Dans le Discours de Pape Déchiffrées et écoutées, hommes la « grammaire » du coeur
Article du journal italienne « Avvenire » d’aujourd’hui (traduction), lien :
MOTS À ENVOYER à MÉMOIRE Dans le Discours de Pape Déchiffrées et écoutées, hommes la « grammaire »
du coeur
Hélium Maraone
Nous espérons que les Seigneur aides et elle nous donne paix « . Après l’Angelus, sur le point de se congédier des fidèles, Benoît XVI on abandonne à des invocation spontanée, presque un soulagement récapitulative médité et passionné de sentir de qu’on est déjà exprimé dans le Message pour la Journée mondiale (« la personne humaine, coeur de la paix ») et dans l’Homélie prononcée – peu avant l’Angelus même – dans la basilique vatican. Paix pour tout ! il est le souhait de le Pape, dans l’espoir qui, merci même aux intercession de Marie très sainte, « la lumière de Christ…. éclaire le chemin » de chacun. Le souhait n’a pas de l’échéance, il vaudra jusqu’à à la fin à des temps, mais le calendrier nous rappelle, comme il s’observait dans l’homélie, qui le nouvel an est « une ultérieure période…. offerte nous de la Providence dans conteste du salut inauguré de Christ ». Comme dire que les douze mois qui nous attendent sont l’occasion définie, concentrée, « pour contribuer à réaliser le Règne de Dieu ». Il revient, dans les mots de Jour de l’an de
le Pape, un des thèmes du Message, où on dit que « la paix est ensemble un don et j’épelle ». Et donc tous les hommes, mais spécialement les croyants, sont appelés à être, dans la gratitude, infatigable constructeurs de paix. Mais, et ici il est le point central de la réflexion, est « en respectant la personne humaine » qui « se promeut la paix, et en construisant la paix on pose les prémisses pour authentifie humanisme intégral ». Encore : « Vraiment parce que créé à image et à ressemblance de Dieu, chaque individu humain, sans distinction de race, de culture et de religion, il est revêtu de la même dignité de personne. Pour ceci il doit être respecté, né quelque raison peut jamais justifier qu’il se dispose de lui à propre goût, presque était un objet « . En somme, tout « doit poser sur le respect de la dignité et des droits de chaque personne » ; donc, « pour être durable », même cet éventuel accord de paix, imploré « avec insistante prière », dans la « Terre où il naquit Jésus ». Rien, pour faire triompher la paix, doit alors l’être laissé d’actionner, mais ne pas être laissé dans le vague, de la communauté internationale à laquelle Benoît XVI se tourne pour qu’il joigne ses efforts, parce qu’au nom de Dieu on construise un monde dans lequel « les essentiels droits de l’homme » soient de tous respectés. Cependant « parce que cela se produise il est nécessaire que la fondation de tels droits soit reconnue pas en simples négociation humaines, mais dans la nature même de l’homme et de sa inaliénable dignité de personne créée de Dieu. Si en effet les éléments constitutifs de la dignité humaine sont confiés aux changeantes opinions humaines, même ses droits aussi solennellement proclamé finissent pour devenir des faibles et d’une manière différente interprétables. Il est important par conséquent que les Organismes internationaux ne perdent pas de vue la fondation naturelle des droits de l’homme. Cela les soustraira au risque, malheureusement toujours latent, de glisser vers les interprétations seule positiviste « . Ils sont, celles du Pape, mots forts et nets, qu’elle devrait être envoyée en tous les sièges politiques par coeur. Il en bien cueilli a l’importance le président de la République Giorgio Napolitano, que dans un message au Pape il écrit entre autre: « je Partage le centralité assigné complètement…. à la personne humaine, à sa dignité, aux siens droits inaliénables et aux siennes et à ses exigences » justes. Celui-ci est temps de bilans et d’intentions: il serait beau que tous, à commencer par les gouvernants, ils pesassent leurs fautes et omissions, enfin en respectant, pour lui dire ancre avec le Pape, l’inscription « grammaticale » dans le propre coeur du début des temps. Il feuillette les pages Une Italie peu écoutée dans les mots de et à ses exigences justes. Celui-ci est temps de bilans et d’intentions: il serait beau que tous, à commencer par les gouvernants, ils pesassent leurs fautes et omissions, enfin en respectant, pour lui dire ancre avec le Pape, l’inscription « grammaticale » dans le propre coeur du début des temps.
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