Archive pour le 20 janvier, 2007

Homélie du dimanche 21 janvier 2007

20 janvier, 2007

Homélie du dimanche 21 janvier 2007 Par le Père Jacques Fournier (Infocatho)

du site:

http://www.cef.fr/catho/prier/homelie.php 

Références bibliques :
Lecture du livre de Néhémie : 8. 1 à 10 : “Ce jour est consacré à notre Dieu ! la joie du Seigneur est votre rempart.”
Psaume 18 : “ Accueille les paroles de ma bouche, le murmure de mon coeur.”
Saint Paul. 1ère lettre aux Corinthiens : 12. 12 à 30 : “ Tous nous avons été désaltérés par l’Unique Esprit.”
Evangile selon saint Luc : 1. 1 à 4 : “ Les témoins oculaires devenus les serviteurs de
la Parole.” 
*** 

Le choix des lectures de ce dimanche semble ne pas relever pas d’une logique rationnelle. Pourtant ce choix n’est pas arbitraire. Nous pouvons les relier entre elles par la vision de l’Eglise, qui se dégage des trois textes, en particulier celui de saint Paul, en ce dimanche au cœur de la « Semaine de prière pour l’Unité des chrétiens ». - Edification de la communauté juive au retour de l’exil, axée sur les paroles de
la Loi.
- Unité de l’Esprit dans les différences non seulement entre chaque baptisé, mais aussi entre chaque Eglise qui donnent forme et vie « l’oikuménè » de Dieu :” Ceux que Dieu a placés dans l’Eglise”.
- Enfin les témoins de
la Parole dont le Christ est “le prototype” à la synagogue de Nazareth car “l’Esprit repose sur Lui.” 

Ce dimanche nous invite à fêter
la Parole vivante issue du Livre dont la communauté accueille l’expression une et diverse selon le charisme et la vocation de chacun des fidèles. 

LA LITURGIE DE
LA PAROLE 

Le contexte historique Le livre de Néhémie nous place dans un des moments “fondateurs” du judaïsme. Néhémie est un laïc juif, échanson à la cour du roi de Perse au temps de l’exil. Il obtient une première mission officielle pour se rendre à Jérusalem. Nommé gouverneur de la région de Juda, il relève les murs de la ville, veille à la justice sociale entre les habitants et organise son repeuplement par le retour des exilés. 

Dix ans plus tard, si l’on accepte une certaine chronologie, il revient et procède avec autorité au rétablissement du sabbat, au respect des lévites, à la réglementation cultuelle. Et c’est là que se situe l’épisode que la liturgie de ce dimanche relate. Au terme d’un travail dont Esdras est la cheville ouvrière, les traditions orales sont recueillies et transmises par écrit pour qu’elles ne se perdent pas comme ce fut le risque au cours de l’exil. Esdras est “un scribe versé dans
la Loi de Moïse” (Esdras 7. 1 à 5), “interprète des commandements de Yahvé et de ses lois concernant Israël” (Esdras 7. 10 et 11). Il était d’ailleurs secrétaire pour les affaires juives à la cour du roi de Perse. La lecture solennelle de
la Loi qu’il introduit dans la communauté, prend le relais des “ Tables de
la Loi” qui ont été détruites. Pendant l’exil, les Juifs dispersés se sont regroupés non plus au Temple, centre de leur ancien petit royaume, mais dans des synagogues pour rester fidèles à
la Parole de Dieu reçue au Sinaï et transmise par Moïse et ses successeurs. 

Le sens de cette liturgie Le fait de lire selon un certain rituel confère au Livre de
la Parole de Dieu une valeur symbolique. Le Livre de l’Exode et le Livre des Nombres rattachaient toute la constitution du Peuple d’Israël à la révélation sur le Sinaï. Esdras constitue le Peuple Juif également autour de
la Parole de Dieu, non pas nouvelle, mais permanente. 

