Archive pour le 17 janvier, 2007

le SIDIC de Paris

17 janvier, 2007

Du SIDIC de Paris, je vous mets un texte da la page d’ouverture de le site, du site : 

http://www.sidic-paris.org/

Quels sont nos objectifs? 

     Avec vous nous voudrions contribuer à modifier le regard que les chrétiens portent sur le peuple juif en remplaçant « l’enseignement du mépris » par l’enseignement de l’estime. Il s’agit de faire passer dans la vie des chrétiens les directives du Concile Vatican II et des documents ultérieurs concernant les relations de l’Église et du Peuple juif.
Pour atteindre ce but il est nécessaire de situer le peuple juif à la racine de
la Révélation, donc de la foi chrétienne, de le connaître dans sa continuité historique, d’étudier l’histoire de l’Église dans sa relation avec le peuple de sa racine, d’apprendre à lire les événements, leurs mobiles, même non explicités, à devenir sensible à toute manifestation d’antisémitisme et à y réagir.
     Le Sidic-Paris mets à votre disposition quelques moyens pour atteindre cet objectif:
 

* Des cours diversifiés de Bible, d’histoire du peuple juif, d’hébreu, de judaïsme avec des professeurs juifs et chrétiens
 *
Un bulletin mensuel d’information : SIDIC -INFORMATION
 *
Une bibliothèque spécialisée
 *
Des dossiers de Documentation sur de multiples sujets
 *
Des groupes de réflexion
 *
Un groupe d’étude et de prière
 *
Des sessions de formation
 * Des interventions sur demandes 

  

du Conseil Pontifical pour la promotion de l’unité des chrétien l’histoire de ce jour de prière

17 janvier, 2007

 du:

CONSEIL PONTIFICAL
POUR
LA PROMOTION DE L’UNITÉ DES CHRÉTIENS 

l’HISTOIRE 

L’origine du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens est étroitement liée au Concile Vatican II. Le Pape Jean XXIII désirait que l’engagement de l’Église Catholique dans le mouvement œcuménique contemporain soit l’un des buts principaux du Concile. C’est pourquoi, le 5 juin 1960, il a créé un Secrétariat pour la promotion de l’unité des chrétiens comme l’une des commissions préparatoires au Concile et a nommé comme premier président le Cardinal Augustin Bea. C’est la première fois que le Saint-Siège mettait en place une structure consacrée uniquement aux questions œcuméniques. 

La première fonction du Secrétariat a été tout d’abord d’inviter les autres Eglises et Communions mondiales à envoyer des observateurs au deuxième Concile du Vatican. Mais, dès la première session (1962), par décision du Pape Jean XXIII, il fut assimilé aux commissions conciliaires. Le Secrétariat a alors préparé et présenté au Concile les documents sur l’œcuménisme (Unitatis redintegratio), les religions non chrétiennes (Nostra ætate), la liberté religieuse (Dignitatis humanæ) et, en lien avec
la Commission doctrinale,
la Constitution dogmatique sur la « Révélation divine » (Dei Verbum).  

En 1963, le Saint-Père a précisé que le Secrétariat serait composé de deux sections chargées respectivement des relations avec les Églises orthodoxes et les anciennes Églises orientales d’une part et, d’autre part, avec les Églises et Communautés ecclésiales d’Occident. 

En 1966, le Concile étant achevé, le Pape Paul VI a confirmé le Secrétariat pour la promotion de l’unité des chrétiens comme organe permanent du Saint-Siège. Le Cardinal Bea l’a présidé jusqu’à sa mort en 1968. En 1969, le Cardinal Johannes Willebrands était désigné pour lui succéder. Vingt ans plus tard il se retirait et devenait président émérite; le Cardinal Edward Idris Cassidy était alors nommé président de ce dicastère. 

C’est par
la Constitution apostolique Pastor Bonus du 28 juin 1988 que le Pape Jean-Paul II a transformé le Secrétariat en Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens (CPPUC), changement devenu effectif le 1er mars 1989. 

BUT 

Le Conseil a une double fonction. 

Il est tout d’abord chargé de promouvoir, à l’intérieur de l’Église catholique, un authentique esprit œcuménique selon le Décret conciliaire Unitatis redintegratio; c’est à cette fin qu’un Directoire œcuménique a été publié en 1967-1970 et renouvelé en 1993 sous le titre: « Directoire pour l’application des principes et des normes sur l’oecuménisme». Le Conseil assume cette tâche en lien avec les divers dicastères de
la Curie romaine, dont les compétences doivent également contribuer à l’effort de dialogue de l’Église catholique et être mises au service de ses relations avec toutes les Églises et Communautés ecclésiales. 

