Archive pour le 28 janvier, 2007

LE PEUPLE JUIF ET SES SAINTES ÉCRITURES DANS LA BIBLE CHRÉTIENNE – par Joseph Ratzinger 2001

28 janvier, 2007

pour lire tout le texte de la Commission Pontifical Biblique (j’ai lis tout  le texte c’est très important) le lien:

http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/cfaith/pcb_documents/rc_con_cfaith_doc_20020212_popolo-ebraico_fr.html#Préface

COMMISSION PONTIFICAL BIBLIQUE 

LE PEUPLE JUIF
ET SES SAINTES ÉCRITURES
DANS
LA BIBLE CHRÉTIENNE 
   INDEX  

PRÉFACE par le Cardinal Joseph Ratzinger  

Préface  La question de l’unité interne de la Bible de l’Église, qui se compose de l’Ancien et du Nouveau Testament, était un thème central dans la théologie des Pères de l’Église. Qu’il ne s’agissait pas seulement — tant s’en faut — d’un problème théorique, on peut, pour ainsi dire, le toucher du doigt dans le chemin spirituel de l’un des plus grands maîtres de la chrétienté, saint Augustin d’Hippone. En 373, Augustin, âgé alors de 19 ans, avait vécu une première expérience marquante de conversion. La lecture d’une œuvre de Cicéron — l’Hortensius, perdu depuis — avait opéré en lui une profonde transformation, qu’il décrit lui-même rétrospectivement de la façon suivante: « Vers toi, Seigneur, il orientait mes prières… Je commençais à me relever pour revenir à toi… Quelle ferveur j’avais, ô mon Dieu, quelle ferveur, pour laisser là ce qui est terrestre et m’élever vers toi » (Conf. III, 4, 7-8). Pour le jeune Africain qui, dans son enfance, avait reçu le sel qui faisait de lui un catéchumène, il était clair que se convertir à Dieu impliquait l’adhésion au Christ; sans le Christ, il ne pouvait pas trouver Dieu réellement. Il alla donc de Cicéron à
la Bible et éprouva une terrible déception: dans les difficiles prescriptions légales de l’Ancien Testament, dans ses récits compliqués et parfois cruels, il n’arrivait pas à reconnaître
la Sagesse, vers laquelle il voulait aller. Dans sa recherche, il rencontra des gens qui annonçaient un nouveau christianisme spirituel, un christianisme qui faisait mépriser l’Ancien Testament comme déficient spirituellement et rebutant; un christianisme dont le Christ n’avait pas besoin du témoignage des prophètes hébreux. Ces gens promettaient un christianisme de la simple et pure raison, un christianisme dans lequel le Christ était le grand illuminateur, qui conduisait les hommes à une vraie connaissance d’eux-mêmes. C’étaient les manichéens.1   La grande promesse des manichéens se révéla trompeuse, mais le problème n’était pas résolu pour autant. Au christianisme de l’Église catholique Augustin ne put se convertir que lorsqu’il eut appris à connaître, par Ambroise, une interprétation de l’Ancien Testament qui rendait transparent le rapport de
la Bible d’Israël avec le Christ et rendait ainsi visible en elle la lumière de
la Sagesse recherchée. Ce qui fut alors surmonté, ce ne fut pas seulement l’obstacle extérieur de l’insatisfaisante forme littéraire de la vieille Bible latine, mais aussi et surtout l’obstacle intérieur d’un livre qui n’apparaissait plus simplement comme un document de l’histoire religieuse d’un peuple déterminé, avec tous ses errements et égarements, mais se révélait être la voix d’une Sagesse qui s’adressait à tous et venait de Dieu. Une telle lecture de
la Bible d’Israël, qui, dans les cheminements historiques de celle-ci, reconnaissait par transparence le Christ et, du même coup, le Logos,
la Sagesse éternelle elle-même, n’était pas seulement fondamentale pour la décision de foi d’Augustin; elle était et elle est la base de la décision de foi de l’Église dans sa totalité.  Mais est-elle vraie? Est-elle aussi, aujourd’hui encore, démontrable et tenable? Du point de vue de l’exégèse historico-critique, il semble — à première vue en tout cas — que tout parle en sens contraire. C’est ainsi qu’en 1920, le théologien libéral très en vue Adolf Harnack a formulé la thèse suivante: « Rejeter l’Ancien Testament au IIe siècle (allusion à Marcion) était une erreur, que la grande Église a eu raison de repousser; le conserver au XVIe siècle était une fatalité, à laquelle
