du journal « Avvenire »: À la recherche des Justes anonymes

j’ai traduit un article du journal « Avvenire », un approfondissement du journaliste sur la Shoah, chacun de nous – aussi chrétiens – il a sa mémoire de ces faits, le propre sens de l’horreur, la propre réaction, je ne pas fais de commente; les souvenirs ici à Rome ils sont forts et la souffrance a été grande, j’ai rencontré quelques survivant mais je ne peux pas raconter, seul ils peuvent le faire, il y a un respect pour ces faits qu’il va à l’aussi de la des mots,  même si elles doivent être dites de qui peut et il sait ; 

Shoah, le Jour de
la Mémoire 

À la recherche des Justes anonymes 

Roberto Righetto 

Dans une scène de Vie et je destine, le grandiose fresque de Vasilij Grossman sur l’horreur de tous les deux les totalitarismes qui ont marqué ’900, une femme russe offre un morceau de pain à un soldat allemand fait prisonnier des soviétiques après assiège de Stalingrad, vraiment pendant que le jeune nazie craint d’être lynché. Elle est une page emblématique de l’existence des Justes, de tous ceux c’est-à-dire qu’au beau milieu d’une tragédie inénarrable, en risquant souvent sa vie et beaucoup de fois en agissant presque pour instinct et sans buts dus à une idéologie, ils ont aidé un blessé même si militait dans file opposées, ont caché juifs qui étaient persécutés, ont vu en somme dans l’autre un homme et pas un ennemi. Elles sont les personnes qui sont recomptées de Margarete buber-Neumann dans ce magnifique et ensemble terrible document des atrocités du nazisme et du communisme qui est Prisonnier de Stalin et de Hitler : personnes que dans le lager ont décidé d’aider l’autre et qu’elles cohabitaient avec cette énorme zone grise qui finissait pour être complice déesses bourreaux et que Premo Levi a mis en bas accusation, énervé de ceux qui peignaient les criminels nazis comme l’incarnation du mal absolu, en oubliant les responsabilités de tous. En réalité, comme bien elle a écrit le historique Tzvetan Todorov dans un sage (Mémoire du mal, tentation de bien) qu’il reste dont il faut tenir compte pour qui veut s’accoster sans pré jugements à l’histoire de ’900, les figures des Justes, des témoins silencieux se profilent pas seulement pour leur héroïsme, mais pour leur normalité. Il y eut donc qui sut résister au mal. Pas seulement : qui eut le courage de dire non à la tyrannie et que souvent il subit à son tour injustices si pas atrocité. Mais l’injustice plus grande, à au-delà à de 60 ans de distance, reste cette de l’oubli historique. Le débat qui s’est déroulé dans ces mois sur les pages culturelles de « Avvenire » a eu vraiment le but de rouvrir une page d’histoire collective peu étudiée et explorée. On traite d’affronter une question : peut-être que l’histoire du Shoah n’est pas de réécrire – ou mieux, de préciser de nouveau – en en racontant même le Bien que ces ans terribles ont vu émerger ? Pas certes pour diminuer l’énormité de ce qu’arrivé, mais parce que même la « recherche sur bien », et pas seulement celle sur le « mal », a sens pour l’histoire. Les italiens connaissent d’ans maintenant quelques figures de « Schindler » italiennes, de George Perlasca à Giovanni Palatucci, mais certainement l’exigence « d’un Wiesenthal pour les Justes » s’impose à la recherche historiographique: ils a il y les 27.000 dans tout hébreux sauvés sur 35.000 qui vivaient en Italie, mais seulement 371 sont les « Justes entre les nations » reconnus. Pourquoi cette recherche a-t-il été jusqu’à aujourd’hui ainsi fragmentaire ? Pourquoi tant de inattention ? Il est peut-être arrivé le temps d’une histoire sans idéologies, oserions dire d’une « histoire commune » entre des hébreux et des chrétiens. Vraiment pour rendre honneur à la légion des Justes anonymes, à ces  » raccommodeurs de l’existence », pour la dire avec le théologue Olivier Clément, qui avec leur oeuvre réagissent et ils posent remède au monde continûment déchiré des forces du rien ; mais même pour indiquer les historiens – italiens mais pas seulement – une piste de travail qui porte finalement à recompter avec plus de caractère complet les immenses actes des saveur. Même sauvés ils les rendront mérite. 

2 Réponses à “du journal « Avvenire »: À la recherche des Justes anonymes”

  1. binicaise dit :

    Il est vrai que dans l’histoire on juge toujours globalement, dans cette communauté sont les bons dans celles ci les mauvais.
    Comme si pendant la période trouble de la seconde guerre mondiale tous les allemands étaient nazis les russes bolchéviques, les francais pétainistes etc.
    Chaque humain a ses grandeurs ou ses faiblesses cela n’a rien à voir avec le groupe ou la communauté dont il fait partie . Oui les Justes ont bien mérité l’hommage qui leur a été rendu, ils étaient à contre courant avec l’idéologie du moment et ils ont osé.
    Vous avez raison de dire que l’on a pas assez cherché ces Justes ces « raccomodeurs d’histoire » selon votre terme.
    Merci pour ce texte.
    Bonne journée amicalement Jacqueline.

    Dernière publication sur Binicaise : Blog en pause pour une durée indéterminée.

  2. gabriellaroma dit :

    c’est un article du journal « Avvenire » qu’il avait commencé comme journal diocésain, mais puis lui donne grand préparation des rédacteurs et l’excellente position du journal il est maintenant devenu un quotidien à tous les effets depuis beaucoup d’ans, je le lis tous les jours et il y a toujours quelque chose à apprendre, quelques considération que je n’ai pas fait; je ne sais pas si je me faux mais ce discours j’il semble comme un mûrissement de discours déjà fait du Pape à Regesnburg, ou tout au moins dans Allemagne, lorsque il l’avait dit que beaucoup de elles furent des victimes de l’horreur nazi, le savait bien parce que le père, Gendarme et hostiles au nazisme, avait laissé prématurément son service, frère engagé, et à force forcé à une guerre non voulue, et à lui même appelé aux armes à 17 ans, et puisque la guerre, était clair, qu’ils la perdaient, le pauvre adosse une uniforme des soldats lorsque il devait porter seulement cette de la jeunesse hitlérienne, ensuite suit son récit de son livre de mémoire, certainement il parle pour des choses qu’a vécu personnellement et qu’aujourd’hui nous retrouvons, merci pour te mot le mienne c’est une tentative de porter quelque chose de notre foi qui le Papeconsidération y semble enseigne de nouveau, tout au moins à moi, un embrassade,

    Gabriella

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