En même temps, le Conseil pontifical s’efforce également de développer le dialogue et la collaboration avec les autres Églises et Communions mondiales. Aussi, dès sa création, il a établi une cordiale coopération avec le Conseil œcuménique des Églises (COE) dont le siège est à Genève; depuis 1968, douze théologiens catholiques sont membres à part entière de
la Commission « Foi et Constitution », département théologique du COE. 

Il appartient également au CPPUC de nommer des observateurs catholiques aux différents rassemblements œcuméniques et d’inviter à son tour des observateurs ou des « délégués fraternels » des autres Églises et Communautés ecclésiales à l’occasion des grands événements de l’Église catholique. 

En ce moment, le CPPUC est engagé dans un dialogue théologique international avec les Églises et Communions mondiales suivantes: 

·         l’Eglise orthodoxe 

·         l’Eglise copte orthodoxe 

·         les Eglises malankares 

·        
la Communion anglicane 

·        
la Fédération luthérienne mondiale 

·         l’Alliance réformée mondiale 

·         le Conseil méthodiste mondial 

·         l’Alliance baptiste mondiale 

·         l’Eglise chrétienne (Disciples du Christ) 

·         des responsables des Eglises pentecôtistes. 

Le Conseil se préoccupe aussi de promouvoir des rencontres avec les évangéliques. 

Pour faire connaître le plus largement possible les résultats des ses efforts en faveur de l’unité des chrétiens, le CPPUC publie en français et en anglais une revue trimestrielle intitulée Service d’Information.  

STRUCTURE 

Le Conseil Pontifical est dirigé par le Cardinal Président. Il est assisté par un Secrétaire, un Secrétaire adjoint et un Sous-Secrétaire. 

Les relations avec les autres Églises et Communautés ecclésiales sont réparties entre deux sections: 

·         La section orientale, pour les Églises orthodoxes de tradition byzantine et les Églises orientales orthodoxes (coptes, syriens, arméniens, éthiopiens, malankars) ainsi que pour l’Église assyrienne de l’Orient. 

·         La section occidentale, pour les différentes Églises et Communautés ecclésiales d’Occident, et pour le Conseil oecuménique des Églises. 

La collaboration pour la diffusion de
la Bible
 

A la suite de la responsabilité prise par le Secrétariat dans la préparation de
la Constitution dogmatique sur
la Révélation divine, le CPPUC est chargé de la promotion de la collaboration œcuménique pour la traduction de
la Sainte Écriture et de sa diffusion (cf. Dei Verbum, n· 22). C’est la raison pour laquelle il a suscité la création de
la Fédération biblique catholique, avec laquelle il est en étroit contact. Avec l’Alliance biblique universelle, il a publié des Directives concernant la coopération interconfessionnelle dans la traduction de
la Bible
(1968; nouvelle édition révisée en 1987). 

Le Comité catholique pour la collaboration culturelle 

Fondé en 1963, le Comité s’attache à promouvoir, entre l’Église catholique et les Églises orthodoxes de tradition byzantine et les Églises 

orientales orthodoxes, des échanges d’étudiants désirant poursuivre, dans des institutions catholiques ou orthodoxes, des études en théologie ou dans d’autres disciplines ecclésiastiques. Une commission internationale d’attribution des bourses, dépendant du Comité, se réunit chaque année au mois de mars. 

Les relations avec le Judaïsme 

Le 22 octobre 1974, le Pape Paul VI a créé une Commission pour les relations religieuses avec le Judaisme, organisme distinct mais étroitement lié au CPPUC. En effet, le Cardinal Président et le Secrétaire du CPPUC en sont respectivement le président et le vice-président; un secrétaire exécutif à plein temps en assure le fonctionnement. Pour la mise en œuvre des orientations données par le deuxième Concile du Vatican,
la Commission a publié des Orientations et suggestions pour l’application de la déclaration conciliaire « Nostra ætate  » n· 4 (1974) et des Notes pour une correcte présentation des juifs et du judaïsme dans la prédication et la catéchèse de l’Église catholique (1985). 

 

 

BENOÎT XVI AUDIENCE GÉNÉRALE – Salle Paolo VI – Mercredi, 17 janvier 2007 –

17 janvier, 2007

la cathéchèse du Pape d’aujourd’hui, du site Vatican (traduction) 