la Réforme ne fut pas encore capable de se soustraire; mais depuis le XIXe siècle le maintenir dans le protestantisme comme un document canonique, de valeur égale au Nouveau Testament, c’est la conséquence d’une paralysie religieuse et ecclésiale ».2  
Harnack a-t-il raison? De prime abord, bien des choses semblent aller en ce sens. Si l’exégèse d’Ambroise a ouvert pour Augustin le chemin vers l’Église et est devenue dans son orientation de base — mais dans une mesure fort variable, naturellement, pour les détails — le fondement de sa foi en la parole biblique de Dieu, qui est bipartite et pourtant une, on peut cependant faire aussitôt cette objection: Ambroise avait appris cette exégèse à l’école d’Origène, qui avait été le premier à la développer méthodiquement. Mais Origène — ajoute-t-on — n’avait fait qu’appliquer à
la Bible la méthode d’interprétation allégorique pratiquée dans le monde grec pour expliquer les écrits religieux de l’antiquité — Homère, en particulier —; il avait donc, non seulement réalisé une hellénisation intrinsèquement étrangère à la parole biblique, mais il s’était servi d’une méthode qui en elle-même n’était pas fiable, parce qu’en dernière analyse, elle visait à conserver comme sacré ce qui, en réalité, constituait le témoignage d’une culture désormais non susceptible d’actualisation. — Mais cela n’est pas si simple. Plus encore que sur l’exégèse d’Homère par les Grecs, Origène pouvait bâtir sur l’interprétation de l’Ancien Testament qui avait pris naissance en milieu juif, spécialement à Alexandrie avec Philon comme tête de file, et cherchait, d’une manière absolument propre, à initier à
la Bible d’Israël les Grecs, qui, depuis longtemps, au delà du polythéisme, étaient à la recherche du Dieu unique, qu’ils pouvaient trouver dans
la Bible. Et Origène s’est instruit auprès des rabbins. En fin de compte, il a élaboré des principes chrétiens complètement spécifiques: l’unité interne de
la Bible comme règle d’interprétation, le Christ comme point focal de tous les chemins de l’Ancien Testament.3  Quelle que soit la façon dont on peut juger dans le détail l’exégèse d’Origène et d’Ambroise, son dernier fondement n’était ni l’allégorie hellénistique, ni Philon, ni les méthodes rabbiniques. A proprement parler, son fondement — au delà des détails de l’interprétation — était le Nouveau Testament lui même. Jésus de Nazareth a émis la prétention d’être le véritable héritier de l’Ancien Testament — « l’Écriture » — et d’en apporter l’authentique interprétation, une interprétation qui, assurément, n’était pas à la manière des lettrés, mais provenait de l’autorité de l’Auteur lui-même: « Il enseignait comme ayant autorité (divine) et non pas comme les scribes » (Mc 1,22). Le récit d’Emmaüs exprime de nouveau cette prétention: « En parlant de Moïse et de tous les prophètes, il leur interpréta dans toutes les Écritures ce qui le concernait » (Lc 24,27). Les auteurs du Nouveau Testament ont cherché à fonder cette prétention dans le détail, Matthieu avec grande insistance, mais Paul aussi bien, qui utilisait à ce propos les méthodes rabbiniques d’interprétation et tâchait de montrer que cette interprétation développée par les scribes conduisait au Christ comme clé des « Écritures ». Pour les auteurs et fondateurs du Nouveau Testament, l’Ancien Testament est tout simplement « l’Écriture »: c’est seulement ensuite que l’Église, dans son devenir, put former peu à peu un canon du Nouveau Testament, qui alors constitua pareillement une Écriture Sainte, mais toujours en ce sens qu’il présuppose comme telle
la Bible d’Israël,
