Archive pour le 14 janvier, 2007

LES PAROLES DE LA DOCTRINE par l’Abbé Nicola Bux et l’abbé Salvatore Vitiello –

14 janvier, 2007

j’ai trouvé cette réflexion sur le sité que je cite, semble toujours de savoir ces choses, pourtant, il me semble qu’il est  que nous nous les devons souvent répéter, du site:

http://www.fides.org/aree/news/newsdet.php?idnews=8351&lan=fra

VATICAN – LES PAROLES DE LA DOCTRINE par l’Abbé Nicola Bux et l’abbé Salvatore Vitiello – Eléments fondamentaux de la liturgie romaine (I) : la participation

Rome (Agence Fides) – Chez les prêtres et les « laïcs engagés », s’est répandue l’idée que la participation active à la liturgie consistait à faire entrer dans l’action le plus grand nombre possible de personnes, le plus souvent possible, en les amenant à tout chanter et à répondre à tout à haute voix, à changer de position à des moments différents, à recevoir la Communion, autrement la Messe ne serait pas valable, et bien d’autres choses encore. Il y a l’idée que tous les assistants soient des « fidèles parfaits », alors que, au contraire, ils sont mélangés, catéchumènes, repentis, et tous ceux qui cherchent Dieu, comme cela a toujours existé dans l’histoire de l’Eglise et de ses rites.
Mais la parole « action », qui se retrouve dans « participation » (participer à l’action), se réfère selon les sources liturgiques à la grande prière, « l’oratio » ou canon eucharistique : en résumé, participer veut dire prier. Cela semble une chose évidente : si la liturgie n’était pas une prière, que serait-elle ? Une récitation, un spectacle d’acteurs et de spectateurs. Il arrive souvent de voir que le prêtre et les fidèles, quand ils prient, et quand ils « participent », ont, physiquement, leur regard qui fait le tour de l’assemblée, et donc distrait et non pas tourné vers le Seigneur.

Les paroles du prophète reviennent en mémoire : « ce peuple est près de moi en paroles et me glorifie de ses lèvres, mais son cœur est loin de moi » (Is 29, 13). Mais nous parlerons ensuite de l’orientation de la prière. Notons ceci : « La définition de l’Eucharistie comme ‘oratio’ fut ensuite une réponse fondamentale pour les païens et pour les intellectuels en recherche. Par cette expression, on disait en effet à ceux qui étaient en recherche : les sacrifices d’animaux, et tout ce qui existait et existe chez vous et qui ne peut satisfaire personne, ont été supprimés. A leur place, il y a maintenant le sacrifice-parole. Nous sommes la religion spirituelle, où se déroule le culte divin rendu par le moyen de la parole ; on ne sacrifie plus des boucs et des veaux ; mais la parole est adressée à Dieu en tant qu’Il est Celui qui soutient notre existence, et cette parole s’unit à la Parole par excellence, au Logos de Dieu qui nous élève à l’adoration authentique » (J. Ratzinger, Introduzione allo spirito della liturgie », San Paolo 2001, p. 168)
Et ainsi, la forme de la liturgie, c’est-à-dire la Messe et les sacrements, est la prière : elle doit être restaurée également par rapport au contexte actuel de contact avec les hommes non croyants ou attirés par d’autres religions. La liturgie est l’œuvre de la prière, l’opus Dei, en un mot : le culte d’adoration publique et intégrale, qui naît de la certitude de la présence de Dieu que nous voulons connaître, entendre et nous efforcer d’atteindre.
La liturgie est l’acte le plus manifeste du sens religieux : le culte est un acte qui « cultive » (de « colere ») ce qui est important, analogue à tout ce qui amène à faire de la culture, parole qui a la même racine. Nous voyons Dieu qui est invisible, dans les signes visibles qu’il opère ; Il parle, nous en faisons l’expérience. La liturgie est l’expérience de Dieu : nous Le découvrons, nous L’aimons sans le voir, nous nous considérons comme étant son oeuvre, « par Lui nous avons été créés » ; Il est en nous et nous sommes en Lui. Il est fort et nous sommes faibles. Il est puissant et nous sommes impuissants. Il est esprit, et nous sommes corps. La liturgie sert à pour ramener à Dieu après le péché à nous convertir à Lui, à tourner vers Lui notre cœur, en ressentant la nécessité de prier, d’entrer en contact avec sa sainteté, à Lui qui est Celui qui est trois fois Saint, et à qui nous parlons comme un enfant à son Père.
Tout cela c’est la prière sans laquelle la liturgie n’existe pas : au contraire, la liturgie conduit à cette prière. Au sacrifice qui Lui plaît, pour chercher en toute chose ce qui Lui plaît, et rien ne Lui plaît plus que l’écoute de Son Fils et que l’offrande de Son Fils. La prière est faite de paroles, mais les paroles ne font pas la prière. La prière fait la vraie religion, la dévotion, la piété qui ressent sa Présence. La prière devient ainsi relation d’amour avec Dieu du plus profond du cœur, de la conscience.
Il ne faut pas beaucoup de paroles entre ceux qui s’aiment, ni beaucoup de gestes. Le regard contemplatif suffit : savoir qu’Il est à la porte du cœur, qu’il frappe et attend que notre liberté ouvre, pour entrer et manger avec nous : Il s’est donné Lui-même, à chacun d’entre nous. Pour recueillir tout cela, la liturgie a besoin absolument de silence ; pour entendre Dieu qui frappe, le bruit des passions doit cesser le bruit des passions. De cette manière, la liturgie exprime la vraie religion parce qu’elle « lie » à Dieu, nous « relie » à Dieu totalement, cache, comme le dit Saint Paul, ma vie en Lui : « Ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi » (Gal 2, 20). Et ainsi, la participation à la liturgie naît de la conscience que seule Sa grâce suffit (2 Cor 12, 9).
(Agence Fides, 11 janvier 2007) 

