa royauté qui n’est pas fondée sur son pouvoir extérieur, mais sur une liberté humaine : Dan un de ses sermons, Bernard de Clairvaux a décrit de façon dramatique cette attente de Dieu et de l’humanité : L’ange attend ta réponse :
Voici que « le Désiré de toutes le nation » « est dehors et frappe à la porte ». Oh ! si, tandis que tu tarde, il allait s’en s’allé […] Lève-toi, cous, ouvre-lui ! Lève-toi par ta foi, cours par ta ferveur ouvre-lui par ton engagement ! Sans cette libre adhésion de Marie, Dieu ne peut se faire homme. Certes, ce oui de Marie est entièrement grâce. Le dogme de l’Immaculée Conception de Marie n’à, en fait, qu’un seul sens : montrer que se n’est point un être humain, par ses propres forces, met en marche
la Rédemption, mais que son oui est totalement issu de l’amour divin, qui le précède et le prévient, qui l’a entouré dès avant sa naissance. « Tout est grâce. » Cependant, la grâce n’enlève pas la liberté, mais la crée. Tout le mystère de
la Rédemption est contenu dans cette histoire et se concentre dans la figure dela Vierge Marie : « Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole » (Lc 1,38) ( Joseph Ratzinger – Pape Benoît XVI)
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