Archive pour le 11 janvier, 2007

Toutes les créatures doivent chanter les louanges du Seigneur

11 janvier, 2007

une poesie- prière du site: 

http://www.biblisem.net/meditat/benitout.htm

Toutes les créatures doivent chanter
les louanges du Seigneur

(FRAGMENTS)

 Ô vous qui faites tourner étoiles et soleil d’or,
Purs esprits qui n’êtes point souillés par la boue du corps,
Divins chambellans du ciel, vous, occupants de l’éther,
Louez le Seigneur sans cesse, exprimez vos plus doux airs.
Et vous, tout proches du ciel, beau carrosse d’or solaire
Lune d’argent au ciel noir, qui faites la nuit plus claire,
Milliers d’astres répandus par l’azur resplendissant,
Tour à tour au Créateur adressez vos plus doux chants.

Eaux qui tremblez suspendues sur cet orbe d’ici-bas,
Nuages, neiges, ondées, pluies, grêles à grand fracas,
Brouillards, glaces et rosées, gelées d’hiver ou d’automne,
Que vers Dieu à l’unisson vos douces odes résonnent.

Éclairs couchés sur le nuage et vent qui fait l’arbre choir ;
Vous, tonnerres aux trois voix, eau sans cesse à se mouvoir,
Orages et ouragans qui sifflez, froid Aquilon,
Louez le Seigneur des Dieux d’hymnes de votre façon.

Mers, fleuves et source aussi, pure – froide vagabonde,
Torrents aux murmures lents et toutes les eaux du monde,
Et vous-mêmes, habitants de cette onde cristalline,
Que vos voix montent au ciel, inventent un nouvel hymne.

Collines, mères du blé, et forêts d’arbres ombreuses,
Chauves montagnes, vallées noyées d’herbes plantureuses,
Rousse moisson qui luisez, baies et fruits mûrs flamboyants,
Rendez grâce au Roi très haut, monarque du firmament.
[...]
Ô Tout-Puissant, qui règnes ici-bas et chez les anges,
Que l’Orient, l’Occident, le Midi, le Nord te louangent.
Que connaisse ton saint nom et que s’incline aussi bien
Le sauvage Nouveau Monde auprès du monde ancien.

Que le soprano, l’alto et la basse tour à tour,
Avec l’orgue de leur voix te louent au divin séjour,
De la flûte et du hautbois que le son bruyant s’exhale –
Des théorbes et des luths, du tambour et des cymbales.

Konstancja BENISLAWSKA,
Chants chantés à moi-même.Traduit du polonais par Anne-Marie de Backer.
Recueilli dans Dieu et ses poètes, par Pierre Haïat,
Desclée de Brouwer, 1987.

Ce matin à la messe j’ai contempler Jésus incarné, Jésus crucifié comme la « Sagesse » la vrais ;

11 janvier, 2007

J’ai lis ce matin sur le Bréviaire une texte le les livre du « Ecclésiastique », en réalité da le jour après le Baptême du Jésus, le Bréviaire propose le texte de livre da la première page ; j’aime beaucoup ce livre, surtout l’ «Ecclésiastique e la « Sagesse » ; 

Sur le site, le journaux on line, je trouve beaucoup de « petit » notice (news ( ?) sûrement important, mais que ne trouve pas, ou moins en ce moment dans mon cœur, une espace de vrais méditation, de réflexion, peut-être je suis en peu lasse, soit physiquement, soit mentalement ;  

Ce matin à la messe j’ai contempler Jésus incarné, Jésus  crucifié comme la « Sagesse » la vrais ; 

Ils ont été plus important-confortant le lecture da
la Bible, je vous propose le texte de l’Ecclésiastique du lundi, que pour nous été déjà : « Temps Ordinaire », c’est le début de le livre cité ; 
 
Du site :