la Bible des apôtres et de leurs disciples, qui reçoit alors seulement le nom d’Ancien Testament, et de celle-ci il fournit la clé d’interprétation.  De ce point de vue, les Pères de l’Église n’ont rien créé de nouveau en donnant une interprétation christologique de l’Ancien Testament; ils n’ont fait que développer et systématiser ce qu’il trouvaient d’abord eux-mêmes dans le Nouveau Testament. Cette synthèse fondamentale pour la foi chrétienne devait devenir problématique au moment où la conscience historique développait des règles d’interprétation à partir desquelles l’exégèse des Pères devait apparaître comme non-historique et donc objectivement indéfendable. Dans le contexte de l’humanisme et de sa nouvelle conscience historique, mais surtout dans le contexte de sa doctrine de la justification, Luther a forgé une nouvelle formule pour la relation entre les deux parties de
la Bible chrétienne, une formule qui ne se base plus sur l’harmonie interne de l’Ancien et du Nouveau Testament, mais sur leur rapport essentiellement dialectique dans l’histoire existentielle du salut, l’antithèse entre Loi et Évangile. Bultmann a exprimé cette approche fondamentale d’une manière moderne en disant que l’Ancien Testament s’est accompli dans le Christ en échouant. Plus radicale est la proposition de Harnack mentionnée ci-dessus; autant que je peux voir, elle n’a guère été accueillie, mais elle était tout à fait logique à partir d’une exégèse pour laquelle les textes du passé ne peuvent avoir chacun que le sens que leurs auteurs voulaient leur donner au moment même dans leur contexte historique. Que les auteurs bibliques des siècles d’avant le Christ, qui s’expriment dans les livres de l’Ancien Testament, aient voulu se référer à l’avance au Christ et à la foi du Nouveau Testament, cela apparaît plus qu’invraisemblable à la conscience historique moderne.  En conséquence, la victoire de l’exégèse historico-critique sembla sonner l’échec de l’interprétation chrétienne de l’Ancien Testament inaugurée par le Nouveau Testament lui-même. Il ne s’agit pas ici, nous l’avons vu, d’un problème historique de détail; ce sont les fondements même du christianisme qui se trouvent mis en discussion. On comprend dès lors pourquoi personne n’a voulu se conformer à la proposition de Harnack, qui invitait à effectuer enfin maintenant pour de bon la rupture avec l’Ancien Testament que Marcion avait voulu réaliser prématurément. Ce qu’alors on laisserait subsister, notre Nouveau Testament, serait en soi vide de sens. Le Document de
la Commission biblique pontificale, que cette préface introduit, déclare à ce sujet: « Sans l’Ancien Testament, le Nouveau Testament serait un livre indéchiffrable, une plante privée de ses racines et destinée à se dessécher » (no 84).  
A cet endroit, on peut voir la grandeur de la tâche devant laquelle
la Commission Biblique Pontificale s’est vue placée, lorsqu’elle décida d’aborder le thème de la relation entre Ancien et Nouveau Testament. S’il doit y avoir un moyen de sortir de l’impasse décrite par Harnack, il faut que ce soit en élargissant et en approfondissant le concept d’une interprétation de textes historiques qui soit défendable de nos jours en face de la vision des intellectuels libéraux et qui soit applicable en particulier au texte de
la Bible reçu dans la foi comme Parole de Dieu. En cette direction, les dernières décennies ont apporté d’importantes contributions.
La Commission Biblique Pontificale a présenté l’essentiel de leur apport dans son Document publié en 1993 sur « L’interprétation de
la Bible dans l’Église ». La reconnaissance de la pluridimensionalité du langage humain, qui ne reste pas fixé à un unique point de l’histoire, mais a prise sur l’avenir, a été une aide permettant de mieux comprendre comment
la Parole de Dieu peut se servir de la parole humaine pour conférer à une histoire en progrès un sens qui va au delà du moment présent et pourtant produit, précisément de cette façon, l’unité de l’ensemble. En partant de l’apport de ce document précédent et en se basant sur d’attentives réflexions de méthode,
