sur la semaine pour l’Unité de Chrétien
Je ne vous ai pas mis rien sur les semaines pour l’unité des chrétiens, me déplaise, peut-être n’ai pas senti assez ce important temps de prière, ma faute ; le prêtre, effectivement dit la messe pour l’unité des chrétiens, il porte la vêt blanche et les lectures ne sont pas ces de la semaine du temps ordinaire ; ce matin m’avait touché en particulier la première lecture qui était tirée d’Isaïe, 5.1-5 que est le Quatrième chat du Serviteur, ai pensé de le poster, ensuite je me suis rendue compte que je n’avais mis rien, maintenant je mets (pour me faire pardonner) une partie de teste des le :
« CONSEIL PONTIFICAL POUR
LA PROMOTION DE L’UNITÉ DES CHRÉTIENS », lien pour tout le: « Textes pour
La Semaine de Prière pour l’Unite es Chrétiens et pour toute l’année 2007 » :
et lectures tous les jours (la citation des pas) et la première lecture de ce matin, mais sur le site vous pouvez lire tout : le texte que je vous propose:
« Introduction au thème » Il fait entendre les sourds et parler les muets (Mc 7, 37)
La Semaine de prière pour l’unité des chrétiens de cette année nous propose deux thèmes, deux invitations adressées aux Églises et aux chrétiens : prier pour l’unité des chrétiens et la rechercher ensemble d’une part ; unir nos forces pour répondre aux souffrances humaines d’autre part. Ces deux responsabilités sont étroitement liées. L’une et l’autre se rattachent à la guérison du corps du Christ, c’est pourquoi le texte principal choisi pour
la Semaine de prière de cette année est une histoire de guérison. Mc 7, 31-37 raconte comment Jésus guérit un homme sourd et incapable de parler. Jésus conduit l’homme loin de la foule afin d’être seul avec lui. Il met ses doigts dans les oreilles de l’homme, crache et touche la langue de l’homme, et « lui dit ‘Ephphata’, c’est-à-dire : ‘Ouvre-toi’ » – une formule parfois utilisée dans la liturgie du baptême. La bonne nouvelle proclamée ici comprend plusieurs dimensions. Comme dans de nombreux passages de l’Évangile, ce récit de guérison nous donne à entendre la réponse pleine de sollicitude du Seigneur face à la souffrance et au besoin, et il constitue un témoignage éloquent de la miséricorde de Dieu. En redonnant à l’homme l’ouïe et la parole, Jésus manifeste la puissance et le désir de Dieu de sauver tout l’homme, en accomplissant la prophétie d’Esaïe : « Alors, les yeux des aveugles verront et les oreilles des sourds s’ouvriront. Alors, le boiteux bondira comme un cerf et la bouche du muet criera de joie » (35, 5-6). La guérison de l’homme sourd lui permet d’entendre la bonne nouvelle proclamée par Jésus Christ. Le fait qu’il recouvre la parole lui permet de proclamer aux autres ce qu’il a vu et entendu. Ces différentes perspectives se retrouvent dans la réponse de ceux qui sont témoins de la guérison et sont « très impressionnés » : « Il fait entendre les sourds et parler les muets » (v. 37). Comme cet homme qui fut guéri par Jésus, tous ceux qui ont été baptisés en Christ ont eu les oreilles ouvertes à l’Evangile. Dans sa première Epître, saint Jean nous parle de la fraternité de ceux qui ont reçu cette bonne nouvelle : « Ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu de nos yeux, ce que nous avons contemplé et que nos mains ont touché du Verbe de vie » (1,1). Le Seigneur désirait (Jn 17) que ses disciples, qui avaient accueilli son message, soient un, unis les uns aux autres en une unité enracinée dans sa communion avec le Père et l’Esprit-Saint. En tant que corps du Christ, l’Eglise est appelée à être une, à être la communauté qui a vu et entendu les merveilles que Dieu a faites, et qui a été envoyée pour les proclamer partout dans le monde. En tant que corps du Christ, nous sommes appelés à être unis dans l’accomplissement de sa mission, à savoir, notamment, être aussi au service de ceux qui souffrent et sont dans le besoin. Comme Dieu entendit les cris et vit les souffrances de son peuple en Egypte (cf. Ex 3, 7-9), comme Jésus répondit avec sollicitude à ceux qui l’imploraient, l’Eglise doit elle aussi entendre la voix de tous ceux qui souffrent, elle doit être animée par la compassion et donner la parole à ceux qui sont sans voix. En reprenant ces deux aspects de la vie et de la mission de l’Eglise,
la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens de cette année désire faire ressortir le lien essentiel existant entre, d’une part, la prière pour l’unité des chrétiens et sa recherche concrète et, d’autre part, les initiatives de soutien à ceux qui sont dans le dénuement et la souffrance. L’Esprit, qui fait de nous des frères et des sœurs en Christ, nous donne aussi la force d’aller vers tout être humain qui est dans le besoin. C’est le même Esprit qui est à l’œuvre dans tous nos efforts pour rendre visible l’unité des chrétiens et qui nous donnne la force d’agir pour renouveler la face de la terre. Chaque fois que nous contribuons à soulager les souffrances de nos semblables, notre unité devient plus visible ; chaque pas en direction de l’unité renforce le corps du Christ tout entier.”
La 1ere lecture de ce matin est Is (Es ?), 51-1-5, le septième jour – aujourd‘hui, le texte :
Esaïe. Chapitre 53, 1-5;
1 Qui a cru à ce qui nous était annoncé? Qui a reconnu le bras de l’Éternel?
2 Il s’est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d’une terre desséchée; Il n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n’avait rien pour nous plaire.
3 Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas.
4 Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos douleurs qu’il s’est chargé; Et nous l’avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié.
5 Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.
Le prêtre il a fait remarquer la liaison de ce pas avec craint de l’œcuménisme, vous rapporte une seule phrase, c’est-à-dire que la croix de Christ, mort et rené, est à le centre – même – du discours oecuménique : elle est le point arrête dont nous pouvons tous partir ; de plus que ce je ne peux faire, ne sont pas beaucoup dans aux thèmes des oecuménique, un peu de plus pour l’Église Orthodoxe ;
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