Archive pour le 22 décembre, 2006

aujourd’hui je vous raconte ma journée

22 décembre, 2006

Ce jour j’ai fait peu de chose, mais il était bon pour moi, tout est préparé pour le Noël, la crèche dans la chambre à manger a reçu le dernière « touche » , un petit Jésus sur mon écritoire ensemble à mon livres, à le lecteur pour CD (j’aime la musique classique), sous une table de pierre ou est une belle image de Saint Paul, le Saint je l’avais pries – quelque année passée – durant en moment difficile pour moi et j’avais ou beaucoup de réconfort et encor je le pries même si je n’ai pas de chose à demander ; à
la Basilique de Saint Jean in Laterano, que est l’église a moi plus proche, il y a deux grandes statues de Saint Pierre e Saint Paul – Pierre a gauche de l’autel e Paul a droite, durant la célébration de la messe il me semble que, touts le deux me regardent avec sympathie et, même – comme père – un peu de sévérité, ils sont  mon bon amis et, épais, je les priés pour Pape Benoît ; la crèche de
la Basilique c’est presque finie, aujourd’hui j’avais du temps pour lire mes livres, pour regardez les miens Blog et mettre, après une recherche, le chose plus important ou plus indicatif ou plus belle, comme je sais ; maintenant c’est l’heur de regardez plus profondément a Celui qui c’est fait chair pour nous et la paix vient, même si le difficulté e le misère de ce monde son ici entre nous : la politique, le débat sur l’euthanasie, Rome prise d’assaut de grèves continues (pour la financière) et, avec bienveillance, assaillie de touristes et de pèlerins, les européenne sont  le plus gentils et ils ont habitudes semblables aux nôtres, les américains non :  incompréhensibles, ou je préfère ne les pas comprendre même si est-ce qu’on ne peut pas généraliser ; de chinoises beaucoup, (mais est-ce qu’ils comprendront ce qui voient?) je croix beaucoup de français mais qu’ils ne peuvent pas compter combien parce que ils sont gentils et silencieux – quelquefois ils ont besoin de quelques conseil pour aller dans un endroit et ils demandent – si ils demandent à moi ou à ma soeur, ils s’étonnent toujours qu’il on répond en français;  beaucoup de touristes achètent la carte de Rome cependant puis ils ne savent pas leur orienter, dans le sens de Nord, Sud, Ouest, est, et souvent avant qu’ils prennent la rue pour sortir de Rome au lieu d’aller au centre, il faut repositionner la mappe, je le fais d’une façon générale respect aux monuments parce qu’il est plus facile de comprendre;  pour manger les Français et les Allemands d’une façon générale ils ne ratent jamais de petit restaurant, où on mange bien, les autres suivent souvent les indications de quelque plan spécial pour le magasin;  j’espère qu’ils puissent penser au Noël du Seigneur dans ces visites à Rome, parce que de choses à voir et de distractions sont vraiment nombreuses , bah je vous ai raconté quelque chose, il me plairait savoir un peu de la Noël en France, mais je sais ce qui lis de vos journaux,

pour aujourd’hui au revoir à tous,

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Gabriella

Du Jour de Noël, poesie

22 décembre, 2006

 poesie du site:

 http://www.biblisem.net/meditat/bellayjn.htm

Du Jour de Noël

La Terre au Ciel, l’Homme à la Deïté,
Sont assemblés d’un nouveau mariage.
Dieu prenant corps, sans faire au corps outrage,
Naist aujourdhuy de la virginité.La Vierge rend à

la Divinité
Son sainct dépost, dont le Monde est l’ouvrage,
Mais aujourdhuy il a fait d’avantage,
S’estant vestu de nostre humanité !

Il a plus fait : car si du corps humain
Tenant la vie et la mort en sa main,
Il s’est rendu mortel par sa naissance,

 Ne s’est-il pas luymesme surmonté ?
Cette oeuvre là démontre sa puissance,
Et celle-ci démontre sa bonté.

Joachim du BELLAY. 

La mission des enfants selon le pape : Etre des « amis et témoins de Jésus venu parmi nous »

22 décembre, 2006

du Zenith:  

La mission des enfants selon le pape : Etre des « amis et témoins de Jésus venu parmi nous » 

Audience à l’Action catholique de l’enfance 

ROME, Jeudi 21 décembre 2006 (ZENIT.org) –

Insistant sur le fait que la Nativité n’est pas une « fable », mais un événement réel, Benoît XVI invite à reconnaître l’Enfant Jésus dans tout nouveau né, et « l’enchantement de Noël » qui se reflète dans « le miracle de toute naissance », et il confie aux enfants la mission d’être des « amis » et des « témoins de Jésus venu parmi nous ». Benoît XVI a en reçu ce matin, au Vatican, des représentants de l’Action catholique italienne de l’Enfance. Il a demandé aux enfants d’être des « amis » et des « témoins de Jésus venu parmi nous ».