la Commission Biblique a examiné la relation qu’ont entre eux les divers grands ensembles thématiques des deux Testaments et elle a pu conclure que l’herméneutique chrétienne de l’Ancien Testament, qui assurément est profondément différente de celle du judaïsme, « correspond cependant à une potentialité de sens effectivement présente dans les textes » (no 64). C’est là un résultat qui me semble de grande importance pour la poursuite du dialogue, mais aussi et surtout pour le fondement de la foi chrétienne.  Dans son travail,
la Commission Biblique ne pouvait pas faire abstraction de notre contexte actuel, où le choc de
la Shoah a mis toute la question dans une autre lumière. Deux problèmes principaux se posent: les chrétiens peuvent-ils, après tout ce qui est arrivé, avoir encore tranquillement la prétention d’être des héritiers légitimes de
la Bible d’Israël? Ont-ils le droit de continuer à proposer une interprétation chrétienne de cette Bible ou ne doivent-ils pas plutôt renoncer avec respect et humilité à une prétention qui, à la lumière de ce qui est arrivé, doit apparaître comme une usurpation? La deuxième question se rattache à la première: la façon dont le Nouveau Testament lui-même présente les Juifs et le peuple juif n’a-t-elle pas contribué à créer une hostilité contre le peuple juif, qui a fourni un appui à l’idéologie de ceux qui voulaient anéantir Israël?
La Commission s’est posé ces deux questions. Il est clair qu’un rejet de l’Ancien Testament de la part des chrétiens, non seulement, comme on l’a indiqué ci-dessus, abolirait le christianisme lui-même, mais en outre ne pourrait pas favoriser la relation positive entre les chrétiens et les Juifs, car ils perdraient précisément le fondement commun. Mais ce qui doit résulter de ce qui s’est passé, c’est un nouveau respect pour l’interprétation juive de l’Ancien Testament. A ce sujet, le Document dit deux choses. D’abord, il déclare que « la lecture juive de
la Bible est une lecture possible, qui se trouve en continuité avec les Saintes Écritures juives de l’époque du second Temple, une lecture analogue à la lecture chrétienne, laquelle s’est développée parallèlement » (no 22). Il ajoute que les chrétiens peuvent apprendre beaucoup de l’exégèse juive pratiquée depuis plus de 2000 ans; en retour, les chrétiens peuvent espérer que les Juifs pourront tirer profit des recherches de l’exégèse chrétienne (ibid.). Je pense que ces analyses seront de grande utilité pour la poursuite du dialogue judéo-chrétien, ainsi que pour la formation intérieure de la conscience de soi chrétienne.  La question de la façon dont les Juifs sont présentés dans le Nouveau Testament est traitée dans la dernière partie du Document; les textes « anti-judaïques » y sont soigneusement éclairés. Ici, je voudrais seulement souligner un aspect qui me paraît spécialement important. Le Document montre que les reproches adressés aux Juifs dans le Nouveau Testament ne sont ni plus fréquents ni plus virulents que les accusations contre Israël dans
la Loi et les prophètes, donc à l’intérieur de l’Ancien Testament lui-même (no 87). Ils appartiennent au langage prophétique de l’Ancien Testament et sont donc à interpréter comme les oracles des prophètes: ils mettent en garde contre des égarements contemporains, mais ils sont toujours essentiellement temporaires et laissent aussi toujours prévoir de nouvelles possibilités de salut.  Aux membres de
la Commission Biblique je voudrais exprimer gratitude et reconnaissance pour leur labeur. De leurs discussions, poursuivies patiemment pendant plusieurs années, est issu ce Document qui, j’en suis convaincu, peut offrir une aide précieuse pour l’étude d’une question centrale de la foi chrétienne ainsi que pour la recherche si importante d’une nouvelle entente entre chrétiens et Juifs.  
Rome, en la fête de l’Ascension 2001    Joseph Cardinal Ratzinger  

