Homélie de Benoît XVI pour la fermeture de la Semaine de Prière pour l’Unité des Chrétiens
du Zenith (traduction):
Donnée publication : 2007-01-26 Homélie de Benoît XVI pour la fermeture de
la Semaine de Prière pour l’Unité des Chrétiens
Chers frères et soeurs !
Pendant la « Semaine de prière », que ce soir se conclut, elle s’est intensifiée, en diverses Églises et Communauté ecclésiaux du monde entier, la commun invocation aux Seigneur pour l’unité des chrétiens. Nous avons médité ensemble sur les mots de l’évangile de Marc proclamée naguère: « Entendre Il y à il y à les sourdes et parler le muets » (Mc 7,37), le thème biblique proposé des Communautés chrétiennes du Sud Afrique. Les situations de racisme, de pauvreté, de conflit, d’exploitation, de maladie, de souffrance, dans lesquelles elles on trouvent, pour la même impossibilité de se faire comprendre dans ses besoins, suscitent dans eux une aiguë exigence d’écouter le mot de Dieu et de parler avec courage. Être sourd-muet, ne pas pouvoir né écouter né y parler, ne peut pas en effet être marque de manque de communion et un symptôme de division ? La division et l’incommunicabilité, conséquence du péché, sont contraires à dessine de Dieu. L’Afrique il nous a offert cet an thème de réflexion de grande importance religieuse et politique, parce que « parler » et « écouter » elles sont des conditions essentielles pour construire la civilisation de l’amour. Il y à les mots « entendre il y à les sourdes et parler les muets » ils constituent une bonne nouvelle, qui annonce les venue du Règne de Dieu et guérison de l’incommunicabilité et de la division. Ce message se retrouve dans toute la prédication et l’oeuvre de Jésus, qui traversait des villages, ville et campagnes, et partout il arrivait « posaient lui rend infirme dans les places et ils le priaient de lui pouvoir toucher au moins la frange du manteau ; et combien le touchaient ils guérissaient « (Mc 6,56). Les guérison du sourd-muet, sur lequel nous avons médité dans ces jours, se produit pendant que Jésus, laissée la région de Tir, se dirige vers le lac de Galilée, en traversant les soi-disant « Décapole », le territoire infliger une amende- ethnique et le pluri religieux (cfr Mc 7,31). Une situation emblématique même pour nos jours. Comme ailleurs, aussi dans les Décapole ils présentent à Jésus un malade, un homme sourdes et défectueux dans parler (moghìlalon) et ils le prient lui imposer les mains. Ils lui demandent une bénédiction, c’est-à-dire une intervention religieuse, parce qu’ils le considèrent un homme de Dieu. Jésus mène le sourd-muet lointain de la foule, et accomplit des gestes qu’ils signifient contacte salvifique – il pose les doigts dans l’oreille, il touche avec sa salait la langue du malade -, et ensuite, en tournant le regard au ciel, il commande : « Ouvrez-toi! ». Il prononce ce commande en araméen (« Ephphathà »), vraisemblablement la langue des personnes présentes et du même sourd-muet, expression qui l’évangéliste traduit en grec (dianoìchthéti). L’oreille du sourdes ils s’ouvrirent, on dénoua le noeud de sa langue : « et il parlait correctement » (or thés). Jésus recommande qu’on ne dise rien du miracle. Mais plus il le recommandait, « plus ils en parlaient » (Mc 7,36). Et je commente étonné de combien avaient assisté calque la prédication d’Isaïe pour la venue de le Messie : « Entendre Il y à il y à les sourdes et parler le muets » (Mc 7,37). Le premier enseignement que nous tirons de cet épisode biblique, rappelé même dans le rite du baptême, est que, dans la perspectif chrétienne, j’écoute est prioritaire. À ce sujet Jésus il affirme en mode explicite : « Charmés qui écoutent le mot de Dieu et ils la mettent en pratique » (Lc 11,28). Au contraire, Il dit que « une seule est la chose dont il y a besoin » (Lc 10,42). Et de le conteste résulte que cette unique chose est écoute obéissant du Mot. Donc l’écoute du mot de Dieu est prioritaire pour les nôtre engage œcuménique. Il n’est pas en effet nous à faire ou à organiser l’unité de l’Église. Le Église pas il y à si même et pas vivre si même, mais de le mot que vient da la bouche de Dieu. Écouter ensemble le mot de Dieu ; pratiquer la « lectio divine » de
la Bible, c’est-à-dire la lecture liée à la prière ; se laisser surprendre de la nouveauté, qui jamais vieillit et jamais s’épuise, du mot de Dieu ; dépasser notre surdité pour ces mots qu’on n’accorde pas avec nos préjudice et nos opinions ; écouter et étudier même ceux qui avant nous ont écouté le mot de Dieu, pour apprendre de leurs et ainsi légers