« Il est bon, insistait le pape, de le faire connaître autour de vous, en ville, en paroisse et en famille. L’Eglise a besoin de vous afin d’être proche de tous les enfants d’Italie. Témoigner de Jésus vous rendra plus humains, plus vrais, plus beaux ».

« L’enchantement de Noël », disait encore Benoît XVI, « se reflète dans le miracle de toute naissance » et « nous invite à voir l’Enfant Jésus dans tout enfant nouveau-né, joie de l’Eglise et espoir pour le monde ».

« Noël, disait le pape, est le grand mystère de la vérité et de la beauté de Dieu qui vient parmi nous pour le salut de tous ».

Le pape insistait : « La naissance de Jésus n’est pas une fable mais un événement réel (…) et la foi nous permet de reconnaître dans ce nouveau-né, né de
la Vierge Marie, le véritable Fils de Dieu, fait homme par amour de l’humanité ».

« Dans l’Enfant Jésus nous voyons le visage de Dieu qui ne montre pas sa force ou sa puissance mais la faiblesse et la fragilité de l’enfance », ajoutait le pape.

Pour le pape, « l’Enfant Dieu » manifeste « la fidélité et la tendresse infinie dont Dieu nous entoure tous ».

« Nous nous réjouissons à Noël en revivant l’expérience des bergers de Bethléem », insistait Benoît XVI. 

lecture du jour: 22.12.06 et commentaire de Pape Benoît

22 décembre, 2006

 du site EAQ, lecture du jour: 22.12.06 et commentaire de Pape Benoît:

Commentaire du jour
Pape Benoît XVI : « Il élève les humbles »

Les lectures du jour
Lc 1,46-56.

Marie dit alors : « Mon âme exalte le Seigneur,
mon esprit exulte en Dieu mon Sauveur.
Il s’est penché sur son humble servante ;désormais tous les âges me diront
bienheureuse.
Le Puissant fit pour moi des merveilles ;Saint est son nom !
Son amour s’étend d’âge en âge sur ceux qui le craignent.
Déployant la force de son bras, il disperse les superbes.
Il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles.
Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides.
Il relève Israël son serviteur,il se souvient de son amour,
de la promesse faite à nos pères, en faveur d’Abraham et de sa race à
jamais. »
Marie demeura avec Élisabeth environ trois mois, puis elle s’en retourna
chez elle.

Extrait de
la Traduction Liturgique de
la Bible – © AELF, Paris

Commentaire du jourPape Benoît XVI
Audience générale du 15/2/06 (trad. DC 19/3/06, n° 2354, p. 265 © Libreria Editrice Vaticana)

« Il élève les humbles »

      Le Magnificat est un cantique qui révèle en filigrane la spiritualité
des « anawim » bibliques, c’est-à-dire de ces fidèles qui se reconnaissent
pauvres non seulement dans le détachement de toute idolâtrie de la
richesse et du pouvoir, mais aussi dans l’humilité profonde du coeur,
dépouillé de toute tentation de l’orgueil, ouvert à l’irruption de la
grâce divine salvatrice. Tout le Magnificat est en effet marqué par cette
situation d’humilité et de pauvreté concrètes…
      L’âme de cette prière est la célébration de la grâce divine qui a
fait irruption dans le coeur et l’existence de Marie, faisant d’elle

la
Mère du Seigneur…: la louange, l’action de grâce, la joie
reconnaissante. Mais ce témoignage personnel n’est pas solitaire et
intimiste, purement individualiste, car
la Vierge Mère est consciente
qu’elle a une mission à accomplir pour l’humanité et que son histoire
personnelle s’insère dans l’histoire du salut… Par cette louange au
Seigneur,
la Vierge donne une voix à toutes les créatures rachetées qui,
en son fiat, et ainsi dans la figure de Jésus né de la Vierge Marie,
trouvent la miséricorde de Dieu… C’est comme si, à la voix de Marie,
s’associait toute la communauté des fidèles qui célèbrent les choix
surprenants de Dieu…
      Le comportement du Seigneur de l’histoire est évident : il se range
du côté des derniers. Son projet est un projet souvent caché sous le
terrain opaque des affaires humaines, qui voient triompher « les superbes,
les puissants, les riches ». Et pourtant sa force secrète est destinée à la
fin à être dévoilée, pour montrer quels sont les vrais préférés de Dieu : «
Ceux qui le craignent », fidèles à sa Parole ; « les humbles, les affamés,
Israël son serviteur », c’est-à-dire la communauté du Peuple de Dieu qui,
comme Marie, est constituée de ceux qui sont « pauvres », purs et simples
de coeur.