Comme Moïse a présenté les tables du Décalogue, nous retrouvons ici une présentation du Livre, une mise en valeur du lecteur, un accueil préalable par la prière qui est bénédiction du Seigneur et enfin une attitude spirituelle et corporelle (“amen”, debout, prosterné) du peuple qui écoute et ratifie. 
LA LITURGIE DE NAZARETH 

Le début de l’évangile selon saint Luc explique ses motivations. L’épisode de Nazareth situe les paroles de Jésus dans ce cadre, avec une insistance particulière sur la puissance de l’Esprit qui est en oeuvre. Le livre ancien que le Christ reçoit pour faire la lecture du prophète Isaïe a été écrit pour être lu à l’office synagogal. Il a été écrit jadis. Et Jésus le referme. Le livre neuf que saint Luc vient d’écrire est destiné lui aussi à être “lu” dans l’Eglise, par ceux qui sont devenus les serviteurs de
la Parole. Luc ne veut ni réaliser une oeuvre littéraire, ni rédiger une histoire chronologique, même si les premiers chapitres comportent des repères qui attestent cet aspect de l’oeuvre. Sa visée est d’affermir la foi. 

Saint Jean dira de même au terme de son évangile. Il a écrit “pour que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et pour que, en croyant, vous ayez la vie en son nom.” (Jean 20. 31) Les premiers versets de saint Luc nous donnent les signes distinctifs des apôtres et de ceux qu’ils associent à leur tâche. Quand il faudra remplacer Judas, Pierre cherchera parmi ceux qui les “ont accompagnés durant tout le temps où le Seigneur Jésus a marché à leur tête” (Actes 1. 21), parce que la tâche de l’apôtre est d’être le témoin de
la Résurrection et le messager de
la Parole. Les premiers chapitres des Actes nous montrent d’ailleurs les apôtres prêchant, enseignant, expliquant, appelant à la conversion. (Actes 4. 29 à 31) 

C’est à sa manière ce que saint Paul rappelle aux Corinthiens, chacun, selon sa vocation spécifique annonce l’Evangile. Pour lui comme pour les rédacteurs des quatre évangiles, les écrits ne sont pas des “outils” de propagande, mais plutôt des soutiens de la catéchèse. C’est ce terme qui est utilisé ici : “catéchètès”, non pas avec la précision technique qu’il a maintenant, mais au sens “tu as reçu”. (Luc. 1. 4), la transmission présente d’un enseignement. Dans le prologue des Actes, saint Luc dira : “ce que Jésus a commencé à faire et à enseigner”, “poïev kai didaskeiv”. (Actes 1. 1) L’Evangile n’est pas d’abord dans l’écrit, mais dans “l’agir” de Dieu qui ressuscite Jésus comme Christ et Seigneur et, par Lui, nous donne l’Esprit-Saint. Certes cet agir de Dieu s’est inscrit dans l’histoire. Mais il n’appartient pas qu’au seul passé. Cet agir est présentement. Quand
la Parole est annoncée et que les sacrements sont célébrés, l’Esprit nous communique aujourd’hui la vie du Christ, la vie du Fils, la vie de fils. 

Quand l’Ecriture est lue, plus encore quand elle est proclamée en Eglise, les événements de la vie de Jésus prennent pour nous leur pleine actualité. Ils sont actuels. Ils s’accomplissent pour nous qui sommes son corps. (Saint Paul aux Corinthiens) Jésus le dit à Nazareth. Après avoir replié le rouleau du prophète de l’Ancien Testament, nous pouvons entendre en vérité
la Parole du Christ dans le Nouveau Testament. “Cette parole de l’Ecriture que vous venez d’entendre, c’est aujourd’hui qu’elle s’accomplit.” (Luc 1. 21) 


LA PORTEE DE L’EVANGILE DE LUC 
L’introduction que saint Luc a jugé utile d’inscrire dès les premières lignes de son évangile, peut être aussi l’objet d’une réflexion sur la place de l’Ecriture dans l’Eglise actuelle, tout particulièrement en cette semaine de l’Unité. 