 http://www.biblia-cerf.com/bj.php

La Bible de Jérusalem 

  Ecclésiastique (or Siracide), chapitre 1  

Si 1:1-  Toute sagesse vient du Seigneur, elle est près de lui à jamais. 
Si 1:2-  Le sable de la mer, les gouttes de la pluie, les jours de l’éternité, qui peut les dénombrer? 
Si 1:3-  La hauteur du ciel, l’étendue de la terre, la profondeur de l’abîme, qui peut les explorer? 
Si 1:4-  Mais avant toutes choses fut créée la sagesse, l’intelligence prudente vient des temps les plus lointains. 
Si 1:5-   
Si 1:6-  La racine de la sagesse, à qui fut-elle révélée? Ses ressources, qui les connaît? 
Si 1:7-  … 
Si 1:8-  Il n’y a qu’un être sage, très redoutable quand il siège sur son trône 
Si 1:9-  c’est le Seigneur. C’est lui qui l’a créée, vue et dénombrée, qui l’a répandue sur toutes ses œuvres, 
Si 1:10-  en toute chair selon sa largesse, et qui l’a distribuée à ceux qui l’aiment. 
Si 1:11-  La crainte du Seigneur est gloire et fierté, gaîté et couronne d’allégresse. 
Si 1:12-  La crainte du Seigneur réjouit le cœur, donne gaîté, joie et longue vie. 
Si 1:13-  Pour qui craint le Seigneur, tout finira bien, au jour de sa mort il sera béni. 
Si 1:14-  Le principe de la sagesse, c’est de craindre le Seigneur; en même temps que les fidèles, elle est créée dès le sein maternel. 
Si 1:15-  Parmi les hommes, elle s’est fait un nid, fondation éternelle, et à leur race elle s’attachera fidèlement. 
Si 1:16-  La plénitude de la sagesse, c’est de craindre le Seigneur, elle les enivre de ses fruits; 
Si 1:17-  elle remplit toute leur maison de trésors et de ses produits leurs greniers. 
Si 1:18-  Le couronnement de la sagesse, c’est la crainte du Seigneur, elle fait fleurir bien-être et santé. 
Si 1:19-  Le Seigneur l’a vue et dénombrée, il a fait pleuvoir la science et l’intelligence, il a exalté la gloire de ceux qui la possèdent. 
Si 1:20-  La racine de la sagesse, c’est de craindre le Seigneur, et sa frondaison, c’est une longue vie 

                                                      

sur l’ »Osservatore Romano » le texte du discours du Pape pour l’Epiphanie e le Bapteme du Seigneur

11 janvier, 2007

Sur l’ “Osservatore Romano” Il y a le texte, traduit du journal, du discours du Pape pour :

« EPIPHANIE Homélie du Pape Benoît XVI lors de
la Messe en la solennité de l’Epiphanie » ; 

Et le : BAPTEME DU SEIGNEUR Le Saint-Père administre le Sacrement du Baptême à treize nouveau-nés ; 

 

Aux site : 

http://www.vatican.va/news_services/or/or_fra/index.html

L’affaire Wielgus et les raisons de sa démission – par le journaliste Sandro Magister

11 janvier, 2007

 du site, à la fin de l’article « Texte utile »:

http://www.chiesa.espressonline.it/dettaglio.jsp?id=110361&fr=y

L’affaire Wielgus et les raisons de sa démission

Il était le nouvel archevêque de Varsovie et Benoît XVI l’avait appuyé presque jusqu’au dernier moment, mais il a fini par lui donner l’ordre de démissionner. Beaucoup sont ceux qui ont déçu le pape, y compris  Vatican

par Sandro Magister

 L’affaire Wielgus et les raisons de sa démission - par le journaliste Sandro Magister dans articleROME, le 11 janvier 2007 – La “rezygnacja”, la renonciation prononcée par un Stanisław Wielgus en larmes dans la cathédrale de Varsovie dont il devait devenir le nouvel archevêque, le dimanche 7 janvier, n’a pas mis fin à la tempête qui secoue l’Église catholique en Pologne et à Rome, jusqu’à son pasteur suprême.Le 25 mai dernier, le premier jour de son voyage en Pologne, Benoît XVI était entré dans cette même cathédrale. Il s’était agenouillé sur la tombe de l’héroïque cardinal Stefan Wyszyński, le désignant comme un modèle pour tout le monde. Et aux évêques, au clergé et aux fidèles de Pologne, il avait demandé entre autres trois choses :– “humble sincérité” dans l’admission des erreurs du passé;

– magnanimité dans le jugement sur les fautes commise “en d’autres temps et dans d’autres circonstances”;

– fierté pour tout le bien accompli ces années-là en résistant au totalitarisme qui “générait l’hypocrisie”.

Mais aucune de ces trois consignes n’a été respectée dans les semaines fébriles entre la nomination et la démission de Wielgus.

