Une Eclipse impossible: la crèche comme symbole

du journal italienne « Avvenire », traduction:

Une : ÉCLIPSE IMPOSSIBLE

Dans les symbole de Noël Il y A l’univers De Carlo Cardia des premiers graffitis dans les roches aux messages lancés dans le cosmos des observatoires astronomiques, l’histoire de l’humanité est bourrée de symboles. De symboles qui parlent de l’homme et de ses espoir, qui le dépassent et ils le projettent dans une réalité plus grande. Dans la religion les symboles absolvent à une fonction plus haute parce qu’ils unissent des peuples et des nations, approchent des personnes qui ne se connaissent pas mais ils professent la même foi. Pour cette raison, frapper les symboles religieux est comme accomplir une violence à l’homme. Les Natale est le lieu dans lequel le symbole est assumé à une de ses formes plus élevée. Du récit évangélique qui parle d’un évènement très petit à passer inaperçu, et très grand à changer l’histoire de l’humanité, les hommes ont tiré des signes à ne pas finir, dans la peinture et dans la sculpture, dans la musique et dans la littérature, et ont dérivé un langage qui sait parler à tous, aux souffrants et à quel il jouit, aux grands comme aux petits. Lorsque San Francesco réalisa à Greccio la crèche, il créa un symbole qui est réussi à dérouler même pour les enfants de tout le monde cette fonction qui un grand philosophe du Huit cents reconnaît à la musique, parce qu’il parle de l’univers dans une langue qui ancre ne se connaît pas mais elle est comprise de n’importe qui. Peut-être jamais comme dans la crèche la trascendence il apparaît ainsi voisine à l’homme, lui parle, la rassérène, l’encourage, il se présente dans la dimension plus simple et ensemble la profonde. Les symboles des Natale ont traversé les siècles, ceux-là grands et ceux-là boeufs, l’époque des persécutions et ces des civilisation. Lorsque représente chaque an dans tant de parties du monde, même pas chrétiennes, se répand un message tourné aux familles, aux mères et aux pères, aux enfants et aux enfants, et ce message parle de l’espoir, de l’espoir du futur et de la réalité de bien, de la confiance dans si des mêmes et dans les autres. Beaucoup de ils nous sentent souffrance dans les légères que ces symboles sont aujourd’hui contestés, dans quelques cas cachai, dans autres des païens transformés, comme si l’histoire pouvait faire le chemin en arrière, et pouvait déformer les récits évangélique en sens mythologique o ou en mode de fable, en privant de leur voix les authentifie, de leur message d’amour. Le trouble augmente de front à une justification multi -culturaliste du recel, parce qu’il semble on nous oublie que les Natale et les signes du christianisme ont été les premiers symboles universels et fraternisant de l’humanité entière. Elle est une souffrance légitime, mais il peut être dépassé. Tant de fois les symboles chrétiens ont été cachées, fin dans le catacombe, ou recherchées des vexatoires , ou abandonnés de quel il pensait avoir trouvé autres lumière, de pouvoir légères seulement dans la réalité matérielle le sens profond de la vie. Mais il n’y a pas eu un seul instant dans l’histoire dans laquelle ces symboles ne soient pas tournés à la lumière, à dérouler leur fonction spirituelle, pendant que tout le reste tournait au terme. Elles ont eu terme les persécutions et sont finies les dictatures plus sanguinaires, les philosophies plus hautaines se sont pliées, les promesses plus ambitieuses de la science ont laissé l’homme avec les questions plus profondes ancre ouvertes, avec les espoirs toutes à satisfaire. Aujourd’hui nous devons être en conscients. Tout le fois tombe un idole, ou on déferle une promesse, le symbole des Natale parle toujours là au coeur de l’homme, à lui dire que il y a des espoirs plus grandes que ils peuvent changer déjà maintenant la vie et l’éclairer d’une lumière plus vraie. Cette conviction peut pousser engager parce que des symboles chrétiens pas soient rayés ou manipulés, parce qu’ils parlent un langage qui est universel, n’apportent pas offense à certain, unissent les hommes plus que tant de choses éphémères

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