Toujours da « Avvenire » : »Le jour plus long »
9 janvier, 2007Je désir mettre encor une article sur el cas du Cardinal Stanislaw parce que il me semble que da/à Rome touts se fait loin et ne se comprend bien;
Je désire vous dire que les articles sur le « cas » du Cardinal Stanislaw sont beaucoup, ainsi comme j’ai vu même sur les journaux français, aussi, personnellement j’ai une certaine confiance des rédacteurs de « Avvenire », en réalité je ne nous comprends beaucoup, me semble de comprendre que s’il y avait quelque chose d’écrit été d’inévitables les démission, mais celles-ci sont des choses que je ne comprend pas bien et je ne connais pas la situation réelle de la Pologne, je sais que l’Église de la Pologne – comme il a dit le Cardinal Bertone : « il a souffert beaucoup », de toute façon si je trouve autres articles intéressants je les poste parce qu’elles sont des situations que – naturellement – elles font penser ; Un autre article – plus émouvant – ce cet que je mis au dessous de cet écrit :
Toujours da « Avvenire » :
LE JOUR PLUS LONG
« Après une profonde réflexion et la considération de ma situation personnelle je remets le charge dans les mains du Seigneur » Et de la vaisseau vite on ils sont des levers crie : « Non », « Honte » et « don Stanislaw tu restes avec nous », pétrifié, écoutait et pleurait : seulement après divergés minuscules il a été rapportée le calme. Ce « renonce » entre les larmes les démission de monsignor Wielgus : je ne serai pas l’archevêque de Varsovie la défense : l’agent du Sb été comme un roulement compresseur, le cardinal Glemp : « Jugé sur de base de petit morceau de papier ». de Notre Envoyé à Varsovie Salvatore Massue elle est finie avec celle-là seul mot : « Renonce ». Avec les larmes de monsignor Wielgus, là sur l’autel, et les mains tremblant que peinaient à remettre dans leur noire garde rigide les lunettes. Elle est finie avec la surprise manifestée à haute voix, le « non! » et la « honte » criés de la foule hors et dans à une cathédrale de Saint Jean plein éclater. Elle est finie avec les tonnants mots du cardinal Glemp à défense de le sien manqué successeur, pendant que hors de l’église, sur la route battue de la pluie, des autres millier de personnes nous confrontait en choeurs « au profit de » et « contre ». Mais elle est finie. Le jour plus long de l’Église polonaise de j’écroule du communisme s’est brûlé dans l’espace de peu d’heures, dimanche matin. Juste l’espace entre les premières voix d’un possible renversement en extremis de la situation, entamées à se répandre vers 8,30 du matin, et l’annonce effective, à 11 heures, des démission de la guide de la diocèse de Varsovie offerte de monsignor Stanislaw Wielgus, et acceptée de le Pape. À recomposer sur naître une fente qui risquait de déchirer en profondeur l’Église polonaise qui, vraiment sur craint des prêtres suspectés de « collaborationnisme » avec le communisme, a vécu dans achève an des instants de comparaison souvent dramatiques. Pour un de ces paradoxes qui le cas très souvent déterminent, vraiment les fidèles qu’été réussis à trouver place à l’intérieur de la Cathédrale été en majorité à l’obscur du temporel qui était en train de se déchaîner. J’aperçus de bon matin pour conquérir une place pour la solennelle cérémonie, en effet, pas été rejoints des voix du change de route décidé de la Papa. Et ainsi, lorsque au debout de la messe monsignor Wielgus s’est approché au microphone et il a dit : « Après une profonde réflexion et la considération de ma situation personnelle je remets le charge dans les mains des Seigneur », la foule a explosé. De la vaisseau vite on est des levers crie : « Non! », « Honte! » et « don Stanislaw tu restes avec nous! ». Wielgus, pétrifié, écouté et pleurait, pendant que des prêtres, diacres et sacristain employaient divergés minuscules à rapporter le calme. Et aux extérieur, où les mots ricochaient des haut-parleurs positionné pour permettre à quel il n’était pas réussi à entrer de suivre la cérémonie, mêmes cris étaient scandés encore plus de forts, pendant que dans, un peu à fatigue, reprenait la messe pas plus pour saluer l’entrée des nouveau bergères, mais pour remercier pour son très long service le cardinal Glemp, archevêque sortant mais, de dimanche, nommé de Bénit XVI Administrateur apostolique de la diocèse de Varsovie, en attente du choix du nouveau successeur. Vraiment Glemp, dans l’homélie de la messe, a voulu défendre le sien manqué successeur, en affirmant que « monsignor Wielgus a été jugé sur la de base de petit morceaux de papier » ; au contraire « de copies de copies de photocopies », il a accentué, à souligner la valeur relative que les documents qu’ils accusent les Cardinal démissionair, qui aussi a confessé le sien contacte avec la « Sluba Bezpieczenstwa » (Sb), bien que les services secrets du régime communiste, n’éprouvent pas qu’il a été effectivement un « agent active ». Ainsi, pour Glemp, Wielgus « a été jugé et retenu coupable sans avocats ou témoins », et la sentence sans procès formulée contre de de l’opinion publique « n’a pas été un verdict juste ». Du reste, il s’est rappelé encore, les agents du Sb « été comme un roulement compresseur et l’été omniprésents ». Au terme de la messe les applaudissements des fidèles pour encourager monsignor Wielgus, compris ceux du président polonais Lech Kaczynski, qui était présent à la cérémonie concélébré de l’épiscopat polonais presque au complet. Tout ceci pendant qu’à l’extérieur la foule, entre-temps beaucoup amincis, reprenait les choeurs, les prières, et les slogans pour « don Stanislaw », qu’ensemble à tous les autres évêques avait cependant préféré sortir du derrière. En se soustrayant même à tous les microphones inutilement thèse vers de lui.