commente de Père Raniero Cantalamessa à l’évangile du dimanche 14.1.07

du Zenith, texte en italien, traduction:

Donnée publication : 2007-01-12  les avantages d’avoir Jésus comme « ami de famille », selon le prédicateur de le Pape Commentaire de père Raniero Cantalamessa, OFM cap, à la liturgie de dimanche 

ROME vendredi, 12 janvier 2007 (ZENIT.org). – 

Nous publions commente de père Raniero Cantalamessa, OFM cap. – prédicateur dela Casa Pontificia à la liturgie de dimanche prochaine, II du Temps Ordinaire. 

ILS INVITÈRENT GESU’ AUX NOCES   

II Dimanche du Temps Ordinaire : Isaïe 62, 1-5 ; Les Corinthien 12, 4-11 ; Jean 2, 1-11

 L’Évangile de
la II Dimanche du Temps Ordinaire est l’épisode des noces de Cana. Qu’a-t-il voulu nous dire Jésus, en acceptant de participer à une fête de noces ? D’abord, de cette manière il a honoré, de fait, les noces entre l’homme et la femme, en réaffirmant, implicitement, qu’elles sont une chose belle, voulue du créateur et de lui bénie. Mais il a voulu
nous enseigner même une autre chose. Avec le sien venue, il se réalisait dans le monde cela noces mystique entre Dieu et l’humanité qui avait été promise à travers les prophètes, sous le nom « nouvelle et d’éternelle alliance ». À Cana, symbole et réalités se rencontrent : les noces humaines de deux jeunes sont l’occasion pour parler nous d’un autre mariage, celui entre Christ et l’Église que accomplira dans « maintenant le sien », sur la croix. Si nous voulons découvrir comme ils devraient être, en second lieu
la Bible, les rapports entre l’homme et la femme dans le mariage, nous devons regarder comme ils sont ceux-là entre Christ et l’Église. Nous éprouvons à le faire, en suivant la pensée Saint Paul sur ce argue, comme il est exprimé en Ephésien 5, 25-33. aux origine et à je centre de chaque mariage, selon cette vision, vous doit être l’amour : « Vous, maris, aimées vos femmes, comme Christ a aimé l’Église et a donné si même pour elle ». Cette affirmation – que le mariage se fonde sur l’amour – aujourd’hui semble à nous escomptée. Par contre seulement de peu plus qu’un siècle on est des joints à une reconnaissance de cela, et encore pas partout. Pour siècles et millénaires, le mariage était une transaction entre des familles, une mode de pourvoir à la conservation du patrimoine ou à la main d’oeuvre pour le travail des chefs, ou une obligation sociale. Les parents et les familles était les protagonistes, pas les époux qui souvent se connaissaient seul le jour des noces. Jésus, dit encore Paul dans teste d’Ephésien, a donné si même « au fin de se faire paraître devant son Église toute glorieuse, sans tache né ride ou quelque chose de semblable ». Est-il possible, pour un mari humain, émuler, même dans ceci, épouse Christ ? Peut enlever les rides à sa femme ? Oui qu’il le peut ! Il y a des rides produites de pas amour, de l’être laissés seuls. Qui se sent encore important pour le conjoint, il n’a pas de rides, ou, s’il les a, elles sont des rides divergées, qui augmentent, ne diminuent pas la beauté. Et les femmes, qu’est-ce que peuvent apprendre de leur modèle qui est l’Église ? L’Église se fait belle uniquement pour le sien épouse, pour ne plaît pas à autres. Il est fier et enthousiaste de le sien j’épouse Christ et on fatiguée de ne pas en tisser les éloges. Traduit sur le plan humain, ceci rappelle aux fiancés et aux femmes qui leur estime et admiration sont une chose très importante pour le fiancé ou au mari. Parfois, elle est pour eux la chose qui compte de plus le monde. Il serait grave la lui faire manquer, ne pas avoir jamais un mot d’appréciation pour son travail, sa capacité d’organisation, son courage, dévouement à la famille ; pour ce qui dit, s’il est un homme politique, qui écrit s’il est un écrivain, que crée s’il est un artiste. L’amour se nourrit d’estime et meurt sans d’elle. Mais il y a une chose qui le modèle divin rappelle surtout aux époux : la fidélité. Dieu est fidèle, toujours, malgré tout. Aujourd’hui, ce de la fidélité il est devenu un discours scabreux qui personne ose faire plus. Pourtant le facteur principal de s’effriter de tant de mariages est vraiment ici, dans l’infidélité. Quelqu’un le nie, en disant que l’adultère est l’effet, pas la cause, des crises matrimoniales. Il se trahit, dans autres mots, parce qu’il n’existe plus rien avec son conjoint. Parfois ceci sera même vrai ; mais très souvent il s’agit de circule vicieux. Il se trahit parce que le mariage est mort, mais le mariage est mort vraiment parce qu’on a commencé à trahir, peut-être. aiment seulement avec le coeur. La chose plus odieuse est qu’il y à souvent vraiment celui trahit retomber sur l’autre la faute de tout et se donne des airs victime. Mais nous revenons à l’épisode évangélique parce qu’il contient une espoir pour toutes les couples humains, même les meilleures. Il se produit dans chaque mariage ce qui se produisit aux noces de Cana. Il commence dans l’enthousiasme et dans la joie (de cela est symbole le vin) ; mais cet enthousiasme initial, comme le vin à Cana, avec passer du temps se consomme et vient à manquer. Alors on fait les choses pas plus pour amour et avec joie, mais pour habitude. Il baisse sur la famille, si on n’est pas attentif, comme un nuage de
grisaille et de ennui. Même de ceux-ci époux, on doit dire tristement : « Ils n’ont plus du vin! ». L’épisode évangélique indique les conjoints pour ne pas tomber dans cette situation, ou en sortir s’il y on a dans : inviter Jésus à ses noces ! S’il est présent, on peut toujours demander de répéter le miracle de Cana : transformer l’eau en vin. L’eau de l’habitude, de la routine, de la froideur, dans le vin de un amour et d’une joie meilleure que ceux initiaux, comme il était le vin multiplié à Cana. « Inviter Jésus à ses noces », il signifie tendres en honneur l’Évangile dans sa maison, prier ensemble, s’accoster aux sacrement, prendre partie à la vie de l’Église. Pas toujours tous et les deux les époux sont religieusement sur la même ligne. Peut-être un des deux est croyant et l’autre non, ou au moins pas de la même manière. Dans ce cas, tu invites Jésus aux noces celui des deux qui le connaît, et visages en mode – avec sa gentillesse, respect pour l’autre, amour et cohérence de la vie – qui devienne vite l’ami de tous et deux. Un « ami de famille » ! 

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