L’ »ARRIÈRE-SCÈNE » – la decision prise samedì soir

De l’ «Avvenire » d’aujourd’hui 

 

L’ »ARRIÈRE-SCÈNE » 

la décision prise samedi soir à donner il y la procédure aurait eu la lettre d’admission lue dans toutes les paroisses du Pays, 

 

de notre envoyé à Varsovie (S.M.) 

 

Tout un jour, et une nuit, de coups de téléphone, fax, d’email entre Rome et Varsovie. À un rythme fiévreux, devenu au fur et à mesure plus très excité avec passer des heures et de s’approcher de l’échéance. La décision prise dans la soirée de samedi, à quel il semble, et la nuit passée à remettre à point les choses. Elle est mûrie ainsi, dans moins que vingt-quatre heures, la décision probablement jusqu’aujourd’hui plus soufferte que Bénit XVI. Décision qui dimanche matin à 10,25 a porté au communiqué avec lequel
la Nonciature Apostolique en Pologne communiquait que « Son Excellence monsignor Stanislaw Wielgus, Archevêque Métropolite de Varsovie, dans le giorno dans
lequel était prévu l’entrée dans la basilique cathédrale, pour donner j’entame à son ministère pastorale dans l’Église de Varsovie, a résigné à Sa Sainteté Bénit XVI les démission du bureau canonique aux termes du can. 401 § 2 du Code de Droit Canonique. Le Saint Père a accepté les démission de l’Archevêque Stanislaw Wielgus et a nommé Son Éminence Card. Józef Glemp, Primate de Pologne, Administrateur Apostolique des Archi diocèse de Varsovie jusqu’à nouvelle mesure « . Peu de lignes pour annoncer un fait probablement sans précédents, au moins pas en époque récente : c’est-à-dire le renoncement de titrer au gouvernement pastorale d’une diocèse d’abord ancre d’en prendre possession. À quel il semble, à mettre en marche le mécanisme qui a porté aux démission de monsignor Stanislaw Wielgus aurait été la lettre de lui signée, et faite légères dans la journée de samedi dans toutes les églises de la diocèse. Lettre dans laquelle les cardinal, en admettant le sien contactent passés avec le Sb, affirmaient jamais de ne pas avoir fait « délation sur personne et que j’ai cherché de ne pas faire du mal à personne ». Pour ceci, aussi en reconnaissant ainsi « d’avoir fait mal à l’Église » alors et à du nouveau dans ces jours, « lorsque dans les derniers jours face à la fiévreuse campagne médiale j’ai nié les faits de cette collaboration », dans remettre toute décision dans les mains de
la Papa il confiait de toute façon à la prière du sur les fidèles « ce difficile j’entame de mon service pastorale entre vous ». Selon des voix ramassées dans les milieux de l’épiscopat polonais, à Rome ils auraient relevé une « discordance » entre le contenu de la lettre et lorsque admis de Wielgus à l’instant de l’instruction déroulée de la part de
la Congrégation pour les Évêques pour sa nomination, et encore successivement, après les premières « voix » à moitié décembre sur son cas. Admissions sur dont la de base, le 21 décembre, fut émis de Rome le célèbre communiqué dans lequel on affirmait que le Saint Siège était au courant de tout et confirmait sa confiance aux cardinal. Ainsi, samedi passé, entre Rome et Varsovie est mûri la décision finale, qui s’est renforcée impunément tous les évêques polonais « étaient sondés » sur la situation. Il semble qu’une dossier de 80 pages sur toute l’événement ait été transmise en Vatican du même président polonais Lech Kaczynski, à travers
la Nonciature, et que même Kaczynski ait voulu faire sentir sa voix. 

 

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