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L’Evangile au Quotidien, 4 Quai KOCH – 67000 STRASBOURG – FRANCE

« Au service de l’humanité » : Message aux Bouddhistes pour la fête de Vesakh

22 décembre, 2006

J’ai trouvez cet article du 5 mai 2006, qu’il me semble intéressant et je vous le propose, du Zenith:

2006-05-04

« Au service de l’humanité » : Message aux Bouddhistes pour la fête de Vesakh

Synthèse de « Dieu est Amour » par le card. Poupard

ROME, Jeudi 4 mai 2006 (ZENIT.org) –« Bouddhistes et chrétiens au service de l’humanité » : voici le texte intégral du message du Vatican aux Bouddhistes pour la fête de Vesakh. Bouddhistes et chrétiens au service de l’humanité Chers amis bouddhistes,

1. Au nom du Conseil Pontifical pour le Dialogue Interreligieux, je vous offre, ainsi qu’à toutes les communautés bouddhistes de par le monde, mes meilleurs vœux pour le Vesakh. Je vous souhaite de célébrer joyeusement cette fête.

2. Comme à l’accoutumée, j’aimerais que ce soit une occasion pour partager quelques pensées pouvant aider à affermir les relations entre nos deux communautés. Ces réflexions s’inspirent cette année de la première lettre du Pape Benoît XVI aux catholiques du monde entier. Cette lettre « Dieu est Amour », ou « Deus caritas est » (DCE) selon le titre latin, s’interroge sur la nature de l’amour. Sa Sainteté le Pape a la conviction qu’il est nécessaire que ce mot, si fréquemment utilisé et pourtant si souvent incompris, soit ramener à son vrai sens afin d’être une balise lumineuse pour la vie de tous les jours.

3. Le Pape Benoît XVI parle de deux formes d’amour : tout d’abord « eros », l’amour entre un homme et une femme, un amour à la recherche d’une satisfaction personnelle ; puis « agapè », un amour qui cherche le bien de l’autre, quand bien même la personne est différente, voire inconnue. Pour les chrétiens, cette deuxième forme d’amour n’est possible qu’à travers un enracinement dans l’amour pour Dieu comme réponse à l’amour même de Dieu pour les êtres humains. Ainsi, l’amour pour Dieu et l’amour pour nos frères sont inséparables car ils relèvent d’un unique commandement. « L’amour grandit par l’amour. L’amour est « divin » parce qu’il vient de Dieu et qu’il nous unit à Dieu » (DCE 18).

4. Nous chrétiens, nous croyons que la manifestation parfaite d’ « agapè » se fonde en Jésus-Christ, le Fils de Dieu fait homme qui, par ses paroles et ses actes, a consacré sa vie entière à répandre la Bonne Nouvelle de l’amour de Dieu. En donnant sa vie pour l’humanité tout entière, Jésus a offert l’expression ultime de cet amour. Plus encore, par le don particulier de lui-même dans l’eucharistie, Jésus est la source de l’ « agapè ». Abreuvés à cette source, les chrétiens s’efforcent de suivre les traces de Jésus en témoignant leur amour à leurs frères et à leurs sœurs, spécialement aux pauvres et à ceux qui souffrent.

5. À travers notre dialogue, nous avons pu apprécier l’importance que vous les bouddhistes, vous accordez à l’amour pour vos semblables et qui s’exprime dans le concept de « metta », un amour excluant tout désir de possession mais uniquement tourné vers l’aide d’autrui. C’est un amour qui est prêt à sacrifier l’intérêt personnel au bénéfice de toute l’humanité. Ainsi, « metta », selon l’enseignement bouddhiste, ne se limite pas à une pensée bienveillante mais s’ouvre à l’accomplissement d’actes charitables, au service de l’individu et de tous. C’est à vrai dire une bonté universelle. Il ne faut pas non plus oublier une autre vertu, « karuna », à travers laquelle s’exprime une compassion aimante à l’égard de tous les êtres vivants.

6. Dans ce monde où le mot amour est si souvent utilisé et galvaudé, ne serait-il pas utile aux bouddhistes et aux chrétiens de redécouvrir son sens original, selon leurs traditions respectives, et partager les uns avec les autres sa compréhension ? Cela pourrait être un encouragement pour les fidèles des deux traditions à travailler ensemble à la construction de relations fondées sur l’amour et la vérité, à nourrir un respect mutuel, à promouvoir le dialogue et à favoriser la collaboration au service de ceux qui sont dans le besoin.

7. Ces considérations me conduisent à émettre un dernier vœux : que la fête de Vesakh puisse être un temps au cours duquel l’amitié entre bouddhistes et chrétiens se consolide et où la collaboration, dans un esprit d’ « agapè » et de « metta », se renforce. Dans cet esprit, je vous souhaite un très Joyeux Vesakh.

Cité du Vatican, le 14 février 2006