Saint Luc ne mentionne pas son nom, mais depuis toujours la tradition des premiers écrivains chrétiens lui attribue le troisième évangile et les Actes des Apôtres. Il est nommé trois fois parmi les collaborateurs de saint Paul, l’apôtre des païens. (Colossiens 4. 14 – 2ème à Timothée 4. 11 – Lettre à Philémon 25). Il est grec et la langue grecque est sa langue maternelle. Il est dans la situation de tout païen du monde hellénique, qui n’avaient pas la possibilité de rencontrer des témoins directs du ministère de Jésus. Les chrétiens d’origine juive qui habitaient en Palestine pouvaient le faire auprès des auditeurs de Jésus en Judée ou Galilée. Il s’adresse à Théophile, “un ami de Dieu” et lui précise qu’il n’est pas un apôtre, qu’il n’est même pas un témoin immédiat. Pourtant son oeuvre est “apostolique” par la source principale qu’il cite : ceux qui, dès le début, furent témoins oculaires et sont devenus serviteurs de
la Parole. Il le fait avec rigueur, avec soin (Luc 1. 3) 

Nous voyons qu’entre ces témoins privilégiés et lui-même, une activité, que nous appellerions “littéraire”, avait commencé de se déployer. Les mots employés ne permettent pas de préjuger de la nature orale ou écrite de ces documents. Fait-il référence aux autres évangiles que nous connaissons, dans leur état actuel ou dans leur état antérieur ? Fait-il référence à d’autres textes que nous ignorons aujourd’hui parce qu’ils n’ont pas été retenus par l’Eglise comme inspirés ? Il est impossible de le dire. En tout cas, il a rencontré les témoins. Il suggère même un témoin privilégié :”Marie retenait avec toutes ces choses en son coeur.” (Luc 2. 19) 

Saint Luc témoigne ainsi de cet entre-deux qui trouble souvent le chrétien aujourd’hui : que s’est-il passé entre les événements et la rédaction des évangiles tels que nous les possédons ? Thème que les medias contemporains aiment à remettre à l’ordre du jour. Cela nous renseigne aussi sur les premiers écrivains sacrés. Luc ne prétend pas avoir reçu la révélation directe de ce qu’il devait mettre par écrit et de la manière dont il devait composer son oeuvre. Il a mené une enquête d’une rigoureuse authenticité. Il a choisi les faits et gestes du Christ significatifs de la révélation divine et non pas pour le pittoresque anecdotique. ”Pour que tu te rendes bien compte de la solidité des paroles que tu as reçues.” (Luc 1. 4) Il prend ses responsabilités par rapport au choix qu’il fait en nous donne le sens de sa liberté. Il insiste sur le sérieux de son travail. 


La Bible a Dieu pour auteur, ce qui n’empêche pas chaque auteur sacré d’agir aussi en véritable auteur. Dieu n’a pas dicté. Il a inspiré, laissant à chaque auteur sa personnalité. Ceci demanderait une longue réflexion et un long développement, car cela distingue la révélation judéo-chrétienne de la transmission du message coranique. 
*** 

C’est à l’homme d’entendre ce que Dieu lui inspire dans
la Parole qui est lu ou entendu. “Accueille les paroles de ma bouche, le murmure de mon coeur.” (Psaume 18) C’est aussi à cet homme de parler et de révéler ce qui le fait vivre. Jésus nous le dit à Nazareth; saint Luc nous le suggère dans son introduction. 

L’Osservatore Romano désormais distribué en France par « L’Homme Nouveau »

20 janvier, 2007

du Zenith: 

2007-01-19

L’Osservatore Romano désormais distribué en France par « L’Homme Nouveau »

ROME, Vendredi 19 janvier 2007 (ZENIT.org) – L’Osservatore Romano vient de confier la promotion en France de son édition hebdomadaire en langue française, aux Editions de L’Homme Nouveau.