Alors, la paix viendra…

28 janvier, 2007

du site libanese « Famille Saint Charbel » une poesie, j’ajoute une prière personnellement pour le Liban comme le Pape il a dit et comme j’entends pour « avoir fréquenté par internet le site depuis beaucoup d’ans personnellement

Alors, la paix viendra… 

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Si, tu crois qu’un sourire est plus fort qu’une arme,  Si tu crois à la puissance d’une main offerte, 

Si tu sais regarder l’autre avec un brin d’amour, 

Si tu sais préférer l’espérance au soupçon, 

Si tu estimes que c’est à toi de faire le premier pas ! 

Si tu peux te réjouir de la joie de ton voisin, 

Si pour toi l’étranger est un frère qui t’est proposé, 

Si tu sais donner gratuitement un peu de ton temps par amour, 

Si tu peux accepter qu’un autre te rendre service, 

Si tu partages ton pain et que tu saches y joindre un morceau de ton cœur, 

Si tu crois qu’un pardon va plus loin qu’une vengeance, 

Si tu peux écouter le malheureux qui te fait perdre de ton temps et lui garder le sourire, 

Si tu sais accueillir un avis différent que le tien, 

Si pour toi l’autre est d’abord un frère, 

Si tu crois que la paix est possible 

Alors viendra la paix !

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Pierre Quilbert 

 

l’Angelus Domini de ce matin – 28.1.07

28 janvier, 2007

du site italien « Korazym » (traduction): 

l’introduction du Journal à le mot du Saint Père

Les mots du Saint Père à l’Angelus Domini dans
la IV Dimanche du Temps Ordinaire, 28 janvier 2007  »Pourquoi foi et raison doivent avoir de la peur l’une de l’autre, si en se rencontrant et en dialoguant ils peuvent s’exprimer au mieux? ». Benoît XVI réfléchit sur le rapport entre foi et raison, en partant de la fondation qui  »considérer vrai seulement ce qu’il est expérimentable constitue une limitation de la raison humaine  ». En réalité,  »la raison ne perd rien en s’ouvrant aux contenus de foi  », pendant que  »la foi suppose la raison et elle la perfectionne  ». Un style à vivre même dans le rapport avec les autres religions et les cultures, à travers la synthèse chrétienne entre raison et foi,  »un patrimoine précieux pour la civilisation occidentale  ». Au terme de l’Angelus, nouvelle appel pour la paix en Liban et à Gaza et une pensée aux malades de lèpre, en à occasion de leur 54ma journée mondiale. Espace finalement à un message de paix avec la libération de deux colombes ensemble à deux garçons de l’Action catholique (dans la photo).  »Mais les messagers de la paix il est vous – il a dit Benoît XVI en se tournant à i 5 mille membres de l’association catholique présents en place – avec les ailes de la bonté et de la foi, portées partout la joie d’être des fils  ». À bras, les pontife a ajouté que  »les colombes sont des messagers de paix mais même nous sommes des messagers de paix et prions qu’elles cessent les violences en Liban, à Gaza et dans toutes les parties du monde  ».