la Bible en cette longue et riche tradition de eux écoute ; tout cela constitue un chemin à parcourir pour rejoindre l’unité dans la foi, comme répondue à écoute du Mot. Qui se pose à écoute du mot de Dieu peut et doit ensuite parler et la transmettre aux autres, aux à lesquels ils ne l’ont jamais écoutée, ou à qui l’a oublié et a enterré sous les épines des préoccupations et des duperies du monde (cfr Mt 13,22). Devons-nous nous demander : nous chrétiennes, ne sommes-nous pas devenus peut-être trop muets ? Ne nous manque pas peut-être le courage de parler et de témoigner comme ils ont fait ceux qui étaient les témoins des guérison du sourd-muet dans les Décapole ? Notre monde a besoin de ce témoignage ; il attend surtout le témoignage commun des chrétiens. Donc j’écoute du Dieu qui parle implique même écoute réciproque, je dialogue entre les Églises et les Communautés ecclésiaux. Je dialogue honnête et loyal il constitue le moyen dont il faut tenir compte de la recherche de l’unité. Le Décret sur l’œcuménisme de Concilio Vatican II a souligné que si les chrétiens ne se connaissent réciproquement pas ils ne sont même pas imaginables des progrès sur de la communion. Dans le dialogue en effet on nous écoute et il se communique ; on nous confronte et, avec la grâce de Dieu, on peut converger sur son Mot en accueillant les exigences, qui sont valides pour tous. Dans l’écoute et dans le dialogue les Pères conciliaire n’ont pas entrevu une utilité adressée exclusivement au progrès oecuménique mais ils ont ajouté une perspectif référée à la même Église catholique : « De ce je dialogue – il affirme teste de Concilio – apparaîtra même plus clairement la quelle soit vraie situation de l’Église catholique » (Unitatis redintegratio, 9) Est indispensable certain « exposer avec clarté toute la doctrine » pour dialogue qu’il affronte, discute et dépasses les divergences existantes entre les chrétiens, mais au même temps « la mode et la méthode d’énoncer la foi catholique ne doit pas dans quelque mode être de entrave à dialogue avec les frères » (ibid., 11). Il faut parler correctement (orthos) et en mode compréhensible. Le dialogue oecuménique comporte l’évangélique correction fraternelle et mène à un réciproque enrichissement spirituel dans le partage des authentiques expériences de foi et de vie chrétienne. Parce que cela se produise faut implorer sans se fatiguer l’assistance de la grâce de Dieu et l’éclairage de l’Esprit Saint. Il est combien les chrétiens du monde entier ont fait pendant cette spéciale « Semaine », ou feront dans
la Neuvaine qui précède
la Pentecôte, comme aussi dans chaque circonstance opportune, en élevant leur confiante prière pour que tous les disciples de Christ soient une chose seule, et pour que, dans l’écoute du Mot, puissent donner un témoignage concorde aux hommes et aux femmes de notre temps. Dans ce climat d’intense communion je désire tourner mon cordial salue à tous les présents : au Monsieur Cardinale Archiprêtre de cette Basilique, au Monsieur Cardinale Président du Pontifical Conseil pour
la Promotion de l’Unité des Chrétiens et aux autres Cardinaux, à des vénérés des Frères dans l’Episcopat et dans le sacerdoce, aux Moines bénédictins, aux religieux et aux religieuses, aux laïques qui représentent l’entière communauté diocésain de Rome. En mode spéciale je voudrais saluer les frères des autres Églises et
la Communauté ecclésial qui prennent une partie à la célébration, en rénovant la significative tradition de conclure ensemble la « Semaine de Prière », dans le jour dans lequel nous commémorons la fulgurante conversion Saint Paul sur la voie de Damas. Ils sont heureux de souligner que le sépulcre de l’Apôtre des gens, prés dont nous nous trouvons, a été récemment objet d’enquêtes et d’études, suite auxquelles on a voulu le rendre visible aux pèlerins, avec une opportune intervention sous l’autel majeur. Pour cette importante initiative j’exprime mes félicitations. Aux intercession de Saint Paul, infatigable constructeur de l’unité de l’Église, je confie les fruits écoute et du témoignage commun que nous avons pu expérimenter dans beaucoup de rencontres des fraternelle et des dialogues produits dans le cours de 2006, tant avec les Églises d’Orient combien avec les Églises et Communauté ecclésiaux en Occident. Dans ces évènements il a été possible percevoir la joie de la fraternité, ensemble à la tristesse pour les tensions que ils restent, en conservant toujours l’espoir qui nous inspire les Seigneur. Nous remercions combien ont contribué à intensifier dialogue oecuménique avec la prière, avec offerte de leur souffrance et avec leur infatigable action. Il est surtout à nos Seigneur Jésus Christ que nous rendons des ferventes merci pour tout. Les Vierge Marie tu fais en sorte que combien première il puisse se réaliser l’ardent halètement d’unité de son divin Fils : « Que tous soient une chose seule… pour que le monde croie » (Jn 17,21).
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