L’Homme Nouveau est chargé de la recherche, de la promotion et de la gestion des abonnements de l’édition française du journal du Saint-Siège, en France.

« La mission qui nous est confiée honore L’Homme Nouveau. Fiers d’être catholiques romains, nous sommes heureux de nous mettre ainsi au service du porte-parole du Saint-Père », précisent les Editions de l’Homme Nouveau dans un communiqué.

L’Osservatore Romano a été créé par des laïcs en 1861 pour défendre Rome et le pape. A partir de 1885, le journal est devenu l’organe d’information du Saint-Siège. Créée en 1949, l’édition hebdomadaire en langue française assure la fonction de pont entre Rome et l’Eglise dans le monde francophone et francophile. Elle offre une mine de documents et d’informations sur le pape, les évêques et la vie de l’Eglise universelle. Son directeur est Jean-Michel Coulet.

Les Editions de L’Homme Nouveau, créées en 1946 sous forme de société coopérative indépendante (un millier d’associés) et dirigées par Denis Sureau depuis six ans, publient le journal bimensuel L’Homme Nouveau (12 000 abonnés), dont le rédacteur en chef est Philippe Maxence. Elles éditent également des livres, dont « L’Enquête sur l’Esprit de la liturgie », publié en 2002 à la demande expresse du cardinal Joseph Ratzinger, qui lui a donné une préface.

Contact presse : Denis Sureau 01 48 76 72 91,
osservatore-romano@hommenouveau.fr

Discours du Pape Benoît à la comunnauté de Collège Capranica de Rome

20 janvier, 2007

Ce discours est important parce que (il est du Pape) mais pour la préoccupation Pastoral de Benoît pour le séminariste e le prêtre, ce préoccupation est comme un amour à Dieu e a le peuple chrétienne, Il fait tout ce qu’il peu pour aider l’Église, je crois, 