* * *
L’ennemi extérieur a joué sa part dans “cette campagne contre l’Église en Pologne” a dénoncé le 7 janvier le porte-parole du Vatican, le père Federico Lombardi, un ennemi qui agit comme une « bizarre alliance entre ses ennemis d’hier et d’autres adversaires”.Mais les inimitiés au sein de l’Église ont aussi tourné au jeu de massacre.
On retrouve les vives campagnes de la station polonaise Radio Maryja (rien à voir avec la radio italienne du même nom), qui a souillé et accusé de collusion avec le régime communiste même cette figure de son renversement pacifique, Lech Wałęsa, pour ensuite défendre jusqu’au dernier moment l’archevêque Wielgus, grand protecteur de la station, contre ces mêmes accusations.Il y a les guerres entre factions catholiques, entre les intransigeants et les libéraux, à coup de documents de la “Służba Bezpieczeństwa”, la police secrète de l’ancien régime. Des kilomètres de pages entreposés maintenant dans les archives non plus secrètes de l’Institut de la Mémoire nationale, peut-être des ”copies de pages photocopiées trois fois” que l’on peut facilement agiter contre n’importe quelle personne, même innocente, a tonné l’ancien archevêque de Varsovie, le cardinal Józef Glemp, dans l’homélie marquant son départ et celui de son successeur raté Wielgus, aussi le 7 janvier.Il y a les professionnels de l’accusation comme ce père Tadeusz Isakowicz-Zaleski, lui aussi suspecté de collaboration, qui s’est fait le chasseur infatigable des coupables, avec la permission, à ses dires, de l’archevêque de Cracovie et ancien secrétaire de Jean Paul II, le cardinal Stanisław Dziwisz.

Paradoxalement, c’est justement Dziwisz et son entourage qui sont aujourd’hui au centre de la dernière vague d’accusations. Un d’eux est déjà tombé, le curé de la cathédrale de Cracovie Janusz Bielański, qui a donné sa démission le soir du 8 janvier.

D’autres nuages planent sur les intellectuels de “Tygodnik Powszechny”, l’historique hebdomadaire de Cracovie pour lequel a écrit Karol Wojtyła. Le printemps dernier, une de ses plumes les plus illustres, le père Michał Czajkowski, responsable de la commission pour le dialogue entre chrétiens et juifs, a été accusé d’avoir espionné contre rien de moins que le père Jerzy Popiełuszko, le prêtre martyr, avant que la police secrète ne l’enlève et le tue en 1984.

* * *
Mais ce n’est pas tout. L’actuel directeur de “Tygodnik”, père Adam Boniecki, qui a été ami personnel de Wojtyła et responsable de l’édition polonaise de l’ ”Osservatore Romano”, a dit:“Je ne sais pas qui, mais quelqu’un a désinformé pape Joseph Ratzinger. C’est sérieux et quelqu’un devra payer, en Pologne ou au Vatican”.
Ces mots, prononcés dans une entrevue au quotidien italien “la Repubblica” le jour de la démission de Wielgus, ont été repris avec grande évidence par ”Avvenire”, le quotidien de la conférence épiscopale italienne qui a une ligne directe avec le secrétaire d’État du Vatican, le cardinal Tarcisio Bertone. Cela montre qu’au sommet de l’Église, la déception et l’irritation sont fortes pour la façon dont l’affaire s’est conclue.En effet, le coup de théâtre final – la renonciation par Wielgus seulement 40 heures après avoir formellement assumé ses fonctions d’archevêque de Varsovie – s’explique par un acte d’autorité de Benoît XVI en personne.Si au dernier moment, le pape, en imposant la démission, s’est décidé de renverser la ligne de conduite qu’il avait maintenue jusqu’en ce moment d’appui constant à Wielgus même comme nouveau chef du plus important diocèse de Pologne, c’est parce que des faits très sérieux l’ont convaincu.

* * *
Wielgus n’a pas toujours été dans le groupe de candidats pressentis à remplacer Glemp.Les trois candidats, que la congrégation pour les évêques, avec préfet le cardinal Giovanni Battista Re, examina avant l’été, étaient l’archevêque de Lublin Józef Mirosław Życiński, tête d’affiche du courant “libéral”, l’archevêque de Przemyśl et président de la Conférence épiscopale Józef Michalik et l’évêque de Tarnów Wiktor Skworc.
Toutefois, il y avait d’autres prétendants avec leurs respectifs partis, parmi eux l’évêque de Gdańsk, Tadeusz Gocłowski, un autre “libéral”, le curial Stanisław Ryłko, président du conseil pontifical pour les laïcs, et même le nonce du Vatican à Varsovie, Józef Kowalczyc, qui est responsable, entre autres, d’instruire les dossiers des candidats à évêque et de les transmettre à Rome.Trop de prétendants, aucun gagnant. Après l’été, l’impasse favorisa l’émergence d’un candidat de rechange, Wielgus, professeur et recteur de l’université catholique de Lubin jusqu’en 1999 et puis évêque du petit diocèse de Płock, docte spécialiste de la philosophe médiévale et, en même temps, un habitué de la station radio populiste, Radio Maryja.* * *
En 1978, Wielgus passa plusieurs mois à l’université de Munich, la ville allemande dont Ratzinger était à l’époque l’archevêque. C’est là où les deux se sont connus.S’il avait obéi à la police secrète qui lui avait délivré le passeport pour aller en Allemagne, le jeune professeur aurait dû, à sa rentrée en Pologne, remettre à la police une fiche d’information sur le futur pape.
Il n’y avait rien dans le dossier de Wielgus que le nonce transmit à Rome de son passé de collaborateur de la “Służba Bezpieczeństwa”. Pourtant, en Pologne circulaient des rumeurs sur des documents qui auraient pu le clouer au pilori.Au Vatican, on prit du temps pendant quelques semaines, mais personne ne sollicita ou n’obtint un supplément d’enquête pour étoffer le dossier.Le 6 décembre arriva l’annonce officielle de la nomination. Un mois plus tard, le préfet de la congrégation pour les évêques, le cardinal Re, avouait : “Lorsque monseigneur Wielgus a été nommé, nous ne savions rien de sa collaboration avec les services secrets”.