Les parole du Saint Père à l’Angelus Domini dans la II Dimanche du Temps Ordinaire, 14 janvier 2007

14 janvier, 2007

Les parole du Saint Père à l’Angelus Domini dans
la II Dimanche du Temps Ordinaire, 14 janvier 2007 (traduction du texte integral) 

Chers frères et soeurs ! Dans cette dimanche on célèbre l’annuelle Journée Mondiale des Émigrantes et du Réfugié. Pour l’occasion j’ai tourné à tous les hommes de bonne volonté et, en particulier, aux communautés chrétiennes un spécial Message, ai dédié à la famille émigrante. Nous pouvons regarder la sainte Famille de Nazareth, icône de toutes les familles, parce qu’elle réfléchit l’image de Dieu gardée dans le coeur de chaque humaine famille, même lorsque elle est débilitée et parfois défigurée des épreuves de la vie. Il narre l’évangéliste Matthieu qui, peu de temps après la naissance de Jésus, saint Joseph fut forcée à partir pour l’Egypte en prenant avec lui l’enfant et sa Mère, au fin d’échapper à la persécution du roi Érode (cfr Mt 2.13-15). Dans le drame de
la Famille de Nazareth nous entrevoyons la douloureuse condition de tant des émigrants, spécialement des réfugiés, des exilés, des évacué, des réfugié, des persécutés. Nous reconnaissons, en particulier, les difficultés de la famille migrante comme tel : les malaises, les humiliations, les étroitesses, les fragilités. En réalité, le phénomène de la mobilité humaine très vaste et est diversifié. Selon des récentes estimes des Nations Unies, les émigrants pour raisons économiques sont aujourd’hui presque 200 millions, environ les 9 million les réfugiés et environ les 2 million les étudiants internationaux. À ce grand nombre de frères et de soeurs nous devons ajouter les évacué, internes et les irréguliers, en tenant il y à compte qu’à chacun chef, dans une mode ou dans l’autre, une famille. Il est important, donc, défendre les émigrante et leurs familles au moyen du secours de presìdi législatifs, juridiques et administrés vous spécifiques, et même à travers un réseau de services, de points j’écoute et de structures d’assistance sociale et pastorale. Je souhaite qu’on arrive vite à une gestion équilibrée déesses flux migratoires et de la mobilité humaine en général, ainsi à porter des bénéfices à l’ entier famille humaine, en commençant avec des mesures concrètes qui favorisent l’émigration régulière et les réunions familiales, avec détail attention pour les femmes et les mineurs. En effets, même dans le vaste champ des migrations internationales, la personne humaine dois être toujours poste à le centre. Seulement le respect de la dignité humaine de tous les émigrants, d’un coté, et la reconnaissance de la part des émigrants mêmes des valeurs de la société qui les reçoit, de l’autre, rendent possible la juste intégration des familles dans les systèmes sociaux, économiques et politiques des Pays d’accueil. Chers amis, la réalité des migrations ne va jamais vue seulement comme un problème, mais même et surtout comme une grande ressource pour le chemin de l’humanité. Et une ressource est en mode spéciale la famille migrante, pourvu que elle soit respectée comme tel, ne doive pas subir des déchirures infaillibles, mais il puisse rester uni ou se rallier, et accomplir sa mission de berceau de la vie et premier domaine d’accueil et d’éducation de la personne humaine. Nous le demandons ensemble aux Seigneur, pour des intercession de Charmée Vierge Marie et de Saint Francesca Saverio Cabrini, 
 patronne des émigrants. 

Nous rapportons de suivi teste intégral des mots du Saint Père avant récite de l’Angelus Domini (texte original) :  Je vous salue, chers pèlerins de langue française. L’Évangile du jour nous invite à contempler, à travers le miracle de Cana, Jésus, véritable époux de l’Église. Le Christ aime son Église ; il lui découvre le sens véritable de l’existence humaine, il la purifie et lui partage son bien le plus précieux. Que chacun se laisse ainsi aimer et pardonner par le Christ, vivant en intimité avec Lui. Avec ma bénédiction apostolique. 

crèche dans une Basilique chez ma maison

14 janvier, 2007

crèche dans une Basilique chez ma maison img_45aa4d50b8242_middleacrèche de la Basilique de Saint Antonio a via Merulana – Roma, il y a des autres (c’est dans la même rue ou est ma maison)