BENOÎT XVI AUDIENCE GÉNÉRALE – Salle Paolo VI – Mercredi, 17 janvier 2007 – 

Chers frères et soeurs ! Il a entame demain la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens, que je conclurai personnellement dans
la Basilique de San Paolo hors Mura, le 25 prochain janvier, avec la célébration des Vesprée, à laquelle ils sont invités même les représentants des autres Églises et de la Communauté ecclésiaux de Rome. Les jours du 18 au 25 janvier, et dans autres parties du monde, la semaine autour de la Pentecôte – ils sont un temps fort d’engagement et de prière de la part de tous les chrétiens, qui peuvent se servir des subsides élaborés conjointement du Pontifical Conseil pour la Promotion de l’Unité des Chrétiens et de la Commission « Foi et Constitution » de Conseil Oecuménique des Églises. J’ai pu avertir combien soit senti le désir de l’unité dans les rencontres que j’ai eu avec diverses des représentants d’Églises et de Communauté ecclésiaux long ces ans et, en mode très émouvante, dans la récente visite au Patriarche Oecuménique Bartolomeo I, à Istanbul en Turquie. Sur celles-ci et autres expériences, qui ont dilaté mon coeur à l’espoir, je tournerai plus longuement mercredi prochain. Le chemin de l’unité reste certainement long et pas facile ; il faut toutefois ne pas se décourager et continuer à le parcourir en comptant en premier lieu sur le sûr soutien de Celui que,  dont, avant de partir pour le ciel, il a promis à le sien : « Voilà, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde » (Mt 28, 20). l’unité est don de Dieu et fruit de l’action de son Esprit. Pour ceci il est important prier. Plus nous nous approchons à Christ en nous convertissant à le sien amour, plus on approche même les uns aux autres. Dans quelques Pays, entre lesquels l’Italie,
la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens est faite précéder de la Journée de réflexion hébreu- chrétienne, qu’on célèbre vraiment cet aujourd’hui, 17 janvier. Maintenant presque de deux décennies la Conférence Episcopale italienne dédie à cette Journée à le judaïsme avec le balai d’en promouvoir la connaissance et l’estime et pour développer le rapport de réciproque amitié entre la communauté chrétienne et celle juive, rapport qui s’est développé positivement après Concilie Vatican II et après la historique visite de l’Esclave de Dieu Jean Paul II à
la Synagogue Majeure de Rome. Même l’amitié hébreu- chrétienne, pour croître et être fructueuse, doit se fonder sur la prière. Invitation par conséquent tous à tourner cet aujourd’hui des insistant invocation au Seigneur parce que juifs et chrétiens on respecte, s’estiment et collaborent ensemble pour la justice et la paix dans le monde. Cet an thème biblique proposé à la commune réflexion et prière dans cette « Semaine » est : « Sentir Il y à il y à les sourdes et parler le muets » (Mc 7, 31-37). Ils sont des mots tirés de l’Évangile de Marc et ils se réfèrent aux guérison d’un sourd-muet de la part de Jésus. Dans la cette bref péricope, l’évangéliste il narre que les Seigneur, après avoir posé les doigts dans les oreilles et après avoir touché avec sa salive la langue du sourd-muet, il actionna le miracle en disant : « Ephphatha ! » qui signifie « Ouvre toi! ». Racheté l’ouïe et eu à nouveau le don du mot, cet Homme suscita l’admiration des autres en recomptant combien l’ère arrivé. Chaque chrétien, spirituellement sourde et muet à cause du péché original, avec le Baptême reçoit le don des Seigneur qui met ses doigts sur son visage, et ainsi, par les merci du Baptême, il devient capable d’écouter le mot de Dieu et de le proclamer aux frères. Au contraire, à partir de cet instant il est son épelle mûrir dans la connaissance et dans l’amour de Christ ainsi de pouvoir annoncer et témoigner efficacement l’Évangile. Ceci craint, en mettant en lumière deux tu attends de la mission de chaque communauté chrétienne – l’annonce de l’Évangile et le témoignage de la charité – souligne même combien soit important traduire le message de Christ en concrètes initiatives de solidarité. Cela favorise le chemin de l’unité, parce qu’on peut dire que tout soulagement, aussi petit, que les chrétiens apportent ensemble à la souffrance prochain du, contribue à rendre plus visible même leur communion et leur fidélité à je commande des Seigneur. La prière pour l’unité des chrétiens ne peut pas toutefois se limiter à une semaine à l’an. Les invocations choral aux Seigneur parce que soit Il à réaliser, dans les temps et dans les modalités à Lui seuls connus, la pleine unité de tous ses disciples doit s’étendre à chaque jour de l’an. En outre l’harmonie de buts dans la diaconie pour soulager les souffrances de l’homme, la recherche de la vérité du message de Christ, la conversion et la pénitence, est des étapes obligées à travers lesquelles chaque chrétien je daigne de ce nom doit s’unir au frère pour implorer le don de l’unité et de la communion. Je vous exhorte, donc, à passer ces jours dans un climat de orante écoute de l’Esprit de Dieu, parce qu’on accomplisse des significatifs pas sur de la communion pleine et parfaite entre tous les disciples de Christ. Il nous l’obtienne les Vierge, que nous invoquons comme Mère de l’Église et du soutien de tous les chrétiens, soutien de les nôtre je me promène vers Christ.

——————— Saluti: (texte original) 

Je salue avec joie les pèlerins francophones présents ce matin, en particulier les responsables de la famille Cor Unum. Soyez tous les témoins de
la Bonne Nouvelle dont notre monde a besoin!