DISCOURS DE SA SAINTETÉ BENOÎT XVI À LA COMUNNAUTÉ DE L’ALMO COLLÈGE CAPRANICA DE ROME – 

SALLE DU CONCISTORO – VENDREDI, 19 JANVIER 2007 -

 Monsieur Cardinale, Vénérés des Frères, Monsignor Recteur, chers Élèves du Collège Capranica ! (Je) suis heureux d’accueillir vous dans l’imminence de la fête de votre Patronne, sant’Agnese. (Je) vous salue tous avec affection, à partir du Cardinal Vicario Camillo Ruini et de l’Archevêque Pieux Vigo qui forment
la Commission Episcopale préposée au Collège. Il salue le Recteur, Monsignor Ermenegildo Manicardi. Je vous donne un spécial bienvenu, chers Élèves, que des fées partent de la communauté du plus ancien collège ecclésiastique romain. Ils sont passés en effet 550 ans de ce 5 janvier 1457, lorsque le Cardinal Domenico Capranica, l’Archevêque d’Arrêt, fonda le Collège que de lui il prîmes nom, en destinant à lui tous ses biens et son palais prés de Saint Maria en Aquiro (il est une église très belle au centre de Roma), parce qu’il pouvait accueillir des jeunes étudiant appelés au sacerdoce. Le naissant institution était la première dans son genre à Rome ; initialement réservée aux jeunes romains et aux fermani  (de la ville de Fermo), étendus en suite l’hospitalité à des élèves d’autres régions italiennes et de différentes nationalités. Le Cardinal Capranica mourut moins que deux ans après, mais sa fondation avait maintenant entamé son chemin, qui est poursuivi jusqu’à aujourd’hui, en subissant seulement une décennie de fermeture de 1798 à 1807, pendant la soi-disante République Romaine. Deux Papi furent des élèves de
la Capranica : pour presque quatre ans Pape Benoît XV, que justement vous considérez « Parens alter » pour la spéciale affection qui toujours nourrit pour votre casa, et ensuite, pour une période plus brève, l’Esclave de Dieu Pio XII. À votre Collège ils ont toujours montré leur bienveillance miens vénérés Prédécesseur, dont quelques il
s sont venus à vous visiter en particulières circonstances. Même le notre rencontre d’aujourd’hui se déroule, au-delà la mémoire de sant’Agnese, dans le conteste d’un significatif anniversaire du votre institution. Dans cette perspectif historique et spirituelle il est utile se demander quelles motivations aient poussé le Cardinal Capranica à fonder cette providentielle actionne, et quelle valeur elles conservent pour vous, aujourd’hui. Il faut avant tout se rappeler de que le fondateur avait eu expérience directe des collèges des Universités de Padoue et de Bologne, où il avait été étudiante, ainsi que de ceux de Sienne, de Florence et de Pérouse. On traitait d’institutions levées pour recevoir des jeunes versés dans les études et pas appartenants à des familles aisées. En empruntant quelques éléments de tels modèles, en inventa un qui était exclusivement destiné à la formation des futurs prêtres, avec attention préférentielle pour les candidats moins aisés. De cette manière il devancée, au-delà d’un siècle, de l’institution des « séminaires » réalisée de Concilio de Trente. Mais nous n’avons pas encore mis à feu la motivation de fond de la providentielle initiative : elle consiste dans la conviction que la qualité du clergé dépend du sérieux de sa formation. Maintenant, aux temps du Cardinal Capranica, il manquait des soignée sélection des aspirants aux sacrés Ordres : parfois ils étaient examinés sur la littérature et sur chante, mais pas sur la théologie, sur le morale et sur le droit canonique, avec des imaginables répercussions négatives sur
la Communauté ecclésiale. Voilà parce que, dans les Constitutions de son Collège, le Cardinal imposa aux étudiants de théologie le rapprochement à meilleurs auteurs, spécialement à Tommaso d’Aquino ; à ceux de droit la doctrine de
la Papa Innocenzo III, et pour tous l’étique aristotélicienne. En ne se contentant pas ensuite des leçons du « Studium Urbis », il assura des répétitions supplémentaires fournies de spécialistes directement à l’intérieur du Collège. Cette position des études était insérée dans un cadre de formation intégrale, centrée sur la dimension spirituelle, qui avait comme piliers les Sacrement de l’Eucharistie – quotidienne – et de
la Pénitence – au moins mensuel – et était soutenue des pratiques de pitiés prescrites ou suggérées de l’Église. Grande importance avait même l’éducation caritatif, soit dans la vie fraternelle ordinaire que dans l’assistance aux malades ; comme pures celle qu’aujourd’hui nous appelons « expérience pastorale ». Il était prévu en effet que dans les jours fériés les élèves déroulaient service en Cathédrale ou dans les autres églises du lieu. Un valide apport formatif il le donnait finalement le même style communautaire, caractérisé de fortes
coparticipation  dans les décisions concernant la vie du Collège. Nous trouvons ici la même choisie de fond qui en suite auront les Séminaires diocésain, naturellement avec plus accompli sens de l’appartenance à l’Église détail, le choix c’est-à-dire d’une sérieuse formation humaine, culturelle et spirituelle, ouverte aux exigences ses des temps et des lieux. Chers amis, nous demandons aux Seigneur, pour des intercession de Marie très sainte et de sant’Agnese, qui l’ almo Collège Capranica poursuive dans son chemin, fidèle à sa longue tradition et à enseignements de Concilio Vatican II. À vous, chers Élèves, je souhaite de rénover chaque jour du profond du coeur vos offerte à Dieu et au saint Église en vous conformant toujours plus à Christ des Bonnes Bergères, qui vous ont appelé à le suivre et à travailler dans sa vigne. Je vous remercie pour celle aimée visite et, pendant que je vous assure ma prière, je donne avec affection à vous tous et aux personnes à vous chères, une spéciale Bénédiction Apostolique.