Il aurait pu dire: “Nous ne voulions rien savoir”, car ce n’est que le 2 janvier que la nonciature vaticane demanda à l’Institut de la Mémoire Nationale les documents concernant Wielgus.

Entre-temps, le 21 décembre, le pape en personne avait pris la défense du nouvel archevêque de Varsovie, en renouvelant sa “pleine confiance” en lui après avoir examiné ”toutes les circonstances de sa vie” et aussi, on l’a su plus tard, après l’avoir écouté encore une fois.

En public, Wielgus continuait à nier, mais le 3 et il 4 janvier les copies de documents qu’il avait signés pour la police secrète parurent dans les journaux polonais.

Le 5 janvier, Wielgus assuma néanmoins les fonctions d’archevêque de Varsovie et dit d’avoir informé le pape de ses erreurs avant sa nomination.

Le 6, fête de l’Épiphanie, il fit lire dans toutes les églises de Pologne un message dans lequel il admit finalement “d’avoir nui à l’Église” en collaborant avec la police, puis en niant cette collaboration. Toutefois, il insista à dire qu’il avait précédemment tout avoué au pape.

Le message de l’Épiphanie ne laissait pas présager une démission. Wielgus demandait aux fidèles de Varsovie de l’“accueillir” comme nouvel archevêque. “Je serai parmi vous comme un frère qui souhaite unir et pas diviser”. Il ajoutait seulement qu’il “ respecterai[t] la décision du pape, quelle qu’elle soit”.

Ce jour-là, avant la tombée de la nuit, l’ordre arriva: démission.

Au Vatican, les documents des services secrets étaient finalement arrivés, traduits en allemand. Interpellés un à un, les évêques polonais se sont prononcés majoritairement contre le nouvel archevêque.

Mais le pape avait été surtout déçu par le message que Wielgus avait fait lire ce matin-là dans les églises.

Benoît XVI n’avait jamais entendu préalablement ce qu’il y avait dans le message de l’homme dans lequel il avait placé tant de confiance, pour la Pologne catholique des grands Wyszyński et Wojtyła.

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Cette nuit je ne réussi pas à prendre sommeil

11 janvier, 2007

Cette nuit je ne réussi pas à prendre sommeil, peut-être parce que je suis contant, je ne sais pas pourquoi, surtouts je crois j’ai trouvé un peu de paix, un sentiment que me lies  à Dieu sans demandé trop de chose, peut-être sans demandé rien, aussi je demande de vivre d’amour de Dieu, si humble, si simple, ; La matin de 2007 je me suis éveillé avec paix et joie, dans le 2007 j’avais 65 an, cette chose ne me tourbe pas, ainsi, il est comme cet j’ai suis arrivé  à une moment de ma vie important, ce est le temps de pensée vraiment a Dieu, de faire le chose à Lui agréable, touts ma vie je l’ai vécu pour Dieu, pas bien, le chose du sexe sont déjà passé da plusieurs année, j’avais juger, je me suis considérée sage, ma il est tout passé, j’espère d’être comme Dieu ai voulu pour moi, comme Lui m’ai donné son cadeaux d’amour ;  je pense, aujourd’hui, plus que dans le passée de ma vie,  que la chose plus important c’est l’amour, un amour que implique tout ma vie et touts le fait de ma vie, il n y à pas quelque chose que je peux retenir comme mienne, touts c’est un cadeaux de Dieu ; n’est pas facile tenir en Blog dans une langue non la propre, mais je le faire avec amour, un amour qui me porte loin, pas trop loin avec
la France, mais avec le Pape en tout le monde, avec son difficulté, mon péché, mon faiblesse, le désir d’amour que – quelque fois – porte l’homme loin de soi même ; 
ce nuit j’avais beaucoup de chose dans mon cœur, mais je ne savais pas comme le dire, comme exprime mais sentiment, je écrit qu’il est le 2,49 de mon ordinateur, je vous en prie de accepter mon pensée avec en peux de sommeil et en peu d’amour ;  moi, Gabriella, votre amies,