 Nous rapportons de suivi le teste intégral des mots du Saint Père avant récite de l’Angelus des Domini  

 Chers frères et soeurs !   Le calendrier liturgique rappelle aujourd’hui Saint Tommaso d’Aquino, grand docteur de l’Église. Avec sa charisme de philosophe et de théologue, il offre un valide modèle d’harmonie entre raison et foi, dimensions de l’esprit humain, qui se réalisent pleinement dans la rencontre et dans le dialogue entre elles. Selon la pensée Saint Tommaso, la raison humaine, pour ainsi dire, « respire » : on bouge, c’est-à-dire, dans un horizon vaste, plain air, où il peut exprimer le mieux de lui. Lorsque par contre l’homme on réduit à penser seulement à des objets matériels et des expérimentable et se ferme aux grands questionnés vous sur la vie, sur si le même et sur Dieu, il s’appauvrit. Le rapport entre foi et raison constitue un sérieux défi pour la culture actuellement dominante dans le monde occidental et, vraiment pour ceci, aimé Jean Paul II a voulu vous dédier une Encyclique, intitulée justement Fides et ratio – Foi et raison. Je m’ai repris même ce argue récemment, dans le discours à l’Université de Regensburg. En réalité, le développe moderne des sciences apporte des innombrable effets positifs, qui vont toujours reconnus. Au même temps, cependant, il faut admettre que la tendance à considérer vrai seulement ce qu’est expérimentable constitue une limitation de la raison humaine et produit une terrible schizophrénie, maintenant déclarée, pour laquelle ils cohabitent rationalisme et matérialisme, iper-technologie et une instinctivité desserrée le frein. Il est urgent, par conséquent, redécouvrir en mode nouvelle la rationalité humaine ouverte à la lumière du Logos divin et à sa parfaite révélation qui est Jésus Christ, Fils de Dieu fait homme. Lorsque elle est authentique la foi chrétienne pas mortifie la liberté et la raison humaine ; et alors, pourquoi foi et raison doivent avoir de la peur l’une de l’autre, si en se rencontrant et en dialoguant ils peuvent s’exprimer au mieux ? La foi suppose la raison et elle la perfectionne, et la raison, éclairée de la foi, trouve la force pour s’élever à la connaissance de Dieu et des réalités spirituelles. La raison humaine ne perd rien en s’ouvrant aux contenus de foi, au contraire, ceux-ci demandent son la libre et consciente adhésion. Avec clairvoyante sagesse, Saint Tommaso d’Aquino réussit à instaurer une comparaison fructueuse avec la pensée arabe et hébreu de son temps, oui à être considéré un maître toujours actuel de le dialogue avec autres cultures et religions. Il sut présenter celle-là admirable synthèse chrétienne entre raison et foi qui pour la civilisation occidentale représente un patrimoine précieux, auquel puiser même aujourd’hui pour dialoguer efficacement avec les grandes traditions culturelles et religieuses de l’est et du sud du monde. Nous prions pour que les chrétiens, spécialement combien actionnent en domaine académique et culturel, ils sachent exprimer le bon sens de leur foi et de la témoigner dans dialogue inspiré de l’amour. Nous demandons à ce don aux Seigneur pour intercession de Saint Tommaso d’Aquino et surtout de Marie, Siège de
la Sagesse.
 

Pope Benedict XVI, aided by a young boy, left, and a young girl (unseen at right), releases one of two doves as a symbol of peace from his apartment window overlooking St. Peter’s Square at the Vatican Sunday, Jan. 28, 2007. In his speech the pontiff called for a halt to violence in Lebanon and the Gaza strip, saying he was hugely saddened by the pain inflicted on the populations and appealing for dialogue. (AP Photo/Plinio Lepri)

Pope Benedict XVI, aided by a young boy and a young girl, releases two doves as a symbol of peace from his apartment window overlooking St. Peter’s Square at the Vatican Sunday, Jan. 28, 2007. In his speech the pontiff called for a halt to violence in Lebanon and the Gaza strip, saying he was hugely saddened by the pain inflicted on the populations and appealing for dialogue. (AP Photo/Plinio Lepri)

Avis…

28 janvier, 2007

j’ai dû changer le template plusieurs d’une fois pour faire bien de manière de ranger les articles, excusées moi pour ces changements,

Gabriella